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Sainte-Hermine

Sainte-Hermine est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.

Sainte-Hermine
Sainte-Hermine
Monument Georges Clemenceau
Blason de Sainte-Hermine
Blason
Sainte-Hermine
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Fontenay-le-Comte
Intercommunalité Sud-Vendée-Littoral
Maire
Mandat
Philippe Barré
2020-2026
Code postal 85210
Code commune 85223
DĂ©mographie
Gentilé Herminois
Population
municipale
2 949 hab. (2020 en augmentation de 2,75 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 84 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 33′ 19″ nord, 1° 03′ 38″ ouest
Altitude 42 m
Min. 12 m
Max. 83 m
Superficie 34,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sainte-Hermine
(ville isolée)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Châtaigneraie
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Sainte-Hermine
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Sainte-Hermine
Liens
Site web Site officiel

    GĂ©ographie

    Le territoire municipal de Sainte-Hermine s'Ă©tend sur 34,93 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 42 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 12 et 83 mètres[1] - [2].

    Situation

    Sainte-Hermine était située sur le carrefour de deux routes nationales d'importance : la N 148, qui à son apogée était la route de Limoges à Noirmoutier, et la N 137 qui était la route de Bordeaux à Saint-Malo. Le déclassement des routes nationales a fait perdre l'importance de ce croisement.

    L'autoroute A83 de Nantes à Niort est désormais la nouvelle voie de communication la plus importante.

    Le chemin de fer (ancienne ligne de Chantonnay à Luçon) a laissé la gare de Sainte-Hermine vide de trains en 1946. La ligne de chemin de fer empruntait l’actuelle route de Nantes à Bordeaux[3].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Hermine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Sainte-Hermine, une unitĂ© urbaine monocommunale[7] de 2 925 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (7,4 %), prairies (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Sainte-Hermine tient son nom de la chapelle du château aujourd’hui disparu en mémoire de sainte Irmine, qui vécut au VIIIe siècle et mourut dès les premières années du IXe.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Hermine-sur-Smagne[14] du nom de la Smagne, rivière qui traverse le village.

    Histoire

    Sainte-Hermine reçut la visite de Napoléon Ier et de l'Impératrice Joséphine le , ainsi que celle de la duchesse de Berry le .

    En 1808, la commune absorbe celle voisine de Saint-Hermand[14], alors peuplĂ©e, au recensement de 1800, de 550 habitants[15] ; Saint-Hermand avait, durant la RĂ©volution, portĂ© le nom d'Hermand-le-Guerrier[15].

    L'inauguration de la statue Clemenceau (place Clemenceau), la seule que le Tigre inaugura de son vivant, eut lieu le dimanche . De nombreux hommes politiques se sont inclinés devant le monument, notamment Vincent Auriol, Gaston Monnerville, de Gaulle, Jacques Chirac... Lors de la visite en Vendée du général de Gaulle en 1965, ce monument fit l'objet d'une tentative d'attentat de la part de membres de l'OAS, dirigés par Jean-Jacques Susini. Georges Clemenceau passa son enfance au château de l'Aubraie, à La Réorthe, tout près de Sainte-Hermine et fut d'ailleurs médecin à Sainte-Hermine et il lui garda un attachement certain.

    En , à la suite de l'évacuation des habitants de Charleville (Ardennes), et plus largement de l'ensemble des habitants des Ardennes, vers la Vendée, Sainte-Hermine devient la préfecture du département des Ardennes, pour la durée de la guerre[16].

    Dès l’aube de cette matinée du 4 novembre 1960, la Smagne était sortie de son lit. Elle recouvrait déjà les prairies situées en amont et en aval du pont de la Poste. Les crues étaient fréquentes à cette époque. Dès 8 heures, la Smagne se transforma en torrent, le niveau s’élevait sans discontinuer. Vers 10 heures, l’eau commença à envahir la rue Clemenceau. A 13 heures, la hauteur de l’eau atteint son apogée. De la Mairie jusqu’à la rue de l’If, la violence du courant interdisait l’accès aux maisons se trouvant sur ce parcours. Nonobstant, des voitures amphibies venant de Bretagne et se dirigeant vers La Rochelle arrivèrent à Sainte-Hermine dans le courant de l’après-midi. Ce sont elles qui délivrèrent les Herminois bloqués dans leur habitation.

    En 1971, la commune absorbe celle voisine de Simon-la-Vineuse[14], alors peuplĂ©e, au recensement de 1968, de 487 habitants[17]. Le projet de fusion entre Sainte-Hermine et Simon-la-Vineuse n’est pas nouveau. Il y a quelques annĂ©es dĂ©jĂ , Monsieur Hirtz, Sous-PrĂ©fet de Fontenay-le-Comte, avait entretenu sur l’initiative du gouvernement. C’était l’époque oĂą fusionnèrent Chantonnay, le Puy-Belliard et St-Mars-des-PrĂ©s – Les Herbiers, le Petit-Bourg et Ardelay– La Roche-sur-Yon, le Bourg et Saint-AndrĂ© d’Ornay – Mouzeuil et Saint-Martin-sous-Mouzeuil – Fontenay-le-Comte et Charzais.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1896 1908 Urbain Soullard RĂ©publicain Notaire
    Conseiller général (1889-1907), élu dans le canton de Sainte-Hermine
    Les données manquantes sont à compléter.
    1983 GĂ©rard Jamin Radical
    Divers droite
    Conseiller général (1949-1979), élu dans le canton de Sainte-Hermine
    1983 1986
    (décès)
    René Gautron[18]
    1989 Jean-Pierre de Lambilly[18] Union pour la démocratie française
    Parti républicain
    Conseiller général (1979-2004), élu dans le canton de Sainte-Hermine
    1989 Norbert Barbarit[18] Divers droite Médecin généraliste
    Conseiller général (2004-2015), élu dans le canton de Sainte-Hermine
    [19] [20]
    (décès)
    Joseph Martin Divers droite Dentiste Ă  la retraite
    [21] - [22] Béatrice Blandineau Commerçante
    [23] En cours Philippe Barré Mouvement démocrate[24] Professeur d’histoire-géographie en lycée
    Président de la fédération vendéenne du Mouvement démocrate (2012-2020)
    Conseiller régional des Pays-de-la-Loire (depuis 2015), élu dans la Vendée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2020, la commune comptait 2 949 habitants[Note 2], en augmentation de 2,75 % par rapport Ă  2014 (VendĂ©e : +4,62 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4846101 4751 4421 8231 8971 9672 0072 084
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0712 0692 0081 9361 8831 8691 9331 9631 962
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9001 8821 8601 7881 6961 7031 7071 6801 635
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 6871 7292 3042 3392 2852 2562 5032 5122 612
    2015 2020 - - - - - - -
    2 8842 949-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28.3 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 443 hommes pour 1 487 femmes, soit un taux de 50,75 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,16 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,3
    90 ou +
    3,9
    7,8
    75-89 ans
    10,5
    16,5
    60-74 ans
    16,7
    18,3
    45-59 ans
    17,2
    19,0
    30-44 ans
    18,8
    15,5
    15-29 ans
    14,5
    21,7
    0-14 ans
    18,4
    Pyramide des âges du département de la Vendée en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2,1
    8,4
    75-89 ans
    11
    19,5
    60-74 ans
    20,4
    20
    45-59 ans
    19,4
    18
    30-44 ans
    17,1
    14,9
    15-29 ans
    13,2
    18,5
    0-14 ans
    16,8

    Manifestations culturelles et festivités

    Sports et loisirs

    • Eugène Hamayon Ă  sa retraite, en 2000, s'installe Ă  Sainte-Hermine ; grâce Ă  l'appui des Ă©lus, il ouvre son deuxième club de boxe française, après celui de Trappes dans les Yvelines, avec un effectif de quatorze licenciĂ©s. En 2009, il est Ă©lu prĂ©sident dĂ©partemental, et avec lui, le club herminois va connaĂ®tre son heure de gloire en 2010 avec le titre de championne du monde remportĂ© par MĂ©lissa Imbert[30], membre du club. De nombreux champions et vice-champions de VendĂ©e sont Ă©galement issus de ce club.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Monument aux morts.
    • Château de Sainte-Hermine, inscription par arrĂŞtĂ© du [31].
    • Logis du Petit-Magny (Ă  voir : la tour d'escalier, la chapelle, les cheminĂ©es intĂ©rieures) ; inscription par arrĂŞtĂ© du [32].
    • Manoir de la Petite-Coudraie (XVIIe et XVIIIe siècles), inscription par arrĂŞtĂ© du [33].
    • MarchĂ© couvert (les halles), inscription par arrĂŞtĂ© du [34].
    • Un monument reprĂ©sentant Georges Clemenceau avec ses poilus au milieu des tranchĂ©es, est localisĂ© Ă  l'intersection de la route Nantes Ă  Bordeaux et de Niort Ă  la Roche-sur-Yon. 46° 33′ 19″ N, 1° 03′ 41″ O. RĂ©alisĂ©e par les sculpteurs François-LĂ©on Sicard et Jean-Paul Belmondo, il a Ă©tĂ© inaugurĂ© par le Tigre lui-mĂŞme en . La statue a Ă©tĂ© dĂ©capitĂ©e par les troupes d'occupation. La tĂŞte, conservĂ©e Ă  la « maison de Georges Clemenceau » de Saint-Vincent-sur-Jard, a Ă©tĂ© restaurĂ©e par la suite. Cette sculpture est inscrite aux monuments historiques depuis 1998[35].

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame de Sainte-Hermine et ancien ossuaire. Inscription par arrĂŞtĂ© du [36].
    • Église Saint-Pierre de Simon-la-Vineuse : chapelle du XVe siècle + Ă©tapes de constructions jusqu'au XIXe siècle, inscription par arrĂŞtĂ© du [37].
    • Temple protestant, inscription par arrĂŞtĂ© du [38].
    • Cimetière protestant, inscription par arrĂŞtĂ© du [39].

    Personnalités liées à la commune

    Logotypes

    • Avant 2019.
      Avant 2019.
    • De 2019 Ă  2021.
      De 2019 Ă  2021.
    • Depuis 2021.
      Depuis 2021.


    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'hermine plain.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Commune 15641 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
    2. « Sainte-Hermine », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Hermine », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Hermand », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    15. Michel Gautier revient sur l'Occupation et la RĂ©sistance, dans Ouest-France, 23 mai 2013
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Simon-la-Vineuse », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    17. « Sainte-Hermine : Norbert Barbarit et Jean-Pierre de Lambilly distingués », Ouest-France,‎ 24-25 décembre 2008.
    18. « Les maires élus hier soir en Vendée », Ouest-France,‎ .
    19. « Sainte-Hermine : Joseph Martin n’est plus », Ouest-France, édition des Sables-d’Olonne,‎ , p. 7.
    20. « Joseph Martin, maire sortant, présente sa liste », Ouest-France,‎ .
    21. « Béatrice Blandineau a été élue maire », Ouest-France, édition des Sables-d’Olonne,‎ , p. 11.
    22. « Sainte-Hermine : Philippe Barré élu maire de Sainte-Hermine », Ouest-France, édition des Sables-d’Olonne,‎ (lire en ligne).
    23. Magali Schaal, « Élections régionales 2021 : deux élus MoDem aux côtés de Christelle Morançais », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Hermine (85223) », (consulté le ).
    28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
    29. https://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Melissa-Imbert-championne-de-boxe-et-prof-a-La-Fleche_42314-1531941-pere-pdl_filDMA.Htm
    30. Notice no PA00110240, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Notice no PA00110243, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Notice no PA00110244, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. Notice no PA00110245, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Notice no PA85000013, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Notice no PA00110242, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Notice no PA00110297, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no PA00110246, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Notice no PA00110241, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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