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LĂ©prose des agrumes


La lĂ©prose des agrumes est une maladie virale Ă©conomiquement importante qui affecte les cultures d'agrumes et peut provoquer des pertes de rendement allant jusqu'Ă  100 %. Cette maladie Ă©mergente, classĂ©e comme maladie de quarantaine, est largement rĂ©pandue en AmĂ©rique du Sud et en AmĂ©rique centrale, de l'Argentine au Mexique, mais est absente des autres continents. La maladie est causĂ©e par plusieurs espĂšces de virus aux gĂ©nomes apparentĂ©s, qui provoquent des infections non-systĂ©miques de deux formes, cytoplasmique ou nuclĂ©aire. Ils appartiennent Ă  trois genres diffĂ©rents : Cilevirus et Higrevirus (famille des Kitaviridae), et Dichorhavirus (famille des Rhabdoviridae) Les virus de type cytoplasmique sont les plus rĂ©pandus et les plus largement distribuĂ©s. Tous ces virus provoquent des symptĂŽmes similaires chez les plantes-hĂŽtes du genre Citrus et sont transmis par les mĂȘmes vecteurs, des espĂšces d'acariens du genre Brevipalpus.

LĂ©prose des agrumes
Type Maladie virale
Noms communs LĂ©prose des agrumes
Agents Citrus leprosis virus C (CiLV-C),

Citrus leprosis virus C2 (CiLV-C2),
Hibiscus green spot virus 2 (HGSV-2)
Citrus leprosis virus N (CiLV-N),
Citrus necrotic spot virus (CiNSV).

HĂŽtes EspĂšces du genre Citrus (agrumes)
Vecteurs Acariens :
Brevipalpus californicus,
Brevipalpus obovatus,
Brevipalpus phoenicis
Code OEPP CILVC0, CILVC2, CILVN0, CILV00, HGSV20
Répartition Amérique latine
Traitement Acaricides,
mesures prophylactiques,
choix de cultivars résistants

Pour minimiser l'impact de cette maladie, les seuls moyens utilisables sont le recours à des cultivars résistants, la taille et l'élimination des branches infectées pour réduire l'inoculum de la maladie et la lutte contre les acariens vecteurs à l'aide d'acaricides chimiques.

Histoire

La lĂ©prose des agrumes a Ă©tĂ© signalĂ©e pour la premiĂšre fois en Floride (États-Unis) dans les annĂ©es 1860 et a eu de graves rĂ©percussions sur la production d'agrumes. Elle a Ă©tĂ© dĂ©crite pour la premiĂšre fois en 1907 sous le nom de « scaly bark » (Ă©corce Ă©cailleuse) en raison d'un symptĂŽme typique de lĂ©sions locales coalescentes sur l'Ă©corce verte[1]. AprĂšs 1926, l'incidence de la maladie a commencĂ© Ă  dĂ©cliner en Floride et dans les annĂ©es 1950, elle n'Ă©tait plus prĂ©sente que dans des zones isolĂ©es de la cĂŽte est de la Floride et depuis 1968 aucun signalement n'a Ă©tĂ© fait dans cet État[2]. La disparition de la maladie s'expliquerait par l'usage d'acaricides efficaces Ă  base de soufre mouillable et par une pĂ©riode de gel sĂ©vĂšre en 1962 qui a tuĂ© de vastes Ă©tendues de vergers en Floride. Quand des agrumes ont Ă©tĂ© replantĂ©s, gĂ©nĂ©ralement plus au sud, la lĂ©prose n'Ă©tait plus prĂ©sente et avait apparemment Ă©tĂ© Ă©radiquĂ©e[1].

Des analyses réalisées à partir de spécimens d'herbier collectés en 1948 ont permis d'établir que l'agent causal était un virus du type CiLV-N, mais d'une souche inconnue propre à la Floride, désignée CiLV-N0[2].

En 1920, une maladie des agrumes, nommĂ©e « lĂšpre explosive » (lepra explosiva) est dĂ©couverte au Paraguay, puis rapidement en Uruguay et Argentine, ainsi qu'au BrĂ©sil oĂč elle a Ă©tĂ© appelĂ©e « variole » (variola). La comparaison des symptĂŽmes a conduit Ă  la conclusion que cette maladie des agrumes Ă©tait la mĂȘme que celle connue en Floride et le nom de « lĂ©prose » a Ă©tĂ© adoptĂ©. Dans les annĂ©es 1940, des chercheurs ont dĂ©montrĂ© en Argentine que l'acarien Brevipalpus obovatus Donnadieu Ă©tait impliquĂ© dans la dissĂ©mination de la maladie. En revanche, l'agent causal de la lĂ©prose Ă©tait controversĂ©, allant d'une Ă©tiologie fongique Ă  une rĂ©action aux toxines injectĂ©es par les acariens, mais la preuve d'une origine de nature virale a Ă©tĂ© progressivement Ă©tablie Ă  partir de 1968 jusqu'aux annĂ©es 2000[3].

Agents pathogĂšnes

Cinq espÚces différentes de phytovirus, partageant une biologie similaire, peuvent provoquer des symptÎmes de la léprose chez diverses espÚces d'agrumes :

Les trois premiers virus sont responsables de la forme cytoplasmique de la léprose des agrumes tandis que les deux derniers sont responsables de la forme nucléaire. Ces deux formes de la maladie se distinguent par le site (cytoplasme ou noyau) d'une altération cytopathique typique, l'accumulation de corps d'inclusion denses aux électrons[4] - [2].

Le principal agent causal est le virus C de la léprose des agrumes (CiLV-C, Citrus leprosis virus C). Il se présente sous la forme de courtes particules bacilliformes, de 120 à 130 nm de long et de 50 à 55 nm de large. On le trouve dans le réticulum endoplasmique dans le cytoplasme des cellules infectées, et on observe un viroplasme dense en électrons dans le cytoplasme[5]. Le CiLV-C a un génome d'ARN à simple brin de sens positif (ARNmc (+)), bipartite. Les deux segments, ARN1 et ARN2, ont des queues poly(A) terminales à l'extrémité 3'. L'ARN1 (8 729 à 8 730 nt) contient deux cadres de lecture ouvert (ORF), codant une polyprotéine de 286 kilodaltons (kDa), que l'on suppose impliquée dans la réplication du virus, avec quatre domaines conservés : méthyltransférase, protéase, hélicase et ARN polymérase ARN-dépendante (RdRp), et une protéine de 29 kDa, de fonction inconnue. L'ARN2 (4 969 à 4 975 nt) contient quatre ORF, codant des protéines de 15, 61, 32 et 24 kDa. La protéine de 32 kDa est apparemment impliquée dans le mouvement de cellule à cellule du virus (protéine de mouvement), mais aucune des autres protéines n'a montré de domaine protéique conservé[6] - [7].

le virus C2 de la léprose des agrumes (CiLV-C2, Citrus leprosis virus C2) est également associé à des virions bacilliformes courts, de 100 à 110 nm de long et de 40 à 50 nm de large[8]. Le génome du CiLV-C2, également bipartite, ressemble étroitement à celui du CiLV-C. Il est composé de deux segment, ARN1 (8 717 nt) et ARN2 (4 989 nt), présentant tous deux des queues poly (A) à l'extrémité 3 '. L'ARN1 présente deux ORF codant une grande polyprotéine (285 kDa), impliquée vraisemblablement dans la réplication du virus, avec cinq domaines conservés (deux méthyltransférases, protéase, hélicase et RdRp), et une protéine d'enveloppe (CP) putative de 29 kDa. L'ARN2 contient cinq ORF qui codent potentiellement cinq protéines de 15, 7, 61, 32 et 24 kDa, similaires à celles prédites pour les masses protéiques du CiLV-C. La protéine de 32 kDa a un domaine conservé de protéine de mouvement de cellule à cellule et la petite protéine hypothétique (7 kDa), absente du génome du CiLV-C, a un domaine transmembranaire[8].

Vecteurs

Brevipalpus phoenicis est le principal vecteur de la léprose des agrumes, maladie virale végétale répandue en Amérique du Sud.

Les virus CiLV-N, CiLV-C et CiLV-C2 sont transmis par de faux tĂ©tranyques ou acariens plats, appartenant au genre Brevipalpus (famille des Tenuipalpidae). Trois espĂšces de ce genre ont Ă©tĂ© signalĂ©es comme vecteurs de la lĂ©prose des agrumes : Brevipalpus californicus Banks, Brevipalpus obovatus Donnadieu et Brevipalpus phoenicis Geijskes, ce dernier Ă©tant considĂ©rĂ© comme le vecteur principal[9]. Les trois espĂšces d'acariens ont une vaste gamme de plantes-hĂŽtes et sont largement distribuĂ©es[10]. Tous les stades actifs de l'acarien (larve, nymphe et adulte) peuvent acquĂ©rir et transmettre le virus[11], cependant les larves semblent transmettre le virus plus efficacement[12]. On sait qu’il n’y a pas de transmission transovarienne de la femelle Ă  ses descendants[13] et qu'aprĂšs l'acquisition (temps d'acquisition : 2 jours), l'acarien reste virulifĂšre pendant toute sa vie (transmission persistante), mais on ne sait pas si le virus se rĂ©plique Ă  l'intĂ©rieur du vecteur[9].

SymptĂŽmes

La léprose des agrumes se manifeste d'abord par des lésions locales, arrondies à elliptiques, sur les feuilles, les fruits et les rameaux. Ces lésions s'agrandissent et se nécrosent progressivement en leur centre. Elles entraßnent une chute prématurée des fruits et le dépérissement des rameaux, et peuvent provoquer la mort des arbres en l'absence de traitement contre les acariens vecteurs[14].

Les lésions apparaissant sur les fruits réduisent fortement leur valeur marchande. Elles se présentent sous la forme de taches de 0,2 à 1,2 cm de diamÚtre, au centre nécrotique, initialement jaunùtres, devenant brunes ou noires, provoquant parfois des dépressions dans la peau, avec une exsudation de gomme[15]. Sur les fruits verts, les taches sont vert pùle au centre avec un halo jaune, le centre de la lésion devenant brun foncé au fur et à mesure que le fruit mûrit. Les lésions n'affectent que l'écorce du fruit, mais les fruits malades mûrissent prématurément et sont susceptibles de pourrir[16].

Risques de confusion

Les lĂ©sions de la lĂ©prose des agrumes sont en gĂ©nĂ©ral trĂšs caractĂ©ristiques. Les symptĂŽmes du CiLV sur les fruits peuvent ĂȘtre confondues avec ceux du chancre bactĂ©rien des agrumes causĂ©es par Xanthomonas citri. Cependant, la chlorose zonĂ©e, associĂ©e Ă  l'infestation bactĂ©rienne transmise par les mĂȘmes acariens, ne devient pas nĂ©crotique ; les symptĂŽmes consistent essentiellement en anneaux concentriques verts et chlorotiques[15].

Les symptĂŽmes foliaires du CiLV peuvent ĂȘtre confondus avec ceux de la rougeole des agrumes (maladie rare d'origine inconnue signalĂ©e en Floride), ou bien avec les dĂ©gĂąts causĂ©s par des produits phytosanitaires ou des insectes. Sur le tronc, les symptĂŽmes de desquamation de l'Ă©corce dus au CiLV peuvent Ă©voquer les symptĂŽmes de la psorose des agrumes. Cependant, le virus de la psorose provoque des taches sur le bois, ce qui n'est pas le cas du CiLV[17].

Plantes-hĂŽtes

Les plantes-hÎtes de la léprose des agrumes sont pour l'essentiel des espÚces du genre Citrus (famille des Rutaceae). La gamme des plantes-hÎtes dépend des virus concenés. Pour le virus CiLV-C, le plus répandu, de nombreuses espÚces de Citrus sont sensibles. La plus sensible est l'oranger (Citrus sinensis). Le mandarinier (Citrus reticulata) et ses hybrides sont moins sensibles, ne présentant souvent que des symptÎmes foliaires, et certaines variétés expriment divers degrés de résistance au CiLV-C. Le mandarinier méditerranéen, Citrus deliciosa, est trÚs sensible[4]

Certain hybrides de Citrus reticulata prĂ©sentent une rĂ©sistance Ă©levĂ©e au CiLV-C. Par exemple le cultivar de tangor 'Murcott ' (Citrus sinensis × Citrus reticulata) est largement utilisĂ© dans les programmes de sĂ©lection[18].

Certaines espĂšces de Citrus sont considĂ©rĂ©es comme rĂ©sistantes, n'Ă©tant pas infectĂ©es naturellement par le CiLV‐C. C'est le cas du citronnier (Citrus ×limon), du limettier (Citrus aurantiifolia), du pamplemoussier (Citrus ×paradisi), du limettier doux (Citrus limetta) et du limettier de Perse (Citrus latifolia)[4].

D'autres espĂšces poussant en association avec les agrumes dans les vergers, par exemple dans les haies, sont des hĂŽtes naturels du CiLV‐C. C'est le cas de Swinglea glutinosa (Rutaceae) et de Commelina benghalensis ( Commelinaceae). Ces plantes peuvent jouer un rĂŽle dans l'Ă©pidĂ©miologie de la lĂ©prose en tant que rĂ©servoir d'inoculum du virus et en hĂ©bergeant des populations d'acariens. De mĂȘme, Hibiscus rosa-sinensis, Malvaviscus arboreus, Grevillea robusta et Bixa orellana, souvent Ă©galement utilisĂ©s comme haies, se sont avĂ©rĂ©s ĂȘtre des hĂŽtes de CiLV-C par inoculation expĂ©rimentale[4].

Distribution

La léprose des agrumes, sous la forme causée par Citrus leprosis virus C (CiLV), est présente uniquement dans le continent américain et dans la plupart des pays d'Amérique latine. Depuis les années 2000, cette maladie a causé des pertes économiques importantes au Brésil, en Argentine, au Paraguay, en Uruguay, au Venezuela, au Costa Rica, au Panama et au Honduras. La maladie a été signalée plus récemment au Guatemala, en Bolivie, au Mexique, en Colombie et au Belize. Elle tend à se propager vers le Nord[15].


Notes et références

  1. (en) John S Hartung, Avijit Roy, Shimin Fu, Jonathan Shao, William L Schneider, Ronald H Brlansky, « History and Diversity of Citrus leprosis virus Recorded in Herbarium Specimens », Phytopathology, vol. 105, no 9,‎ , p. 1277-1284 (DOI 10.1094/PHYTO-03-15-0064-R., History and Diversity of Citrus leprosis virus Recorded in Herbarium Specimens).
  2. (en) Ron Brlansky, William Schneider, John Hartung & Avijit Roy, « Citrus leprosis research update », sur Citrus Industry, Citrus Research and Education Center (CREC) - Université de Floride (UF), (consulté le ).
  3. (en) Sara CĂĄceres, Alcides Aguirre, Norma Costa, Olga de Coll, Luis GonzĂĄles Segnana, Nelson Fariña, Aline D. Tassi, Renata F. Calegario, Gilberto J. de Moraes, Juliana Freitas-AstĂșa, Juliana A. Pereira, Renato B. Salaroli, Elliot W. Kitajima, « Present status of citrus leprosis in Argentina and Paraguay », Tropical plant pathology, BrasĂ­lia, vol. 38, no 4,‎ (lire en ligne).
  4. (en) EFSA Panel on Plant Health (PLH), Michael Jeger et al., « Pest categorisation of Citrus leprosis viruses », EFSA Journal, AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments, vol. 15, no 12,‎ , e05110 (DOI 10.2903/j.efsa.2017.5110, lire en ligne).
  5. (en) E.W. Kitajima, C.M. Chagas et J.C.V Rodrigues, « Brevipalpus transmitted plant virus and virus-like diseases: cytopathology and some recent cases », Exp. Appl. Acarol., vol. 30, nos 1–3,‎ , p. 135–160 (DOI 10.1023/b:appa.0000006546.55305.e3).
  6. (en) E.C. Locali-Fabris, J Freitas-Astu, A A Souza, M.A. Takita, G. Astua-Monge, R Antonioli-Luizon et V. Rodrigues, « Complete nuclotide sequence, genomic organization and phylogenetic analysis of Citrus leprosis virus cytoplasmatic type », J. Gen. Virol., vol. 87, no 9,‎ , p. 2721–2729 (DOI 10.1099/vir.0.82038-0).
  7. (en) R.C. Pascon, J.P. Kitajima, M.C. Breton, L. Assumpcao, C. Greggio, A.S. Zanca et V.K. Okura, « The complete nucleotide sequence and genomic arganization of Citrus leprosis associated virus, cytoplasmatic type (CiLVC) », Virus Genes, vol. 32, no 3,‎ , p. 289–298 (DOI 10.1007/s11262-005-6913-1).
  8. (en) A. Roy, N. Choudhary, L.M. Guillermo, J. Shao, A. Govindarajulo, D. Anchor et G. Wei, « A novel virus of the genus Cilevirus causing symptoms similar of citrus leprosis », Phytopathology, vol. 103, no 5,‎ , p. 488–500 (DOI 10.1094/PHYTO-07-12-0177-R).
  9. (en) M. Bastianel, V.M. Noveli, K.S. Kubo, E.M. Kitajima, R. Bassanezi, M.A. Machado et J. Freitas-AstĂșa, « Citrus leprosis:centennial of an unusual mite-virus pathosystem », Plant Disease, vol. 94, no 3,‎ , p. 284–292 (DOI 10.1094/pdis-94-3-0284).
  10. (en) C.C. Childers, J.C.V. Rodrigues et W.C. Welbourn, « Host plants of Brevipalpus californicus, B. obovatus, and B. phoenisis (Acari:Tenuipalpidae) and their potential involvement in the spread of one or more viral disease vectored by these mites », Experimental and Applied Acarology, vol. 30, nos 1–3,‎ , p. 29–105 (DOI 10.1023/b:appa.0000006544.10072.01).
  11. (pt) L. Chiavegato, « Aspectos biolĂłgicos e transmissao de leprose pelo acaro Brevipalpus phoenicis Geijskes em citros », Laranja, vol. 17, no 1,‎ , p. 229–235.
  12. (en) M Chagas, V Rosseti et L Chiavegato, « Influence of the biological cycle of Brevipalpus phoenicis on leprosis transmission », Annals IX Conference of the International Organization of Citrus Virologists. Riverside, CA,‎ , p. 69.
  13. (pt) M.A.C. Boaretto, L:G Chiavegato et C:A:D Silva, « Transmissao da leprose atravĂ©s de fĂȘmeas de Brevipalpus phoenicis (Geijskes, 1939) (Acari: Tenuipalpidae) e de seus descendentes, em condiçoes de laboratĂłrio », CientĂ­fica, Sao Paulo, vol. 21, no 2,‎ , p. 245–253.
  14. « C. Léprose des agrumes (CILV) », sur ProblÚmes phytosanitaires du secteur des agrumes et politiques de lutte, FAO, (consulté le ).
  15. (en) « Citrus leprosis virus C (leprosis of citrus) », sur Invasive Species Compendium (ISC), CABI (consulté le ).
  16. (en) Guillermo LeĂłn M, « Current status of the Citrus leprosis virus (CiLV -C) and its vector Brevipalpus phoenicis (Geijskes) », AgronomĂ­a Colombiana, Facultad de AgronomĂ­a, Universidad Nacional de Colombia, vol. 30, no 2,‎ , p. 242 -250 (lire en ligne).
  17. (en) « Leprosis », sur Citrus Diseases, ITP Idtools, (consulté le ).
  18. (en) Bastianel, M., de Oliveira, A. C., Cristofani, M., Filho, O. G., Freitas-AstĂșa, J., Rodrigues, V., AstĂșa-Monge, G. & Machado, M.A., « Inheritance and heritability of resistance to citrus leprosis », Phyto-pathology, vol. 96,‎ , p. 1092-1096.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • (en) MarinĂȘs Bastianel, Juliana Freitas-AstĂșa, Elliot Watanabe Kitajima, Marcos Antonio Machado, « The citrus leprosis pathosystem », Summa Phytopathologica, Grupo Paulista de Fitopatologia, vol. 32, no 3,‎ , p. 211-220 (DOI 10.1590/S0100-54052006000300001, lire en ligne).
  • (en) Guillermo LeĂłn M, « Current status of the Citrus leprosis virus (CiLV -C) and its vector Brevipalpus phoenicis (Geijskes) », AgronomĂ­a Colombiana, Facultad de AgronomĂ­a, Universidad Nacional de Colombia, vol. 30, no 2,‎ , p. 242 -250 (lire en ligne)
  • (en) EFSA Panel on Plant Health (PLH), Michael Jeger et al., « Pest categorisation of Citrus leprosis viruses », EFSA Journal, AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments, vol. 15, no 12,‎ , e05110 (DOI 10.2903/j.efsa.2017.5110, lire en ligne).

Liens externes

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