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François Sicard

François-Léon Sicard[1] (ou plus fréquemment François Sicard) né à Tours le et mort à Paris 17e le [2], est un sculpteur français.

François Sicard
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  72 ans)
Paris
SĂ©pulture
Nationalité
Formation
Activité
Conjoint
Lilli Scheikevitch (d)
Autres informations
A travaillé pour
Membre de
Distinctions
Prix de Rome ()
Liste détaillée
Prix de Rome ()
Pensionnaire de la Villa MĂ©dicis (d) (-)
Chevalier de la Légion d'honneur‎ ()
Officier de la Légion d'honneur‎ ()
Ĺ’uvres principales
Le Bon Samaritain (d), George Sand (d)
MĂ©morial en forĂŞt de Retz dans l'Aisne
MĂ©morial en forĂŞt de Retz

Biographie

François Sicard suit les cours de l’École des beaux-arts de Tours et obtient une bourse municipale pour étudier à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris. Lauréat du prix de Rome en 1891, il est pensionnaire de la Villa Médicis à Rome de 1892 à 1895 où il se lie d'amitié avec Adolphe Déchenaud qui réalise son portrait.

Il est élu membre de l’Institut de France en 1924 et président de l’Académie des beaux-arts en 1930. Professeur à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, il est chef d’atelier de sculpture pour les élèves femmes de 1926 à 1934.

Il est le sculpteur attitré de Georges Clemenceau, dont il fait le buste, la statue de groupe de Sainte-Hermine, et qui lui commande la Minerve en pierre blonde d'Égypte qui surplombe sa tombe et celle de son père au Colombier de Mouchamps ; enfin, en 1929, il réalise son masque mortuaire.

Il est inhumé au cimetière de La Salle, à Tours.

Distinctions

François Sicard est nommé chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur par décret du et promu officier, du même ordre, par décret du [3].

Ĺ’uvres

Élèves

Notes et références

  1. Né François-Léon Sicard.
  2. Archives de Paris, acte no 1343, vue 3 / 20
  3. « Le dossier de Légion d'honneur », sur La base de données Léonore des archives nationales (consulté le ).
  4. Notice sur la maquette du monument sur le site europeana.eu
  5. Durant l'occupation, cette œuvre (déposée au musée des Beaux-arts de Tours) fut cachée derrière une boiserie, puis dans une remise derrière des fagots, afin d'éviter sa fonte. Source : texte du conservateur du musée, M. Horace Henrion, publié dans une plaquette parue à l'occasion de l'inauguration de la statue le 12 octobre 1949.
  6. Le Bulletin de l'Art, n°781 de septembre-octobre 1931 pages des Informations, actes officiels
  7. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 30 avril 1929, p. 200

Voir aussi

Liens externes

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