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Gignac (Vaucluse)

Gignac est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Gignac
Gignac (Vaucluse)
Gignac.
Blason de Gignac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Apt-Luberon
Maire
Mandat
Sylvie Pasquini
2020-2026
Code postal 84400
Code commune 84048
DĂ©mographie
Gentilé Gignacois, Gignacoises
Population
municipale
73 hab. (2020 en augmentation de 19,67 % par rapport Ă  2014[1])
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 55′ 12″ nord, 5° 31′ 39″ est
Altitude 450 m
Min. 366 m
Max. 834 m
Superficie 8,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Apt
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Apt
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Gignac
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Gignac
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Gignac
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Gignac

    Ses habitants sont appelés les Gignacois.

    GĂ©ographie

    C'est un village perché situé près de Rustrel et d'Apt (Vaucluse). On trouve des vallonnements boisés au sud et des reliefs au nord.

    Accès

    Passage de la route départementale 22 juste au nord du village et de la route départementale 30 sur les flancs des monts de Vaucluse. La traversée des flancs des monts de Vaucluse est aussi possible par de nombreuses "pistes", chemin en terre plus ou moins praticables.

    Relief

    Son relief est assez important. La partie sud, est situĂ© entre 370 et 560 mètres d’altitude. C'est la partie la plus occupĂ©e par l'homme oĂą le bourg s'est dĂ©veloppĂ©.

    Le reste est situĂ© sur les flancs des monts de Vaucluse, entre 450 et 834 mètres (Ă  l'extrĂŞme nord-ouest de la commune). Cette partie haute est très peu habitĂ©e, très aride et nĂ©anmoins très boisĂ©e : la vĂ©gĂ©tation est principalement composĂ©e de pins et de chĂŞnes verts.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

    Hydrographie

    Le territoire est traversé d'est en ouest par la petite vallée de la Dôa, un torrent qui prend sa source dans la commune de Viens, sur le flanc méridional des monts de Vaucluse.

    Climat

    Relevé météorologique d'Apt
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3 4 6 9 13 16 19 19 16 13 7 4 10,7
    Température moyenne (°C) 7 8 11 13,5 18 21,5 24,5 24,5 21,5 17 11 8 15,5
    Température maximale moyenne (°C) 11 12 16 18 23 27 30 30 25 21 15 12 19,2
    Précipitations (mm) 35,3 21,3 21,9 40,6 26,7 14,6 8,2 18,3 57 52,3 39,1 25,6 361,1
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    11
    3
    35,3
    12
    4
    21,3
    16
    6
    21,9
    18
    9
    40,6
    23
    13
    26,7
    27
    16
    14,6
    30
    19
    8,2
    30
    19
    18,3
    25
    16
    57
    21
    13
    52,3
    15
    7
    39,1
    12
    4
    25,6
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    La commune est situĂ©e dans la zone d'influence du climat mĂ©diterranĂ©en. Après une annĂ©e 2007 caractĂ©risĂ© par une très faible pluviomĂ©trie, 435 mm d'eau en pays d'Apt, 2008 avec 1 202 mm, soit 2, 8 fois plus, se place juste derrière l'annĂ©e 1968. Quant Ă  la moyenne des tempĂ©ratures elle augmente de 0, 5°, l'hiver et le printemps ayant Ă©tĂ© très doux. Le temps pluvieux a affectĂ© la durĂ©e de l'ensoleillement avec une centaine d'heures en dessous de la normale[3].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures moyennes (°C) 6,9 7,7 8,7 11,9 17,2 20,5 22,7 22,4 17,9 13,8 8,3 4,6 13,6
    Températures normales (°C) 5,1 6,3 8,9 11,4 15,7 19,0 22,3 22,3 18,5 13,8 8,3 5,8 13,1
    Écart avec la normale (°C) + 1,8 + 1,4 - 0,2 + 0,5 + 1,5 + 1,5 + 0,4 + 0,3 - 0,6 0 - 0,2 - 1,2 + 0,5
    Moyenne mensuelle de prĂ©cipitations (mm) 103 43 23 126 157 38 12 29 187 122 160 202 1 202
    Précipitations normales (°C) 71 56 57 79 70 49 37 53 73 101 74 69 789
    Écart avec la normale (°C) + 32 - 13 - 34 + 47 + 87 - 11 - 25 - 24 + 114 + 21 + 86 + 133 + 413
    Source : Le Pays d'Apt, n° 191, et station de référence météo : Apt (242m)

    Urbanisme

    Typologie

    Gignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Apt, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), terres arables (0,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Le quartier de La Ferrière fut le site le plus fréquenté à cette période. Le minerai de fer qui y était extrait avait une teneur de 45 à 55 %. L'étude des anciennes scories a permis de vérifier que cette mine fut exploitée du néolithique jusqu'à la colonisation romaine. D'autres fouilles sur les forges artisanales parsemant la commune ont permis aux archéologues de savoir que cette petite industrie liée au fer a perduré jusqu'au IIIe siècle[11].

    Moyen Ă‚ge

    Gignac est citée au XIe siècle sous le nom de Gigniacum.

    Le fief de Gignac relevait du comté de Forcalquier au XIIe siècle. Lorsque ce comté perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Gignac, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250[12].

    Gignac devient au XIIIe siècle la seigneurie des Agoult, qui, après être passée en de nombreuses mains, a échu aux Thomas, du XVIIe siècle à la Révolution française.

    Renaissance

    Le village Ă©tait dĂ©sertĂ© au XVe siècle et a Ă©tĂ© repeuplĂ© par un acte d'habitation au siècle suivant. Il fait partie de la quarantaine de localitĂ©s, de part et d'autre du Luberon[13] dans lesquelles s'installent au moins 1400 familles de vaudois des Alpes, soit environ 6 000 personnes, venues des diocèses alpins de Turin et d'Embrun entre 1460 et 1560, selon l'historien Gabriel Audisio. Les deux tiers de ces futurs Vaudois du Luberon sont arrivĂ©s entre 1490 et 1520 et la plupart subissent le massacre de MĂ©rindol, qui dĂ©truit 24 villages et cause 3000 morts.

    Gagné à la cause calviniste, par une religieuse défroquée du couvent Sainte-Croix d'Orange, les villageois s'emparèrent du château de Barthélemy de Thomas. Celui-ci fit appel à Jean de Pontevès, dit lou Mu (le Muet), et son neveu, Hubert de la Garde, dit 'lou Rinar (le Renrd), qui vinrent de Carcès avec les troupes de la Ligue assiéger le village en 1575. Après une nuit de cannonade, les villageois réussirent à s'enfuir. Seuls restèrent et furent retrouvés morts l'ancienne nonne Catherine Barriès et son amant Jacques Turque. Le château et une partie du village furent alors incendiés[14]. Le château, ruiné fut reconstruit entre 1760 et 1780.

    PĂ©riode moderne

    Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

    Il y avait encore 252 habitants en 1857.

    PĂ©riode contemporaine

    En 1980, lors du 150e anniversaire de la naissance de Frédéric Mistral, toutes les cloches de Provence devaient carillonner le 8 septembre à midi. Celles de l'église paroissiale Notre-Dame n'ayant plus les siennes, il fallut une réunion spéciale du Conseil municipal pour voter un rallonge de budget permettant d'en acquérir[15].

    Toponymie

    Les formes les plus anciennes dont Gigniacum et castrum Gigniaci, au XIe siècle, suggèrent un domaine ayant appartenu à un homme gaulois Gennius avec le suffixe -acum[16].

    HĂ©raldique

    Blason de Gignac

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'argent au chef d'azur chargé d'une rose d'or.

    Politique et administration

    Administration territoriale

    La municipalité de Gignac, située dans les Bouches-du-Rhône en 1790, passe en 1793 dans le département de Vaucluse, le district d'Apt et le canton de Viens. En 1801, elle fait partie du canton d'Apt, dans l'arrondissement d'Apt, puis dans celui de Cavaillon en 1926 et à nouveau celui d'Apt à partir de 1933.

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant inférieur à 100, le nombre de membres du conseil municipal est de 7[17].

    Liste des maires

    La mairie de Gignac.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    août 1964 au moins septembre 1978 démission Fernand Bonnet
    octobre 1978 mars 2008 Fernand Borel Sans Agriculteur
    mars 2008 mars 2014 Thierry Jahier Sans Ingénieur
    mars 2014 en cours Sylvie Pasquini Sans
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Gignac en 2009[18]
    TaxePart communalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)2,90 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)2,95 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)30,92 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)3,39 %13,00 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2020, la commune comptait 73 habitants[Note 3], en augmentation de 19,67 % par rapport Ă  2014 (Vaucluse : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    164156167212215195220240232
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    246230202191204197189197125
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    10710587827063603932
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    262921293548636656
    2015 2020 - - - - - - -
    6773-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Industrie

    Elle fut florissante jusqu'au XIXe siècle, car liée aux carrières d'ocre, et soufre et de fer qui étaient exploitées sur le territoire de la commune. Il n'en reste rien aujourd'hui[23].

    Agriculture

    La commune produit des vins AOC ventoux. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label Vin de pays d'Aigues[24]

    Il y a aussi des cultures fruitières comme la production de cerises.

    • Ruelle en enfilade.
      Ruelle en enfilade.
    • Maison aux volets "arlequin".
      Maison aux volets "arlequin".
    • La descente du "pichoun roumpe cuou".
      La descente du "pichoun roumpe cuou".

    Tourisme

    Comme l'ensemble des communes du nord Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale. On peut considérer trois principales sortes de tourisme en pays d'Apt. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon, les Monts de Vaucluse et leurs environs[25].

    Vie locale

    La relative proximité de la ville d'Apt permet l'accès aux supermarchés, grandes surfaces spécialisées, etc.

    Santé

    L'Hôpital le plus proche est à Apt ; il n'y a aucun équipement de santé sur la commune.

    Lieux et monuments

    • Maison Ă  tour face au château.
      Maison à tour face au château.
    • Château de Gignac.
      Château de Gignac.
    • EntrĂ©e du château.
      Entrée du château.
    • On trouve des vestiges de l'enceinte dĂ©fensive et de la citadelle qui coiffaient le village.
    • Le château date du XVIIIe siècle, entre 1760 et 1780. Les cheminĂ©es anciennes et les dĂ©cors de stuc ont Ă©tĂ© inscrits monuments historiques le en mĂŞme temps que le château, sa cour, sa terrasse et l'escalier du parc[26].
    • Un moulin Ă  vent a Ă©tĂ© conservĂ©.
    • Une Ă©glise Saint-Martin de Gignac, rustique de style roman du XIIe siècle possède une abside semi-circulaire. Elle est inscrite Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[27].
    • Le GR6 traverse le village.
    • Sur les flancs des monts de Vaucluse, plusieurs jas (anciennes bergeries).
    • Vieille demeure Ă  ciel ouvert.
      Vieille demeure Ă  ciel ouvert.
    • Église de Gignac.
      Église de Gignac.
    • Lavoir et parloir.
      Lavoir et parloir.

    Personnalités liées à la commune

    • Catherine Barriès, religieuse du couvent Sainte-Croix d'Orange, qui se dĂ©froqua, devint huguenote et dirigea la garnison de Gignac en 1575 contre la Ligue.
    • Rose de Thomas-Gignac qui, au cours du XVIIIe siècle, Ă©pousa l'avocat Jacques ClĂ©ment de Villars, qui dut acquĂ©rir la seigneurie de Fontienne, au nord de Forcalquier, pour se marier.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Populations légales 2009 de la commune », INSEE.
    2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
    3. Roland Sautel, Le Pays d'Apt, n° 191, février 2009, p. 13.
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Apt », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Jean-Pierre Saltarelli, op. cit., p. 63-64.
    12. Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe-XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
    13. "Guide historique du Luberon vaudois", par Gabriel Audisio, page 17, Éditions du Parc naturel régional du Luberon mars 2002
    14. Robert Bailly, op. cit., p. 188.
    15. Robert Bailly, op. cit., p. 189.
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1789.
    17. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    18. « Impôts locaux à Gignac », taxes.com.
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Julien Courtet, op. cit., p. 161.
    24. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
    25. Voir Massif du Luberon
    26. Base Mérimée
    27. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. BarthĂ©lemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
    • Jules Courtet, Dictionnaire gĂ©ographique, gĂ©ologique, historique, archĂ©ologique et biographique des communes du dĂ©partement de Vaucluse, Avignon, Seguin AinĂ©, , 400 p. (lire en ligne)
    • Jean-Pierre Saltarelli, Les CĂ´tes du Ventoux, origines et originalitĂ©s d'un terroir de la vallĂ©e du RhĂ´ne, Le Pontet, A. BarthĂ©lemy, Avignon, , 207 p. (ISBN 2-87923-041-1)

    Articles connexes

    Liens externes

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