Accueil🇫🇷Chercher

Hello Sanctos

Sanctos van het Gravenhof

Hello Sanctos
Hello Sanctos monté par Scott Brash au CHIO d'Aix-la-Chapelle en mai 2015
Informations
Espèce
Race
Couleur
Sexe
Date de naissance
Lieu de naissance
Taille
1,65 m
Père
Mère
Nasia van het Gravenhof (d)
Propriétaires

Hello Sanctos (né Sanctos van het Gravenhof le ) est un cheval hongre bai issu du stud-book sBs, concourant en saut d'obstacles. Ses débuts sont difficiles, ce poulain né en Belgique flamande n'étant pas détecté par son éleveur Willy Taets, ni par les cavaliers et investisseurs internationaux, jusqu'à être monté par Peter Wylde, qui le revend en Ukraine à l'âge de 8 ans. Il est remarqué par Lord Kirkham et Lord Harris, deux mécènes à la recherche d'une monture performante pour le cavalier écossais Scott Brash. Avec Brash, Hello Sanctos remporte une médaille d'or par équipes aux Jeux olympiques de Londres en 2012, deux fois le Global Champions Tour, et deux médailles aux championnats d'Europe de 2013. Il devient en 2014 et 2015 le meilleur cheval au monde dans sa discipline et le plus lucratif, restant le seul cheval au monde à avoir réussi le Grand Chelem de saut d'obstacles ces mêmes années. Blessé en fin de saison 2015, il ne retrouve plus son meilleur niveau. Il est officiellement mis à la retraite fin , à l'âge de 17 ans.

Hello Sanctos est réputé pour sa grande intelligence. Fils de l'étalon Quasimodo van de Molendreef, il a pour ancêtres les étalons Nabab de Rêve et Heartbreaker, comptant parmi sa lignée une moitié d'origines génétiques françaises. Le sculpteur Kevin Paxton a créé une statue le représentant avec son cavalier à Peebles, en hommage pour la médaille d'or obtenue aux Jeux olympiques.

Histoire

Jeunes années

Sanctos naît le du croisement entre la jument Nasia van het Gravenhof et l'étalon Quasimodo van de Molendreef[1], à l'élevage de Willy Taets, à Lembeke en Flandre-Orientale, Belgique[2] - [3]. Son nom originel est Sanctos van het Gravenhof[4]. Son éleveur, bien qu'établi dans la région historique (les Flandres belges) du stud-book BWP, choisit de l'inscrire au stud-book wallon du sBs, comme d'autres de ses poulains[5]. Sanctos est vendu jeune, Willy Taets n'ayant pas détecté qu'il deviendrait bon, car il ne l'a jamais observé sauter en liberté, et n'avait pas les moyens de financer un entraînement sous la selle[3].

Sanctos est acquis par Dany van Lombergen, qui l'a observĂ© sauter en libertĂ©, et dĂ©clare qu'il s'agissait du premier saut de ce cheval[3]. Surtout intĂ©ressĂ© par sa lignĂ©e, il l'estime bon, mais trop prudent et trop peu gĂ©nĂ©reux dans ses sauts[3]. Sanctos ne se qualifie pas pour la finale de saut en libertĂ© des jeunes chevaux de deux ans Ă  Moerzeke[3]. Lombergen le re-vend deux ans plus tard Ă  Jean-Luc de Maeyer, alors âgĂ© de 4 ans, estimant que ce cheval ne sera jamais un grand champion[3]. Jean-Luc de Maeyer, passionnĂ© Ă  l'Ă©poque par la lignĂ©e de l'Ă©talon Quasimodo van de Molendreef, fait monter Sanctos une saison par Kim van Laenen, puis la saison suivante, celle des 5 ans, par Jo de Witte[3]. Le jeune hongre enchaĂ®ne avec lui les parcours sans fautes et se qualifie en finale jeunes chevaux Ă  Gesves, mais, victime d'un ulcère au sabot, il y fait tomber une barre, malgrĂ© son bon passage de garrot et son mental considĂ©rĂ© comme excellent[3]. Il attire peu l'attention des acheteurs et des entraĂ®neurs de jeunes chevaux, en raison notamment de son style de saut Ă©conome[3]. Au printemps 2009, âgĂ© de 7 ans, il arrive chez Jos Kumps, l'un des principaux marchands de chevaux europĂ©ens[5]. Il est montĂ© cette mĂŞme annĂ©e par son fils Alexander, âgĂ© de 16 ans, en circuit international junior, jusqu'Ă  1,40 m[5].

Sanctos passe sous la selle de l'AmĂ©ricain Peter Wylde[4] Ă  l'âge de 8 ans[3]. Wylde est le premier Ă  croire en les capacitĂ©s de ce jeune cheval, auquel il accorde beaucoup d'attention, lui offrant des massages et le travaillant deux fois par jour[3]. Il estime, lors du concours de Vimeiro au Portugal, que Sanctos est l'un des meilleurs chevaux qu'il ait jamais montĂ©s[3]. Après une annĂ©e passĂ©e sous sa selle, en , Sanctos est vendu Ă  l'oligarque Alexander Onyshchenko, en Ukraine, oĂą il rejoint Katharina Offel[4] - [6]. Avec cette cavalière, le hongre se montre performant et rĂ©gulier[4].

Passage sous la selle de Scott Brash

L'achat de Sanctos par les Britanniques part d'une conversation entre David Broome et Nick Skelton à propos des pistes pour constituer une équipe britannique solide afin de remporter le titre de champions olympiques de saut d'obstacles à domicile en 2012[7]. David Broome souhaite sélectionner le jeune cavalier écossais Scott Brash, mais regrette qu'il n'ait pas de bonne monture[7]. Skelton a repéré Sanctos van het Gravenhof, mis en vente par son propriétaire ukrainien Alexander Onyshchenko[7]. David Broome contacte alors Lord Harris, son mécène[7].

En , Scott Brash, Ă  l'occasion d'un voyage en Allemagne chez David Broome, essaie Sanctos van het Gravenhof, alors mis au repos depuis un petit moment[8] - [7]. ImpressionnĂ© par sa force, il demande Ă  Lord Harris et Lord Kirkham de le lui acheter, ce qui sera fait pour une somme d'environ 2 millions d'euros[7] - [4] - [9]. Ces derniers rebaptisent le cheval « Hello Sanctos », tous leurs chevaux Ă©tant identifiĂ©s par le prĂ©fixe « Hello »[10] - [11]. Cela efface son affixe d'Ă©levage originel[5]. EnvoyĂ© en Écosse, Ă  Peebles, ce qui lui demande un temps d'adaptation, sa nouvelle groom est Mairie MacMichael[8] - [7].

Sanctos et Scott Brash participent Ă  leur première compĂ©tition internationale le Ă  Wellington, un Concours de saut international deux Ă©toiles (CSI2*) sur une hauteur de 1,45 m, terminant Ă  la 20e place[12]. Quelques semaines plus tard, ils dĂ©crochent la victoire sur le Grand Prix de la Coupe du monde FEI de Wellington[8]. En , Scott et Sanctos font leurs dĂ©buts en Coupe des nations Ă  Rome, puis Ă  Rotterdam[8].

MĂ©daille d'or aux Jeux olympiques de Londres

L'équipe britannique, dont Scott Brash sur Hello Sanctos (2e en partant de la gauche), médaillée d'or aux Jeux olympiques d'été de 2012.

En raison de ses débuts difficiles[13], le couple reste dans l'ombre jusqu'à l'été 2012[9], au mois de juillet[8], lorsqu'il est sélectionné par Rob Hoekstra, le sélectionneur olympique britannique[9]. L'équipe britannique de saut d'obstacles compte quatre jeunes chevaux de 9 et 10 ans, dont Sanctos[14]. Il participe largement à la médaille d'or par équipes décrochée par le Royaume-Uni, terminant à la 5e place en individuel[12]. Scott Brash, 26 ans, est alors le plus jeune cavalier de l'équipe britannique[12]. Le parcours sans-faute du couple à la suite des 4 points du passage de Ben Maher et Tripple X III a permis de rétablir l'équilibre, et de sécuriser cette médaille d'or britannique[É 1].

Première victoire au Global Champions Tour et championnats d'Europe 2013

Hello Sanctos monté par Scott Brash au 53e CHI de Genève, en décembre 2013.

Le couple participe à l'épreuve Coupe des nations du CSIO de La Baule en mai, y retrouvant pour l'occasion un autre membre de l'équipe britannique, Nick Skelton[14] : il termine un parcours à 8 points, permettant néanmoins une 3e place ex-aecquo pour l'équipe britannique[15]. Sanctos et Scott Brash s'inclinent derrière Henrik von Eckermann dans le Grand Prix de l'étape Global champions tour d'Estoril (Cascais), début juillet[É 2]. Le couple participe à l'étape Global Champions Tour de Chantilly en juillet[É 3]. Au CSIO de Dublin début août, Hello Sanctos et Scott Brash participent largement à la qualification de leur équipe nationale en finale de Coupe des nations, grâce à leur double sans-fautes[É 4].

Sélectionnés pour les championnats d'Europe à Herning[É 5], Scott Brash et Hello Sanctos « réalisent un très bon championnat en portant [leur] équipe pour la médaille d'or », et décrochent le bronze en individuel[É 6].

En , Scott Brash et sa monture remportent successivement le Grand prix d'Oslo et la première étape du circuit Coupe du monde de 2013-2014[É 7]. Le couple décroche sa première victoire dans le circuit du Global Champions Tour[4] : Brash et Sanctos réalisent à ce titre un coup double, puisqu'ils remportent à la fois le circuit et le concours final de Doha, le , sur un parcours particulièrement piégeux[É 8]. Pour leur première participation au fameux Concours hippique international de Genève en , l'un des événements les plus réputés de la saison sportive hivernale, ils se classent seconds, derrière le champion olympique Steve Guerdat, qui concourait à domicile[9] - [É 9].

Seconde victoire au Global Champions Tour

En , Scott Brash participe au CSI5* de Bâle ; malgrĂ© un tour extrĂŞmement rapide, il est dĂ©passĂ© par David Will, et par Marco Kutscher sur Cornet's Cristallo[É 10]. Sur la fin de la saison hivernale, Scott Brash participe Ă  la tournĂ©e de Floride avec Sanctos, dĂ©crochant le Grand prix du CSI5* de Wellington[É 11]. Lors de l'Ă©preuve Coupe des nations de Rome, ils terminent Ă  la 4e place avec l'Ă©quipe britannique[É 12]. Le couple remporte le Grand prix du CSI5* de Cannes mi-juin, au terme d'un barrage Ă  neuf et en profitant du sĂ©chage d'une piste dĂ©trempĂ©e par la pluie, rĂ©alisant l'un des trois doubles parcours sans fautes de la compĂ©tition[É 13]. Lors du CSI5* Ă©tape Global Champions Tour de Londres, mi-, ils font l'un des trois sans-fautes parmi les 50 concurrents, avec 5 secondes d'avance sur le second[É 14].

Quelques semaines avant les Jeux Ă©questres mondiaux de 2014 Ă  Caen, Brash exprime sa rĂ©ticence Ă  participer Ă  la « finale tournante » avec Sanctos, oĂą chacun des 4 cavaliers finalistes monte Ă  tour de rĂ´le le cheval des autres[16]. Brash dĂ©clare forfait en concertation avec les propriĂ©taires de Sanctos et la FĂ©dĂ©ration Ă©questre britannique, dès le premier jour de compĂ©tition[16] - [17], après deux parcours Ă  4 points, ce qui les place Ă  la 36e place (8,10) points du classement provisoire individuel[É 15].

EngagĂ©s sur le CSI5* de Doha, ils rĂ©alisent un premier sans-faute dans l’épreuve Ă  1,50 m, mais Scott Brash choisit de ne pas participer au barrage pour prĂ©server son cheval en vue du Grand Prix du Global Champions Tour[É 16]. Brash et Hello Sanctos dĂ©crochent Ă  nouveau la première place du circuit Global Champions Tour pour la saison 2014[É 17], grâce Ă  leur 4e place sur ce dernier concours de la saison, au CSI5* de Doha[É 18].

Du second CHI de Genève aux championnats d'Europe 2015

Hello Sanctos monté par Scott Brash au 54e CHI de Genève, en décembre 2014.

Brash et Sanctos sont engagés pour le Grand Prix des Masters de Paris début [É 19], mais se font piéger par l'obstacle numéro 1, un vertical blanc[É 20]. Pour leur seconde participation au CHI de Genève, mi-décembre, ils remportent la finale Top 10, en réalisant le seul double sans faute[É 21] - [É 22]. Ils remportent aussi le Grand Prix[18], face à 13 concurrents sur 40 au barrage[É 23], grâce à une petite erreur de Roger-Yves Bost[19].

Premiers à s'élancer pour le Grand Prix du CSI5* de Bâle[É 24], ils y terminent sur le podium, en troisième place[20]. Déjà vainqueur des deux précédentes éditions du Global Champions Tour, le couple y participe pour la saison 2015. Sur la troisième étape à Miami[É 25], ils décrochant la victoire et figurent parmi les 4 double sans-faute, sur 50 concurrents[É 26] - [21]. Mi-mai, Sanctos et Brash se font piéger sur l'étape Global Champions Tour de Hambourg[É 27], puis remportent le très réputé Grand Prix d'Aix-la-Chapelle à la fin du mois, seconde étape du Grand Chelem, en réalisant trois manches (dont un barrage) impeccables, favorisées par la longueur des foulées de galop de Sanctos[É 28] - [É 29]. Cette victoire les place en grands favoris des championnats d'Europe de 2015, qui se tiennent trois mois plus tard[É 28]. En accord avec les propriétaires de Sanctos, Scott Brash annonce qu'il n'y participera pas, pour préserver son cheval[22]. La presse britannique publie de nombreuses critiques, le cavalier étant accusé de ne penser qu'à l'argent (en participant de préférence aux circuits richement dotés) plutôt qu'à la qualification de son pays pour les Jeux olympiques d'été de 2016 à Rio[7].

Du Grand chelem au troisième CHI de Genève

En , Hello Sanctos permet à Scott Brash de devenir le premier cavalier de l'histoire à remporter le Grand Chelem de saut d'obstacles[23], et devient le premier cheval de l'histoire à remporter les trois concours réputés les plus difficiles au monde, consécutivement[3], grâce à sa victoire au Grand Prix du CSIO de Spruce Meadows[24]. Le couple réalise le seul double sans-fautes de la compétition[É 30], sans stress apparent[25]. Cela entraîne le versement d'un bonus d'un million d'euros, là aussi pour la première fois dans l'histoire du saut d'obstacles[3] - [25]. Hello Sanctos a été embarqué sur l'aéroport de Liège en quittant son écurie à 4 h 30, arrivant à Calgary deux jours avant son cavalier[26]. Après le Grand Chelem, Sanctos est mis au repos, reprenant la haute compétition à Doha, où il commet quelques fautes[É 31] - [É 32].

DĂ©but , Scott Brash et Hello Sanctos participent pour la troisième fois au CHI de Genève[É 31], qui se rĂ©vèle aussi ĂŞtre leur dernière compĂ©tition majeure[27] sur 1,60 m[1]. Mi-dĂ©cembre, l'Ă©leveur du cheval, Willy Taets, reçoit le prix de la World Breeding Federation for Sport Horses (WBFSH) rĂ©compensant les Ă©leveurs des meilleurs chevaux de sport du monde[É 33].

Grâce à la prime gagnée au terme du Grand Chelem, Scott Brash acquiert des écuries dans le sud de Londres en , et s'y installe avec son cheval en , notamment pour réduire ses temps de transport vers l'Europe via le tunnel sous la Manche[7].

ArrĂŞt pour blessure et tentatives de reprise

Hello Sanctos disparaĂ®t des terrains de concours en , pour cause de blessure[GP 1]. DĂ©but , son propriĂ©taire envisage une participation aux Jeux olympiques d'Ă©tĂ© de 2016 Ă  Rio si le hongre se rĂ©tablit[É 34], Scott Brash ajoutant en accord avec lui que ces Jeux olympiques seront la dernière compĂ©tition majeure du hongre, alors âgĂ© de 14 ans[7]. Hello Sanctos est considĂ©rĂ© comme n'Ă©tant pas suffisamment en forme pour participer Ă  une seconde Ă©dition des Jeux olympiques[É 35]. Fin , Hello Sanctos participe avec Scott Brash au CSI1* (Concours de saut international une Ă©toile) de Kronenberg : il y reçoit 5 points de pĂ©nalitĂ©s dès la première Ă©preuve[É 36]. En , Scott Brash estime que sa monture est en forme et devrait bientĂ´t fouler de nouveau les terrains de concours du haut de ses 16 ans[GP 2], mais jusque fin 2018, ses tentatives de retour se rĂ©vèlent infructueuses[GP 1] - [28].

DĂ©but , il est annoncĂ© que la pĂ©riode de convalescence d'Hello Sanctos a pris fin[29]. Le hongre reparaĂ®t sur le CSI1* d'Oliva[GP 1]. Il y rĂ©alise deux parcours Ă  1,25 m et 1,30 m, avec respectivement un point de temps dĂ©passĂ© et une barre tombĂ©e, mais en affichant une belle fraĂ®cheur, d'après Grand Prix magazine[GP 3] - [27]. En , alors âgĂ© de 17 ans, il participe au CSI1* de Valkenswaard Ă  1,35 m, mais rĂ©alise lĂ  aussi de mauvaises performances[1].

Une nouvelle compétition en , sur le CSI2* Hubside jumping de Saint-Tropez, mais Hello Sanctos trébuche fortement à la réception du premier obstacle, et fait tomber une barre[30].

Mise Ă  la retraite

Le Ă  midi, Scott Brash annonce la mise Ă  la retraite d'Hello Sanctos[GP 4].

Description

Hello Sanctos monté par Scott Brash au 54e CHI de Genève, en décembre 2014.

Hello Sanctos est un hongre de robe baie, inscrit au stud-book du sBs[1]. Il mesure 1,65 m[8] - [31].

Scott Brash le décrit comme un cheval « vraiment spécial »[É 23] et « incroyable », notamment du fait de sa très grande intelligence : d'après son cavalier, son cerveau serait ce qui le rend si bon[13] - [31]. Il ajoute que Sanctos a de l'attention[32], et témoigne d'une envie de gagner pour son cavalier[31]. Xavier Libbrecht, pour le magazine L’Éperon, le décrit comme un « prototype du cheval de sport moderne », « élégant, aérien, respectueux »[É 8]. Dans Grand Prix magazine, le hongre est décrit comme « aussi efficace et appliqué que discret »[5]. Comme tout cheval de sport, Sanctos a suivi un entraînement physique poussé, et dispose de jambes solides[31].

Le hongre est réputé pour son calme et son flegme hors des terrains de concours, tombant rapidement endormi dans son box[10]. Il est également un grand amateur de bonbons Polo[10]. Alexander Kumps le décrit comme un cheval très gentil[5]. Scott Brash insiste sur la nécessité de former un couple véritable avec son cheval, et décrit avoir notamment fait un gros travail sur le galop, afin de trouver le bon rythme auquel travailler son cheval[7].

Palmarès

Cavalier sautant un obstacle
Scott Brash et Hello Sanctos pendant le Grand Prix du CHI de Genève, en décembre 2014.

Brash et Hello Sanctos décrochent un très grand nombre de victoires en Grand Prix (12) et en Coupe des nations[4]. Hello Sanctos est considéré comme le meilleur cheval de saut d'obstacles du monde en 2014 et 2015[33]. De par son activité, il est également un animal ayant énormément voyagé, comptant anecdotiquement plus de miles en avion que le couple Beckham (Victoria Beckham et David Beckham)[10].

Saison 2010

La saison 2010 de Sanctos se déroule avec Peter Wylde[1].

  • : second d'une Ă©preuve Ă  1,45 m au CSI3* de Manerbio[1] ;
  • : 4e d'une Ă©preuve Ă  1,50 m au CSIO3* Coupe du monde d'Istanbul[1] ;
  • : 3e d'une Ă©preuve Ă  1,50 m au CSI4* de La Corogne[1] ;
  • : 4e du Grand Prix du CSI3* de Vimeiro, Ă  1,60 m[1] ;
  • : second du Grand Prix du CSI2* de Roggel, Ă  1,45 m[1] ;
  • : 4e du Grand Prix du CSI2* d'Odense, Ă  1,45 m[1] ;
  • : 4e des Ă©preuves numĂ©ro 28 et 29 du CSI3* d'Odense, Ă  1,45 m et 1,45 m-1,50 m[1] ;
  • : vainqueur du Grand Prix du CSI2* d'Oldenburg, Ă  1,45 m[1].

Saison 2011

La saison 2011 de Sanctos se déroule avec Katharina Offel[1].

  • : 5e du Grand Prix du CSI2* de Follonica, Ă  1,45 m[1] ;
  • : 5e d'une Ă©preuve Ă  1,45 m au CSI3* d'Arezzo[1] ;
  • : 4e du CSIO4* Coupe des nations Gold Tour de Linz, Ă  1,55 m[1] ;
  • : 5e du Grand Prix du CSI3* de Pforzheim, Ă  1,55 m[1] ;
  • : 5e d'une Ă©preuve Ă  1,50 m au CSI3* de MĂĽnchen-Riem[1] ;
  • : vainqueur d'une Ă©preuve Ă  1,55 m au CSI4* de Geesteren[1] ;
  • : 5e du Prix Warsteiner au CSIO5 d'Aix-la-Chapelle, Ă  1,50 m[1] ;
  • : 4e de l'Ă©tape Coupe des nations du CSIO5* de Barcelone, Ă  1,55 m-1,60 m[1].

Saison 2012

Le hongre réalise toute sa saison 2012 avec Scott Brash. Hello Sanctos est 50e du classement mondial des chevaux d'obstacle établi par la WBFSH en octobre 2012[34].

Saison 2013

Cavalier galopant vers la gauche
Hello Sanctos monté par Scott Brash au CHI de Genève en décembre 2013.

Hello Sanctos est 10e mondial au classement WBFSH d'octobre 2013[35], permettant une remontée du classement général du stud-book sBs[36].

Saison 2014

Cavalier galopant dans un décor avec de nombreux logos de Rolex
Scott Brash et Hello Sanctos pendant leur tour d'honneur après leur victoire au Grand Prix du CHI de Genève, en décembre 2014.

Au classement mondial WBFSH de , Hello Sanctos est le troisième meilleur cheval, derrière Quickly de Kreisker et Cornado NRW[37]. Il devient le meilleur cheval d'obstacle mondial au classement d'octobre 2014[38]. Il réalise un record du monde avec les trois Grands prix Global Champions Tour de Cannes, Londres et Estoril (Cascais), en étant le cheval qui a commis le moins de fautes sur ces trois épreuves[10]. Son deuxième record du monde cette même année consiste à être le premier cheval d'obstacle à avoir gagné un million d'euros de gains en un an[5].

  • : 7e du Grand Prix du CSI5* de Bâle, Ă  1,60 m[1] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSI5* de Wellington, Ă  1,60 m[É 11] ;
  • MĂ©daille de bronze : 3e du Grand Prix du CSI5* de Hambourg lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[É 41] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSI5* de Cannes lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[É 13] ;
  • MĂ©daille d'or 11 et : vainqueur du Grand Prix du CSI5* de Cascais lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1] ; vainqueur d'une Ă©preuve 1,50 m - 1,55 m[É 42] ;
  • MĂ©daille d'argent, monde : 2e de la Coupe des Nations du CSIO5* de Dublin, Ă  1,60 m[1] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSI5* de Londres lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[É 14] ;
  • : 4e du Grand Prix du CSI5* de Doha, Ă  1,60 m[É 17] ;
  • MĂ©daille d'or 12 et : vainqueur du Top Ten Final IJRC[É 21], puis vainqueur du Grand Prix[É 23] du CHI5* de Genève, première victoire pour le Grand chelem de saut d'obstacles.

Saison 2015

Hello Sanctos retrouve la position de meilleur cheval d'obstacle mondial aux classements WBFSH de mai[É 43] et d'octobre 2015[39] - [É 44]. En revanche, le classement FEI des couples cavalier-cheval, réalisé sur toute l'année 2015, place Sanctos et Brash au 5e rang mondial[É 45].

  • MĂ©daille de bronze : 3e du Grand Prix du CSI5* de Bâle, Ă  1,60 m[1] ;
  • : second de l'Ă©preuve Ă  1,55 m du CSI5* de Doha, Al Shaqab[É 46] ;
  • MĂ©daille de bronze : 3e du Grand Prix du CSI5* de The Dutch Masters, Ă  1,60 m[1] - [É 47] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSI-5* de Miami lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1] - [É 26] ;
  • : 4e du Grand Prix du CSI5* de Madrid lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CHIO5* d'Aix-la-Chapelle, lors du Grand chelem, Ă  1,60 m[É 28] ;
  • : 8e du Grand Prix du CSI5* du Paris Eiffel Jumping lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSI5* de Cascais (Estoril) lors du Global Champions Tour[É 48] ;
  • : 6e du Grand Prix du CSI5* de Valkenswaard, lors du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1] ;
  • MĂ©daille d'or : vainqueur du Grand Prix du CSIO5* de Calgary lors du Grand chelem, Ă  1,60 m[É 30] ;
  • : 8e du Grand Prix du CSI5* de Doha, lors de la finale du Global Champions Tour, Ă  1,60 m[1].

Origines

Hello Sanctos est un fils de l'étalon Quasimodo van de Molendreef et de la jument Nasia van het Gravenhof, par Nabab de Rêve[1]. Sa grand-mère maternelle Balin était montée par son éleveur Willy Taets sur des concours complets ruraux, en Belgique flamande[3]. Elle a donné d'autres bons chevaux de concours, dont Tikila et Nabab Forever[3]. Sur les conseils de Joris de Brabander, Willy et Mariette Taets font reproduire plusieurs de leurs juments avec l'étalon Nabab de Rêve, d'où naît la mère de Sanctos, Nasia van het Gravenhof[3]. Les éleveurs ont choisi d'inscrire le poulain au stud-book sBs, bien qu'ils auraient également pu le faire au BWP, un stud-book avec lequel ils ont travaillé par le passé[3].

Origines de Hello Sanctos[2]
Père
Quasimodo van de Molendreef
1993 -
BWP
Bai, 1,70 m
Heartbreaker
1989 -
KWPN
Nimmerdor
1972, KWPN
Farn
Ramonaa
Bacarole
1983, KWPN
Silvano
Orchidée
Farme van't Steetje
1986 -
BWP
Lys de Darmen
1977, Selle français
Et Hop
Darmen
Freya
1982, BWP
Porche de Bornival
Querry
Mère
Nasia van het Gravenhof
1997 -
sBs
Alezan
Nabab de RĂŞve
1990 - 2015
sBs
Quidam de Revel
1982, Selle français
Jalisco B
Dirka
MĂ©lodie en Fa
1978, Selle français
Artichaut
Caravelle
Balin D83
1978 -
BWP
Fier de lui
1971, Selle français
Rantzau
Violette
Nalinne
1967, BWP
Lormel
Dorina

Popularité

D'après l'analyse de Grand Prix magazine et celle de Cheval Magazine, Hello Sanctos est entré « dans la légende du sport »[GP 5] - [12]. Le site web Jump'inside estime qu'il est l'un des chevaux d'obstacles les plus marquants des années 2010[28] ; le site belge Equnews écrivant qu'il est « désormais en passe d’entrer dans le cercle très fermé des illustres destriers », avec Milton, Shutterfly et Hickstead[9]. Il est qualifié sur le site Info Jumping de « machine à cash »[40]. Scott Brash déclare à propos de Hello Sanctos, le « cheval de sa vie »[13] - [É 49], que « des chevaux comme lui, on n'en croise qu’une fois dans sa vie de cavalier »[9].

Le hongre bai a une page dédiée à son nom sur le réseau social Facebook, alimentée de nombreuses photographies et d'informations[41]. Le partage de ces photographies et les commentaires associés créent une connexion entre le cheval et ses admirateurs[41].

Une statue de Scott Brash sur son cheval a été créée par le forgeron Kevin Paxton, et érigée sur la place centrale du village natal de Scott Brash, à Peebles en Écosse, en hommage pour la médaille d'or obtenue aux Jeux olympiques[42] - [7].

Notes et références

  1. (en) « Hello Sanctos », Fédération équestre internationale (consulté le ).
  2. « Hello Sanctos », HorseTelex (consulté le ).
  3. van Bunder 2015.
  4. (en) « Hello Sanctos - Longines Global Champions Tour », sur globalchampionstour.com (consulté le ).
  5. Gr. 2015.
  6. « Vivant vd Heffinck & Sanctos van het Gravenhof pour l'Ukraine », sur Stud For Life, (consulté le )
  7. Conti 2016.
  8. (en) « Official biography : Hello Sanctos », British Showjumping (consulté le ).
  9. « Rétrospective 2014 : Scott Brash et Hello Sanctos, l'invincible insolence de Genève. », sur equnews.fr, Equnews Belgique - France, (consulté le ).
  10. (en-US) Jennifer Donald, « Hello Sanctos: five fast facts about the top showjumper », sur Horse & Hound, (consulté le ).
  11. « Sanctos Van Het Gravenhof rejoint Scott Brash. », sur Stud For Life, (consulté le )
  12. « Scott Brash et Hello Sanctos, les sept dates qui ont forgé la légende », sur chevalmag.com, Cheval Magazine, (consulté le ).
  13. Vance 2017.
  14. (en) Nick Skelton, Gold: My Autobiography, Hachette UK, , 288 p. (ISBN 1474607357 et 9781474607353), rech. Hello Sanctos.
  15. « Rsultats CSIO de La Baule 2013 », horse-academy.fr (consulté le ).
  16. « La finale tournante sur la sellette », sur https://www.centre-presse.fr, Centre Presse, (consulté le ).
  17. Loïc Bécart, « Jeux équestres mondiaux. Revivez la journée du jeudi 4 septembre », sur Ouest-France.fr, Ouest-France, (consulté le ).
  18. « Hippisme : Scott Brash et Hello Sanctos sur une autre planète », sur RTS Sport, (consulté le ).
  19. « Genève 2014 - Scott Brash VS Roger-Yves Bost au barrage », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  20. (en) « Results », sur eventcontent.hippoonline.de (consulté le ).
  21. (en) « Brash and Hello Sanctos Create a Storm in Miami Beach Grand Prix », sur theplaidhorse.com, The Plaid Horse Magazine, (consulté le ).
  22. « Championnats d’Europe sans Hello Sanctos », sur jumpinews.com, (consulté le ).
  23. « Légendes », sur rolexgrandslam.com, Rolex Grand Slam of Show Jumping (consulté le ).
  24. (en-US) IJRC, « Scott Brash and Hello Sanctos made history at Spruce Meadows », sur ijrc.org, International Jumping Riders Club (consulté le ).
  25. (en) Amit Nathwani, « Scott Brash earns $1.6m after claiming Rolex Grand Slam », sur CNN (consulté le )
  26. « « Hello Sanctos » décolle ! - Rolex Grand Slam of Show Jumping », sur rolexgrandslam.com (consulté le ).
  27. (nl) Anne Boogman, « Grand Slam-winnaar Hello Sanctos weer terug in wedstrijdring », sur Horses.nl, (consulté le ).
  28. Timothée Pequegnot, « L'actu du 2 octobre », sur Jump'inside, (consulté le ).
  29. « Trois des meilleurs chevaux de Scott Brash ont terminé leur convalescence », sur Eurosport, (consulté le ).
  30. « Retraite, mercato, reprise du travail… beaucoup de mouvements cette semaine dans les écuries ! », sur Eurosport, (consulté le ).
  31. (en) « Equine Superstars: What Makes The Ultimate Grand Prix Horse? », sur globalchampionstour.com (consulté le ).
  32. (en-GB) Jonathan Liew, « World Equestrian Games: Scott Brash finds the perfect blend with his wonder horse », The Daily Telegraph,‎ (ISSN 0307-1235, lire en ligne, consulté le ).
  33. « Qui sont les meilleurs chevaux du monde ? », sur Eurosport, (consulté le ).
  34. (en) « FEI WBFSH World Ranking List - Jumping Studbook », WBFSH, .
  35. (en) « FEI WBFSH World Ranking List - Jumping Studbook », WBFSH, .
  36. Patricia Cagé, « Myrtille, Selle Français meilleur cheval de l'année 2013 ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  37. « WBFSH : Quickly de Kreisker, number one ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  38. (en) « FEI WBFSH World Ranking List - Jumping Studbook », WBFSH, (consulté le ).
  39. (en) « WBFSH / Rolex World Ranking List - Studbooks - Jumping », WBFSH, .
  40. Tanguy Huriez, « L’insatiable appétit de Scott Brash », sur Info jumping, (consulté le ).
  41. (en) Katherine Dashper, Human-animal relationships in equestrian sport and leisure, Taylor & Francis, (ISBN 131739027X, 9781317390275 et 9781317390268, OCLC 960040391, lire en ligne), p. 153.
  42. (en) Liz Hanson, Secret Peebles, Amberley Publishing Limited, (ISBN 9781445659251 et 1445659255, OCLC 1007638048, lire en ligne).

Site du magazine L'Éperon

  1. Claire Feltesse, « La Grande Bretagne championne olympique ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  2. Claire Feltesse, « Henrik von Eckermann gagne le Global à Estoril », sur leperon.fr, (consulté le ).
  3. « En piste pour Chantilly », sur leperon.fr, (consulté le ).
  4. Xavier Libbrecht, « CSIO de Dublin : les Anglais reviennent de loin », sur leperon.fr, (consulté le ).
  5. S. L., « A un mois des Championnats d’Europe de Herning… », sur leperon.fr, (consulté le ).
  6. SL/EM, « Ch Eu Herning CSO: Roger Yves Bost champion d'Europe », sur leperon.fr, (consulté le ).
  7. Claire Feltesse, « Olso : Scott Brash, à nouveau », sur leperon.fr, (consulté le ).
  8. Xavier Libbrecht, « Doha : Scott Brash encore », sur leperon.fr, (consulté le ).
  9. Jocelyne Alligier, « Rolex Grand Prix Genève: Steve Guerdat dans son jardin », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  10. Alban Poudret, « CSI***** de Bâle : Kutscher et Will battent Brash le No 1 », sur leperon.fr, (consulté le ).
  11. Claire Feltesse, « Scott Brash conclut en beauté sa tournée floridienne », sur leperon.fr, (consulté le ).
  12. Xavier Libbrecht, « CSIO Rome: Quand les Bleus laissent perplexe… », sur leperon.fr, (consulté le ).
  13. « CSI5* de Cannes : Brash n°1, Staut n°3 ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  14. Xavier Libbrecht, « Scott Brash "at home" », sur leperon.fr, (consulté le ).
  15. Elodie Mas, « CSO : Scott Brash jette l'éponge ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  16. Solène Lavenu, « Doha: Wathelet gagne, Bengtsson, Beerbaum, Brash font jeu égal », sur leperon.fr, (consulté le ).
  17. Claire Feltesse, « Doha : la finale pour Bengtsson mais le circuit pour Brash », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  18. « Le Global pour Brash », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  19. « Scott Brash, aux Gucci Masters pour gagner », sur leperon.fr, (consulté le ).
  20. Elodie Mas, « Maikel van der Vleuten affole le chrono », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  21. Elodie Mas, « Top 10 : Un n°1 mondial au Top ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  22. « Top 10 : Scott Brash en tête, Pénélope dernière », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  23. Elodie Mas, « CSI***** Genève: Le Grand Prix Rolex pour Scott Brash ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  24. Elodie Mas, « CSI5* Bâle Doublé de Luciana Diniz ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  25. S. L., « Le Global Champions Tour à Madrid », sur leperon.fr, (consulté le ).
  26. Claire Feltesse, « Brash, "the best on the beach" ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  27. S. L., « GCT: Kent Farrington à Hambourg », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  28. Alban Poudret, « CHIO d’Aix-la-Chapelle: Scott Brash fait l’histoire, Simon Delestre à ses côtés ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  29. « CSIO***** Aix la Chapelle : Victoire de Scott Brash », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  30. Alban Poudret, « CSIO de Calgary: Scott et Sanctos l’ont fait ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  31. « Scott Brash : « J’ai encore soif de victoires à Genève ! » », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  32. « Doha : Luciana Diniz au finish », sur leperon.fr, L’Éperon (consulté le ).
  33. Claire Feltesse, « Ils ont fait naître Valegro, Hello Sanctos et Hale Bob », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  34. « By bye Hello Sanctos après Rio ? », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  35. « Pas de JO pour Brash », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  36. M. R., « Scott Brash et Hello Sanctos, le retour ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  37. Claire Feltesse, « Jeroen Dubbeldam à Oslo : "avec Utascha, maintenant nous nous comprenons" », sur leperon.fr, (consulté le ).
  38. Alban Poudret, « CSI***** de Bâle: Bosty s'incline devant Luciana ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  39. Alban Poudret, « Delaveau chez lui à Bâle ! », sur leperon.fr, (consulté le ).
  40. Claire Feltesse, « Olso : le Rikstoto Grand Prix pour Scott Brash », sur leperon.fr, (consulté le ).
  41. Claire Feltesse, « Hambourg : place à la jeunesse », sur leperon.fr (consulté le ).
  42. « Estoril : Scott Brash toujours », sur leperon.fr, (consulté le ).
  43. « WBFSH Ranking : Hello Sanctos, retrouve le statut de meilleur cheval du monde ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  44. Emmanuel Jeangirard, « Les classements WBFSH 2015 sont parus », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le )
  45. « Abdelkebir Ouaddar et Quickly de Kreisker en tête du classement FEI des couples », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  46. l, « Doha jeudi : victoire d'Abdelkebir Ouaddar », sur leperon.fr, (consulté le ).
  47. Elodie Mas, « Daniel Deusser en maître à s’Hertogenbosch ! », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  48. Claire Feltesse, « Estoril : Brash...what else ? », sur leperon.fr, L’Éperon, (consulté le ).
  49. CP / SL, « Scott Brash: "Aix la Chapelle est clairement ma priorité!" », sur leperon.fr, (consulté le ).

Site de Grand Prix magazine

  1. Lucas Tracol, « Hello Sanctos fait enfin son retour », sur GrandPrix-replay.com, Grand Prix magazine, (consulté le ).
  2. Lucas Tracol, « Hello Sanctos bientôt de retour en compétition ? », sur GrandPrix-replay.com, (consulté le ).
  3. « [VIDÉO] Le retour à la compétition d'Hello Sanctos », sur GrandPrix-replay.com, Grand Prix magazine, (consulté le ).
  4. Sébastien Roullier, « Hello Sanctos, c’était l’intelligence à l’état pur », sur GrandPrix-replay.com (consulté le ).
  5. Lucas Tracol, « Cinq parcours qui ont fait la légende Hello Sanctos », sur GrandPrix-replay.com, Grand Prix magazine, (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.