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Hautot-le-Vatois

Hautot-le-Vatois est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Hautot-le-Vatois
Hautot-le-Vatois
Mairie-Ă©cole.
Blason de Hautot-le-Vatois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes Yvetot Normandie
Maire
Mandat
Claude Bellin
2020-2026
Code postal 76190
Code commune 76347
DĂ©mographie
Gentilé Hautotais, Hautotaises
Population
municipale
351 hab. (2020 en augmentation de 9,01 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 58 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 38â€Č 51″ nord, 0° 41â€Č 24″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 142 m
Superficie 6,07 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Yvetot
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Yvetot
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
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Hautot-le-Vatois
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Hautot-le-Vatois
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Hautot-le-Vatois
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Hautot-le-Vatois
Liens
Site web http://www.hautot-le-vatois.fr

    GĂ©ographie

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • EntrĂ©e de l'agglomĂ©ration.
      Entrée de l'agglomération.
    • Paysage.
      Paysage.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 898 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 933,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  47 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Hautot-le-Vatois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yvetot, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (94,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (71,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (11,9 %), prairies (11,2 %), forĂȘts (5,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Hototh en 1024[21].

    Les toponymes normands du type Hotot, Hautot remontent au composĂ© anglo-scandinave hoh topt (comprendre hƍh), formĂ© avec l'ancien scandinave topt, toft « emplacement bĂąti, ferme Â» prĂ©cĂ©dĂ© de l'appellatif anglo-saxon hƍh « rivage, terrain en pente »[21]. Ce dernier Ă©lĂ©ment se retrouve ailleurs dans les nombreux toponymes, notamment dans les noms de lieux du Cotentin, terminĂ© par -hou (ex : Quettehou, Tribehou, etc.)[21].

    Le dĂ©terminant complĂ©mentaire le-Vatois est mentionnĂ© sous la forme le Wasteis dĂšs 1237, signifie « qui est dans le wast Â», ce mot ayant le sens de « terre inculte Â»[21]. Wast est par ailleurs attestĂ© directement dans le nom du hameau contigu de VĂ©raval, anciennement dĂ©signĂ© Warelwast[21]. Le simple wast > vast est rare dans le pays de Caux, mais frĂ©quent dans le Cotentin oĂč il constitue le second Ă©lĂ©ment de Martinvast; Barnavast; Chiffrevast; Tollevast; Sottevast, etc. Son dĂ©rivĂ© Vatine (anciennement Wastine) est en revanche plus rĂ©pandu.

    Remarque : vast est l'Ă©quivalent du français gast « terre inculte, gĂątĂ©e Â» (dĂ©verbal de gaster > gĂąter), issu du germanique *wƍsti- « terre inculte, dĂ©sert Â» (cf. allemand WĂŒste), possiblement croisĂ© avec le latin vastus (> vaste).

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune, initialement membre du syndicat intercommunal de ramassage scolaire de la rĂ©gion de Fauville-en-Caux, qui s'est transformĂ© le en communautĂ© de communes CƓur de Caux, a quittĂ© celle-ci en 2000 pour rejoindre la communautĂ© de communes de la rĂ©gion d'Yvetot[22] - [23].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020 Jean-Paul Monville[24] DVD
    juillet 2020[25] En cours
    (au 10 août 2020)
    M. Claude Bellin Ancien directeur d'établissement médico-social
    Vice-prĂ©sident de la CC Yvetot Normandie (2020 → )

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[27].

    En 2020, la commune comptait 351 habitants[Note 8], en augmentation de 9,01 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    495510508930544554550584543
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    521500517554507415363369325
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    324324282254256287283291279
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    200202252302295268274275309
    2017 2020 - - - - - - -
    354351-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame
    • Monument aux morts.
    • MausolĂ©e famille Monville Leborgne.
    • Calvaire au bord de la RD240 .
    • L'Ă©glise Notre-Dame.
      L'Ă©glise Notre-Dame.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le mausolĂ©e.
      Le mausolée.
    • Le calvaire.
      Le calvaire.

    Personnalités liées à la commune

    • Christine Lagarde, prĂ©sidente de la banque centrale europĂ©enne et ancienne directrice gĂ©nĂ©rale du FMI et ancienne ministre de l’Économie, y rĂ©side[30].

    HĂ©raldique

    Blason de Hautot-le-Vatois Blason
    Inconnu.
    DĂ©tails
    Armes pleines de la famille Deschamps de Boishébert et de Raffeto.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Économie

    • Le site internet www.phyto-soins.com est installĂ© sur la commune depuis 2013[31].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Hautot-le-Vatois et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Hautot-le-Vatois et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Yvetot », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 92.
    22. « Question écrite de M. Beaudouin Patrick (Union pour un Mouvement Populaire - Val-de-Marne) », Assemblée nationale, (consulté le ).
    23. F.M., « Yvetot plutĂŽt que Fauville », Paris Normandie,‎ 22/*/2014 (lire en ligne) :
      « La commune de Hautot-le-Vatois se trouvait dans la mĂȘme position il y a quelques annĂ©es, mais celle-ci a rĂ©ussi Ă  quitter la com’com de Fauville pour rejoindre celle d’Yvetot, sans que cela ne pose problĂšme »
      .
    24. F. M., « Un projet d’éoliennes Ă  Envronville soulĂšve l’indignation de riverains et d’élus », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
    25. Ghislain Annetta, « Rencontre. Avec Claude Bellin, nouveau maire: un cycliste au guidon de la commune : Cet ancien directeur d'Ă©tablissement mĂ©dico-social succĂšde Ă  Jean-Paul Monville », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Hautot-le-Vatois. Christine Lagarde : d'une enfance cauchoise au service des EuropĂ©ens : La prĂ©sidente de la Banque centrale europĂ©enne (BCE) a reçu Le Courrier Cauchois chez elle. Interview », Le Courrier cauchois,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    31. « Boutique #1 de Phytothérapie et Aromathérapie Qualité / Prix », sur phyto-soins.com (consulté le )
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