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Ghost Master

Ghost Master (ou Ghost Master : Les Chroniques de Gravenville[alpha 1]) est un jeu vidéo de puzzle/stratégie sur PC. Il fait partie des rares jeux où le joueur incarne le rôle du méchant. Dans ce jeu, le joueur incarne le "Ghost Master". Un Ghost Master ne peut pas interférer dans le monde des mortels, c'est pourquoi une équipe de fantômes lui est attribué. Le Ghost Master est responsable de la formation de ses ectoplasmes.

Ghost Master

DĂ©veloppeur
Sick Puppies
International Hobo
Spiral House (versions consoles)
Éditeur
Distributeur
RĂ©alisateur
Gregg Barnett
Chris Bateman
Compositeur
Earcom
Producteur
Andy Severn

DĂ©but du projet
1999 (début de production : 2000)
Date de sortie
Windows : 23 mai 2003 (Royaume-Uni), 20 juin 2003 (France)
Steam : 23 août 2003
Mac : octobre 2003 (Royaume-Uni)
Xbox : 14 janvier 2005 (France)
PlayStation 2 : 28 janvier 2005 (France)
Epic Games Store : 08 juillet 2022

Langue
Moteur
RenderWare 2.0, remplacé par la suite par un moteur interne de Sick Puppies

Le jeu est sorti sur Mac OS X, édité par Feral Interactive[1].

Système de jeu

Dans la majorité des niveaux de Ghost Master, le but est de faire fuir tous les mortels en les faisant disparaître de la zone de jeu (ou bien en les laissant succomber à la folie...). Ghost Master se joue de la même façon qu'un jeu de stratégie à temps réel. Le joueur compose une équipe avec les fantômes disponibles.

Univers du jeu

La progression du joueur s'effectue à travers 15 niveaux, répartis en 3 actes. Un niveau est terminé lorsque tous les objectifs de mission ont été accomplis, débloquant le(s) niveau(x) supérieurs. Chaque acte se conclue par la libération partielle ou totale du Darkling[alpha 2]. Dans chaque partie (aussi appelée « chasse »), le Ghost Master a la possibilité de délivrer des fantômes dissimulés dans les différentes cartes pour les ajouter à son équipe. La mission bonus « Class Of Spook 'Em High »[alpha 3] disponible dans certaines versions du jeu[alpha 4] se déroule à la « Ghoul Room » (ou « Salle Macabre » dans la version française), carte utilisée jusqu'alors comme Quartier Général des fantômes dans les 3 premiers actes et servant principalement à améliorer leurs compétences[alpha 5]. Certaines zones de jeu sont réutilisées d'un niveaux à l'autre dans différents actes.

Acte I

  • Didacticiel : Les bases de la chasse (Haunting 101)
  • Niveau 1 : Weird Seance
  • Niveau 2 : L'Horreur de Calamityville (The Calamityville Horror)
  • Niveau 3 : Mes sorciers mal aimĂ©s (Summoners Not Included)

Acte II

  • Niveau 1 : The Unusual Suspects
  • Niveau 2 : Deadfellas
  • Niveau 3 : Les apprenties sorcières (Facepacks and Broomsticks)
  • Niveau 4 : Des Esprits Volatiles (Poultrygeist)
  • Niveau 5 : Le FantĂ´me du Bloc OpĂ©ratoire (Phantom of the Operating Room)
  • Niveau 6 : Blair Wisp Project (The Blair Wisp Project)

Acte III

  • Niveau 1 : La caverne aux frissons (Spooky Hollow)
  • Niveau 2 : Casseurs de fantĂ´mes (Ghostbreakers)
  • Niveau 3 : Full Mortel Jacket (Full Mortal Jacket)
  • Niveau 4 : Retour dans le nid de coucou (What Lies Over the Cuckoo's Nest)

Mission Bonus : Class Of Spook 'Em High

FantĂ´mes

Les fantômes sont regroupés en 6 catégories qui sont les types Elfes, Troubles, Élémentaires, Vapeurs, Trouilles et Horreurs. Chacun des 47 fantômes présents dans le jeu possède une liste de pouvoirs déterminée en général par son type ainsi que par son point d'attache[alpha 6]. Ces données servent au joueur à élaborer son équipe durant la phase de formation (sélection des fantômes) se déroulant avant chaque chasse pour s'adapter à la fois aux objectifs de missions et à la carte du jeu. Les fantômes ont tous au minimum entre 2 et 5 pouvoirs et peuvent en obtenir jusqu'à 10 en les achetant à la « Ghoul Room » contre du plasme d'or[alpha 7].

Synopsis

Généralités

Le scénario principal reprend les scènes qui se déroulent dans le dernier niveau de chaque acte sans prendre en compte les histoires qui se déroulent dans le reste du jeu. La chronologie est tout de même importante puisqu'elle permet au joueur de découvrir de nouvelles phases de gameplay avant de les appliquer dans les niveaux plus complexes et d'acquérir des fantômes ou compétences.

Durant l'Acte I

Aux alentours de la municipalité de Gravenville, où de nombreux fantômes sont à la recherche de la paix éternelle, un professeur d'occultisme (dit « Dr Krauss » ) emporte un livre d'une grande puissance dans la forêt avec pour objectif d'invoquer un esprit ancestrale connu sous le nom de Darkling. Après son échec, il retourne enseigner à l'université, mais trois de ses élèves s'emparent de ses notes et se lancent à la recherche du manuscrit pour leurs propres intérêts. Malgré une tentative du professeur de déjouer leurs plans, ils parviennent à trouver l'ouvrage et amènent le Darkling dans le monde des mortels à travers un rituel, celui-ci s'empare alors de leurs âmes pour gagner en puissance.

Durant l'Acte II

La créature maléfique a besoin davantage d'âme perdues pour se délivrer de ses chaînes. Par chance, de nouveaux étudiants partent à la poursuite de légendes obscures dans les bois proches. Menés par le Ghost Master, ils servent eux-aussi à nourrir les pouvoirs du Darkling. Cependant, le savant fou Dr Krauss[alpha 8] refait surface et capture le Darkling pendant sa libération de l'entre-deux monde.

Durant l'Acte III

Le démon est de nouveau prisonnier, retenu captif au sommet d'un hôpital protégé par de nombreuses zones d'où le Ghost Master ne peut pas interagir directement avec ses fantômes. Le professeur tente de récupérer les pouvoirs surpuissants du Darkling dont il voue un culte depuis plusieurs années. Après avoir infiltré le complexe et désactivé les sécurités, le Dr Krauss est éliminé à jamais, le Darkling est libéré et la peur s'installe sur la cité autrefois paisible de Gravenville, désormais aux mains des esprits frappeurs.

Epilogue

Dans le niveau bonus Class Of Spook 'Em High, les casseurs de fantômes ont placés une bombe prête à exploser dans l'ancien lycée de Gravenville. En la désactivant, le Stay Cool Ice Cream Man entre en scène et tente de priver le Ghost Master de ses fantômes[alpha 9]. Une fois la menace mortelle écartée, les revenants ont accomplis leur ultime mission et sont prêts à un passage en paix vers l'au-delà : chacun d'entre-eux s'envole vers la lumière.

Références cachées

Une grande partie du jeu parodie des œuvres cinématographiques, particulièrement le genre horrifique[2] - [3], et y glisse beaucoup de références dans les titres des niveaux, les noms et apparences des personnages, les musiques et les écrans de chargement qui rappellent certaines affiches de films[4] (liste non exhaustive):

  • Weird Seance : Weird Science [5]- aussi, un des membres de la fraternitĂ© se nomme Obi-Wan Shinobi en rĂ©fĂ©rence Ă  Obi-Wan Kenobi de la franchise Star Wars
  • L'Horreur de Calamytiville : Amityville : La Maison du diable [6] -
  • Mes sorciers mal aimĂ©s : Evil Dead - Première apparition du Dr. Krauss, principal antagoniste du jeu, qui d'après son crĂ©ateur tire son nom de Werner Krauss qui joue le Dr Caligari dans le film d'horreur Le Cabinet du Dr Caligari. Son caractère de savant fou est tirĂ© des oeuvres du romancier H.P. Lovecraft[5]
  • The Unusual Suspects : Usual Suspects - Plusieurs personnages de la chasse portent un nom en rĂ©fĂ©rence Ă  la sĂ©rie Capitaine Furillo ; le fantĂ´me du sous-sol de la carte « Electrospasm » est tirĂ© des frères Scoleri de SOS FantĂ´mes 2[7]
  • Deadfellas : Les Affranchis (Goodfellas) - Dans ce niveau, le fantĂ´me Flash Jordan est inspirĂ© de la journaliste Amy Archer dans Le Grand Saut, son nom provient du premier super-hĂ©ros de science-fiction Flash Gordon[7]
  • Les apprenties sorcières : L'Apprentie sorcière (Facepacks and Broomsticks / Bedknobs and Broomsticks) - après l'abandon d'une carte se dĂ©roulant dans un cinĂ©-parc, l'un des fantĂ´me est rĂ©utilisĂ© dans ce niveau : « Hogwash ». Il ressemble Ă  une marmotte en rĂ©fĂ©rence Ă  celle du film Un jour sans fin[7]
  • Des Esprits Volatiles : Poltergeist - la petite fille de la trilogie, Carol-Anne Freeling existe sous les traits de Carol-Anne Hutz[6] ; L'esprit « Hard Boiled » est l'incarnation des volailles abattues sur le terrain oĂą a depuis Ă©tĂ© construite la maison, il est en quĂŞte de vengeance envers un « colonel » qui rappelle la chaĂ®ne de restauration rapide KFC fondĂ©e par le colonel Sanders[7]
  • Le FantĂ´me du Bloc OpĂ©ratoire : Le FantĂ´me de l'OpĂ©ra et Urgences
  • Blair Wisp Project : Le Projet Blair Witch
  • La caverne aux frissons : Sleepy Hollow, La lĂ©gende du cavalier sans tĂŞte
  • Casseurs de FantĂ´mes : S.O.S. FantĂ´mes - Les personnages respectifs des films : Egon Spengler, Peter Venkman et Raymond Stantz sont Ă©galement parodiĂ©s et peuvent capturer les fantĂ´mes du joueur dans plusieurs niveaux[alpha 10]
  • Full Mortel Jacket : Full Metal Jacket
  • Retour dans le nid de coucou : Apparences et Vol au-dessus d'un nid de coucou - Dans cette mĂŞme chasse, il est possible de rencontrer un personnage du nom de Jack McMurphy qui n'a pas le droit pas s'approcher des machines Ă  Ă©crire et des haches, en rĂ©fĂ©rence Ă  Jack Torrence de Shining[alpha 11]. Dans le mĂŞme registre, Jerry Sizzler, un autre dĂ©tenu de l'asile de Gravenville, est inspirĂ© du personnage du mĂŞme nom de la sĂ©rie Kids in the Hall

DĂ©veloppement

Principales influences

Dans un message relatant du processus de création du jeu[5], le réalisateur Chris Bateman confie que Ghost Master a pu voir le jour grâce aux inspirations que lui ont donné les films SOS Fantôme d'Ivan Reitman et Beetlejuice de Tim Burton. Il ajoute également que l'influence du jeu Pokémon dont il était fan a engendré la possibilité d'assembler son équipe de fantômes ainsi que leurs capacités à collectionner diverses aptitudes.

Historique

Ghost Master est conçu dès 1999 et commence sa production en 2000. Initialement prévu pour 2002, sa date de sortie est repoussée en raison de problèmes techniques et de changements de moteur (de Renderware 2.0 vers un moteur interne), le jeu est finalement disponible en fin 2003[8].

Le jeu est présenté à huis clos à l'E3 2002 et à l'ECTS 2002.

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Ghost Master
Presse papier
MĂ©dia Note
Jeux vidéo Magazine (FR) 13/20
Joystick (FR) Technique : 5/10
Artistique : 6/10
Intérêt : 7/10
PC Jeux (FR) 74%
Total Jeux PC (FR) 13/20
SVM Mac (FR) 3.5/5
PC Gamer (US) 90%
Presse numérique
MĂ©dia Note
Gamekult (FR) 7/10
GameSpot (US) 88%
IGN (US) 70%
JeuxActu (FR) 5/20
Jeuxvideo.com (FR) Note de la rédaction : 13/20
Note des lecteurs : 17.7/20
JeuxVidéoPC (FR) Note de la rédaction : 17/20
Note des lecteurs : 18.9/20
JeuxMac.com (FR) Graphisme : 3/5
Son : 4/5
Durée de vie : 3/5
Jouabilitée : 4/5
Total : 3/5
Agrégateurs de notes
MĂ©dia Note
Metacritic 81%

D'après le magazine Joystick, Ghost Master est « un mixe de Ghostbusters et Dungeon Keeper », une comparaison avec ce dernier est également notée par Total Jeux PC qui y ajoute un parallèle avec le jeu de stratégie Evil Genius. La presse s'accorde à récompenser le jeu pour son gameplay, son humour et ses graphismes mais pointe tout de même de nombreux défauts comme la faiblesse des animations ou encore certaines énigmes « à résolution unique »[9] - [6] - [10] - [3] - [11] - [4] - [12] - [13] - [14] - [15] - [16] - [2] - .

Malgré des critiques en majorité élogieuse de la part des médias spécialisés et des joueurs[17], Ghost Master ne parvient pas à se vendre suffisamment pour envisager une suite. Pourtant, en septembre 2005 sur son propre blog[18], Chris Bateman affirme que le succès commercial du jeu s'est joué de peu. En effet, le magazine PC Gamer attribue à Ghost Master une note de 90%[19]:

« PC Gamer est sans nul doute le magazine de jeux vidéo le plus influent au monde. C'est certainement celui avec le plus grand tirage mondial. La sagesse de l'industrie prétend qu'obtenir une telle note garantit presque d'être dans le Top 10 des ventes. Ce n'est pas ce qui est arrivé à Ghost Master. En fait, il a disparu pratiquement sans laisser de trace. »[alpha 12]

Communauté

Suite à l'échec commercial de Ghost Master, aucune suite ne sera envisagée malgré la présence de nombreux fichiers prometteurs dans le code du jeu qui suggérait le développement partiel de missions coupées[alpha 13], de nouvelles cartes, PNJ, pouvoirs et de nombreux fantômes qui ont finalement été abandonnés[20] - [21]. La communauté s'est alors tournée vers les mods[22], et parmi eux, certaines créations comme « Rejected Ghosts Mod »[alpha 14] et « All Ghost Mod »[alpha 15] sont parvenus à faire l'unanimité auprès des fans jusqu'à devenir des catégories jouables sur speedrun.com[23]. D'autres projets comme le mod « Complete Edition » sont toujours en cours de développement[alpha 16].

D'après Bateman, le succès actuel du jeu réside en immense majorité en Pologne, où une société décrite comme inconnue à l'époque dans le secteur vidéoludique appelée CD Projekt, importe le jeu et parvient à le vendre à un jeune public qui grandi avec[5].

Notes et références

Notes

  1. Dans les versions PlayStation 2 et Xbox.
  2. Créature maléfique qui cherche à se nourrir des âmes mortelles pour s'échapper des ténèbres et semer le chaos.
  3. Cette mission est la seule du jeu non disponible en français. La cinématique de fin du niveau correspond à l'épilogue de la trame narrative globale.
  4. Le niveau n'est pas présent dans les premiers CD du jeu, il devient disponible lors d'un patch en ligne dans la version UK.
  5. Le lieu apparaît également dans la cinématique d'introduction du jeu.
  6. Un fantôme ne peut être placé qu'au(x) lieu(x) qui lui est/sont associés. Ex : Intérieur, Chemin, Feu, Électricité...
  7. Ressource permettant l'amélioration des capacités des fantômes. S'obtient à chaque fin de mission sur l'écran des résultats - sa quantité dépend des performances du joueur à terminer le niveau rapidement et des "frayeurs" provoquées aux mortels.
  8. Celui-ci s'était fait arrêté par la police après les événements de la fin de l'Acte I mais parvient à s'échapper du commissariat grâce à une étrange complice, le Dr Brunner.
  9. Il n'est pas nécessaire de le vaincre pour réussir la chasse en cours.
  10. Des ennemis similaires apparaissent dans le jeu sous la forme d'une voyante et d'un prĂŞtre. Lorsqu'un fantĂ´me est capturer, il devient impossible pour le joueur d'interagir avec lui.
  11. McMurphy est un nom emprunté au personnage de Randle dans Vol au-dessus d'un nid de coucou, interprété alors par Jack Nicholson.
  12. Traduit de l'anglais « PC Gamer is allegedly the most influential video game magazine in the world; certainly it is the game magazine with the largest global circulation. Industry wisdom claims that getting a 90% in PC Gamer all but guarantees a top ten best selling game. That's not what happened to Ghost Master. In fact, it vanished practically without a trace. »
  13. Comme les missions « Trainspooking » ou « Ghost in The Military Machine », sensée au moment de leurs conceptions aboutir à une suite de l'acte 3.
  14. Corrections de divers bugs et ajout de plusieurs fantômes abandonnés au cours du développement.
  15. Permet l'utilisation de tous les fantĂ´mes pour chaque niveau du jeu.
  16. Objectif initial : réintégrer les idées abandonnées lors du développement et ajouter du nouveau contenu original.

Références

  1. (en) Brad Cook, « The Horror, The Horror : Ghost Master Possesses Your Mac », sur apple.com,
  2. Romain, « Tests Jeux Mac.com : Ghost Master », sur JeuxMac.com,  : « [...] attirant aussi bien pour son humour que pour ses fameuses rĂ©fĂ©rences Ă  certains films… d'Ă©pouvante bien sĂ»r ! »
  3. Chipster, « Ghost Master : La foire aux Ectoplasme », Total Jeux PC, Diximedia, no 1,‎ , p. 68 et 69 :
    « Les amateurs de films et romans d'horreur retrouveront avec amusement d'innombrables références dans les noms des victimes des fantômes. [...], les clins d'œil sont légion. »
  4. « Ghost Master : Test » Accès libre, sur Gamekult,  : « Ghost Master ne tente Ă  aucun instant de cacher les nombreuses rĂ©fĂ©rences qu'il fait aux productions hollywoodiennes ou mĂŞme aux sĂ©ries TV. »
  5. (en) Chris Bateman, « Origins of Ghost Master, Part One » Accès libre, sur blog.ihobo.com
  6. Bob Arctor, « Tests du mois : Ghostmaster », Joystick, Hi-Tech Digital Presse, no 150,‎ , p. 140 et 141 :
    « [...] quelques œuvres de Hammer sont évoquées, une maison rappelle celle du film Amityville, on y voit la cabane de Evil Dead ainsi qu'une gamine s'appelant Carol Anne comme la petite gamine bouffie de Poltergeist. »
  7. (en) Chris Bateman, « Origins of Ghost Master, Part Two » Accès libre, sur blog.ihobo.com,
  8. (en) « Prerelease:Ghost Master », sur The Cutting Room Floor
  9. Florian Viel, Test - Ghost Master, juillet-août 2003, Jeux Vidéo Magazine no 34, p. 72.
  10. Richard Robin, « Ghost Master », PC Jeux, no 67 « PCJeux : juillet - août 2003 »,‎ , p. 84
  11. Olivier Frigara, « Ghost Master », SVM Mac, no 156,‎ , p. 114 et 115
  12. (en) Brett Todd, « Ghost Master Review », sur GameSpot, .
  13. (en) David Adams, « Ghost Master Review », sur IGN, .
  14. « Test Ghost Master » Accès libre, sur JeuxActu,
  15. (fr) Jihem, « Test: Ghost Master », sur Jeuxvideo.com, .
  16. Broutchy, « Test Ghost Master » Accès libre, sur JeuxVidéoPC,
  17. (en) « Ghost Master », sur Metacritic.
  18. (en) « Post Mortem: Ghost Master (Part One) » Accès libre, sur OnlyAGame : Blog de Chris Bateman
  19. PC Gamer, n° December 2003, page 96
  20. (en) « Fandom Wiki - Liste détaillée des parties abandonnées au cours du développement », sur Fandom Wiki Ghost Master : Complete Edition
  21. (en) « Ghost Master » Accès libre, sur The Cutting Room Floor
  22. « Forum de regroupement des différents mods créer par les joueurs » Accès libre, sur Forum ghostmaster.net
  23. « Consensus par la communauté de l'utilisation de mods en compétition - Page speedrun.com » Accès libre, sur speedrun.com,
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