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La Meilleure Façon de marcher

La Meilleure Façon de marcher est un film dramatique français réalisé par Claude Miller en 1976.

La Meilleure Façon de marcher
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo de l'affiche de 1976
RĂ©alisation Claude Miller
Scénario Luc Béraud
Claude Miller
Musique Alain Jomy
Acteurs principaux
Sociétés de production Filmoblic
Cinémag
Pays de production Drapeau de la France France
Genre Drame
Durée 82 min
Sortie 1976

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Premier long-métrage du réalisateur, qu'il a co-écrit avec Luc Béraud, en s'inspirant d'une interview d'Ingmar Bergman sur l'humiliation et d'une colère de Miller contre l'intolérance, La Meilleure Façon de marcher, dont l'action se déroule principalement au début des années 1960, raconte la relation ambiguë entre deux moniteurs d'une colonie de vacances aux méthodes pédagogiques diamétralement opposées lorsque l'un, après avoir découvert l'autre grimé en femme, se met à soupçonner ce dernier d'être homosexuel.

Miller confie le rôle de Marc, moniteur à la grande gueule, sportif et macho à Patrick Dewaere alors en pleine ascension après les succès consécutifs des Valseuses et Adieu poulet, tandis que le personnage de Philippe, collègue plus réservé de Marc, est dévolu à Patrick Bouchitey, dont c'est l'un des premiers rôles importants au cinéma. Christine Pascal, actrice révélée par Bertrand Tavernier, joue le rôle de Chantal, petite amie de Philippe. Claude Piéplu prête ses traits au directeur de la colonie de vacances, tandis que Michel Blanc, relativement peu connu du grand public, tient l'un de ses premiers rôles sur grand écran.

Le film est tourné avec un tiers du budget à l'été 1975 en Auvergne. Miller parvient à finaliser le montage grâce à un apport financier de l'AMLF, qui distribuera le film à sa sortie en salles le . Bien accueilli par la critique, le film connaît un succès commercial relativement modeste à sa sortie avec plus d'un demi-million d'entrées en salles. Nommé à sept reprises à la Cérémonie des Césars 1977, notamment dans les catégories meilleur film et meilleur acteur pour Patrick Dewaere, il ne remporte que le César de la meilleure photographie pour Bruno Nuytten.

L'excellent accueil critique et commercial de La Meilleure Façon de marcher confirme l'ascension de Dewaere et révèle Bouchitey au grand public. Il permet également à Claude Miller de se faire connaître et d'entamer une carrière prestigieuse de réalisateur.

Synopsis détaillé

Auvergne, été 1960. Les moniteurs dans une colonie de vacances pour garçons appliquent chacun à leur manière leur pédagogie aux groupes d'enfants dont ils ont la charge. Parmi eux, Marc, grande gueule et sportif qui s'appuie sur ce qu'il pense être sa supériorité, et Philippe, assez réservé et cérébral et également fils du directeur. Pendant que Philippe initie son groupe au théâtre, Marc, quant à lui, organise des marches et pratique sportives aux enfants dont il s'occupe. Par une nuit de pluie orageuse, Marc participe à une partie de poker en compagnie d'autres animateurs, tandis que Philippe regarde un film à la télévision avec un autre moniteur du camp, Deloux, vu comme un lèche-bottes du directeur aux yeux de ses collègues, avant d'aller se coucher.

Une coupure de courant pousse Marc, muni d'une lampe torche, à se rendre dans la chambre de Philippe pour lui demander des bougies. Après s'être annoncé, Marc entre et surprend Philippe travesti en femme. Bien que soupçonnant ce dernier d'être homosexuel, Marc décide de garder le secret et retourne à sa partie de poker. Se sentant coupable et apeuré à l'idée que Marc ne dévoile son goût particulier, Philippe essaie d'en faire son ami. Il tente d'associer leurs deux groupes pour faire des activités ensemble, mais la mise en commun échoue. Par la suite, Philippe connaît une relation ambiguë avec Marc, dont il essaye toujours de faire un ami. Victime des brimades et coups bas de Marc, Philippe surréagit aux allusions de ce dernier en se faisant des idées en pensant à tort qu'il a parlé aux autres moniteurs. La visite de sa petite amie, Chantal, ne parvient pas à calmer les angoisses de Philippe, ce qui entraîne l'échec de leur première relation sexuelle. La jeune femme vient rendre régulièrement visite à Philippe à la colonie de vacances les dimanches où elle fait la connaissance de Marc, qui tente de la courtiser. Mais les espoirs de Marc sont vains car Chantal n'aime pas son caractère arrogant et égocentrique. De retour avec Chantal à la colonie, le directeur organise autour de la piscine une réunion d'adieux pour Deloux, renvoyé du camp après la découverte de photos pornographiques dans ses effets personnels. Marc décide de balancer Philippe dans la piscine, qui manque de se noyer sous les yeux de Chantal, qui commence à avoir des doutes sur les humiliations.

À l'approche de la fin des vacances, le directeur veut organiser une fête d'adieux. Philippe suggère l'organisation d'un bal costumé, qui est accepté. Alors que Chantal, présentée et vêtue d'un costume d'homme, et Marc, déguisé en danseur de flamenco, sont présents, Philippe débarque, déguisé et maquillé en femme et invite Marc à danser, ce qu'il accepte, jouant le jeu. Philippe renverse alors la situation et provoque Marc. Excédé, Marc se met à frapper Philippe devant le public assistant au bal. Philippe commence à répliquer à la confrontation qui s'achève quand le jeune homme se munit d'un couteau et le plante dans la cuisse gauche de Marc.

Quelques années plus tard à Paris. Philippe se rend dans un appartement neuf en compagnie de Chantal. Le couple retrouve leur agent immobilier, s'avérant être Marc, qui depuis s'est marié. Il est révélé que la relation entre les deux hommes s'est apaisée avec le temps.

Fiche technique

Claude Miller signe ici son premier long-métrage en tant que réalisateur.

Distribution

Production

Genèse et développement

Patrick Dewaere.
Cette illustration a été retouchée par une IA (voir l'original).

Le point de départ de La Meilleure Façon de marcher est née d'une idée de Claude Miller, à l'époque assistant réalisateur et directeur de production notamment pour François Truffaut[1]. La lecture d'une interview du réalisateur Ingmar Bergman dans lequel il évoque l'humiliation et une colère profonde de Miller contre l’intolérance raciale et sexuelle constatée dans son cercle proche lui ont donné l'idée de s'en servir pour écrire et réaliser son premier long-métrage[1] - [2] - [3]. Avec son co-scénariste Luc Béraud, Miller se plonge dans ses souvenirs de jeunesse[1].

Pour le rôle de Marc, Miller songe le confier à Philippe Léotard, mais n'arrive pas à trouver l'acteur susceptible d'incarner Philippe[4]. Un jour, Juliet Berto conseille à Miller le nom de Patrick Bouchitey, qui jouait la pièce Vol au-dessus d'un nid de coucou[5] - [6]. Miller se rend alors chez Bouchitey après la représentation. L'acteur, qui garde toutes les bobines de ses essais, lui projette celui réalisé pour Les Caïds, dans lequel il était en concurrence avec Patrick Dewaere pour un rôle que Bouchitey a finalement obtenu[4]. Miller est impressionné par Dewaere. Encouragé par Bouchitey[7], Miller, qui ne pensait pas engager d'acteurs connus, envoie le scénario à Dewaere[4] - [7]. Le soir même, l'acteur contacte le réalisateur et lui dit avoir apprécié le scénario et veut jouer dans le film[4]. Dewaere obtient le rôle de Marc et adore l'idée de jouer un personnage antipathique[4]. Les deux rôles principaux confiés, Miller donne le rôle de la petite amie de Philippe à Christine Pascal, révélée par Bertrand Tavernier et celui du directeur de la colonie de vacances et père de Philippe à Claude Piéplu.

C'est Patrick Dewaere qui a suggéré le nom de Michel Blanc à Claude Miller après l'avoir vu sur scène au théâtre du Splendid[8].

Tournage

Le tournage du film s'est déroulé en cinq semaines en Auvergne[4], essentiellement à Cellule, ancienne commune du Puy-de-Dôme à l'été 1975[1]. Malgré la présence de Dewaere au casting, le film connaît des problèmes de financement[6], qui a été tourné avec un tiers du budget, qui a servi pour payer l'indispensable tels que la pellicule et la location de matériel[6]. Tellement motivé par le projet, Dewaere accepte de ne pas être payé[4], tout comme le reste de l'équipe, dont Miller[6]. Cependant, il lui manque de l'argent pour payer le montage du film et n'a même pas de distributeur[4] - [6]. Jean-Louis Livi, alors agent et admiratif des courts-métrages réalisés par Miller, lui propose de payer plusieurs jours de montage pour faire une bande-annonce avec toutes les scènes comiques et la montrer à Claude Berri, qui était à la tête de l'AMLF, l'une des plus grosses sociétés de distribution de l'époque en France[4] - [6]. La bande-annonce fait marrer à l'AMLF, pensant avoir affaire à un film comique. Les membres de la société, suffisamment conquis lors de la sortie de la projection, acceptent d'entrer dans le financement du film, ce qui permet à Miller de faire le montage et finir le film[6].

Sortie et accueil

RĂ©ception critique

La Meilleure Façon de marcher sort dans les salles en France le avec une interdiction aux moins de 13 ans[alpha 1] et bénéficie de bonnes critiques au moment de sa sortie[9]. Le critique Jean de Baroncelli écrit dans Le Monde qu'« il faut dire pour être tout à fait dans le vrai, que le film doit aussi sa réussite beaucoup à ses deux principaux interprètes : Patrick Dewaere dans le rôle de grossier personnage est tout à fait remarquable comme à son habitude »[9], et José-Maria Bescos de Pariscope juge que « Pour beaucoup, Patrick Bouchitey, absolument remarquable, sera la révélation du film, parce que l'on aura oublié ses débuts dans Les Caïds de Robert Enrico, qui le préféra à… Patrick Dewaere. Celui-ci est dé-fï-ni-ti-ve-ment un Grand... Avec les trois D — Depardieu, Dutronc, Dewaere — là aussi la relève est fameuse. »[9].

François Truffaut fait également l'éloge du film[10] : « C’est un film clair et simple d’une violence intérieure. La seule qui me touche (…). Le tour de force de Claude Miller – nous présenter des personnages forts dans des situations fortes »[1].

Box-office

  • Drapeau de la France France : 591 421 entrĂ©es (sortie initiale et reprises en salles)

Le film prend la treizième place du box-office français la semaine de sa sortie avec 47 125 entrĂ©es[11], dont 46 153 entrĂ©es sur Paris, oĂą il occupe la quatrième place du box-office[12]. AidĂ© par le bon accueil critique, La Meilleure façon Ă  marcher parvient Ă  se hisser en cinquième place des meilleures entrĂ©es en seconde semaine avec 82 759 entrĂ©es, lui permettant de cumuler 129 884 entrĂ©es[13]. Le long-mĂ©trage atteint les 300 000 entrĂ©es fin mars 1976[14] et les 400 000 entrĂ©es près d'un mois plus tard[15]. Le film quitte le top 30 après dix semaines d'exploitation avec 447 067 entrĂ©es[16]. Au cours de sa première annĂ©e d'exploitation, La Meilleure Façon de marcher totalise 547 957 entrĂ©es, ce qui lui permet de se hisser Ă  la 59e place du box-office annuel[17]. Pour sa première exploitation en salles, il totalise 588 030 entrĂ©es, dont plus de 193 000 entrĂ©es rien qu'Ă  Paris[18], tandis que sa reprise en aoĂ»t 2008 lui a permis de rĂ©unir 1 904 entrĂ©es[19]. Pour sa reprise en version restaurĂ©e en mars 2019, le long-mĂ©trage enregistre 66 entrĂ©es pour son premier jour en salles sur une copie[20], tandis que pour son premier week-end, il totalise 459 entrĂ©es sur une copie[21]. L'exploitation en salles du film en 2019 attire 1 487 spectateurs[19].

Box-office des premières semaines d'exploitation du film, semaine par semaine, à Paris et en banlieue
Source : « Box-office hebdomadaire Paris 1976 » sur Box-Office Story, d'après CinĂ©-chiffres/Le Film français
Semaine Rang Entrées Cumul no 1 du box-office hebdo.
1 au 446 15346 153Vol au-dessus d'un nid de coucou
2 au 539 39085 543
3 au 931 747117 290L'Alpagueur
4 au 1123 710141 000
Box-office des premières semaines d'exploitation du film, semaine par semaine, en France
Source : « Box-office hebdomadaire France 1976 » sur Les Archives du Box-office, d'après le CNC
Semaine Rang Entrées Cumul no 1 du box-office hebdo.
1 au 1347 12547 125Les Dents de la mer
2 au 582 759129 884
3 au 976 530206 414
4 au 1155 097261 511L'Alpagueur
5 au 1244 311305 822Vol au-dessus d'un nid de coucou
6 au 1435 124340 946
7 au 1735 131376 077A nous les petites Anglaises
8 au 1634 167410 244Vol au-dessus d'un nid de coucou
9 au 2721 040431 284
10 au 2915 783447 067

Autour du film

  • Le titre du film fait rĂ©fĂ©rence Ă  une chanson scoute devenue un classique des colonies de vacances : « La meilleure façon de marcher, c'est encore la nĂ´tre, c'est de mettre un pied devant l'autre et de recommencer. » (notamment audible dans les films Les Randonneurs, La Petite Voleuse et La Classe de neige).
  • Claude Miller s'est inspirĂ© de ses propres expĂ©riences en colonies de vacances pour certaines scènes. Il y est allĂ© trois fois avec la ville de Montreuil. Ainsi, le moniteur invite les enfants Ă  se coucher du cĂ´tĂ© droit (façon un peu hypocrite, dans les annĂ©es 50-60, d'entraver la propension Ă  se masturber des garçons prĂ©ados, la majoritĂ© d'entre eux Ă©tant droitiers).
  • Le , Philippe Caloni reçoit Patrick Dewaere sur France Inter pour la sortie du film La Meilleure Façon de marcher[22]. L'acteur dĂ©voile qu'il a instantanĂ©ment acceptĂ© le rĂ´le, dès la lecture du scĂ©nario, ce qui est alors inĂ©dit pour lui. Concernant la très rĂ©vĂ©latrice et intense dernière sĂ©quence du film rĂ©alisĂ©e en fin de tournage oĂą son personnage macho et primaire dĂ©voile son trouble, face au jeune homme sexuellement ambigu jouĂ© par Patrick Bouchitey, qu'il avait continuellement agressĂ© au cours de l'histoire, Dewaere dĂ©clare : « C'est la plus grande scène du film. Je n'ai tournĂ© tout le film que pour cette scène-lĂ  Â». Le journaliste soulève la question du risque de tourner avec Claude Miller que personne alors ne connaĂ®t vraiment. Dewaere rĂ©pond avec malice : « Non. Ce n'est pas un risque. C'est un bon calcul ! Â». La journaliste Sophie Dumoulin prĂ©cise qu'il vient d'achever le tournage de F comme Fairbanks de Maurice Dugowson. Il compare : « Dans le film de Claude Miller, je suis un type que rien n'abat alors que pour le film de Dugowson, je deviens fou Ă  la fin Â», soulignant combien les Ă©vĂ©nements dramatiques d'une existence peuvent affecter un ĂŞtre humain aussi fragile et sensible que le personnage de F comme Fairbanks. Concernant sa technique d'acteur, Dewaere confirme qu'il refuse de « faire semblant Â». Il prĂ©tend que ce serait plus simple et qu'il procĂ©derait ainsi par paresse. Il confirme littĂ©ralement vivre les Ă©motions du personnage et agir en fonction du rĂ´le. Il rĂ©fute en revanche, la notion d'improvisation et confirme un choix dĂ©libĂ©rĂ©, une rĂ©flexion et une certaine prĂ©paration.
  • Dans Nos jours heureux des scènes font Ă©cho au film notamment quand Truman lance le petit Pichavent dans la piscine et lorsque les animateurs lisent les messages des enfants.
  • Le pyjama rayĂ© de Marc[23] - [24] rappelle la tenue rayĂ©e des dĂ©portĂ©s en gĂ©nĂ©ral et des homosexuels dĂ©portĂ©s, les triangles roses, en particulier, dans les Camps de concentration nazis [25]. C’était dĂ©jĂ  le cas du pyjama rayĂ© de certains personnages du film Ă  sketchs Le Lit Ă  deux places[26] dont certaines scènes ambiguĂ«s Ă©voquent l'homosexualitĂ©.Claude Miller Ă©tait sensibilisĂ© par la Shoah du fait de l’histoire de sa famille. Il l’avait abordĂ© directement avec le film Un secret et indirectement dans ses autres films[27]. Interview de Claude Miller par la publication France-AmĂ©rique :« France-Amerique: Durant toute votre carrière, vous n’aviez jamais abordĂ© ce thème de la Shoah…Claude Miller: Je ne l’ai jamais abordĂ© directement, mais il y a des tensions, une atmosphère d’anxiĂ©tĂ© et de peur latente qui peut venir d’une enfance qui a Ă©tĂ© marquĂ©e par ce qui s’était passĂ©.»

Distinctions

Restauration en HD 4K

Notes et références

Notes

  1. En 1990, le classement interdit aux moins de 13 ans fut changé en interdit aux moins de 12 ans avec le changement de palier de classifications. Le film ne sera réévalué en tous publics qu'en 1992. Dans le livre d'entretiens Serrer sa chance, Claude Miller dit que le film a eu une interdiction aux moins de 12 ans, qui pour lui n'« était pas méchant », alors qu'il avait eu beaucoup de soucis avec ses courts-métrages.

Références

  1. Sébastien Boully, « La meilleure façon de marcher de Claude Miller (1976) », sur frenchmania.fr, (consulté le ).
  2. Erick Maurel, « La Meilleure façon de marcher de Claude Miller (1976) - Analyse et critique du film », sur DVDClassik, (consulté le ).
  3. Léo Bonneville, « Rencontre avec Claude Miller », Séquences : La revue de cinéma, no 124,‎ , p. 22-27 (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Patrick Deware, l'écorché – Christophe Carrière », sur Google Livres (consulté le ).
  5. Jean-Luc Douin, « "La Meilleure Façon de marcher", de Claude Miller », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le ).
  6. « Serrer sa chance: Entretiens avec Claire Vassé - De Claude Miller, Claire Vassé », sur Google Livres (consulté le ).
  7. « Claude MILLER », sur Patrick DEWAERE - ma photothèque, (consulté le ).
  8. Thierry Chèze, « Michel Blanc, le grand entretien », Studio Ciné Live n°81,‎ , p. 10 à 14
  9. « La Meilleure façon de marcher - Fiche du film », sur dewaere.online.fr (consulté le )
  10. François Truffaut, « Claude Miller, entre complices », Le Point, no 180,‎ réédité dans François Truffaut, Le plaisir des yeux, Flammarion, , p. 100-102.
  11. Fabrice BO, « BO France - 9 mars 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le ).
  12. Renaud Soyer, « BOX OFFICE PARIS DU 3/3/1976 AU 9/3/1976 », sur Box Office Story, (consulté le ).
  13. Fabrice BO, « BO France - 16 mars 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le ).
  14. Fabrice BO, « BO France - 6 avril 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le ).
  15. Fabrice BO, « BO France - 27 avril 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le ).
  16. Fabrice BO, « BO France - 11 mai 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le ).
  17. Fabrice BO, « Box-Office Annuel 1976 », sur Les Archives du Box-office, (consulté le )
  18. « La Meilleure Façon de marcher (1976) », sur JPBox-Office (consulté le )
  19. « La Meilleure façon de marcher », sur lumiere.obs.coe.int (consulté le ).
  20. Nicolas infoscine, « TOP premier jour des sorties du mercredi 7 mars 2019 », sur Zickma.fr, (consulté le ).
  21. Nicolas infoscine, « Top week-end du 6 au 10 mars 2019 », sur Zickma.fr, (consulté le ).
  22. « Interview de Patrick DEWAERE dans l'émission Inter actualités de 13 h sur France Inter », sur INA, (consulté le ).
  23. revue le 7 ème genre , pyjama rayé de Marc en couverture
  24. le 7 ème genre, Claude Miller cinéaste de la subtilité, "un lit à 2 places assises" : Marc en pyjama rayé assis à côté de Philippe
  25. les différentes catégories de déportés dans les camps nazis
  26. cinéma français : affiches du film "le lit à deux places", Jean Richard en tenue rayée
  27. France Amérique : Claude Miller , un secret. Son ressenti sur la Shoah

Liens externes

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