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Clarisse LĂ©vy-Kinsbourg

Clarisse Lévy-Kinsbourg, née le à Saint-Maurice (Val de Marne) et morte à Paris (14e) le , est une sculptrice française de la période Art déco particulièrement reconnue pour ses œuvres d'inspiration coloniale.

Clarisse LĂ©vy-Kinsbourg
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Signature

Biographie

Clarisse Kinsbourg, fille d'Edmond Gintzburger dit Kinsbourg (1866-1940) marchand de chevaux et de Rachel Grosmutts (1862-1925), nait le à Saint-Maurice (Val de Marne), 23 allée de l'Asile.

À 16 ans elle épouse Roger Lévy (1892-1980), étudiant en droit âgé de 20 ans, le à la mairie du 16e arrondissement de Paris.

Elle entre à L'École des beaux-arts de Paris vers 1919 et est l'élève de Laurent Marqueste (1848-1920) prix de Rome, de Victor Ségoffin (1867-1925) chef de l'atelier de sculpture pour femmes à l'École des beaux-arts de Paris, Auguste Carli (1868-1930) second Prix de Rome et François Sicard (1862-1934) lauréat du Prix de Rome et membre de l'Académie des beaux-arts[1]. Elle présente ses premières œuvres d'atelier au Salon des Artistes français tout au long des années 1920.

Son mari, conseiller juridique et fiscal de la Maison Van Cleef et administrateur de Sociétés coloniales d'après l'acte de remariage de Roger Lévy du 3 janvier 1930 à Paris 15e, quitte le domicile conjugal en 1928[2]. Clarisse conserve son atelier où le couple s'était installé quelques années auparavant dans le quartier Montparnasse, au 36 avenue de Châtillon (Paris 14e)[3] - [4]. Le divorce entre les deux époux est prononcé le par le tribunal de la Seine à la requête et au profit de Clarisse Lévy-Kinsbourg[5].

Elle se passionne très tôt pour les arts exotiques qui sont dans l'air du temps comme en témoignent les succès de l'Exposition coloniale de Marseille en 1922 et de l'Exposition coloniale internationale de Paris en 1931 et s'engage alors dans une carrière qui lui fait quitter régulièrement son atelier parisien pour se rendre dans les colonies et protectorats français grâce aux nombreuses bourses qui lui sont accordées par la Société coloniale des artistes français[6]. Elle y puise son inspiration tant pour ses nus féminins, son thème de prédilection, que pour des scènes de femmes dans leur vie quotidienne. Elle expose régulièrement au Salon des artistes français et aux expositions de la Société coloniale des artistes français[7].

Après la seconde guerre mondiale les tensions croissantes dans les pays d'outre-mer en quête d'indépendance entraîne un certain désintérêt du public pour l'art colonial. Clarisse Lévy-Kinsbourg maintient malgré tout ses séjours réguliers hors de la métropole et poursuit sa participation aux expositions de la Société des beaux-arts de la France d'outre-mer.

En 1950 elle quitte pourtant la Tunisie où elle a longtemps œuvré afin de poursuivre ses expositions à Paris et de préparer des voyages d'études vers de nouveaux horizons en Égypte et en Suède[8].

Après quelques dernières participations aux expositions organisées par la Société des beaux-arts de la France d'outre-mer Clarisse Kinsbourg s'éteint le à l'hôpital Broussais 96 rue Didot (Paris 14e) et est inhumée le dans le carré juif du cimetière du Montparnasse[9].

Ĺ’uvre

La carrière artistique de Clarisse Lévy-Kinsbourg connaît deux grandes périodes :

1- La première période est celle des années 1920 :

Clarisse Lévy suit le cursus classique de formation à l'École des beaux-arts : études, poses d'atelier, plâtres. Soutenue par ses professeurs successifs elle présente ses premières œuvres d'atelier au Salon des Artistes français :

  • 1920 : TĂŞte de cariatide, ronde-bosse en pierre, copie d'après Pierre Puget[10].
  • 1920 : une Ă©tude en plâtre patinĂ© -Vieillard-[11].
  • 1921 : une Ă©tude en plâtre -Pleureuse- (ou Femme pleurant sa faute) et un buste -TĂŞte bestiale-[12].
  • 1922 : un buste en pierre -TĂŞte de nĂ©gresse- et un buste en plâtre -TĂŞte d'homme- (Ă©tude)[13].
  • 1923 : une statue en plâtre patinĂ© -Mulâtresse jouant au dĂ©s- qui lui vaut l'attribution d'une mention honorable[14] - [15].
  • 1924 : deux bustes en plâtre -M. Sussel- et -M. Babani-[16].
  • 1925 : un buste en plâtre -Mlle Grain-[17].
  • 1927 : une grande sculpture en plâtre -Danseuse au tambourin-[18].
    nu féminin au lévrier, terre cuite vers 1930


Dans le même temps elle produit de nombreuses autres sculptures dans le style Art déco qui mettent en valeur l'esthétisme du corps de la femme ou évoquent des thèmes intemporels dans des poses de nus reflétant son expérience acquise aux Beaux-arts.

Ces sculptures sont diffusées sous des signatures multiples « Claris Lévy, Clarisse Lévy, C. Lévy » par des éditeurs de renom : en bronze par les fondeurs Arthur Goldscheider, R. Patrouilleau, Ancienne Maison Colin, Susse Frères et Valsuani, en terre cuite ou en céramique par Kaza, éditeur de céramiques réputé de la fin des années 1920 et des années 1930 au 27 rue de Paradis à Paris (10e) qui propose en particulier des craquelés de grande taille particulièrement appréciés par une clientèle aisée de l'époque[19] - [20].

On en retrouve régulièrement certains exemplaires sur le marché de l'art :

nu féminin assis, céramique craquelée vers 1930
  • nu fĂ©minin accroupi (terre cuite, craquelĂ© Kaza), signature « Claris LĂ©vy »
  • danseuse de flamenco nue (craquelĂ© Kaza), signature « Claris LĂ©vy »
  • nu fĂ©minin au lĂ©vrier (terre cuite Kaza, cĂ©ramique Kaza), signatures « Clarisse LĂ©vy », « Claris LĂ©vy »
  • nu fĂ©minin drapĂ© (craquelĂ© Kaza), signature « Clarisse LĂ©vy »
  • nu fĂ©minin au chevreau, (terre cuite, cĂ©ramique),  signature « Clarisse LĂ©vy »
  • buste de jeune fille, (terre cuite Kaza), signature « Clarisse LĂ©vy »
  • jeune femme au pĂ©kinois (cĂ©ramique)
  • nu fĂ©minin assis (bronze, terre cuite, craquelĂ© Kaza), signature « Clarisse LĂ©vy »
  • des serre-livres (bronze Goldscheider, cĂ©ramique Kaza), signature « C. LĂ©vy »
  • LĂ©da et le cygne (bronze), signature « LĂ©vy »
  • nu fĂ©minin Ă  la grappe de raisin (bronze), signature « C. LĂ©vy »
  • Dalhila (cĂ©ramique Kaza 1928), signature « Clarisse LĂ©vy » ; sculpture offerte par Kaza au championnat international du cocktail[21].

2- La seconde période, à partir de la fin des années 1920, correspond à ses séjours dans les colonies et protectorats français.

Jeune fille slave, marbre rose 1932, exposé salle des fêtes de Saint-Affrique (12)

C'est le début de ses premiers vrais succès dans les expositions du Salon des artistes français.

Ses œuvres sont signées « Clarisse Lévy-Kinsbourg » ou « C. Lévy-Kinsbourg » et, plus tard, « C. Kinsbourg-Lévy », « C.L. Kinsbourg » ou simplement « Kinsbourg ».

  • en 1929 elle expose au Grand Palais une statue de pierre -Mulâtresse joueuse de dĂ©s-, probablement un aboutissement de la statue en plâtre qui lui valut une mention honorable en 1923[22]. Elle reçoit une mĂ©daille d'argent pour cette nouvelle Ĺ“uvre[23]. La Ville de Paris en fait l'acquisition pour le Petit Palais[24]. Cette sculpture sera ensuite Ă©ditĂ©e en bronze sur socle de marbre. La mĂŞme annĂ©e elle reçoit le prix de Madagascar en supplĂ©ante[25].
  • en 1930 elle prĂ©sente un buste en marbre jaune de Sienne -TĂŞte asiatique- aux cĂ´tĂ©s d'un de ses maĂ®tres François Sicard[26].
  • en 1931 elle rĂ©alise pour le Salon des artistes français une statue en pierre de Pouillenay -Danseuse cambodgienne- dont la ville de Paris fait l'acquisition[27] - [28]. Elle sera par la suite Ă©ditĂ©e en bronze par Susse Frères en diffĂ©rents formats. Le prix de la Compagnie Paquet lui est attribuĂ© par la SociĂ©tĂ© coloniale des artistes français[29].
  • en 1932 elle reçoit le prix Louis-Dumoulin pour l'AlgĂ©rie en supplĂ©ante[30]. Ă€ la suite de l'exposition au Salon des artistes français, la Ville de Paris fait l'acquisition de Jeune fille slave, torse de marbre rose signĂ© « C. LĂ©vy-Kinsbourg[31] - [32] .
  • en 1933 elle expose un buste en onyx du Maroc -Jeune Marocaine de Fez-, un buste en marbre jaune de Sienne -Femme africaine- et un buste en bronze -Martiniquaise- au Salon colonial des artistes français[15]. Par ailleurs, choisie parmi 17 candidats, la Ville de Paris lui attribue une bourse de 18000 F proposĂ©e par la SociĂ©tĂ© coloniale des artistes français pour un sĂ©jour artistique d'un an en Afrique du Nord qui lui permet de se rendre l'annĂ©e suivante au Maroc[33] - [34].
  • en 1934 elle participe Ă  un concours organisĂ© par la Ville de Paris pour la prĂ©sentation d'un buste de Marianne intitulĂ© la RĂ©publique. Parmi douze Ĺ“uvres de sculpteurs rĂ©putĂ©s celle de Clarisse LĂ©vy-Kinsbourg est choisie par le jury[35] - [36]. Ce choix raisonnable ne souleva toutefois pas d'enthousiasme et n'Ă©chappa pas Ă  quelques critiques parfois aux relents d'antisĂ©mitisme[37].
  • en 1936 elle est invitĂ©e en mĂŞme temps que son ex-beau-frère Marcel Armand Gaumont (1880-1962)[38], lui aussi sculpteur, Ă  l'exposition du dix-septième Groupe des Artistes de ce temps au Petit Palais et participe un mois plus tard Ă  l'exposition du dix-huitième Groupe des Artistes de ce temps[39].
  • en 1937 au Salon des artistes français et de la SociĂ©tĂ© nationale des Beaux-arts, elle prĂ©sente un buste d'une Jeune arabe (ou Jeune fille de Marrakech)[40]. Sur commande du musĂ©e d'Art moderne de Paris pour l'Exposition universelle, elle rĂ©alise une statue de pierre reconstituĂ©e de 2,10 m intitulĂ©e Femme orientale debout et signĂ©e « C.L. Kinsbourg » qui lui vaut une mĂ©daille d'or, actuellement dans les collections du musĂ©e[41] - [42] - .
  • en 1939 elle expose un buste en marbre -Tunisienne du bled- ainsi qu'un buste en pierre -Petite fille Chleuh-[43] - [44] . Au Salon de la SociĂ©tĂ© coloniale elle reçoit le prix de l'Afrique occidentale française en supplĂ©ante[45].
    Mulâtresse joueuse de dés - bronze
  • en 1940 au 2e Salon de la France d'outre-mer au Grand Palais, elle propose un buste de pierre -AlgĂ©rienne-, un buste de plâtre -Jeune Tunisienne- et une vitrine contenant des sujets coloniaux[46]. Elle reçoit le prix Louis-Dumoulin pour l'AlgĂ©rie et, en supplĂ©ante, le prix de l'Afrique occidentale française[47].
  • en 1946 au Salon des beaux-arts de la France d'outre-mer, elle prĂ©sente -TĂŞte africaine- en marbre jaune de Sienne et un buste en marbre rose intitulĂ© Jeune fille porteuse d'eau signĂ©s "Kinsbourg"[15] - [48].
  • en 1948 Ă  ce mĂŞme Salon elle propose deux bustes en plâtre -BĂ©douine, rĂ©gion de Bizerte- et -Fillette de Tunis- ainsi qu'une sculpture en bois en taille directe intitulĂ© Jeune AlgĂ©rienne au turban[15] - [48].
  • en 1949 elle expose une tĂŞte en plâtre stĂ©arinĂ© -Mlle Solange Cang- et un nu fĂ©minin en bronze -Jeune Martiniquaise se coiffant-[15].
  • en 1950 elle prĂ©sente un plâtre -Buste de Lucette, Le Trung-Cang- signĂ© « Kinsbourg »[49]. Deux bourses de voyage lui sont encore attribuĂ©es au Salon de la France d'outre-mer : le prix de Madagascar et, en supplĂ©ante, le prix de la Tunisie[50].
    Mère et son enfant sur le dos - bronze
  • en 1955 trois sculptures sont exposĂ©es au Grand Palais : un buste en cĂ©ramique -Martiniquaise-, un buste en pierre -BĂ©douine-, une statuette en terre cuite -MaternitĂ© (BĂ©douine)(Marocaine)-[15].
  • en 1957 elle propose un buste en bronze -Dallal-, un nu fĂ©minin en bronze dorĂ© -Danseuse cambodgienne- et un buste en marbre jaune de sienne -Africaine-[15].

Durant toute cette période coloniale, Clarisse Lévy-Kinsbourg a réalisé d'autres sculptures peut-être exposées dans des salons dont les catalogues ont disparu mais dont on retrouve certaines éditions sur le marché de l'art :

  • mère et son enfant sur le dos ou MaternitĂ© (bronze Susse, terre cuite), signature « LĂ©vy-Kinsbourg ».
  • femme marocaine et son enfant (bronze Susse, terre cuite), signature « C. Kinsbourg »[51].
  • buste de jeune femme d'Indochine (bronze Susse), signature « C. LĂ©vy-Kinsbourg »
  • nu fĂ©minin Ă  la jarre (bronze Ancienne Maison Colin), signature « LĂ©vy-Kinsbourg ».
  • nu fĂ©minin au turban (bronze Valsuani), signature « LĂ©vy-Kinsbourg ».
  • jeune femme orientale (bronze Patrouilleau).
  • femme nue assise se coiffant (bronze cire perdue), signature « LĂ©vy-Guinsbourg ».
  • paysanne assise (plâtre).
  • baigneuse asiatique (bois), signature « Kinsbourg ».
  • tĂŞte africaine (bois), signature « Kinsbourg »
  • nu fĂ©minin assis (bas-relief bois), signature « C.L. Kinsbourg ».

Bibliographie

  • Anne Rivière, collectif : Sculpture'Elles : les sculpteurs femmes du XVIIIe siècle Ă  nos jours, Somogy Ă©ditions d'art, 270 pages, 22 mai 2011
  • Anne Rivière : dictionnaire des sculptrices en France, Ă©ditions Mare et Martin, Paris, 2018
  • Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003
  • Stephane Richemond : Terres cuites orientalistes et africanistes 1860-1940, Les Ă©ditions de l'Amateur, 1999
  • Source gallica.bnf.fr/BnF : catalogues, articles de presse de 1921 Ă  1957, Bulletins du conseil municipal de Paris
  • Historique des MusĂ©es d'Art Modernes - Janniot : http://www.janniot.com/histomuse37.html
  • Alain-RenĂ© Hardy Bruno Giardi : Les CraquelĂ©s Art DĂ©co, Editions Penthesilia, Domont, 2009
  • James A. MacKay : The dictionary of Sculptors in Bronze, Ă©dition Woodbridge, Suffolk : Antique Collectors Club, 1992
  • Benezit : Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Edition GrĂĽnd, tome 6, 1976

Notes et références

  1. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1921, p. 185 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1922, p. 180 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1923, p. 181 : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1927, p. 175 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 30 avril 1929, p. 200 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1932, p. 199
  2. Archives de Paris : Levy Roger, matricule 4644, D4R1 1680 ; archives_FRAD075RM_D4R1_1680_0289_D.jpg
  3. Publié par Bijoux et pierres précieuses, « Petites Rubriques: DUHAMEL bijoutier-joaillier peu connu. Roger Levy DEBLED, l homme de confiance d'Alfred Van Cleef et Barbary Joaillier parisien. » (consulté le )
  4. avenue renommée avenue Jean Moulin en 1965
  5. transcription le Ă  la mairie de Paris 16e
  6. ces prix consistent en une somme d'agent et un voyage aller et retour, tant en chemin de fer qu'en paquebot, de Paris au chef-lieu de la colonie et en des moyens de transport dans l'intĂ©rieur  
  7. Société renommée Société des beaux-arts de la France d'outre-mer en 1946 ; sa devise est « L’expansion coloniale par l’Art, au profit de la France et de l’Art »
  8. gallica.bnf.fr : Tunisie France, chronique de Bizerte, 28 février 1950, p. 3. Dans cet article C. Kinsbourg est nommée Clarisse Kinsbourg-Khemiri. Toutefois aucun document attestant d'une éventuelle union n'a été trouvé ; peut-être s'agit-il d'une union libre ? Dans son acte de décès, Clarisse Kinsbourg est seulement désignée divorcée de Roger Lévy.
  9. archives.paris.fr : 1959-1960 MTP_RJ19591961_01 vue 15/31. Situation de la sépulture : 3e israélite 1 Ouest 6 Sud
  10. Collection du Centre national des arts plastiques : inv. FNAC 3020, achat à l'artiste par l'Etat (fonds national d'art contemporain) en 1920 ; en dépôt depuis 1921 à l'Université de Poitiers.
  11. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1920, p. 179
  12. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1921, p. 185 ; Le Gaulois : Salon des artistes français, 20 mai 1921, p. 4
  13. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1922, p. 180
  14. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1923, p. 181
  15. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185
  16. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1924 p. 186
  17. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1925, p..130
  18. Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1927, p. 175 ; books.google.fr : Mercure de France, 1927, volume 196, p. 455 ; gallica.bnf.fr : La Renaissance, 1er juin 1927, p. 217
  19. certaines sculptures de Clarisse Lévy-Kinsbourg signées « C. Lévy » ou même « Clarisse Lévy » ont été attribuées par erreur à Claude Lévy (1895-1942), peintre décoratrice et membre de l'atelier Primavera (artnet.fr : vente de femme nue à la grappe de raisin du 5 avril 2014) (Alain-René Hardy Bruno Giardi, Les Craquelés Art Déco, Editions Penthesilia, Domont, 2009, p. 102 et p. 265)
  20. Alain-René Hardy Bruno Giardi, Les Craquelés Art Déco, Editions Penthesilia, Domont, 2009, p. 241
  21. gallica.bnf.fr : Paris midi, 17 novembre 1928, p. 2
  22. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1929, p. 200.; Le Monde colonial illustré, 1er juin 1929, p. 162. Cette sculpture sera mise en dépôt à Bonneuil-sur-Marne en 1961 : gallica.bnf.f r : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 10 juillet 1961, p. 386
  23. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : Le Petit Parisien, 30 mai 1929, p. 4 ; Excelsior, 3 juin 1929, p. 2 ; Explication des ouvrages de peinture...sculpture..des artistes vivants, 1929, p. 309 ; Comoedia, 30 mai 1929, p. 3 ; Journal de débats politiques et littéraires, 30 mai 1929, p. 2 ; Le Matin, 30 mai 1929, p. 4 ; Le Temps, 30 mai 1929, p. 4 ; Le Droit, 6 juin 1929, p. 204 ;
  24. books.google.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 12 septembre 1929, p. 4130 ; Revue hebdomadaire, volume 6, p. 718
  25. gallica.bnf.fr : La Chronique coloniale, 30 janvier 1929, p. 201 ; Le Petit Parisien, 13 juin 1929, p. 4 ; Comoedia, 13 juin 1929, p. 3 ; Paris-soir, 14 juin 1929, p. 2 ; L'Ami du peuple, 13 juin 1929, p. 2 ;Les Annales coloniales, 13 juin 1929, p. 1 ; Journal des dĂ©bats politiques et littĂ©raires,  8 juillet 1929, p. 4 ; La Tribune de Madagascar et dĂ©pendances,  23 juillet 1929, p. 1 ; Madagascar, 7 aoĂ»t 1929, p. 2
  26. Docplayer.fr : Salon de 1930-Section de sculpture, p. 1 gallica.bnf.fr : Le Monde colonial illustré : 1er janvier 1930, p. 150 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais, 1930, p. 178
  27. gallica.bnf.fr : La Renaissance, 1er mai 1931, p. 57 ; L'Ami du peuple du soir, 24 mai 1931, p. 4 ; Le Journal, 6 mai 1931, p. 5 ; L'Express du Midi, 16 mai 1931, p. 6
  28. gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 7 juin, p. 3112 et 31 août 1931, p. 4130 ; sculpture prêtée à la commune de Vincennes : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 10 juillet 1931, p. 386
  29. le prix de la Compagnie Paquet consiste en un passage aller et retour en première classe de Marseille à Casablanca Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 44 gallica.bnf.fr : La Chronique coloniale, 15 janvier 1931, p. 241 ; Comoedia, 8 juin 1931, p. 3 ; L'Action française, 9 juin 1931, p. 4 ; L'Echo d'Alger, 9 juin 1931, p. 1 ; Le Journal, 9 juin 1931, p. 8 ; Paris-Films, 9 juin 1931, p. 3 ; Figaro, 10 juin 1931, p. 5 ; Le Journal de arts, 10 juin 1931, p. 2
  30. gallica.bnf.fr : Le Quotidien, 6 juin 1932, p. 5 ; La Dépêche coloniale, 6 juin 1932, p. 2 ; Le Journal des débats politiques et littéraires, 6 juin 1932, p. 4 ; Le Matin, 6 juin 1932, p. 6 ; L'Ami du peuple, 7 juin 1932, p. 4 ; Les Annales coloniales, 7 juin 1932, p. 1 ; Comoedia, 7 juin 1932, p. 3 ; L'Echo d'Alger, 7 juin 1932, p. 2 ; L'Echo d'Oran 7 juin 1932, p. 8 ; L'Express du Midi, 7 juin 1932, p. 2 ; L'Ouest-Eclair, 7 juin 1932, p. 2 ; Le Temps, 7 juin 1932, p. 3 ; La Chronique coloniale, 15 janvier 1932, p. 253 ; Bulletin mensuel de l'Office du protectorat français, Tunisie, 1er décembre 1932, p. 13
  31. gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 11 aoĂ»t 1932, p. 3573 ; Comoedia, 21 juillet 1932, p.  3
  32. gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais, 1932, p. 199 ; La Renaissance, 1er avril 1932, p. 51 ;L'Art et les artistes, 1er mars 1932, p. 113 ; L'Avenir, 11 mai 1932, p. 2 Sculpture de 1,34 m signĂ©e « C. LĂ©vy-Kinsbourg » ; dĂ©pĂ´t de la direction des Beaux-arts de la Ville de Paris Ă  la Ville de Saint-Affrique (Aveyron) en 1963 ; Ĺ“uvre exposĂ©e dans la Salle des Colonnes de l'ancien tribunal de Saint-Affrique.
  33. gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 1er janvier 1933, p. 431 ; L'Echo d'Alger, 11 juillet 1933, p. 2 Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185
  34. gallica.bnf.fr : Le Petit Marocain, 14 octobre 1934, p. 7
  35. gallica.bnf.fr : L'Ĺ’uvre, 20 janvier 1934, p. 6. Autres candidats : Collamarini, Gimondo, Pommier, JĂ©gou, Martial, Malfray, Belmondo, Joachim Costa, Montagnon, Martin, Contesse.
  36. Ce buste de Marianne intitulé la République, actuellement dans la collection de l'Assemblée nationale, est aussi visible au Musée des Beaux-arts de la ville de Paris et à la mairie de Bois-Colombes (92)
  37. gallica.bnf.fr : La Liberté, 21 janvier 1934, p. 2 ; L'Intransigeant, 23 janvier 1934, p. 6 ; France Afrique, 23 février 1934, p. 2
  38. Marcel Gaumont, sculpteur, ancien pensionnaire de la villa Médicis à l'Académie de France à Rome, est marié à Marcelle Lévy (1886-1972), sœur de Roger Lévy, le 5 octobre 1926 à Paris (6e)
  39. www.parismuseescollections.paris.fr/fr/petit-palais/archives/carton-d-invitation-de-l-exposition-du-17e-groupe-des-artistes-de-ce-temps#infos-principales ; https://www.parismuseescollections.paris.fr/fr/petit-palais/archives/carton-d-invitation-de-l-exposition-du-18e-groupe-des-artistes-de-ce-temps#infos-principales ; gallica.bnf.fr : Le Journal, 24 juin 1936, p. 8 ; L'Intransigeant, 20 juin 1936, p. 2
  40. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : Explication des ouvrages de peinture...sculpture..des artistes vivants, 1937, p. 97 France Afrique, 23 février 1934, p. 2 ; Paris-Midi, 22 janvier 1934, p. 8
  41. gallica.bnf.fr : Salon des Artistes Français, 1944, p. 43
  42. www.janniot.com/histomuse37 : Historique des Musées d'Art Modernes - Janniot, programme de décoration architecturale et sculpturale du Palais de Tokyo lors de l'Exposition de 1937
  43. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : Journal des débats politiques et littéraires, Salon des Tuileries, 1er juin 1939, p. 4
  44. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : Journal des débats politiques et littéraires, Grand Palais, 28 juin 1939, p. 3 ; Le Journal, 15 mai 1939, p. 2
  45. gallica.bnf.fr : France Outre-mer, 23 juin 1939, p. 3 (6000 fr) ; Beaux-arts, 30 juin 1939, p. 8 ; Le Temps, 22 juin 1939, p. 4 ; Journal des débats politiques et littéraires, 22 juin 1939, p. 4
  46. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : catalogue du 2e Salon de la France d'Outre-mer, p. 122
  47. gallica.bnf.fr : La Dépêche algérienne, 4 juin 1940, p. 1 ; L'Echo d'Alger, 4 juin 1940, p. 1 ; International Herald Tribune, p. 2 ; L'action française, 4 juin 1940, p. 2 ; Le Temps, 5 juin 1940, p. 2 ; L'Intransigeant, 5 juin 1940, p. 2
  48. Stéphane Richemond, Denise Grouard : Les orientalistes, dictionnaire des sculpteurs XIXe – XXe siècles, Les éditions de l'Amateur, 2008, p. 143
  49. Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185 books.google.fr : Explication des ouvrages de peinture...sculpture..des artistes vivants, 1950, p. 91
  50. gallica.bnf.fr : La Dépêche tunisienne, 2 août 1950, p. 2
  51. Anne Rivière : dictionnaire des sculptrices en France, p. 324. Collection du Centre national des arts plastiques, inv. FNAC 6649 ; achat par l'Etat (fonds national d'art contemporain) de l'œuvre en terre cuite à l'artiste en 1940 ; en dépôt depuis 1995 à La Piscine, musée d'art et d'industrie André Diligent de Roubaix
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