Hippolyte Ackermans
Hippolyte Ackermans, né le à Laeken et mort le à Uccle, est un compositeur belge.
Nom de naissance | Hippolyte Jean François Ackermans |
---|---|
Naissance |
Laeken (Belgique) |
Décès |
(Ă 79 ans) Uccle (Belgique) |
Lieux de résidence | Bruxelles et Paris |
Activité principale | Compositeur, chef d'orchestre, pianiste et éditeur |
Style |
Opérette, musique dansante, chanson française, musique instrumentale |
Années d'activité | 1912 à 1957 |
Collaborations | Lucien Boyer, René Sarvil, Cora Laparcerie, Édith Piaf, Tino Rossi |
Éditeurs | Salabert, Eschig, Sam Fox, éditions musicales de l'art belge, Paul Beuscher |
Formation | Conservatoire royal de Bruxelles (Premier prix de flûte en 1903 et second prix en harmonie théorique en 1906) |
Récompenses | Le Grand Prix Candide de la chanson en 1936 (Le Noël des petits santons) et la médaille en vermeil d'Arts, Sciences et Lettres en 1935 pour l'ensemble de ses activités. |
Ĺ’uvres principales
- Le Noël des petits santons
- 'Chand d'habits
- Croyez-vous ma chère
- L'Avocate
- Il travaille du pinceau
Biographie
Naissance
Hippolyte Ackermans est né le à 4h du matin dans le domicile familial, situé à Laeken. Il est le deuxième enfant de Jean François Ackermans, négociant en charbon et de Léontine Léopoldine Fierens, sans profession[1].
Famille
Hippolyte Ackermans naît dans un environnement propice à le pousser dans une carrière musicale. Le frère et la sœur de sa mère, Léontine, sont tous deux chanteurs lyriques de formation. Caroline Fierens, soprano, interprète Ortrude dans Lohengrin et participe à la création de La vie du poète de Gustave Charpentier au Palais Garnier le . Hippolyte Fierens est formé au Conservatoire royal de Bruxelles et épouse Jacqueline Marthe Gevaert, la fille de François-Auguste Gevaert, compositeur renommé et directeur du Conservatoire royal de Bruxelles (de 1871 à 1908). Hippolyte accroche alors le nom de son beau-père au sien afin d'accroître sa célébrité et devient Hippolyte Fierens-Gevaert.
Les grands-parents paternels d'Hippolyte Ackermans, Guillaume et MĂ©lanie, tenaient un cabaret.
Formation musicale
Hippolyte entre à 14 ans au Conservatoire royal de Bruxelles, toujours sous la direction de François-Auguste Gevaert (le père de sa tante par alliance), pour y suivre des cours de flûte avec Theofiel Anthoni, de solfège, de lecture musicale, d'harmonie écrite, de clavier et d'harmonie théorique avec Paul Gilson.
En 1903 il obtient un Premier prix en flûte, en 1906 un second prix en harmonie théorique. Grâce à ses récompenses, il se fait remarquer et accède aux Concerts Ysaÿe pendant quatre années.
En 1906, il a 20 ans et il commence une carrière en tant que chef d'orchestre au théâtre des Galeries et au théâtre de l'Alhambra.
Mariage
Hippolyte Ackermans épouse Madeleine Daverveldt le à Laeken. Madeleine est issue d'une famille néerlandaise et elle est de six ans l'aînée d'Hippolyte. Prosper Ackermans, son frère aîné, est le témoin[2].
DĂ©buts
Il semblerait que sa première composition soit Cabriolet enchanté, morceau caractéristique pour orchestre.
Édition Mado
En 1914, Hippolyte crée sa propre maison d'édition, Mado, basée au no 20 rue Albert à Laeken. Le nom est très clairement inspiré par le prénom de sa femme Madeleine. Il édite alors la plupart de ses œuvres mais aussi des œuvres d'autres compositeurs peu connus comme Paul Sylva, J. Mevensen, R. Guillemyn, E. Lanini…
Première Guerre mondiale
La carrière d'Hippolyte Ackermans décolle lors de la Première Guerre car il compose beaucoup de morceaux en lien avec l'actualité. On retrouve alors des mélodies sur des épisodes de guerre, L'étoile de la Paix, des valses et marches pour la paix, 1914-1915, Pour la Paix ou encore un morceau rendant hommage à la Croix-Rouge, Dévouement. Les profits de vente de la partition pour piano Amour et charité. Aimons-nous - Aidons-nous. dédiée à Ernest Solvay, servent à aider le Comité national de Secours et d'Alimentation[3].
En 1915, Hippolyte compose le morceau pour piano Petite Patrouille, marche nouvelle avec imitation de tambour, avec les instructions suivantes : "Pour obtenir l'imitation du Tambour il faut mettre une feuille de papier à l'intérieur du piano, du mi bémol (-1) à mi bémol (2) soit 2 octaves"[4].
Hippolyte compose également des morceaux n'ayant pas de rapport avec la Guerre durant cette période, notamment avec Menuet 1915, op. 86, et dédicacée à son neveu Roger Leduc, fils de Carmen et Albert Leduc, sœur et beau-frère de Madeleine, ou encore la pièce Rêverie en 1916, dédiée aux parents d'Hippolyte (« à mes chers parents ») et précédée d'un poème écrit de la main de Madeleine, « Jolis petits moutons, messagers du bonheur, Répandez en passant, l'espérance en mon cœur »[5].
Les opérettes
Le tremplin de la carrière d'Hippolyte sera le succès de ses opérettes composées entre 1917 et 1918. Malgré le contexte de Guerre, le public se presse d'aller voir ses spectacles, à Liège et à Bruxelles. Quatre opérettes se succèdent, deux avec Laurent Gerrebos et Gaby de Crésac comme librettistes, L'Avocate et Le Charme étrange, une fantaisie bruxelloise, Sus ! et une fantaisie-opérette d'actualité, Le Paysan-Roi.
Le Charme Ă©trange
Le Charme étrange est une opérette en trois actes. Elle est créée à Liège le et à Bruxelles le . Le livret dû à Laurent Gerrebos et Gaby de Crésac raconte l'histoire de Marcelle, promise à José, son cousin qui vit en Australie. De peur de se marier de force avec un « sauvage », elle décide de se présenter à lui sous l'apparence de Marcel, un homme. Le sujet de la pièce est jugé par la presse comme étant « d'une banalité et d'une naïveté déconcertante ». La musique d'Hippolyte, quant à elle, est « superbe, très douce, fraîche et convaincante », « fait tout le succès de Charme étrange »[6]…
Sus !
Sus ! est une fantaisie bruxelloise co-composée avec F. Heinz en deux actes sur un livret de Fernand Servais et jouée au théâtre de l'Alcazar le .
Le Paysan-Roi
Le Paysan-Roi est une fantaisie-opérette d'actualité à grand spectacle en trois actes sur un livret de Léo De Smets, pseudonyme de Fernand Servais. Ce dernier avouera dans Le Soir en 1961 s'être trompé sur les prédictions annoncées dans la pièce qui la rend, selon ses propres mots « actuellement injouable » :
« la pièce mettait en scène un paysan ronchonneur (Lambret était impayable) qui, au début de la guerre, augmentait le prix de ses produits (beurre, lait, légumes) à chacun de ses fréquents moments de mauvaise humeur. Et au dernier acte, nous le représentions forcé, après la guerre, d'abaisser peu à peu ses tarifs, revenant ainsi aux doux prix de 1913, car nous pensions qu'il en serait ainsi et que la Belle Époque reviendrait. O ! vaine illusion... Bien entendu, le fond de la pièce était une histoire d'amour. »[7]
Teddy Moon
Après la guerre, Hippolyte Ackermans va succomber à la mode des musiques de danses importées des États-Unis, telles que le foxtrot et autres danses dérivées du ragtime. Afin de pouvoir composer ces titres plus populaires et plus « jazzy », Hippolyte a recours à un pseudonyme, celui de Teddy Moon. Il composera sous ce nom pas loin de 28 pièces entre 1919 et 1925.
La musique de chambre, concertante et orchestrale
Dans les années 1920, Hippolyte se consacre plus particulièrement aux genres plus savants de la musique de chambre, concertante et orchestrale. Il dédie ses soli à des musiciens, dans l'espoir d'être joué par eux. Le plus notable d'entre-eux est Marcel Ysaÿe, neveu du célèbre Eugène Ysaÿe, pour lequel il dédie Il rêve mon pierrot, op. 180, valse sérénade pour violon et piano ou violon solo et orchestre.
Les revues
Hippolyte va composer un grand nombre de chansons issues de revues durant les années 1920. Pour le théâtre de l'Alhambra de Bruxelles, il compose en 1921 une valse hésitation, Pourquoi hésiter, interprétée par Anny Duny, « la plus belle femme de Belgique », gagnante de la première édition d'un concours de beauté en Belgique. Puis, il compose sous le pseudonyme Teddy Moon le fox-trot blues Bing !... Bam !... Boum !... en 1923, et sous son propre nom avec Ch. Geuskens en 1928, Katanga pour La grande Revue 1900-1928. Pour le théâtre de la Gaîté et avec Ch. Tutelier pour les paroles et Ch. Geuskens, chef d'orchestre du théâtre, comme co-auteur de la musique, ce trio verra naître des chansons interprétées par Esther Deltenre : Venise, adieu ! de la revue Charleston en 1926, Ces p'tits trucs là de la revue Ça ... c'est Bruxelles en 1927 et C'est-y « oui » ou « non » de la revue Bruxelles en folie en 1928. Le succès de Venise, adieu !, fera écho jusqu'à Paris où elle sera interprétée par Alibert dans l'hyper revue Un vent de Folie aux Folies Bergère. La partition est alors éditée chez Salabert. Cette opportunité le fait alors composer, directement pour le théâtre des Folies Bergère de Paris, la chanson Paris Soleil du Monde pour la revue La Grande Folie.
Reconnaissance Ă Paris : 1928-1939
À partir de l'année 1928, Hippolyte Ackermans compose de nombreuses chansons à Paris. Il s'entoure de personnalités de l'époque, les « vedettes ».
Les auteurs
La notoriété de certains auteurs de ses chansons permet à Hippolyte une visibilité plus importante et une publicité pour la vente de ses partitions et pour ses concerts. Sa collaboration avec les auteurs qui ont pignon sur rue lui donne aussi une respectabilité et une preuve de son talent. Entre 1929 et 1935, il va travaillé avec Lucien Boyer, Jean Richepin et son fils Jacques Richepin, ainsi que la femme ce dernier Cora Laparcerie-Richepin, Battaille-Henri, Suzette Dest, Maurice Hamel, Max Viterbo, Henri Lemarchand, René Sarvil, Louis Poterat et beaucoup d'autres. C'est également à cette époque que Madeleine Daverveldt, son épouse, sous le pseudonyme de Daver, va écrire des paroles de chansons, exclusivement sur de la musique d'Hippolyte Ackermans.
Les interprètes
Plus encore que les auteurs, les réelles vedettes sont les interprètes des chansons. Certaines sont encore connues de jours, comme Édith Piaf avec la chanson Chand d'habit (dans laquelle Hippolyte utilise le pseudonyme de Roy Alfred), Marie Dubas avec Croyez-vous ma chère, Tino Rossi avec Le Noël des petits santons et Noël en mer, Élyane Célis dans Vous dansez sur mon cœur, Ninon Vallin ou Jeanne Aubert dans Je m'abandonne à ton baiser; d'autres ont eu leur succès à cette époque mais sont à présent tombées dans l'oubli comme Yvette Netter, Germaine Lix, Cora Fubiani, Louis Bory, Charco, Reine Paulet, Rita Carly, Jean Lumière…
Les opérettes marseillaises
Hippolyte, compositeur bruxellois travaillant à Paris va être une des rares personnalités non-marseillaises à travailler pour des opérettes marseillaises. Pour La Revue Marseille il compose la chanson Le Tango du soleil (Deux grands yeux) sur des paroles de J. Loysel. En 1935, il compose Le Noël des petits santons, noël de Provence tiré de l'opérette "Du soleil dans la lune". René Sarvil écrit les paroles de cette chanson qui reçoit le Grand prix Candide de la chanson et Alibert la crée. Ce morceau est directement un succès et de grandes vedettes, comme Tino Rossi, se l'approprie, la chante et l'enregistre.
Musique de film
En 1932, Hippolyte compose des chansons pour deux projets cinématographiques sous la réalisation d'Edmond T. Gréville : Le maître chez soi, court métrage relatant la vie d'un couple mal assorti et Plaisirs de Paris, long métrage sorti en 1934. Les trois chansons issus du film, Plaisirs de Paris, Il suffit d'aimer et C'est toujours comme ça sont éditées Sam Fox, interprétées par Marcel Rallay, l'acteur principal et sont enregistrées sur disques.
La Seconde Guerre mondiale
En 1939, Hippolyte compose la musique de la chanson satyrique Il travaille du pinceau. Georgius écrit les paroles et l'interprète. La chanson se moque d'Hitler et tourne en dérision ses piètres qualités de peintre (en référence à ses tentatives échouées d'entrer au Beaux-arts de Vienne).
Entre 1941 et 1944, Hippolyte dirige à plusieurs reprises l'orchestre de la Radio sous emprise de l'occupant, Radio-Bruxelles. Après la Libération, il sera sanctionné comme de nombreux musiciens lors de l'épuration à l'INR. Il sera écarté des ondes pendant quatre ans.
Cabarets montmartrois Ă Bruxelles
Hippolyte contribue au succès des cabarets montmartrois à Bruxelles puisqu'il collabore en tant que compositeur avec les chansonniers les plus connus, notamment pour la réouverture du Grillon, par Jacques Loar avec la chanson Je promène mon ennui, chantée par Doryse.
Fin de carrière : 1945-1965
Après la guerre, Hippolyte compose de moins en moins. Parmi ses œuvres notables de cette période, Dans notre église oubliée, mélodie de 1947 sur un texte de Daver et Arthur Lovinfosse, est un grand succès. Elle sera même adaptée en néerlandais, In 't stille kerkje, par Th. C. Warrens. La Fantaisie brillante, pièce pour piano composée en 1955 est d'ailleurs basée sur les thèmes de la célèbre mélodie. Dans le genre de la musique de chambre, Hippolyte compose en 1949 Paysage nordique, pour clarinette et piano et Vers les cimes neigeuses; pour hautbois et piano. En 1955, Hippolyte compose une dernière opérette intitulée Toutou sur un livret de Jean Blondel et les couplets par Paul Varan.
Événements mondains
Durant cette période où Hippolyte se consacre davantage à son activité de chef d'orchestre, il assiste à des événements mondains. En 1946, il assure, avec son grand orchestre symphonique, le divertissement de la loterie coloniale dans la grande salle du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. En 1949, il participe, avec son orchestre de valses, durant trois années consécutives à l'animation des Bals de la Monnaie, événements organisés par le journal Le Soir au profit d'œuvres caritatives. La participation d'Hippolyte est applaudie :
« Maître incontesté de la valse, de la marche et du quadrille, le compositeur Hippolyte Ackermans, conduisait d'une même baguette son grand orchestre et l'immense foule des danseurs qui tournoyait au parterre, sous les applaudissements des loges et des balcons »[8]
Mort
Hippolyte Ackermans décède le à Uccle. Il est inhumé le 24 août au cimetière de Verrewinkel. L'annonce de son décès apparaît dans les journaux le .
« Mort du compositeur Hippolyte Ackermans – Nous apprenons la mort, survenue à Uccle, du compositeur belge bien connu, Hippolyte Ackermans. Il était né à Bruxelles en 1886 et ne tarda pas à manifester des dons pour la musique, jouant du piano, dès son âge le plus tendre, les airs qu’il avait entendus. Il avait 14 ans quand il entra au Conservatoire. Mais ce ne fut pas pour se perfectionner comme pianiste. Il préfère apprendre la flûte, sous la direction du professeur Anthony. Et ses progrès furent tels que deux ans après, au concours de fin d’année, la plus grande distinction lui fut accordée. D’où son admission aux concerts Ysaye, dont il fut, pendant quatre années, un des musiciens les plus appréciés, tout en prenant des leçons d’harmonie au cours de Paul Gilson. Chef d’orchestre aux Galeries, à l’âge de 20 ans, puis à l’Alhambra, le goût de la composition lui vint, et son premier morceau, Le cabriolet enchanté, pièce pour orchestre, est chaleureusement accueilli. Vint la guerre 1914-1918. Le Pavillon de Flore, de Liège et les Folies-Bergère, de Bruxelles, représentent avec succès les deux opérettes Charme étrange et l’Avocate, dont il a composé la musique. Puis, c’est Paysan-Roi, dont il écrit la partition et représenté à la Scala sous la direction Étienne. Mais c’est à Paris, où il s’est retiré dès 1928, qu’il se fait surtout remarquer comme compositeur de mélodies et de chansons. Robert Valaire et Louis Poterat sont ses paroliers et Ninon Valin, son interprète préférée. Et l’on peut dire que par la suite toutes les vedettes de la chanson, y compris Tino Rossi, Marie Dubas, Lise Colligny mirent ses œuvres à leur répertoire. Il semble bien que ce furent ses œuvres mélodiques qui firent surtout la réputation de notre compatriote. La Chapelle en automne et Noël en mer eurent un succès universel. Jusqu’à la fin de son existence, Hippolyte Ackermans ne cesse de se passionner pour son art. Des compositeurs, des chanteurs lui doivent à leurs débuts de confraternels encouragements. Hippolyte Ackermans avait pris sa retraite il ya quelques années. Il était un des membres les plus assidus et les plus estimés du comité belge de la Société des auteurs et compositeurs de Paris. F.S »[9]
« Mort du compositeur Ackermans. – Le compositeur belge Hippolyte Ackermans est décédé à Uccle, dans l’agglomération bruxelloise, à l’âge de 79 ans. Il avait acquis une notoriété mondiale comme compositeur de musique légère et ses chansons avaient été enregistrées par les plus grandes vedettes, Ninon Vallin, Tino Rossi, Marie Dubas, Édith Piaf notamment. (AFP) »[10]
« Hippolyte Ackerman overleden – In Brussel is op 79-jarige leeftijd overleden Hippolyte Ackermans, die internationale bekendheid verwierf als schrijver van lichte muziek. Hij componeerde meer dan 1000 liedjes, waarvan velen voorkwamen op het repertoire van zangers en zangeressen zoals Tino Rossi, Édith Piaf, Ninon Vallin en Marie Dubas. Ackermans studeerde aan het conservatorium van Brussel. Hij was orkestledier in verscheidene Brusselse theaters »[11]
Photographies
Il existe seulement quatre photographies d'Hippolyte Ackermans.
Ĺ’uvres
Hippolyte a composé plus de 600 œuvres musicales, allant de l'opérette à la chanson ou du solo de violoncelle à l'ensemble pour orchestre. Il mélange les styles de musique "sérieuse" et musique « légère » dans toute sa production. Sa musique est unanimement considérée comme « charmante ».
Ses œuvres ont été numérotées selon le classement HAC (Hippolyte Ackermans Catalogue[12]).
- HAC 1 : 1914-1915, Grande Valse, op. 83, pour piano, 1915, « Souvenir sympathique à Mr et Mme R. Kips-Warnots ».
- HAC 2 : Album I, pièces pour piano.
- Gaîté franche, polka, « À mon petit élève Eug, Levy ».
- Coquette, valse tzigane, « À mes bons élèves J. Vandenbroeck et J.B. Smeeters ».
- Magdelaine, gavotte, « À mon petit élève Louis Tenaerts ».
- Promenade mystérieuse, « À mes bons élèves P. Tielens et P. Timmermans ».
- Au triple galop, galop, « À mes petits élèves R. Vande Zande et P. Esposito ».
- En chasse, valse, « À ma bonne petite élève Marguerite Besse ».
- HAC 3 : Album II, pièces pour piano.
- Mes charmantes, polka-marche.
- Douces espérances, valse lente.
- Alice, gavotte.
- Sous l’ombrage.
- Tous Ă la danse.
- Venez ! enfants.
- HAC 4 : Album III, pièces pour piano.
- Kermit, marche américaine.
- La vie en rose, polka-intermezzo.
- Pavane style ancien.
- Pour tes beaux yeux.
- Histoire folâtre.
- Dans la neige.
- HAC 5 : Amour et Charité, gavotte (Aimons-nous – Aidons-nous), pour piano, op. 83, 1915, « Hommage d’admiration à Monsieur et Madame Ernest Solvay. mars 1915 ».
- HAC 6 : À travers tout, défilé militaire, pour piano, 1919, « À monsieur Joseph Chanoine. ».
- HAC 7 : Avocate (L’), grande fantaisie pour piano, sur l’opérette, 1917.
- HAC 8 : Boulet d’canon, marche/two step, pour piano, « À Madame et Monsieur L. Frings-Constant ».
- HAC 9 : Cabriolet Enchanté, morceau caractéristique, pour piano, « À Madame et Monsieur E. Possoz ».
- HAC 10 : Charme étrange (Le), suite de valses sur des motifs de l’opérette, pour piano, 1916, « En bon souvenir à mon ami le Compositeur J. Demaële ».
- HAC 11 : Cœur d'Arlequin, valse lente pour piano, « À monsieur F. Rooman, le dévoué défenseur des intérêts des Auteurs Belges ».
- HAC 12 : CĹ“ur de Pierrette, valse lente, pour piano.
- HAC 13 : Comme va le ruisseau, mélodie transcrite pour piano, op. 150, 1926 (1920), « À mon cher ami, Alfred Dubois ».
- HAC 14 : DĂ©licieusement, valse lente, pour piano.
- HAC 15 : D'un pas léger, scottish, pour piano.
- HAC 16 : Escaut et Meuse, grande valse, op. 88, pour piano, [1915].
- HAC 17 : Fantaisie brillante, sur les motifs de la célèbre mélodie Dans notre église oubliée, pour piano, 1955.
- HAC 18 : Hankéou, fox-trot oriental, pour piano, 1927.
- HAC 19 : Idylle slave, grand ballet, op. 130, transcription pour piano.
- HAC 20 : Joyeux troupiers, marche, pour piano « Sympathiquement à Mr A. Lepage ».
- HAC 21 : Légende dorée, valse-sérénade, pour piano, op. 143.
- HAC 22 : Loin dans l’Inde, fox-trot pour piano, 1927, « Cordialement à monsieur Thys ».
- HAC 23 : Menuet 1915, pour piano, op. 86, 1915, « À mon neveu Roger Leduc, 18 avril ».
- HAC 24 : Myaco, mélodie-valse, pour piano, 1922.
- HAC 25 : Paris la nuit, tango, pour piano, 1920, « À mon ami Guill. Vanden Abeele chef d’orchestre au Palace hôtel », « Le plus beau tango ».
- HAC 26 : Paysan Roi, grande fantaisie pour piano sur l’opérette en 3 actes.
- HAC 27 : Pensée lointaine, pour piano.
- HAC 28 : Petite Marquise, mazurka, pour piano.
- HAC 29 : Petite Patrouille, marche nouvelle avec imitation de tambour, pour piano, op. 85, 1915, « À ma belle-sœur Eva ».
- HAC 30 : Pierrots et Pierrettes, marche, pour piano.
- HAC 31 : Pot-pourri National, contenant 30 chansons populaires, pour piano.
- HAC 32 : Pour la paix, grande marche, pour piano, op. 81, « Hommage respectueux à Monsieur F. Rooman, Secrétaire général de la Société des Auteurs et Compositeurs de Musique ».
- HAC 33 : Pretty Girls, danse anglaise, pour piano, « À mon ami Léon De Bats ».
- HAC 34 : P’tit Belge (Le), two-step, pour piano, op. 109, « À mes chers amis et collaborateurs, E. Bodart et J. Orban ».
- HAC 35 : Rêve d’espoir, valse lente, pour piano.
- HAC 36 : Rêverie, pour piano, 1916, « À mes chers Parents ». « Jolis petits moutons, messagers du bonheur, Répandez en passant, l'espérance en mon cœur » Magd. Ackermans.
- HAC 37 : Roses d’amour, valse lente, pour piano.
- HAC 38 : Ruses d’Indiens (Indiaansche listen), intermezzo caractéristique pour piano, « Hommage respectueux à Mademoiselle E. De Saedeleer ».
- HAC 39 : Salut à 1916, marche, pour piano, 1916, « À Monsieur et Madame W. Purnode ».
- HAC 40 : Suite Saharienne (Sahara-Suite), pour piano, op. 187, 1926, « Cordialement à José Mommaert ».
- Solitude immense (Onmetelijke eenzaamheid)
- Les Touaregs (De Touaregts)
- L’indolente moussou. (De loome moussou)
- Au bord du Niger (Aan de boord van den Niger)
- HAC 41 : Tank Dance, rag-time/one step, pour piano, « À mon cher ami Fernand Heythuizen ».
- HAC 42 : Valse en sourdine, valse caprice, pour piano solo.
- HAC 43 : V’la l’Ennemi, marche, pour piano.
- HAC 44 : Chinese Waltz, M. Michiels (comp.).
- HAC 45 : Del Castello, valse espagnole pour accordéon, M. Michiels (comp.).
- HAC 46 : Deux Cocqs (Les), polka pour accordéon, M. Michiels (comp.).
- HAC 47 : Dialogue burlesque, pièce pour accordéon, M. Michiels (comp.).
- HAC 48 : Moulin sans-souci (Le), valse, M. Michiels (comp.).
- HAC 49 : Tambourinaire de Tarascon (Le), step, 1942, arrangé pour accordéon par R. Gazave.
- Ĺ’uvres orchestrales
- HAC 50 : 1er Poème (Premier poème), esquisse pathétique, pour orchestre avec piano conducteur, 1929.
- HAC 51 : 2ième Poème, méditation, pour orchestre et piano conducteur.
- HAC 52 : Argentina, tango, pour orchestre.
- HAC 53 : Au jardin silencieux (Matin rose ; Midi blanc ; Soir bleuté), suite d’orchestre en trois parties, Georges Krier (orch.), 1929.
- HAC 54 : Au Pays d’amour, fox-trot, pour orchestre, 1928.
- HAC 55 : Au Pays natal, gavotte, pour orchestre, [1924], « À mon ami G. Lacroix ».
- HAC 56 : Autant d’sa part !, one step, pour orchestre, Ch. Geuskens (comp.), 1931.
- HAC 57 : Avocate (L’), grande fantaisie sur l’opérette, op. 92, pour orchestre et piano conducteur, 1917, « À mon ami Léon Keyseler, l’excellent chef d’orchestre ».
- HAC 58 : Bande folle (La), polka-marche, pour orchestre.
- HAC 59 : Barque tragique (La), poème/ouverture romantique, John Mevensen (comp.).
- HAC 60 : Belle nuit (La), rumba, pour orchestre.
- HAC 61 : Boutique des pendules (La), caractéristique, Émile Sottiaux (comp.), [1953].
- HAC 62 : Cabriolet Enchanté, morceau caractéristique, pour orchestre et piano conducteur, « À mon ami, l’excellent chef d’orchestre, Maurice Leclercq ».
- HAC 63 : Cavalier noir (Le), marche américaine, pour orchestre, Émile Sottiaux (comp.), [1953].
- HAC 64 : C'est dans tes bras, pour orchestre, Linda (comp.).
- HAC 65 : C'est une chose exquise, marche - one step, pour piano conducteur et orchestre, 1928.
- HAC 66 : Charme et beauté, suite de valses, op. 30, pour orchestre et piano conducteur, « Hommage respectueux aux Princes de Belgique ».
- HAC 67 : Charme étrange (Le), grande fantaisie sur l’opérette, op. 160, pour orchestre et piano conducteur, « À mes chers amis Mme et Mr L. Loicq ».
- HAC 68 : Charme étrange (Le), suite de valses sur des motifs de l’opérette, 1916.
- HAC 69 : Cocktails-fox, fox-trot, pour orchestre, 1930.
- HAC 70 : Contrebandiers dans la montagne (Les), tarentelle pour orchestre, J. Mommaert (comp.), 1928.
- HAC 71 : Dans les prisons russes, czardas, pour orchestre, Francis Salabert (arr.), 1932.
- HAC 72 : Diablotins (Les), marche, pour orchestre.
- HAC 73 : Dynamic girls, marche fox-trot, pour petit orchestre, Estevan Dax (comp.), « À notre ami D. More ».
- HAC 74 : Ébats villageois, berline, pour orchestre et piano conducteur, « À monsieur G. Cluytens, chef d'orchestre du Palais Baudouin ».
- HAC 75 : Fantastic Dance, intermezzo américain, scottish, pour orchestre et piano conducteur, « À mes chers, beau-frère et belle-sœur, Albert et Carmen Leduc ».
- HAC 76 : Ferry-Man (The), intermezzo, pour orchestre, 1930, P. Monier (comp.).
- HAC 77 : Fiesta Madrilena, pour petit ensemble, Joe Heyne (comp.), Powell (arr.), 1951.
- HAC 78 : Frisson nouveau, marche one-step, pour orchestre, John Mevensen (orch.).
- HAC 79 : Galop indien, pour orchestre, John Mevensen (comp.), 1927.
- HAC 80 : Gentleman's Dance, schottisch, pour orchestre et piano conducteur, « À Monsieur F. de Bel. Chef d'orchestre de Bruxelles 1888, 1897, 1910 ».
- HAC 81 : Grande chevauchée, pour orchestre et piano conducteur, P. Monier (comp.), 1929.
- HAC 82 : Hankéou, fox-trot oriental, pour orchestre, 1927.
- HAC 83 : Heures grises, valse triste, pour orchestre et piano conducteur, Georges Krier (orch.), 1928.
- HAC 84 : Javaya, java arrangée pour orchestre, Ch. Murky (arr.), 1937.
- HAC 85 : Je t’attends, valse, pour orchestre.
- HAC 86 : Joyeux siffleur (Le), polka marche, pour orchestre, « À mon cher Henri Debecker, en souvenir de bonne amitié ».
- HAC 87 : Kalahari, intermezzo humoristique, P. Monier (comp.), 1930.
- HAC 88 : Life Watch, grande valse, Émile Sottiaux (comp.), [1953].
- HAC 89 : Little Ducks, marche pour petit ensemble et piano, A. De Hollander (comp.), 1950.
- HAC 90 : Loin dans l’Inde, fox-trot, pour orchestre, Ch. Geuskens (orch.), 1927, « Cordialement à monsieur Thys ».
- HAC 91 : Ma chaumière abandonnée, esquisse dramatique, op. 249, 1929.
- HAC 92 : Ma jolie danseuse, arco et pizzicati, pour orchestre et piano conducteur, L. Braeckman (arr.), [v. 1926], « À mon ami Pierre Meuris ».
- HAC 93 : Marche des champions, marche, pour orchestre.
- HAC 94 Marche Hawaïenne, one-step, pour orchestre, op. 156, 1922, « À mon cher ami Guidi ».
- HAC 95 : Marche hongroise, pour orchestre, [v. 1941].
- HAC 96 : Marche Napolitaine, pour orchestre et piano conducteur, 1912, « Souvenir de bonne amitié à Maurice Leclerq, chef d’orchestre au Kursaal de Bruxelles ».
- HAC 97 : Marcia Tarentella, marche pour petit ensemble, A. De Hollander (comp.).
- HAC 98 : Mazurka Russe, op. 77, pour orchestre, « À monsieur Flor Pierré ».
- HAC 99 : Merry Story, morceau gai, peut se danser en one-step, pour orchestre, P. Monier (comp.), 1929.
- HAC 100 : Moments d’angoisse, pour orchestre, 1930.
- HAC 101 : Mon roi chevalier, one-step pour orchestre et piano conducteur.
- HAC 102 : Mournful day, waltz, pour orchestre et piano conducteur, Ch. Geuskens
- (comp.), 1929.
- HAC 103 : Myaco, mélodie-valse, pour orchestre et piano conducteur, J. Mevensen (comp.), 1922, « En toute sympathie à Mr G. Verhasselt ».
- HAC 104 : Nostalgie, rêverie mélancolique, pour orchestre, 1929.
- HAC 105 : O ! Betty, fox-trot, pour orchestre, 1928.
- HAC 106 : Ombre séduisante, valse, pour orchestre et piano conducteur, « Sympathiquement à Monsieur Aug. Strauwen, chef d’orchestre au Kursaal d’Ostende ».
- HAC 107 : Paprika, paso doble, pour orchestre.
- HAC 108 : Paris la nuit, tango pour orchestre de salon.
- HAC 109 : Patrouille fantĂ´me, Georges Krier (comp.), 1928.
- HAC 110 : Petite caporale (La), marche, pour orchestre de salon.
- HAC 111 : Petite maison chinoise, morceau caractéristique pour orchestre, 1927, « À mon cher Albert LEDUC ».
- HAC 112 : Petite maison persane, pour orchestre, 1927.
- HAC 113 : Plaisirs de pirates, fantaisie pour orchestre et piano conducteur, Francis Galifer (comp.).
- HAC 114 : Plus beau rĂŞve (Le), valse, pour orchestre et piano conducteur.
- HAC 115 : Polichinelle et Pandore, fox-trot, pour orchestre, Linda (comp.), 1936.
- HAC 116 : P’tit Belge (Le), two-step, pour orchestre, op. 109, « À mes chers amis et collaborateurs, E. Bodart et J. Orban ».
- HAC 117 : P’tit comme ça ou grand comme ça, fox-trot, arrangement pour orchestre sur la chanson, 1935.
- HAC 118 : Pretty Bird, pour orchestre, Speguel (comp.), Powell (arr.).
- HAC 119 : Retour de la Garde, marche militaire, pour ensemble.
- HAC 120 : Retour des prisonniers (Le), pour orchestre, Simon Poulain (orch.), 1950.
- HAC 121 : RĂŞve (Le), valse, pour orchestre.
- HAC 122 : Rêve d’amour, tango, pour orchestre, John Mevensen (comp.).
- HAC 123 : RĂŞverie, pour orchestre, Joe Heyne (comp.).
- HAC 124 : Roses d’amour, valse lente, pour orchestre, « Cordialement à M. Jos. Degrez ».
- HAC 125 : Ruses d’Indiens, intermezzo caractéristique pour orchestre, « Hommage respectueux à Mademoiselle E. De Saedeleer ».
- HAC 126 : Shake-hand, le véritable fox-trot, pour ensemble, dansé par Miss Chem, le plus grand succès du moment au dancing.
- HAC 127 : Sitting Bull, fox-trot, pour orchestre de salon, « À mon ami E. Kimpe ».
- HAC 128 : Six fausses notes, fox trot, pour orchestre.
- HAC 129 : Sous ta fenêtre, entracte-pizzicaté, pour orchestre, « Souvenir cordial à Monsieur Renato Fontana ».
- HAC 130 : Souvenir, valse triste, pour orchestre, 1920.
- HAC 131 : Suite Saharienne, pour orchestre, op. 187, 1926, « Cordialement à José Mommaert ».
- Solitude immense
- Les Touaregs
- L’indolente moussou
- Au bord du Niger
- HAC 132 : Thaouka, galop, pour orchestre, Raymond Brunel (comp.), 1929.
- HAC 133 : Trop bon garçon, fox-trot, pour orchestre, Albert Huard (comp.), interprété par Albert Huard (accordéon).
- HAC 134 : Une soirée chez Ackermans, pot-pourri, pour orchestre.
- HAC 135 : Valse badine, intermezzo, pour petit orchestre, 1913, « Hommage respectueux à M. Z. Bajus ».
- HAC 136 : Valse dramatique, pour orchestre, Georges Krier (comp.), 1929.
- HAC 137 : Valse langoureuse, valse lente pour orchestre, « À mon Ami Serge de Barincourt ».
- HAC 138 : Vieux clocher, pour ensemble.
- HAC 139 : Violon d’amour, tango, pour orchestre, Georges Martine (arr.), 1938, interprété par Roland Charmy (violon).
- HAC 140 : Vivat ! Les marins, marche-two-step pour orchestre.
- HAC 141 : Vivent les fleurs, two-step, pour orchestre Ch. Geuskens (orch.), 1927.
- HAC 142 : Vivre loin, loin !, appassionato, pour orchestre, 1930.
- HAC 143 : Yes girls !, one-step, pour orchestre, John Mevensen (comp.), 1928, « Cordialement à l’ami Fl. Bosmans ».
- HAC 144 : Youchka, fox trot, pour orchestre, J. Mevens (comp.), [v. 1926].
- Ballets
- HAC 145 : Idylle Slave (Slavische Idylle), grand ballet, mosaïque, op. 130, 1921, « Hommage bien respectueux à Madame et Monsieur F. Rooman ».
- HAC 146 : Impressions chinoises, air de ballet.
- HAC 147 : Trois allumettes (Les), air de ballet, Émile Sottiaux (comp.), [1953].
- Musique concertante
- HAC 148 : 2e Valse en Sourdine, pour violon solo avec accompagnement de quatuor à cordes, John Mevensen (orch.), « À mon ami Franz Doehard, le distingué violoniste virtuose ».
- HAC 149 : Berceuse fine, solo pour violon.
- HAC 150 : Capriccioso, pour violon et orchestre, Émile Sottiaux (comp.), « Les succès d’orchestre. », [1953].
- HAC 151 : Colombine Jolie, pour violon solo avec accompagnement de quintettes à cordes, 1925, « À nos chers amis F. Calberg et P. Depauw ».
- HAC 152 : Comme va le ruisseau, pour violon et quatuor à cordes (sourdines obligées), op. 150, 1920, John Mevensen (comp.), « À mon cher ami, Alfred Dubois »
- HAC 153 : Dernière nuit (La), habanera, pour orchestre et violon solo, Émile Sottiaux (comp.), 1953.
- HAC 154 : Désenchantées (Les), valse pour piano solo et orchestre, Aubel (comp.).
- HAC 155 : Enfant russe (L’), chanson triste, pour violon solo avec accompagnement de quatuor à cordes, op. 157, 1922, « Amicalement au distingué violoniste Georges Defaux ».
- HAC 156 : Étoile du berger (L’), mélodie pour violoncelle avec accompagnement de quintette à cordes, John Mevensen (comp.), « À notre chère amie Flore Gemoets, l’excellente violoncelliste ».
- HAC 157 : Extase Poétique, solo pour violoncelle avec accompagnement de quatuor à cordes ou de piano, op. 181, 1925, « Cordialement aux excellents artistes A. Bogaert et J. Van Den Eynde ».
- HAC 158 : Fantocio, pièce humoristique, pour trompette solo et orchestre, Léon Molle (comp.), 1930.
- HAC 159 : Il rêve, mon Pierrot, valse sérénade pour violon et piano ou violon solo et orchestre, op. 180, J. Mevensen (orch.), 1924, « À mon cher ami Marcel Ysaÿe, l’excellent violoniste ».
- HAC 160 : Impression de Finlande, pour cor solo et orchestre, 1962.
- HAC 161 : Légende Dorée, valse sérénade, solo pour violoncelle avec accompagnement de quintette à cordes ou piano, op. 143, 1920, « À mon ami R. Janssen, l’excellent violoncelliste ».
- HAC 162 : Lettre d’adieu, pour trombone ou violoncelle solo avec accompagnement d’orchestre mixte, 1944, « À monsieur Estevan Dax, Professeur au conservatoire Royal de Musique de Bruxelles ».
- HAC 163 : MĂ©lodie enchanteresse, pour violon solo avec orchestre, ou avec orchestre Ă cordes Hermany (arr. pour tous les violons), 1920.
- HAC 164 : Morning song (Chanson matinale), pour violon solo et orchestre, Émile Sottiaux (comp.), 1953.
- HAC 165 : Notre doux rêve (Zoete droom), appassionato, pour violon et orchestre, 1929, « Bien cordialement à Mr D. Hartogs ».
- HAC 166 : Paris-Londres, solo de marimba accompagné par deux pianos, interprété par Pierre Caillon (marimba), Magda Laueffer et Hippolyte Ackermans.
- HAC 167 : Petite Rhapsodie, pour violon solo avec accompagnement de piano, « À mon violon solo Jean Rooses ».
- HAC 168 : Recueillement, pour violon solo avec accompagnement de quintette à cordes ou piano, op. 53, « Opgedragen aan Franz Doehaerd ».
- HAC 169 : Reflets de glaces, caprice pour violon solo et orchestre, Émile Sottiaux (comp.), [1953].
- HAC 170 : Soleil s’est couché (Le), petite pièce pour violon et orchestre, op. 146, [1924], « À mon ami R. Guillemyn, l’excellent compositeur, chef d’orchestre du casino de Blankenberghe ».
- HAC 171 : Solitude, solo de violon.
- HAC 172 : Sous le ciel de Florence (Onder de hemel van Florence), solo concertant pour
- violoncelle avec accompagnement de quatuor à cordes ou piano, op. 137, 1923, « Au grand artiste italien Luigi Chiarappa ».
- HAC 173 : Sur ma gondole d’amour, valse, solo pour saxophone alto avec accompagnement de piano, 1943.
- HAC 174 : Toujours vers toi !, valse, solo pour saxophone alto avec accompagnement de piano, 1943.
- HAC 175 : Tzigane de la reine (Le) (Her Majesty’s Gipsy), pièce pour violon et orchestre, Albert Spegel (comp.), interprété par Dolf Van der Linden and his Metropole Orchestra from Radio Hiversum.
- HAC 176 : Valse en sourdine (Gedempte wals), valse caprice, pour violon solo avec accompagnement de quatuor à cordes ou piano, op. 167, 1926, « En souvenir de grande sympathie, à Monsieur Maurice Blondel, le distingué violoniste virtuose ».
- Musique de chambre
- HAC 177 : Beaux Yeux d’Espagne, valse espagnole, pour deux pianos et castagnettes.
- HAC 178 : Brume, slow pour clarinette et piano.
- HAC 179 : Choura, blues pour 2 trompettes, trombone et rythmes, Colwaert (comp.).
- HAC 180 : Doux poème, pièce pour saxophone alto et piano, 1938.
- HAC 181 : Humoresque, pour clarinette et piano, 1961.
- HAC 182 : Paysage nordique, pour clarinette sib, trompette sib, hautbois, saxophone soprano, saxophone alto, ou saxophone ténor et piano, 1949.
- HAC 183 : Petite fantaisie italienne, pièce pour saxophone alto et piano, 1938.
- HAC 184 : Sérénade, pour flûte ou violon et piano, op. 25, « Cordialement à Mr G. Ciciotti ».
- HAC 185 : Tambour et triangle, fox-trot, Linda (comp.), interprété Pierre Caillon et Magda Laueffer.
- HAC 186 : Tendresse, pièce pour saxophone alto.
- HAC 187 : Trompeta De Sevilla, pour trompette et deux pianos, Linda (comp.).
- HAC 188 : Valse hongroise, pour harpe et deux pianos, interprété par Lily Laskine (harpe).
- HAC 189 : Vers les cimes neigeuses, poème pour hautbois solo et piano, J. B. Faulx (comp.), 1949.
- Chansons et mélodies
- HAC 190 : Abat-jour, valse, A. Myr (aut.).
- HAC 191 : Absent (L’), pour chant et piano, A. Colwaert (comp.), Daver (aut.), Claude Selam (aut.), 1944, création Christiane Houdez.191
- HAC 192 : Accident !, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.192
- HAC 193 : Adorablement, Deltenre Jules Adelin (aut.).
- HAC 194 : Ah Natacha, Hector Doering (comp.), Jules Douchez (comp.), Koger Geo (aut.).
- HAC 195 : Ah ! c’est fou, valse chantée, pour piano et chant, Roger Féral (aut.), 1935.
- HAC 196 : Ah ! pourquoi ?, Gabriello (aut.), 1954.
- HAC 197 : Ah ! que c’est joli, les mensonges !, pour piano et chant, P. G. Dublin (aut.), 1935.
- HAC 198 : Aime-moi, guitarero, paso doble, pour chant et piano ou orchestre, Étienne Recagno (aut.), 1938, « Quatre danses nouvelles ».
- HAC 199 : Amélie ! Cache tes genoux..., chanson one step, René Jacobs (aut.), 1929.
- HAC 200 : Amour a cassé (L’), pour chant et piano, Cora Laparcerie (aut.), 1935.
- HAC 201 : Amour autour de la maison (L’), pour chant et piano, Albert T’Serstevens (aut.), 1935.
- HAC 202 : Amour est venu dans mon cœur (L’), chanté par Germaine Feraldy.
- HAC 203 : Amour et La Rumba (L’), Julsam (aut), Géo Koger (aut.).
- HAC 204 : Anathème, tango, pour chant et orchestre, Charles Cluny (aut.), 1939.
- HAC 205 : Antoinette, chanson à chœurs, Lucien Boyer (aut.), 1931, chanté par Lyne Clevers et en duo par Alice Meva et Cambardi, William Bron et Miss Bru.
- HAC 206 : Article de Paris, pour chant et piano ou orchestre, Roger FĂ©ral (aut.), 1935.
- HAC 207 : À travers tout, marche patriotique, pour une ou deux voix avec piano, A. Schaller (aut.), 1918-1919, « Aux Vaillants Défenseurs de la Belgique. Hommage de respectueuse admiration à Sa Majesté Albert I, S.E Monseigneur Mercier et Mr Le Bourgmestre Max ».
- HAC 208 : Attendons, tango, pour chant et orchestre, J. Loysel (aut.), 1934, créé par Jean Lumière.
- HAC 209 : Attente !, pour chant et piano, J. Ardot (aut.), 1935.
- HAC 210 : Auto-car (L’), pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 211 : Automne de guerre, Jean-Marie (aut.).
- HAC 212 : Au zoo, blues gai, [v. 1934].
- HAC 213 : Ave Maria du clochard, Noël Barcy (aut.).
- HAC 214 : Avec un doigt.
- HAC 215 : Banni de la terre (Le), [v. 1935].
- HAC 216 : Beau carnet de bal, Deslandes (aut.).
- HAC 217 : Belle comme un cœur, Barcy (aut.).
- HAC 218 : Belle Histoire !... (La), valse chantée pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 219 : Berceuse Bleu, Jos Van-Der-Smissen (comp.), Merlin Gwen (aut.).
- HAC 220 : Bim-bam-boum-bidécoué, pour chant et piano, Jacques Médinger (comp.), Julsam (aut.), Géo. Koger (aut.), 1935.
- HAC 221 : Boîte à Marionnettes (La), créé par Josée Sann.
- HAC 222 : Boléro d’amour, Daver (aut.), Y. Lacant (aut.), 1940, création de Giberte Romain.
- HAC 223 : Bonheur (Le), mélodie, pour chant et piano, Claude Selam (aut.), 1936.
- HAC 224 : Bonheur est entré dans mon cœur (Le), mélodie, [v. 1941], chanté par Maggy d’Armont à La Nouvelle Belgique.
- HAC 225 : C’a n’a l’air de rien, Daver (aut.), Franson (aut.).
- HAC 226 : Campitchi de Campitcha, czardas, Hermany (comp.), Daver (aut.), Y. Lacant (aut.), 1952.
- HAC 227 : Caprice de femme, tango chanté, chant et piano ou chant et orchestre, Louis Poterat (aut.), 1934.
- HAC 228 : Caramba !! J’ai la fièvre espagnole, chanson d’actualité, musique extraite du Charme étrange, couplets bouffes, pour chant et piano, José Dannau (aut.), [v. 1918], « Bien cordialement à Madame et Monsieur Vervys », création Vervys.
- HAC 229 : Catin du village (La), chanson réaliste, avec accompagnement de quatuor à cordes, Polge (aut.), P. Noyelle (aut.), 1933, chanté par Yvette Netter.
- HAC 230 : Cavalcade, pour chant et piano, Rosita Girardot (aut.), 1935.
- HAC 231 : Celle qui passe, pour chant et piano, Georges Philippot (aut.), 1935.
- HAC 232 : Ce soir je veux te dire, Madeleine Daverveldt (aut.), Fred Gillar (aut.).
- HAC 233 : Ce soir, Chéri..., valse chantée, pour chant et piano, René Jacobs (aut.), 1929, création Bisantz, création Yvette Sam.
- HAC 234 : Ce soir... demain, mélodie, pour chant et piano, André de Fouquières (aut.), 1934.
- HAC 235 : Ces p’tits trucs là , fox-trot/one step, Ch. Geuskens (comp.), Charles Tutelier (aut.), 1927, création E. Rouget, Suzy Gossen et Esther Deltenre dans la revue « Ça... c’est Bruxelles » de Ch. Tutelier au Théâtre de la Gaîté.
- HAC 236 : C'est Isabelle (Prix de beauté !), schottisch, Ch. Tutelier (aut.), création Esther Deltenre au théâtre de la Gaîeté.
- HAC 237 : C'est maman, Jolivet (aut.), 1933, chanté par La Spada.
- HAC 238 : C'est notre amour, Noël Barcy (aut.).
- HAC 239 : C'est pour la Maryvon, chanson de marins, Léo Lelièvre (aut.), 1942.
- HAC 240 : C'est si doux, si doux, chanson, Hermany (comp.), Daver (aut.), Tony Schaller (aut.), 1952.
- HAC 241 : C'est ta bouche, valse, pour piano et orchestre, Camille François (aut.), 1937.
- HAC 242 : C'est toi, c’est moi !, fox-trot, pour chant et piano, Joe Beckand (comp.), Daver (aut.), Paul Brébant (aut.), 1956, création Joe Beckand.
- HAC 243 : C’est une blonde !, marche officielle du Bal de la Monnaie, 1949, chanté par la cantatrice Gaby Chrisbert.
- HAC 244 : C'est un nuage qui passe, fox-trot, pour chant et piano, Max Blot (aut.), 1936.
- HAC 245 : C'est un rien... Presque rien, valse, pour piano et orchestre, Daver (aut.), J. Franson (aut.).
- HAC 246 : C'est vous, valse chantée, pour chant et piano, Jean Lenoir (aut.), 1932.246
- HAC 247 : C'est-y "oui" ou "non", one step, pour chant et piano ou chant et orchestre, Charles Tutelier (aut.), 1928, créé au Théâtre de la Gaîté par Suzy Gossen, Billee Barton, G. Étienne, Henry, G. Keppens, Ressyo et Esther Deltenre dans la revue « Bruxelles en folie ».
- HAC 248 : C'Ă©tait un tango !!, sur les motifs de "Paris la nuit", pour chant, Ed. Bodart (aut.), Jef Orban (aut.).
- HAC 249 : Chagrin, chanté par Christiane Houdez.
- HAC 250 : Chagrin d'amour, pour chant et piano, Charles-Louis Pothier (aut.), Armand Foucher (aut.), 1935.
- HAC 251 : ’Chand d'habits, Jacques Bourgeat (aut.), chanté par Édith Piaf.
- HAC 252 : Chanson dans la neige, légende canadienne, Daver (aut.), A. Lovinfosse (aut.), 1962.
- HAC 253 : Chanson des rapières (La), pour chant et piano, Georges Philippot (aut.), 1935.
- HAC 254 : Chanson du muletier (La), sérénade, chanté par Villabella de l’Opéra.
- HAC 255 : Chante, Mariella !, sérénade italienne, pour chant et piano, Marcel Lefèvre (aut.), 1927, « À mon cher ami, Émile Gallins », création Émile Gallins, du théâtre royal de la monnaie.
- HAC 256 : Chevaliers de l’air (Les), marche chantée/chanson d’actualité, Luc-Cyl (aut.), 1934.
- HAC 257 : Christ du pays noir (Le), pour chant et piano, Jacques Martel (aut.), 1935.
- HAC 258 : Ciel, pour chant et piano, A. Colwaert (comp.), Jean Solar (aut.), 1944.
- HAC 259 : Cinq petits contes d'enfants, [v. 1940], création Gaby Chrisbert, Mary Camus.
- HAC 260 : Cœur de Pierrette, valse chantée, Ed. Bodart (aut.).
- HAC 261 : Contrebandière (La), chanson, Jacques Richepin (aut.), création Ninon Vallin, chanté par Cora Fubiani.
- HAC 262 : Crepuscule, mélodie fox, pour chant et piano, Marie Gabrielle Demez (aut.).
- HAC 262bis. : Crepuscule, Frankie Woods (tr. en néerlandais).
- HAC 263 : Croyez-vous, ma chère... ou Les Cancanières, Louis Poterat (aut.), 1933, création Marie Dubas, chanté par Lise Coliny.
- HAC 264 : Czardas du souvenir, Rose Noël (aut.), 1939, dans les « Chansons et danses en vogue. Les chansons d’Ackermans ».
- HAC 265 : D’un tendre passé, Lefèvre (aut.), chanté par Louis Charco (ténor).
- HAC 266 : Daddie, fox trot chanté, pour chant et piano, Jamblan (aut.), 1935.
- HAC 267 : Damné d’amour (Le), sérénade, pour chant et piano, René-Paul Groffe (aut.), 1934.
- HAC 268 : Dans le silence, mélodie, pour chant, José Dannau (aut.), « Hommage à Monsieur et Madame Ackermans. J. Dannau », création Filleul aux Concerts artistiques de Bruxelles.
- HAC 269 : Dans les prisons russes, czardas chantée, pour chant et piano ou chant et orchestre, Francis Salabert (comp.), Lucien Boyer (aut.), 1931, créée par Jane Pierly et chantée par M. Barry, Gaby Roze, N. Corelli, Marjal, Aldoni, Sirjo.
- HAC 270 : Dans les ruines de ma maison, mélodie, pour chant et piano, Daver (aut.), 1949, créée par Alice Rambert au Théâtre royal de la Monnaie.
- HAC 271 : Dans mon petit café, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.271
- HAC 272 : Dans notre église oubliée, mélodie, pour chant et piano ou chant et orchestre, Daver (aut.), A. Lovinfosse (aut.), 1947, création Gilberte Romain aux concerts parisiens, chanté par Jean Patart, Jean Navarre, E. Régnier, 1er ténor à la Monnaie.
- HAC272bis. : In ’t stille kerkje, Th. C. Warrens (trad.), chanté par Bob Scholte et W. Steiner et son orchestre symphonique.
- HAC 273 : Dans un rêve bleu, valse mélodie, Fernand Vergucht (aut.).
- HAC 274 : Dernier adieu, Deltenre Jules Adelin (aut.).
- HAC 275 : Devant la poubelle, chanson réaliste, André Vivier (aut.), 1933, création Rita Carly.
- HAC 276 : Dévouement, valse chantée, pour chant et piano, Géo. Lénair (aut.), 1915, « Hommage à la Croix Rouge avril 1915 ».
- HAC 277 : Dors mon amour, Maurice Thireau (Maurice Aubret) (aut.).
- HAC 278 : Écoute l'écho !, mélodie blues chantée, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 279 : Eh ! hop-lĂ !, pour chant et piano, Roger FĂ©ral (aut.), 1935.
- HAC 280 : Elle a du toupet, ma voisine, pour chant et piano, Allain Dhurtal (aut.), 1934.
- HAC 281 : Elle ne viendra pas, mélodie, pour chant et piano, Lucie Paul-Margueritte (aut.), 1935.
- HAC 282 : Emmène-moi, chanson, Polge (aut.), P. Noyelle (aut.), chanté par La Spada, [v. 1934].
- HAC 283 : Enfant du régiment (L’), épisode de guerre, mélodie, Géo. Lénair (aut.), 1915. « Hommage respectueux à Madame H. Ackermans – août 1915, Géo. Lénair ».
- HAC 284 : Éternellement, Marguerite Joiret (aut.).
- HAC 285 : Étoile de la Paix (L’), mélodie, pour chant et piano, Géo. Lénair (aut.), 1915, « Hommage respectueux au bon Compositeur G. Nauwelaers ».
- HAC 286 : Fantôme, valse chantée, pour chant et piano, Maurice Aubret (aut.), 1932.
- HAC 287 : Filles ont une âme... (Les), mélodie valse, pour chant et piano, A. Avisse (aut.), 1933, création Germaine Lix, chanté par Yvette Netter.
- HAC 288 : Fleur merveilleuse, boléro-chanson, pour orchestre, Émile Sottiaux (comp.), Daver (aut.), 1953.
- HAC 289 : Folle (La), chanson.
- HAC 290 : Folle chanson (La), czardas, pour chant et piano, Jean Reveu (aut.), chanté par Christiane Houdez.
- HAC 291 : Frisson nouveau, marche one-step, pour chant, Jef Orban (aut.), [v. 1926], « À mon ami Pierre Neetens », création par Esther Deltenre au Théâtre de la Gaîté.
- HAC 292 : Galant Afficheur (Le), java, pour chant et piano, Allain Dhurtal (aut.), 1935.
- HAC 293 : Garçonnière (La), pour chant et piano, Allain Dhurtal (aut.), 1935.
- HAC 294 : Glissade, fox-trot chanté, 1934, chanté par Loïc Le Gouriadec.
- HAC 295 : Grattacoula (La), création Marie Bizet.
- HAC 296 : Grisaille, Jean-Claude Pedron (aut.), 1939, création Tolkowsky.
- HAC 297 : Guerre survint... (La), valse lente, pour chant et piano, Magd. Ackermans (aut.), création A. Bergers au Victoria.
- HAC 298 : Gueux qui s’en fiche ! (Le), pour chant et piano, Maurice Hamel (aut.), 1935, chanté par Toscani.
- HAC 299 : Habanera d’amour, tango mélodie, Daver (aut.), création Suzy de Larbre.
- HAC 300 : Héroïne (L’), chanson - marche sur la musique de Salut à 1916, Fernand Vergucht (aut.), « Le plus grand succès paru depuis août 1914, accompagné d’un récit (enchainez avec la musique) ».
- HAC 301 : Heure des aveux (L’), valse lente, pour chant et piano, C. Divret (aut.), 1931.
- HAC 302 : Hommes sont des amours (Les), chanson, pour chant et piano, Daver (aut.).
- HAC 303 : Il est si petit mon Village, [v. 1935].
- HAC 304 : Il est une autre chanson..., pour chant et piano, J. Ardot (aut.), 1935.
- HAC 305 : Il n’y a que nous qui savons..., pour chant et piano, Georgius (aut.), 1935.
- HAC 306 : Il travaille du pinceau, Georges Guibourg (aut.), chanté par Georgius.
- HAC 307 : Ils m’ont fait boire, pour chant et piano, Georges Kamké (aut.), 1935, création Odette Moulin de l’A.B.C.
- HAC 308 : Infirme (L’), pour chant et piano, Allain Dhurtal (aut.), 1935.
- HAC 309 : J’ai attendu, chanson, Max Viterbo (aut.), 1934.
- HAC 310 : J’ai peur, création Josée Sann.
- HAC 311 : J’aime... Il aime !, Roger Féral (aut.), J.-J. Burger (aut.), 1935.
- HAC 312 : J’écoute, pour chant et piano, Hermany (comp.), Arthur Lovinfosse (aut.), 1952, « À nos amis, qui voient, les yeux clos (L.A) », création Martine Moraine.
- HAC 313 : Java de minuit (La), valse-musette chantée, pour chant et piano ou orchestre, Maurice Aubret (aut.), 1932.
- HAC 314 : Java des gens heureux (La), pour chant et piano, Jean Payrac (comp.), Robert Brisacq (aut.), 1939.
- HAC 315 : Java des Souvenirs – La Java ça m’va (La), Ch. Geuskens (comp.), Charles Tutelier (aut.), création Germaine Sandray, Merlrac et Bru’r, chanté par Gallez, Ch. Geuskens, chef d’orchestre de la Gaîté.
- HAC 316 : Java pour Lina (La), pour chant et piano, Maurice PĂ©guy (aut.), 1935.
- HAC 317 : Jean... c’est le printemps, chanson marche, pour chant et piano, Gabriello (aut.), 1934.
- HAC 318 : Je dirai tout, chanson, pour chant et piano, Roger FĂ©ral (aut.), J.-J. Burger (aut.), 1935.
- HAC 319 : Je le veux ! Tu le veux !, valse, [v. 1934].
- HAC 320 : Je m’abandonne à ton baiser, mélodie, pour chant et piano, Bataille Henri (aut.), 1937, « Le grand succès créé par Jeanne Aubert. Sur disque Columbia ».
- HAC 321 : Je m’amuse !, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 322 : Je n’ai qu’un rêve, pour chant et piano, Aubel (comp.), Daver (aut.), Jean Reveu (aut.), création Christiane Houdez et Roger Gerlé.
- HAC 323 : Je ne veux rien regretter, [v. 1935].
- HAC 324 : Je ne vous en veux pas, mélodie, pour chant et piano, Robert Valaire (aut.), 1939, création Louis Bory.
- HAC 325 : Je promène mon ennui, Jacques Loar (aut.), chanté par Doryse au « Grillon » de Bruxelles.
- HAC 326 : Je rêve !..., mélodie, pour chant et piano ou orchestre, Maurice Gracey (orch.), André Myr (aut.), 1931, « Bien sympathiquement à Madame A. Stern », chanté par Charco et Marcel Véran.
- HAC 327 : Je sais, valse chantée, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 328 : Je t’attendais, valse, Ch. Tutelier (aut.).
- HAC 329 : Je t’écris tristement, [v. 1935].
- HAC 330 : Jeu !, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.
- HAC 331 : Je vous attends toujours, pour chant et piano, Pleven (aut.), 1935.
- HAC 332 : Joli navire (Le), Jean Richepin (aut.), 1934, création Jane Pierly.
- HAC 333 : Katanga, fox trot, pour chant et piano, Ch. Geuskens (comp.), Marcel Roels (aut.), E. Bodart (aut.), 1928, création H. Melkior dans la grande revue 1900-1928 à l’Alhambra de Bruxelles, « À notre ami Edmond Van Onckelen ».
- HAC 334 : Laisse cette porte fermée, chanson vécue, [v. 1935].
- HAC 335 : Laissez-vous conduire..., one-step, Linda (comp.), Y. Lacant (aut.), 1936.
- HAC 336 : Larron, Picolo (aut.).
- HAC 337 : Légende de la pensée (La), pour chant et piano, Léo Lelièvre (aut.), 1939.
- HAC 338 : Lettre (La), pour chant et piano, Maurice Aubret (aut.), 1932, chanté par La Spada.
- HAC 339 : Lola, pour chant et piano, René Sarvil (aut.), 1939.
- HAC 340 : Ma chapelle en automne, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935, création Louis Bory, chanté par Henry Montbard.
- HAC 341 : Ma Varsovie, Krukowski (aut.).
- HAC 342 : Madame Poule, pour chant et piano, Georges Philippot (aut.), 1935.
- HAC 343 : Mais quand c’est un marin !, chanson one-step, pour chant et piano ou orchestre, Étienne Recagno (aut.), 1938, dans Quatre danses nouvelles.
- HAC 344 : Maison à vendre, Maurice Aubret (aut.), chanté par Matina de l’Empire.
- HAC 345 : Mal fringuée (La), java, [v. 1934].
- HAC 346 : Marchande de cierges (La), pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 347 : Marche du Football-Club liégeois (Nous sommes les vainqueurs), sur les motifs de la marche célèbre du Charme étrange, pour chant et piano, José Dannau (aut.), Gerrebos (aut.), de Crésac (aut.), 1957, chanté par Jean Sauvenier.
- HAC 348 : Marche du Mouvement National Belge (La), marche officielle du M.N.B., Daver (aut.), création Gilberte Romain au Palais des Beaux-Arts.
- HAC 349 : Marins en prière (Les), mélodie, pour chant et piano, Hermany (comp.), Daver (aut.), 1952.
- HAC 350 : Marioun (Sérénade de Noël), Henri Allibert (aut.), P. Loriot (aut.), 1935, chanté par Alibert.
- HAC 351 : Mélancolie, czardas, Jean Delhez (comp.), Noël Barcy (aut.), 1954.
- HAC 352 : Mélancolie, tango, Daver (aut.), Crabbe Léon Martin (aut.), chanté par Ida Clairville.
- HAC 353 : Mélodie enchanteresse, pour chant et piano, Louis Loup (arr. pour piano et chant), Pierre Darency (aut.), 1920, création de Despy et Alain de l’Alhambra de Bruxelles.
- HAC 354 : Mélodies romantiques célèbres, fantaisie/pot-pourri, pour chant et piano, Daver (aut.).
- HAC 355 : Mensonge, tango, pour chant, Marguerite Joiret (aut.), chanté par Marcelle Roger.
- HAC 356 : Meunier, son fils et l’âne (Le), pour chant et piano, Georges Philippot (aut.), 1934.
- HAC 357 : Mia, sérénade, [v. 1937], chanté par Jean Sorbier.
- HAC 358 : Moi j’regarde ce qui s’passe chez les voisins, pour chant et piano, Roger Féral (aut.), 1935.
- HAC 359 : Mon amour attendait, mélodie, Noël Barcy (aut.), 1955, création Micheline Sobrie.
- HAC 360 : Mon amour pardon, mélodie, A. Lovinfosse (aut.), Daver (aut.), 1953.
- HAC 361 : Mon amour, reviens, [v. 1935].
- HAC 362 : Mon cœur t’attend, fox-trot chanté, pour chant et piano, Pierre Vandendries (aut.), André Maber (aut.), « Un succès du Chanteur sans nom ».
- HAC 362bis. : Ik wacht op u
- HAC 363 : Mon éventail my fan, valse, pour chant et piano, Ch. Geuskens (comp.), Charles Tutelier (aut.), 1928, « Featured and broadcast by Jack Payne and his Hotel Cecil Dance Orchestra ».
- HAC 364 : Monsieur le marchand de rêve..., fox-trot chanté, pour chant et piano, Bataille-Henri (aut.), R. Valaire (aut.), 1938, création Reine Paulet.
- HAC 365 : Mort de poète, G. Blanc (aut.).
- HAC 366 : Mort maudit (Le), pour chant et piano, Jean Richepin (aut.), 1933, création Yvette Netter, Marcel Valiès.
- HAC 367 : Mosquitos, valse, chanté par A. de Hollander.
- HAC 368 : N’aimer que toi, mélodie, pour chant et piano ou orchestre, Daver (aut.), chanté par Lucy Norman.
- HAC 369 : Ne cueillez pas les fleurs, mélodie, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932, chanté par Gesky.
- HAC 370 : Ne m’attends pas, chanson vécue, Fernand Vergucht (aut.).
- HAC 371 : Ne ris pas de ma douleur, valse lente chantée, pour piano, Fern. Vergucht (aut.), « À Madame Reine Marguerite de Lusigny (F. V.) », création Olga de Sivry.
- HAC 372 : Ne t’en vas pas !, tango, pour chant et piano, Ch. Tutelier (aut.), 1931, chanté par Charco.
- HAC 373 : Ninon, valse sérénade, pour chant et piano, Staf Wuyts (aut. ndls), création Roger Yves, et Rik Vanderheyden.
- HAC 374 : Noël de Marie-Madeleine (Le), H. Bataille (aut.), 1938, chanté par Louis Bory.
- HAC 375 : Noël des petits Santons (Le), noël de Provence, de l’opérette « Du soleil dans la lune », René Sarvil (aut.), 1935, création Alibert accompagné par le Jazz Marseillais Sellers, le gros succès de Reda Caire, chanté par Andrex, Ginette Garcin, Grand prix candide du Disque.
- HAC 376 : Noël en mer, pour chant et piano, Armand Foucher (aut.), 1935, création Tino Rossi, chanté par La Spada.
- HAC 377 : Nostalgie, chanson tzigane, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1934.
- HAC 378 : Notre amour est fini, mélodie, 1934.
- HAC 379 : Notre bon curé, chanson pour chant et piano, Jean Bretière (aut.), 1935.
- HAC 380 : Nuages, chanson, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1935.
- HAC 381 : O Corse chérie, chanson corse.
- HAC 382 : O ! Mon amour, je veux rêver, célèbre mélodie, Daver (aut.).
- HAC 383 : Oh ! oui grand’mère, [v. 1935].
- HAC 384 : On a beau dire, fox-trot, Fred Arlys (comp.), Parrisé (aut.), 1935, chanté par Fred Adison, Tom Waltham.
- HAC 385 : On crève, pour chant et piano, Rosita Girardot (aut.), 1935.
- HAC 386 : On croit au bonheur, valse musette, pour orchestre, Charles Cluny (aut.), 1939.
- HAC 387 : Oui, c’est vrai !, tango-mélodie, Daver (aut.), Claude Selam (aut.), création Mary Camus, chanté par Josée Sann.
- HAC 388 : P’tit comme ça ou grand comme ça, pour piano et chant, Louis Poterat (aut.), 1934.
- HAC 389 : Paprika, paso doble, pour chant, Daver (aut.), Fred Gillar (aut.), Staf Wuyts (aut.), chanté par Baby Paris.
- HAC 390 : Par habitude, pour chant et piano, Daver (aut.), J. Franson (aut.), chanté par Christiane Houdez.
- HAC 391 : Par un soir, valse, pour chant et piano, Aubel (comp.), Daver (aut.), Jean Reveu (aut.), création Elyane Célis.
- HAC 392 : Paris, soleil du monde !, one-step, Maurice Hermite (comp.), Louis Lemarchand (aut.), Victor Vallier (aut.), 1928, « L’air en vogue chanté aux Folies- Bergère par René Rudeau dans la grande folie, la nouvelle hyper-revue de Louis Lemarchand ».
- HAC 393 : Partir... revenir..., mélodie, pour chant et piano, Louis Poterat (aut.), 1934.
- HAC 394 : Pas de grand mot, mélodie, [v. 1937].
- HAC 395 : Pas en face des trous !, java, A. Gabriello (aut.), 1934.
- HAC 396 : Passion, pour chant et piano, Émile Sottiaux (comp.), Marie Gabrielle Demez (aut.), 1954.
- HAC 397 : Paysage marin..., pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 398 : Permettez-vous que je vous aime, pour chant et piano, Daver (aut.), Lil Boël (aut.), 1938, chanté par Louis Bory.
- HAC 399 : Petit Bonhomme, mélodie fox-trot, pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 400 : Petit Démon que j’adore, chanson antillaise, Pierre Bayle (aut.).
- HAC 401 : Petit Pou de San-José (Le), one-step, Camille François (aut.), 1937.
- HAC 402 : Petit rien, Daver (aut.), Franson (aut.).
- HAC 403 : Petite Madame !..., fox-trot, pour chant et piano, Jean Loysel (aut.), 1932.
- HAC 404 : Petite morte (La), mélodie.
- HAC 405 : Petite Princesse et le soldat (La), Robert Valaire (aut.), 1939, création Josée Sann, chanté par Jacqueline Francell, dans la revue de Borino 1939 de Georgius et Robert Valaire.
- HAC 406 : Pipo, paso doble, pour chant et piano, Daver (aut.), Y. Lacant (aut.), 1952.
- HAC 407 : Plus belle sérénade (La), sérénade, pour chant et piano, M. Villabella (comp.), L. Boël (aut.), 1939, création Villabella, de l’opéra de Paris.
- HAC 408 : Plus loin que l’oiseau, mélodie, Hermany (comp.), A. Lovinfosse (aut.), 1953.
- HAC 409 : Plus que mon bonheur, « variétés avec le concours de Pills et Tabet, du chansonnier Marsac, de Mlle Rose Temps et de Calle et son orchestre cubain de Melody’s-Bar », [v. 1934].
- HAC 410 : Pompiers de Tarragone (Les), paso doble, pour chant et orchestre, Émile Deltour (comp.), Lucien Boyer (aut.), 1932, création Maria Valente.
- HAC 411 : Poupée (La), Paul Brébant (aut.), 1933.
- HAC 412 : Pour les vieux, pour chant et piano, Maurice Hamel (aut.), 1935.
- HAC 413 : Pour toi, Marina, step, René Sarvil (comp.), Saint Giniez (aut.), 1936, chanté par Reda Caire.
- HAC 414 : Pour un caprice, tango, pour chant et piano, Daver (aut.), Lil Boël (aut.), 1939.
- HAC 415 : Pourquoi hésiter, valse lente, valse hésitation, pour chant et piano, Noël Desaux (aut.), 1921, « En bon souvenir à Monsieur et Madame Paul Mol », chanté par Anny Duny, La plus belle femme de Belgique (« Mon plus grand succès »), de l’Alhambra de Bruxelles.
- HAC 416 : Pourquoi n’ai-je pas su..., valse chantée, pour chant et piano, Max Blot (aut.), 1935.
- HAC 417 : Pourquoi pleurer ? Pourquoi souffrir ?, valse chantée, pour chant et piano, Maurice Hamel (aut.), 1935.
- HAC 418 : Pourquoi ?, tango pour chant et piano, Daver (aut.), Franson (aut.), création Christiane Houdez.
- HAC 419 : Premier bal (Le), grande valse, pour chant et piano, 1938.
- HAC 420 : Prière à Madame la Lune, création de Gaby Chrisbert.
- HAC 421 : Prisonnier d’amour, ballade, pour chant et piano, Suzette Desty (aut.), 1935.
- HAC 422 : Purée (La), pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.
- HAC 423 : Quand je chante au clair de lune, fox-trot sérénade, pour chant et piano, René Sarvil (comp.), René Sarvil (aut.), 1939.
- HAC 424 : Quand je suis loin de toi, valse, pour chant et piano, Daver (aut.), J. Franson (aut.), création Jean De Coster de l’A.B.C., Grand Prix du disque et lauréat du Grand Prix de la chanson.
- HAC 425 : Quand on n’est pas jolie !, chanson-valse, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 426 : Quand près de toi, mélodie, Daver (aut.), 1939, dans “Les chansons et danses en vogue. Les chansons d’Ackermans”.
- HAC 427 : Quand un soldat de chez nous, création Oliva Maddy.
- HAC 428 : Qui sait !, mélodie, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.
- HAC 429 : Quoi donc ?, tango chantée, Lucien Boyer (aut.), 1931.
- HAC 430 : Ramasseur de mégots (Le), chanson réaliste, [v.1934].
- HAC 431 : Rêve de bonheur, valse, pour chant et piano, Daver (aut.), Fred Gillar (aut.), création Zena Delmarcelle de l’Opéra d’Alger.
- HAC 432 : Rêves d’enfants, [v. 1935], création L. Dugard.
- HAC 433 : Reviens auprès de moi, Fred Gillar (aut.).
- HAC 433bis. : Eens kom je weer tot mij, Staf Wuyts (aut.), création Rik Vanderheyden.
- HAC 434 : Rien que toi, pour chant et piano, M. Villabella (comp.), Daver (aut.), 1939, création W. Prince.
- HAC 435 : Riviera la bella, fox-trot, Daver (aut.), Fred Gillar (aut.), « À monsieur J.F. Bouché », chanté par Lisette Colson.
- HAC 436 : Ronde... La Ronde... (La), pour chant et piano, Rosita Girardot (aut.), 1935.
- HAC 437 : Rosalie !!!, chanson comique, « Le grand succès d’Elvell et de Jane Bary à l’Olympia et à l’Eldorado ».
- HAC 438 : Rose (La), valse, pour chant et piano, Gino Bordin (comp.), Louis Sauvat (aut.), 1937.
- HAC 439 : Roses d’amour, valse lente, pour chant, Georges Brillant (aut.), « Cordialement à M. Jos Degrez ».
- HAC 440 : Rosier blanc (Le), légende roumaine, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 441 : Roulure (La), pour chant et piano, LĂ©on Guillot de Saix (aut.), 1934.
- HAC 442 : S.O.S., pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932, chanté par Lucien Boyer.
- HAC 443 : Sa mémé, chanson de marin, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1932.
- HAC 444 : Sabotine (La), chanson d’actualité, sur les motifs de la marche célèbre du Charme étrange, danse nouvelle, L. Gerrebos (aut.), G. de Crésac (aut.).
- HAC 445 : Sais-tu pourquoi ?, tango chanté, pour chant et piano ou orchestre, Lucien Boyer (aut.), 1934.
- HAC 446 : Savoir la vérité, chanson mélodie, pour chant et piano, Cora Laparcerie (aut.), 1933.
- HAC 447 : Señorita, Charles Tutelier (aut.).
- HAC 448 : Seul, valse chantée, Roger Féral (aut.), 1935.
- HAC 449 : Si je n’avais plus l’amour, chanson, Cora Laparcerie-Richepin (aut.), [v. 1933].
- HAC 450 : Si je pense à vous, mélodie-valse, pour chant et piano, Parrisé (aut.), 1939.
- HAC 451 : Si tu savais, mélodie, pour chant et piano ou orchestre, Claude Selam (Louise Males) (aut.), 1936, création Louis Bory, chanté par Lucienne Dugard, G. Feraldy (de l’Opéra de Paris), Christiane Houdez, Suzy de Larbre.
- HAC 451bis. : Indien je wist, Staf Wuyts (trad.), création Elyane Célis, chanté par Lisette Colson et Rik Vanderheyden.
- HAC 452 : Si tu veux, Thérèse, rumba chantée, pour chant et piano, René Sarvil (comp.), René Savil (aut.), 1939.
- HAC 453 : Si tu voulais, mélodie, chantée par Maggy d’Armont à La Nouvelle Belgique.
- HAC 454 : Si vous connaissiez ma maîtresse, valse, [v. 1934].
- HAC 455 : Soirs de Paris, tango, pour chant et piano, André Myr (aut.), 1931, interprété par les frères Deveydt.
- HAC 456 : Soleil d’amour, chanson-mélodie, pour chant et piano, Lucien Boyer (aut.), 1936.
- HAC 457 : Sublime prisonnière (La), chanson, 1947.457
- HAC 458 : Sur ton bel oiseau blanc, [v. 1935].
- HAC 459 : Synchrofolie !, rumba chantée, pour chant et piano, Allain Dhurtal (aut.), 1935.
- HAC 460 : Tais-toi, mon cœur, mélodie, pour chant et piano, Georges Thibault (aut.), 1935.
- HAC 461 : Tango du soleil (Deux grands soleil) (Le), pour chant et piano ou orchestre, Maurice Gracey (comp.), Jean Loysel (aut.), 1932, extrait de l’opérette « La Revue Marseillaise ».
- HAC 462 : Tangolina, tango sur les motifs du Beau Danube Bleu, pour orchestre, Daver (aut.), 1939.
- HAC 463 : Tanianouska !, czardas d’amour, pour chant et piano, Bataille-Herni (aut.), 1937.
- HAC 464 : Tarentelle d’amour, Daver (aut.), Fred Gillar (aut.), création Lisette Colson
- HAC 464bis. : Liefde tarentelle
- HAC 465 : Taxi (Le), pour chant et piano, Valandré (aut.), 1935.
- HAC 466 : Tempête (La), mélodie, [v. 1934].
- HAC 467 : Tes mains, pour chant et piano, Rosita Girardot (aut.), 1935.467
- HAC 468 : Timide ! (Le), pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.468
- HAC 469 : Toi que j’attendais, mélodie, pour chant et piano, Jacques Tauide (aut.), 1939.
- HAC 470 : Ton amour est comme une rose, mélodie, pour chant et piano ou orchestre, Maurice Gracey (orch.), R. Bellecoeur (aut.), 1934.
- HAC 471 : Ton œillet, mélodie, pour chant et piano, Miguel Villabella (comp.), Daver (aut.), Parrisé (aut.), 1939.
- HAC 472 : Ton retour, slow-fox, pour chant et piano, Jean Reveu (aut.).
- HAC 473 : Torrent des amours mortes (Le), pour chant et piano, Maurice PĂ©guy (aut.), 1934.
- HAC 474 : Toujours j’entends ta voix, mélodie, Daver (aut.), Franck (aut.).
- HAC 474bis. : Altijd hoor ik je stem, Albe (trad.).
- HAC 475 : Toujours toi, Madeleine Daverveldt (aut.), Demol (aut.).
- HAC 476 : Toujours vous chérir, valse chantée, pour chant et piano ou orchestre, Daver (aut.), 1938, « Quatre danses nouvelles ».
- HAC 477 : Tout est Cher !!, chanson d’actualité sur la marche célèbre de l’opérette L’Avocate, pour chant et piano, E. Bodart (aut.), J. Orban (aut.), extrait de la revue « Viens faire la file », [v. 1917].
- HAC 478 : Tout le long du trottoir, valse-musette, pour chant et piano, Marc HĂ©ly (aut.), 1935.
- HAC 479 : Tout près de votre oreille, Jean-Claude Pedron (aut.), 1939, chanté par Jean De Coster, « Grand prix du Disque – ABC – Grand prix de la chanson. ».
- HAC 480 : Toutou, chanson, Max Viterbo (aut.), 1934.
- HAC 481 : Trois œufs rouges, fox-trot, pour chant et orchestre, Ch. Murky (comp.), Camille François (aut.), 1937.
- HAC 482 : Trois souhaits de Noël, [v. 1935].
- HAC 483 : Tu es nue Nana !, fox-trot chanté, 1942.
- HAC 484 : Tu m’aimes trop..., pour chant et piano, Henry Lemarchand (aut.), 1933.
- HAC 485 : Tu ne l’as donc pas su, pour chant et piano, Louis Poterat (aut.), 1934.
- HAC 486 : Tu partiras, Fredo Gardoni (comp.), J. Loysel (aut.), Valiès (aut.).
- HAC 487 : Tu veux savoir, mélodie, pour chant et piano, Louise Emanuel (aut.), 1938.
- HAC 488 : Un ange est venu..., mélodie, pour chant et piano, Claude Selam (aut.), 1936.
- HAC 489 : Un beau régiment, pour chant et piano, Paul Fort (aut.), 1935.
- HAC 490 : Un coin d’azur, java rêvée, pour chant et piano, Bataille-Henri (aut.), 1937, création Jeanne Aubret.
- HAC 491 : Un coup d’riquiqui, pour piano et chant, Jean Richepin (aut.), 1935.
- HAC 492 : Un mot, tango-mélodie, pour chant et orchestre, Jean Lenoir (aut.), 1932, création Floryse au cabaret Frisco, chanté par Lise Marlys.
- HAC 493 : Un mot de toi, valse, [v. 1934].
- HAC 494 : Un thé de charité, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.
- HAC 495 : Un vrai Marlou, chanson réaliste, [v. 1934].
- HAC 496 : Une chanson, pour chant et piano, Max Viterbo (aut.), 1934.
- HAC 497 : Une maman chantait (My Mother singing), Joe Heyne (comp.), Daver (aut.), 1950, création Lise Coliny, chanté par Joe Heyne et son orchestre.
- HAC 498 : Une rose rêvait, mélodie, pour chant et piano, Bataille-Henri (aut.), 1939.
- HAC 499 : Valse de Paris, pour chant et piano, L. Bauthié (aut.), 1935.
- HAC 500 : Valse du linge aux fenêtres (La), pour chant et piano, René Sarvil (comp. et aut.), Jean Marietti (aut.), 1939.
- HAC 501 : Venise, adieu !, marche chantée/two-step, Ch. Geuskens (comp.), Louis
- Lemarchand (aut.), Charles Tutelier (aut.), 1926, « Cordialement à Mr H. Lognay », « Le succès international chanté par Alibert aux Folies Bergères dans la nouvelle hyper revue “un vent de folie” de Mr Louis Lemarchand présentée par Paul Derval », « chantée par Esther Deltenre, E. Rouget, Suzy Gossen, Olivia Mady dans la revue “Bruxelles Charleston” de Ch. Tutelier & E. Festerat au théâtre de la Gaîté ».
- HAC 502 : Vieil Accordéon (Le), valse, Aubel (comp.), J. Loar (aut.).
- HAC 503 : Viens me donner du bonheur, valse chantée, pour chant et piano, Bataille-Henri (aut.), 1937.
- HAC 504 : Viens vers le rêve, slow-fox, pour chant et piano ou orchestre, Étienne Recagno (aut.), 1938.
- HAC 505 : Vieux clochers de chez nous, noël, pour chant et piano, Aubel (comp.), Daver (aut.), Jean Reveu (aut.), chanté par Roger Gerlé.
- HAC 506 : Vieux moulin (Le), chanson, [v. 1934].
- HAC 507 : Vive Vittel !, chanson-marche, A. Gabriello (aut.), 1933, création à Vittel par l’orchestre Edouard Stevens.
- HAC 508 : Vivre sans toi, mélodie tzigane, pour chant et piano ou orchestre, Louis Poterat (aut.), 1934.
- HAC 509 : Voulez-vous m’aimer, slow-fox, pour chant et piano, Daver (aut.), 1952, création Ginette d’Arcourt.
- HAC 510 : Vous aurez la vôtre, Jean Bernard Neuburger (comp.), Eugène Olivier (aut.).510
- HAC 511 : Vous dansez sur mon cœur, valse, pour chant et piano, Marcel Delmas (aut.), 1937, chanté par Elyane Célis.
- HAC 512 : Voyage de mimi Pinson (Le), pour chant et piano, P. G. Dublin (aut.), 1935.
- HAC 513 : Wanneer je weer bij mij zult zijn, pour chant, Fred Gillar (aut.), Staf Wuyts (aut.), création Nina Martell.
- HAC 514 : Y’a d’l’amour dans l’air, Jean Reveu (aut.), création Christian Houdez.
- HAC 515 : Zanzi (on fait un...), one-step, Ch. Geuskens (comp.), René Deman (aut.), création Esther Deltenre.
- HAC 599 : Pepa, paso-doble, chanté par Cora Fubiani.
- Opérettes et pièces théâtrales
- HAC 516 : Avocate (L’), opérette en trois actes, livret de Laurent Gerrebos et Gaby de Crésac, 1917. Représentée pour la première fois au théâtre « Le Pavillon de Flore » à Liège, le 24 février 1917.
- HAC 517 : Charme étrange (Le), opérette en trois actes, livret de Laurent Gerrebos et Gaby de Crésac, création à Liège au Pavillon de Flore, 1917.
- HAC 518 : Sus !, 1917.
- HAC 519 : Paysan-roi, fantaisie d’actualité à grand spectacle en 3 actes, Léo de Smedt (aut.), 1918.
- HAC 520 : Néron, opérette en trois actes, Ch. Tutelier (aut.), création à la Gaîté de Bruxelles, 1930.
- HAC 521 : Femme d’une heure (La), comédie musicale en 4 actes, Alfred Gragnan (aut.), Max Viterbo (aut.), création à l’Œil de Paris, 1932.
- HAC 522 : Départ du conscrit (Le), pièce à dire avec accompagnement de musique, Paul Fort (aut.), 1935.
- HAC 523 : Bar des Ombres (Le), tangos, 1937.
- HAC 524 : Plein la vue, opérette moderne en un acte pour le théâtre ou la radio, Daver (aut.), Lil Boël (aut.), 1943.
- HAC 525 : Toutou, opérette-farce, Jean Blondel (aut. livret), Paul Varan (aut. couplets), 1955, création au Théâtre des Arts.
- HAC 526 : Secret dans le mur (Le), opérette en deux actes et un prologue, version radiophonique, Armand Thibaut (aut.).
- Chansons de films
- HAC 527 : C’est toujours comm’ ça !, fox-trot, pour chant, Gabriello (aut.), 1932, dans le film Plaisirs de Paris, création Marcel Rallay.
- HAC 528 : Il suffit d’aimer, fox chanté, pour chant et piano ou orchestre, 1932, du film Plaisirs de Paris.
- HAC 529 : Plaisirs de Paris, valse chantée, Edmond T. Gréville et Cerval (aut.), Sam Fox (éd.), 1932, du film Plaisirs de Paris.
- HAC 530 : An evening of April, melody waltz, pour orchestre de salon, John Mevensen (comp.), Hippolyte Ackermans (orch.), 1928.
- HAC 531 : À travers la Corse, fantaisie d’airs corses.
- HAC 532 : Au crépuscule, trio, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 533 : Autour du monde, valse, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 534 : Brabançonne (La), chant national belge arrangé pour une ou deux voix et piano, François Van Campenhout (comp.).
- HAC 535 : Ce soir, mélodie, chant et piano, Robert Schumann (comp.), 1940, création Suzy de Larbre, « Les belles mélodies célèbres ».
- HAC 536 : Cieux adorables, grande valse, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 537 : Dans la brousse, fantaisie, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 538 : De Vienne à Rome, pot-pourri, arrangement d’airs traditionnels.
- HAC 539 : En vacances, marche, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 540 : Fantaisie sur des airs en vogue.
- HAC 541 : God Save the King, air national anglais arrangé pour une ou deux voix.
- HAC 542 : If my heart could only talk, Powell Teddy (comp./aut.), Samuel Walter G (comp./aut.), Whitcup Leonard (comp./aut.).
- HAC 543 : Jolie France, pot-pourri.
- HAC 544 : Libellules, air de ballet pour orchestre, Eugène Lanini (comp), 1946.
- HAC 545 : Marseillaise (La), air national français arrangé pour une ou deux voix, Rouget de Lisle (comp.).
- HAC 546 : Menuet Watteau, menuet, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 547 : Nice Morning, intermezzo, pour piano ou orchestre, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 548 : Pantalons rouges, two-step, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 549 : Phylis et Colin, mélodie, pour chant et piano, Robert Schumann (comp.), Daver (aut.), Y. Lacant (aut.), 1940.
- HAC 550 : Plus ravissantes (Les), mazurka, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 551 : Pot-pourri National, contenant 30 chansons populaires, pour orchestre.
- HAC 552 : Sport d’hiver, mazurka, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 553 : Star Spangled Banner (The) (La Bannière étoilée), air national américain arrangé pour deux voix, John Stafford Smith (comp.), Francis Scott Key (aut.).
- HAC 554 : Tittle Tattle, intermezzo, Eugène Lanini (comp.).
- HAC 555 : Au Brésil Immense, fox-trot, 1922, « À l’excellent compositeur Ch. Courtioux ».
- HAC 556 : Au Brésil Immense, mélodie-fox-trot, Valentin Tarault (aut.), 1922, créé par Rose Amy, chanté par Bérard, Watson, Paul Gesky, Charco, Reine Chanteix et Malika Begani.
- HAC 557 : Bella Sierra !, tango milonga, pour chant et piano, Stablo Bréval (aut.), 1925.
- HAC 558 : Bing !... Bam !... Boum !..., fox-trot Blues sur les motifs du célèbre fox-trot macabre, Charles Tutelier (aut.), 1923. Chanté par Mondose. « Le grand succès de Marcel Roels dans la revue de l’Alhambra de Bruxelles. ».
- HAC 559 : Chanson bochique ou Le tîner à Pariss !!, A. Schaller (aut.).
- HAC 560 : Foch les faucha !, marche française, pour piano, « Hommage au Maréchal Foch ».
- HAC 561 : Fox-trot macabre, morceau caractéristique, pour piano, 1922, « À mon ami Victor Dubois, chef d’orchestre de l'Astoria de Bruxelles ».
- HAC 562 : Howcezia, fox trot, [v. 1935].
- HAC 563 : Ispahan, mélodie fox-trot, Pierre d’Amor (aut.), 1922, « Aux excellents artistes Mr et Mme Fr. Lauwers ».
- HAC 564 : J’n’en suis pas..., pour chant et piano, Antoine Schaller (aut.), « Au bon camarade Boery ».
- HAC 565 : M’Amour, fox-trot song, pour chant, Pierre Darency (aut.), chanté par Despy et Alain.
- HAC 566 : Marche des Poilus (Marsch der poilus), pour chant et piano, A. Schaller (aut.), 1919, « Aux vaillants soldats de toutes les armées alliées ».
- HAC 567 : Marche des Poilus (Marsch der poilus), pour orchestre, 1919, « Aux vaillants soldats de toutes les armées alliées ».
- HAC 568 : Marche des Poilus (Marsch der poilus), pour piano, 1919, « Aux vaillants soldats de toutes les armées alliées ».
- HAC 569 : Marlène, ma jolie, valse, pour chant et piano ou orchestre, Nuno Perez (comp.), Jean Laine (aut.), 1952.
- HAC 570 : Mon p’tit colibri, fox-trot, pour ensemble, John Mevensen (comp.), 1924, « À notre cher ami Ben Duis ».
- HAC 571 : Moreska, mélodie fox-trot blues, pour orchestre, 1925, « Cordialement au réputé professeur de danse Mr. Maurice Mottie directeur de l’Institut Giraudet ».
- HAC 572 : Mysterious one-step, pour piano, « To my friend Ch. Vandermissen ».
- HAC 573 : Niagara-Fox, fox-trot, pour ensemble, John Mevensen (comp.), 1924, « À l’excellent pianiste René Segers ».
- HAC 574 : Norvégia, légende norvégienne, mélodie fox-tot blues, pour chant et piano, Pierre Darency (aut.), 1923, « Au Maestro Martino », chanté par Charco, Watson, Paul Gesky, Rima, Matta.
- HAC 575 : Ora Violetta, habanera.
- HAC 576 : Parfum discret, fox-trot, pour orchestre, « À mon ami L. Mommaerts ».
- HAC 577 : Péché mortel, valse lente, pour chant, Ed. François (aut.).
- HAC 578 : Petite fleur de dancing, valse, pour orchestre et piano conducteur, 1924, « À mon ami, l’excellent compositeur V. Douliez ».
- HAC 579 : Peut-être, mélodie-valse, John Mevensen (comp.), Paul Max (aut.), 1925, « À Mademoiselle Mitty Nuyts », chanté par Mesdames Primevère, J. Noël, Olga Décé, R. Breville, Messieurs Freddy, M. Gérard, Zau Berr, Aerts, Mme de Midrède, Gildor, Watson, Charco, Garrick, Gallez.
- HAC 580 : P’tit chameau (Le), fox-trot pour ensemble à cordes, 1922, « Amicalement à MR J. Chanoine ».
- HAC 581 : Sale truc de Boche !!, chanson satyrique, A. Schaller (aut.), « À notre national Ambreville, vivante image de l’échec du “Alles plat ! ” ».
- HAC 582 : Tarazona, paso doble, le gros succès espagnol, pour piano, 1920, « Cordialement à Monsieur L. Hillier, compositeur et chef d’orchestre au “casino de Paris” ».
- HAC 583 : Teddy-Maddy, intermezzo-fox-trot caractéristique, pour orchestre, 1922, « Cordialement à l’excellent compositeur, G. Thiriart/ Chef d’orchestre au Liège Palace ».
- HAC 584 : Trionfo d’amore, valse.
- HAC 585 : Un peu, un tout p’tit peu, marche one-step chantée pour orchestre, Ch. Vandermissen (orch), Bertal (aut.), Louis Maubon (aut.), 1924, « À messieurs Nijs et De Pauw, directeurs de l’Eden-Ciné de Bruxelles », création de J. Garrick, interprété par Black Teddy and the boys enchanted orchestra, Watson, Garrick, Charco, Maita.
- HAC 586 : Vers l’Atlantide, intermezzo caractéristique, 1922, « Dédié à F. Rooman », « À Madame et Monsieur E. Gemoets en souvenir de ma grande amitié ».
- HAC 587 : Au son du tambour.
- HAC 588 : Badajoz.
- HAC 589 : Brésilienne à Paris, Barcy (comp.).
- HAC 590 : Caillou blanc, P. Monier (comp.).
- HAC 591 : C’est vrai.
- HAC 592 : DĂ©chire.
- HAC 593 : DĂ©sir, Hengelmolen (comp.).
- HAC 594 : Espoir.
- HAC 595 : Fille d'Espagne, grande valse espagnole.
- HAC 596 : Gaiety forever, marche.
- HAC 597 : Ma jolie chaumière, [v. 1941].
- HAC 598 : Marche du bonheur (La).
- HAC 600 : Petit tambour du Roy (Le), morceau caractéristique.
- HAC 601 : Père Blaise (Le).
- HAC 602 : Portugaise (La), paso-doble.
- HAC 603 : Sérénade für Roxane.
- HAC 604 : Si les enfants.
Notes et références
- Acte de naissance d'Hippolyte Ackermans, Archives de la Ville de Bruxelles.
- Acte de mariage Hippolyte Ackermans et Madeleine Daverveldt, no 166, Archives de la ville de Bruxelles
- Amour et charité, disponible aux Archives de la ville de Bruxelles : CAPGM 164.
- Hippolyte Ackermans, Petite Patrouille, op. 85, marche nouvelle avec imitation de tambour, Mado Ă©diteur, Bruxelles, 1915, disponible Ă la KBR : Danval III/362 C Mus.
- Hippolyte Ackermans, RĂŞverie, Mado Ă©diteur, Bruxelles, 1916, disponible aux Archives de la ville de Bruxelles : CAPGM 164.
- « La Belgique | The Belgian War Press », sur warpress.cegesoma.be (consulté le )
- « L'opérette à Bruxelles », Le Soir,‎ (lire en ligne)
- Le Soir, 20 février 1950 (lire en ligne)
- S. F., « Mort du compositeur Hippolyte Ackermans », dans Le Soir (lire en ligne)
- « Mort du compositeur Ackermans », dans Le journal de Genève, 1er septembre 1965, p. 5 (lire en ligne) (consulté le 15 avril 2020)
- « Hippolyte Ackerman overleden », dans Leidse Courant, 1er septembre 1965, p. 5
- Maud Duchesnes, Hippolyte Ackermans. Redécouverte de la vie et des œuvres d'un compositeur belge du XXe siècle, mémoire de master en Histoire de l'art, orientation musicologie, Université de Liège, 2019.