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Jurisprudence Anne Sinclair

La jurisprudence Anne Sinclair désigne, par métonymie, une décision prise par la journaliste française Anne Sinclair de renoncer à effectuer des interview de personnalités politiques tant que son mari occupera des fonctions de ministre du gouvernement français, pour prévenir et éviter tout soupçon de conflit d'intérêt, au titre d'une règle non écrite de déontologie journalistique. Le terme sera utilisé ensuite pour évoquer les suspensions d'antenne, volontaires ou non, de journalistes politiques vedettes époux ou concubins de leaders politiques comme Audrey Pulvar, Léa Salamé, Marie Drucker, ou encore Thomas Sotto et Béatrice Schönberg.

DĂ©finition

Selon les auteurs Nadia Le Brun et Alain Bourmaud, la "Jurisprudence Anne Sinclair" concerne la « question de la collusion entre vie privée et vie publique » et son principe s'est posé en réalité dès 1993 avec la décision, quatre ans avant celle Anne Sinclair, d'Isabelle Legrand-Bodin, épouse d'Alain Juppé, de quitter son emploi de journaliste au quotidien La Croix[1] où était chargée du suivi du RPR. Par la suite, Marie Drucker et Béatrice Schönberg, devront s'y plier. Isabelle Legrand-Bodin avait épousé en secondes noces en avril 1993, Alain Juppé, alors ministre des Affaires étrangères et quand il fut nommé Premier ministre (du au ), elle l'accompagna à l'hôtel Matignon.

Selon le quotidien la Libre Belgique, cette expression désigne les cas où quand « le compagnon de la journaliste accède à des fonctions politiques d’importance, sa compagne se retire spontanément de la présentation des informations ou des émissions les plus sensibles politiquement »[2]. Le magazine L'Express a de son côté observé qu'il « n'y a pas de règle en la matière » car elle n'est pas toujours respectée, mais qu'il « existe des précédents » qui peuvent faire référence[3]. Pour le quotidien Vingt Minutes, elle est « devenue une jurisprudence officieuse »[4], le retrait devenant « habituel mais pas obligatoire »[4]. La presse parle ensuite aussi de « jurisprudence Audrey Pulvar » après que France-Télévisions a réagi à l'interview, sur une de ses chaines, du numéro deux du PS par une journaliste en couple avec le ministre de l'Économie Arnaud Montebourg, mais aussi de « jurisprudence sexiste » car soupçonnée de freiner de brillantes carrière de journalistes de sexe féminin.

Histoire

Années 1980

Dans les années 1980, la journaliste politique Catherine Nay a réussi une carrière de commentatrice politique réputée, malgré sa liaison avec le ministre de la Justice Albin Chalandon[5].

À partir de septembre 1984, Jean Lanzi, directeur de l'information de TF1, présente le magazine politique 7 sur 7, créé en 1981 sur TF1, en alternance avec la journaliste Anne Sinclair. En , à la suite de la privatisation de TF1, il quitte ses fonctions et présente pour la dernière fois 7 sur 7 en juin. Anne Sinclair est de son côté promue directrice adjointe de l'information de la chaîne, en plus de conserver cette émission-vedette.

Elle a entamé une liaison avec Dominique Strauss-Kahn peu après l'avoir rencontré le lors d'une autre émission qu'elle présente, avec le journaliste du Monde Jean-Marie Colombani, Questions à domicile. Député depuis 1986 malgré le rejet de sa candidature par les militants socialistes de la Haute-Savoie[6], Strauss-Kahn est depuis 1988 secrétaire national du Parti socialiste, chargé de l'économie et des finances, et beaucoup moins connu qu'elle.

Divorçant du journaliste Yvan Levaï, Anne Sinclair épousera le Dominique Strauss-Kahn, lui-même divorcé en 1989. Au cours de la même année 1991 il est devenu ministre délégué à l'Industrie et au Commerce extérieur du gouvernement Édith Cresson[7].

En 1988 aussi, dans un meeting de Jacques Chirac tenu à Mont-de-Marsan juste avant le second tour de la présidentielle, Alain Juppé a rencontré sa future épouse Isabelle Bodin, journaliste politique à La Croix[8]. Quand ils se marieront cinq ans plus tard, en 1993[9], elle abandonnera son métier de journaliste, ce qu'il lui « est arrivé de regretter »[9] ensuite, mais lui a donné les coudées franches pour nuancer, dans un livre, l'image d'homme « distant et froid » de son mari[9]. Cette décision sera considérée comme une première référence « montrant l'exemple »[1], 4 ans avant celle d'Anne Sinclair d'abandonner le magazine politique 7 sur 7 en 1997, quand son mari est redevenu ministre.

Années 1990

Pendant la période où son second mari était devenu pour la première fois ministre, à l'Industrie (1991-1993), Anne Sinclair avait continué de présenter l'émission 7 sur 7[10], Dominique Strauss-Kahn perdant ensuite son siège de député entre 1993 et 1997, après la déroute écrasante du Parti socialiste aux élections législatives de 1993.

L'idée d'éviter le conflit d'intérêt n'était pas dominante dans les médias audiovisuels au début années 1990[5], selon le quotidien Le Monde, qui note qu'en le président François Mitterrand fut même interviewé à la télévision par un duo formé de Christine Ockrent et Anne Sinclair, toutes deux épouses de ses ministres[5]. Christine Ockrent présentait le journal de 20 heures d'Antenne 2 depuis septembre 1988 et son époux Bernard Kouchner, entré au gouvernement en 1988 comme secrétaire d'État chargé de l'insertion sociale, était ministre de la Santé depuis avril 1992. Malgré la polémique sur son salaire [11] à Antenne 2[12], Christine Ockrent produisait aussi le magazine Carnets de route de 1990, la série Qu'avez-vous fait de vos 20 ans ? entre 1990 et 1992, et le magazine bimensuel Direct en 1992, tout en tenant une chronique hebdomadaire, Portrait au laser puis Portraits à France Inter de 1990 à 1994. La « Reine Christine » de l'audiovisuel public avait ensuite en 1992 intégré France 3 pour présenter des émissions politiques et d'information : Soir 3 et À la une sur la 3.

La situation a évolué en 1993, quand Isabelle Juppé a quitté ses fonctions de journaliste politique à La Croix après son mariage avec Alain Juppé, devenu ministre important du gouvernement Balladur, puis Premier ministre en 1995. En juin 1997, c'est Dominique Strauss-Kahn qui retrouve le siège de député perdu depuis quatre ans et devient dans la foulée une figure du gouvernement Jospin, nommé le au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie.

Anne Sinclair annonce alors qu'elle arrête de présenter l'émission 7 sur 7, décision qui sera ensuite appelée « jurisprudence Anne Sinclair »[13] - [14] - [15]. Elle se voit proposer par TF1 la présentation d'un magazine mensuel, parfois présentée comme un « un placard doré »[1], qu'elle acceptera pendant 4 ans. Les auteurs et biographes traitant de la vie de journalistes politiques emploieront à partir de là régulièrement l'expression de « jurisprudence Anne Sinclair »[16] - [17] - [1].

Années 2000

Sous la seconde présidence Jacques Chirac, entre 2002 et 2007, Béatrice Schönberg et Marie Drucker n'ont, dans un premier temps, pas respecté la « jurisprudence Anne Sinclair », demeurant présentatrices des grands journaux télévisés du soir sur France 2 et France 3, alors que leurs époux respectifs, Jean-Louis Borloo et François Baroin, étaient ministres de Jacques Chirac. Elle n'arrêteront de les présenter qu'à partir du lancement officiel de la campagne présidentielle, deux mois avant le vote. Juste après Marie Drucker retrouve la présentation du journal.

Cependant, tenant compte des critiques, Béatrice Schönberg a accepté de quitter définitivement le journal télévisé quand Jean-Louis Borloo a retrouvé un portefeuille ministériel.

Marie Drucker, compagne de François Baroin, a un peu plus tard elle aussi accepté de quitter l'ensemble des plateaux de télé, pour n'y revenir qu’à l'issue de sa relation avec le ministre de l’Outre-mer en 2008.

Années 2010

Un exemple est de nouveau donné lors de la primaire socialiste de septembre-octobre 2011, quand Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, soucieuse d'éviter tout conflit d'intérêt, cesse définitivement d'animer sur la chaîne de télévision Direct 8 son émission 2012 : Portrait de campagne.

Une semaine après, Audrey Pulvar est critiquée[18] pour s'être affichée avec un autre candidat de cette primaire socialiste, Arnaud Montebourg[18], alors qu'elle participait à On n'est pas couché, talkshow de Laurent Ruquier le samedi soir sur France 2[18]. Deux jours après l’annonce officielle de la candidature d’Arnaud Montebourg, son émission politique sur i-Télé avait été suspendue[4], en vertu d'une «règle de prudence et d’éthique élémentaire»[4], la chaîne précisant cependant que « ses qualités font qu’elle est irremplaçable »[4].

Dans une déclaration officielle, le CSA avertit alors que son temps de parole sur France 2, où elle continue à officier, pourra être décompté de celui d'Arnaud Montebourg[18]. Audrey Pulvar juge l'affaire excessive car son compagnon « n'aura un rôle majeur que pendant les quelques jours »[10] mais sera six mois après contrainte de laisser définitivement sa place sur France Inter et France 2 dès qu'il sera nommé ministre de l’Économie[19].

Au même moment, plusieurs médias révèlent qu'un autre futur ministre, Michel Sapin, va épouser Valérie de Senneville, chargée de la rubrique « Justice »[19] au quotidien économique Les Echos[5].

En mai 2012, entre la présidentielle et les législatives et une fois Michel Sapin nommé, elle s'inquiètera de devoir « abandonner du jour au lendemain » ce qu'elle estime avoir mis dix, vingt ans à construire[19] et demandera au comité d'indépendance éditoriale des Échos de se prononcer[19]. Au même moment, Audrey Pulvar est de nouveau critiquée par l'UMP[19], pour avoir interviewé le numéro deux du Parti socialiste Harlem Désir[19], sur le plateau de On n'est pas couché. France Télévisions promet alors que c'est la dernière fois[19]. Le Figaro y voit une « jurisprudence Pulvar »[19], sanctionnant la journaliste qui « a concentré le gros des critiques ». Le journal évoque un troisième cas simultané, Nathalie Bensahel, épouse du ministre de l'Éducation nationale Vincent Peillon, qui se voit affecée à la rubrique "mode" au Nouvel Observateur[19], constatant que la direction de ce journal a décidé qu'elle ne pourra plus écrire sur les questions d'éducation et de politique institutionnelle[19].

Passée définitivement dans le secteur privé, à la direction du magazine culturel Les Inrockuptibles, Audrey Pulvar s'est plus tard exprimée sur d'autres couples journaliste/politique, pour déplorer qu'une femme doive mettre sa carrière entre parenthèses.

Elle estime même « injuste et injustifiée »[10] la simple mise en retrait de Léa Salamé, fin , de l'émission politique qu’elle animait, pour une durée limitée à la campagne électorale officielle de son époux Raphaël Glucksmann, tête de liste du Parti socialiste aux élections européennes de 2019. Cette décision avait pourtant été applaudie par Françoise Laborde, présidente d'honneur de l'Association des femmes dans les médias[10]. Raphaël Glucksmann avait alors dit dans la presse people qu'il culpabilisait[20] et un proche des époux reconnu que la profession de journaliste « est tellement décriée qu'il faut savoir anticiper les ennuis et ne pas choquer le public » en cas de conflits d'intérêts[10], mais Léa Salamé avait ensuite repris la présentation de son émission politique dès son élection comme chef de file des députés socialistes à Bruxelles.

Au soir des européennes de 2019, qui voient EELV causer la surprise avec 13,5 % des voix, la tête de liste Yannick Jadot a salué publiquement sa compagne Isabelle Saporta[21], journaliste depuis deux décennies. Leur liaison a été dévoilée par une photo dans Paris-Match le jour-même[22], qui a fait dire sur Europe 1 à Jean-Michel Aphatie qu'une campagne Jadot pour la présidentielle 2022 était ainsi préparée[23]. Accusée d'avoir « caché » cette liaison[21] ou de ne pas s'être mise en retrait de RTL pendant la campagne[24], Isabelle Saporta, déjà engagée par ses livres dans la défense de l’environnement[21], annonce sa démission de RTL « pour ne pas nuire à cette rédaction »[21], venue la « chercher en 2018 pour livrer un billet d’humeur sociétal, à tendance écolo »[21]. Elle rappelle qu'elle ne réalisait pas d'interview ou de commentaires sur les politiques ni sur les partis[21]. La presse évoque les cas de Marie Drucker, Béatrice Schönberg, Audrey Pulvar, jusqu'à Anne Sinclair en 1997, pour s'inquiéter d'une « jurisprudence de tribunal misogyne »[21]. Isabelle Saporta a ensuite soutenu à titre personnel deux candidats se présentant contre EELV aux municipales à Paris: en août 2019 Gaspard Gantzer[25], ex-conseiller de François Hollande[25] puis le mathématicien Cédric Villani. Elle se retire finalement de la campagne en mai 2020[25] pour protester contre un second tour tenu le 28 juin, sur fond d'épidémie de covid[25].

Années 2020

Selon plusieurs quotidiens, Midi Libre, Libération et Le Figaro, les accusations de conflit d'intérêt déferlent sur Twitter[26] en janvier 2022 quand le nom d'Anna Cabana devient l’un des sujets les plus discutés sur le réseau social[26] pour lui reprocher de présenter sur i24News une émission consacrée à son mari Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Éducation nationale, aux prises avec une polémique sur modes d'élaboration des protocoles sanitaires dans les écoles durant la pandémie de Covid-19[26]. La presse voit dans cette émission un « échange entre gens d’accord entre eux »[27] - [28] pour défendre le rôle joué par Jean-Michel Blanquer dans ce qu'elle a appelé un « Ibizagate », le ministre ayant pris des vacances sur cette île espagnole au moment le plus critique. Sur le plateau de l'émission, Stéphane Fouks, vice-président d'Havas, filiale du Groupe Bolloré, David Revault d'Allonnes, chef du service politique du Journal du dimanche, appartenant au même groupe, et Abnousse Shalmani, future présidente du « jury du Livre citoyen » lancé par Marlène Schiappa, sont unanimes à fustiger les appels à la démission du ministre lancé par le principal syndicat d'enseignant, qui appelle à la grève pour les deux prochains jeudi.

Le fait qu'Anna Cabanna anime ce débat est « épinglé sur les réseaux sociaux » comme une « entorse déontologique »[29]. Libération se « désole » d'un débat qui révèle le « niveau de déconnexion de certains puissants » et s'inquiète qu'Anna Cabana ait omis sa situation maritale, perdant « toute crédibilité » et rouvrant « le procès en objectivité des journalistes qui n’en demandaient pas tant », au moment où des reporters sont « insultés par un candidat à la présidentielle » et de « plus en plus obligés de se déplacer avec des agents de sécurité »[27]. Il aurait été « surréaliste de ne pas parler de la crise politique du jour », a-t-elle répondu à ses détracteurs dans Le Parisien [30], journal qui avait publié quelques heures seulement avant la rentrée scolaire le nouveau protocole contesté[30], avec une photo du ministre à son bureau alors qu'il était à l'Ibiza, sans en être informé selon Anna Cabana. La journaliste rappelle que ses 4 invités sont présents dans l'émission de longue date, précise qu'elle se serait retirée « si la chaîne le lui avait demandé »[28]. Elle estime avoir payé l'officialisation de sa relation avec le ministre, information selon elle de notoriété publique, « au prix gigantesque »[31] et estime « extraordinairement injuste » de subir une « suspicion » sur « l'honnêteté » de ses prises de position et éditoriaux[31].

Dans la classe politique, les réactions prennent parfois un tour virulent. La députée LREM Aurore Bergé, qui avait créé un an avant sur Internet un « Fan-Club de Jean-Michel Blanquer »[27] - [32], a en particulier fustigé une polémique «puante quand elle s’en prend à son épouse avec tous les relents antisémites»[27]. Le député européen du RN Gilbert Collard estime au contraire qu'Anna Cabana « invente l’arnaque médiatique et rend indispensable une autorité disciplinaire » de la déontologie du journalisme[26].

Franck Ballanger

Les conflits d'intérêts ont souvent été d'abord évoqués dans les cas des journalistes femmes en couple avec un homme politique. Mais à partir des années 2010 et 2020 des situations inverses sont apparues. Ainsi, peu avant l'intervention de 2019 d'Audrey Pulvar en faveur de Léa Salamé, dès , Roxana Maracineanu avait été nommée ministre des Sports. En réaction à cette annonce, son mari Franck Ballanger, journaliste sportif à Radio France, avait accepté de suspendre ses missions pendant toute la durée du mandat de son épouse[10].

Thomas Sotto

De son côté, France Télévisions a par la suite décidé une autre « mise en retrait », mais seulement pour la durée de la campagne présidentielle, celle de Thomas Sotto, équipier de Léa Salamé, dans l'émission politique Élysée 2022, dont la presse a rapporté qu'il est depuis l'été 2021 en couple avec la responsable communication de Jean Castex[33].

La décision sera cette fois prise dès et Léa Salamé réagira en affirmant être « sous pression »[34]. Conscient de la polémique suscitée, le journaliste condamne les « vents de l'époque », jugée trop stricte[35] et déclare publiquement que la décision est « assez injuste » mais qu'il doit s'y plier « pour tenir compte de notre époque, devenue très violente et qui a tendance à tout hystériser »[36]. Les équipes de France Télévisions se demandent s'il pourra conserver ses autres responsabilités[35] mais il confirme qu'il continuera à présenter Télématin ainsi que les éditions du JT de 20 heures le weekend, en suppléant de Laurent Delahousse.

Notes et références

  1. "Valérie Trierweiler, la dame de pique" Livre d'Alain Bourmaud et Nadia Le Brun publié en 2012, aux Editions Edi8
  2. "Les liaisons dangereuses", par Virginie Roussel, le 31 mars 2016 , dans la Libre Belgique
  3. Article dans L'Express le 22 novembre 2010
  4. "Audrey Pulvar privée d'émission politique à cause d'Arnaud Montebourg" par Sandrine Cochard, dans Vingt Minutes le 22/11/10
  5. "Journalistes et politiques : liaisons dangereuses ?" par Judith Perrignon, dans Le Monde le
  6. Sylvie Pierre-Brossolette et Michel Revol, « Les sept cauchemars de DSK… », Le Point, no 2004, 10 février 2011, p. 38.
  7. Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, J. Lafitte, , p. 1411
  8. Article de Stacie Arena le 14 février 2019 dans Femme Actuelle
  9. Article d'Audrey Kucinskas le 22 novembre 2016 dans L'Express
  10. "Retrait de Léa Salamé : ce qu’ont fait ses consœurs avant elle" par Benoît Daragon le
  11. Pierre Favier et Michel Martin-Roland, La DĂ©cennie Mitterrand, Paris, Le Seuil, « Points Â», tome III, 1997, p. 128 (1re Ă©dition, 1996).
  12. de 120 000 FRF par mois et 55 000 FRF de frais perçu Ă  Antenne 2
  13. "Pour Ou Contre... La Jurisprudence Anne Sinclair ?", dans Grazia le 5 avril 2019 par Sarah Constantin
  14. "Privée d'antenne par la "jurisprudence Anne Sinclair", article du "Petit Journal" le 23/11/2010
  15. "Audrey Pulvar victime de la Jurisprudence Sinclair-Schönberg" sur Toulouse7 le 22 novembre 2010
  16. "L'Élysée au féminin de la IIe à la Ve République. Entre devoir, pouvoir et désespoir", par Joëlle Chevé en 2021 aux Editions du Rocher
  17. "Mute" par Pascale Clark, aux Éditions Flammarion 2020
  18. "Audrey Pulvar et ses liaisons dangereuses" par Muriel Frat le dans Le Figaro
  19. "L'épouse journaliste de Michel Sapin saisit sa rédaction" par Constance Jamet, dans Le Figaro le 23 mai 2012
  20. "Léa Salamé revient sur son "acte d'amour incroyable" pour Raphaël Glucksmann" dans public le
  21. "Isabelle Saporta journaliste engagée et dégagée", par Isabelle Germain, dans Les Nouvelles le 30 mai 2019
  22. Qui est Isabelle Saporta, la journaliste qui partage la vie de Yannick Jadot? , Paris Match, 27 mai 2019.
  23. "Yannick Jadot en couple avec Isabelle Saporta : pourquoi ses proches l’ont encouragé à se montrer avec elle" par Caroline Condroyer, dans Gala le 28 décembre 2021
  24. « En couple avec Yannick Jadot, Isabelle Saporta annonce sa démission de RTL », sur tvmag.lefigaro.fr, (consulté le )
  25. "Yannick Jadot : qui est sa compagne Isabelle Saporta ?" par Sophie Vincelot, dans Gala le 28 septembre 2021
  26. Le couple Cabana-Blanquer face aux attaques: quand journalisme et politique flirtent avec la polémique" par Sarah Lecoeuvre dans Le Figaro le 19 janvier 2022
  27. "Anna Cabana et le cas Jean-Michel Blanquer, un manque de transparence dont on se serait passé" par Sylvain Chazot, dans Libération le 19 janvier 2022
  28. "Blanquer à Ibiza : sur I24News, un vrai faux débat animé par son épouse Anna Cabana" par Louis Nadau le 19 janvier 2022 dans Marianne
  29. "Blanquer à Ibiza : la journaliste Anna Cabana anime un débat télévisé au sujet du ministre… son époux" le 19/01/2022 dans le Midi Libre
  30. "La journaliste Anna Cabana s'explique après avoir animé un débat sur Blanquer, son mari", le 19 janvier dans le Huffington Post
  31. Emilie PAUL, « Anna Cabana: «Je devrais renoncer à faire mon métier parce que je vis avec un ministre?» », sur Le Figaro, 20/01/2022 à 09:55.
  32. "Laïcité : le « fan-club » secret de Blanquer" par Erwan Bruckert, le 13 février dans Le Point
  33. Benoît Daragon, « France Télévisions : Thomas Sotto prend du recul en raison de sa relation avec la conseillère com de Matignon », sur Le Parisien.fr, (consulté le )
  34. « C'est assez dur ! » : Léa Salamé assure être « sous pression » par Megane Belle le dans Gala
  35. "THOMAS SOTTO FÂCHÉ CONTRE LES "VENTS DE L'ÉPOQUE" par Pauline Bock le 10 novembre 2021 sur Arrêts sur images
  36. "Thomas Sotto arrête "Elysée 2022" car il entretient une relation avec une conseillère de Castex", par la rédaction numérique de France Inter le
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