Clarisse LĂ©vy-Kinsbourg
Clarisse Lévy-Kinsbourg, née le à Saint-Maurice (Val de Marne) et morte à Paris (14e) le , est une sculptrice française de la période Art déco particulièrement reconnue pour ses œuvres d'inspiration coloniale.
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(Ă 63 ans) 14e arrondissement de Paris |
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Biographie
Clarisse Kinsbourg, fille d'Edmond Gintzburger dit Kinsbourg (1866-1940) marchand de chevaux et de Rachel Grosmutts (1862-1925), nait le à Saint-Maurice (Val de Marne), 23 allée de l'Asile.
À 16 ans elle épouse Roger Lévy (1892-1980), étudiant en droit âgé de 20 ans, le à la mairie du 16e arrondissement de Paris.
Elle entre à L'École des beaux-arts de Paris vers 1919 et est l'élève de Laurent Marqueste (1848-1920) prix de Rome, de Victor Ségoffin (1867-1925) chef de l'atelier de sculpture pour femmes à l'École des beaux-arts de Paris, Auguste Carli (1868-1930) second Prix de Rome et François Sicard (1862-1934) lauréat du Prix de Rome et membre de l'Académie des beaux-arts[1]. Elle présente ses premières œuvres d'atelier au Salon des Artistes français tout au long des années 1920.
Son mari, conseiller juridique et fiscal de la Maison Van Cleef et administrateur de Sociétés coloniales d'après l'acte de remariage de Roger Lévy du 3 janvier 1930 à Paris 15e, quitte le domicile conjugal en 1928[2]. Clarisse conserve son atelier où le couple s'était installé quelques années auparavant dans le quartier Montparnasse, au 36 avenue de Châtillon (Paris 14e)[3] - [4]. Le divorce entre les deux époux est prononcé le par le tribunal de la Seine à la requête et au profit de Clarisse Lévy-Kinsbourg[5].
Elle se passionne très tôt pour les arts exotiques qui sont dans l'air du temps comme en témoignent les succès de l'Exposition coloniale de Marseille en 1922 et de l'Exposition coloniale internationale de Paris en 1931 et s'engage alors dans une carrière qui lui fait quitter régulièrement son atelier parisien pour se rendre dans les colonies et protectorats français grâce aux nombreuses bourses qui lui sont accordées par la Société coloniale des artistes français[6]. Elle y puise son inspiration tant pour ses nus féminins, son thème de prédilection, que pour des scènes de femmes dans leur vie quotidienne. Elle expose régulièrement au Salon des artistes français et aux expositions de la Société coloniale des artistes français[7].
Après la seconde guerre mondiale les tensions croissantes dans les pays d'outre-mer en quête d'indépendance entraîne un certain désintérêt du public pour l'art colonial. Clarisse Lévy-Kinsbourg maintient malgré tout ses séjours réguliers hors de la métropole et poursuit sa participation aux expositions de la Société des beaux-arts de la France d'outre-mer.
En 1950 elle quitte pourtant la Tunisie où elle a longtemps œuvré afin de poursuivre ses expositions à Paris et de préparer des voyages d'études vers de nouveaux horizons en Égypte et en Suède[8].
Après quelques dernières participations aux expositions organisées par la Société des beaux-arts de la France d'outre-mer Clarisse Kinsbourg s'éteint le à l'hôpital Broussais 96 rue Didot (Paris 14e) et est inhumée le dans le carré juif du cimetière du Montparnasse[9].
Ĺ’uvre
La carrière artistique de Clarisse Lévy-Kinsbourg connaît deux grandes périodes :
1- La première période est celle des années 1920 :
Clarisse Lévy suit le cursus classique de formation à l'École des beaux-arts : études, poses d'atelier, plâtres. Soutenue par ses professeurs successifs elle présente ses premières œuvres d'atelier au Salon des Artistes français :
- 1920 : Tête de cariatide, ronde-bosse en pierre, copie d'après Pierre Puget[10].
- 1920 : une étude en plâtre patiné -Vieillard-[11].
- 1921 : une étude en plâtre -Pleureuse- (ou Femme pleurant sa faute) et un buste -Tête bestiale-[12].
- 1922 : un buste en pierre -Tête de négresse- et un buste en plâtre -Tête d'homme- (étude)[13].
- 1923 : une statue en plâtre patiné -Mulâtresse jouant au dés- qui lui vaut l'attribution d'une mention honorable[14] - [15].
- 1924 : deux bustes en plâtre -M. Sussel- et -M. Babani-[16].
- 1925 : un buste en plâtre -Mlle Grain-[17].
- 1927 : une grande sculpture en plâtre -Danseuse au tambourin-[18].nu féminin au lévrier, terre cuite vers 1930
Dans le même temps elle produit de nombreuses autres sculptures dans le style Art déco qui mettent en valeur l'esthétisme du corps de la femme ou évoquent des thèmes intemporels dans des poses de nus reflétant son expérience acquise aux Beaux-arts.
Ces sculptures sont diffusées sous des signatures multiples « Claris Lévy, Clarisse Lévy, C. Lévy » par des éditeurs de renom : en bronze par les fondeurs Arthur Goldscheider, R. Patrouilleau, Ancienne Maison Colin, Susse Frères et Valsuani, en terre cuite ou en céramique par Kaza, éditeur de céramiques réputé de la fin des années 1920 et des années 1930 au 27 rue de Paradis à Paris (10e) qui propose en particulier des craquelés de grande taille particulièrement appréciés par une clientèle aisée de l'époque[19] - [20].
On en retrouve régulièrement certains exemplaires sur le marché de l'art :
- nu féminin accroupi (terre cuite, craquelé Kaza), signature « Claris Lévy »
- danseuse de flamenco nue (craquelé Kaza), signature « Claris Lévy »
- nu féminin au lévrier (terre cuite Kaza, céramique Kaza), signatures « Clarisse Lévy », « Claris Lévy »
- nu féminin drapé (craquelé Kaza), signature « Clarisse Lévy »
- nu féminin au chevreau, (terre cuite, céramique), signature « Clarisse Lévy »
- buste de jeune fille, (terre cuite Kaza), signature « Clarisse Lévy »
- jeune femme au pékinois (céramique)
- nu féminin assis (bronze, terre cuite, craquelé Kaza), signature « Clarisse Lévy »
- des serre-livres (bronze Goldscheider, céramique Kaza), signature « C. Lévy »
- Léda et le cygne (bronze), signature « Lévy »
- nu féminin à la grappe de raisin (bronze), signature « C. Lévy »
- Dalhila (céramique Kaza 1928), signature « Clarisse Lévy » ; sculpture offerte par Kaza au championnat international du cocktail[21].
2- La seconde période, à partir de la fin des années 1920, correspond à ses séjours dans les colonies et protectorats français.
C'est le début de ses premiers vrais succès dans les expositions du Salon des artistes français.
Ses œuvres sont signées « Clarisse Lévy-Kinsbourg » ou « C. Lévy-Kinsbourg » et, plus tard, « C. Kinsbourg-Lévy », « C.L. Kinsbourg » ou simplement « Kinsbourg ».
- en 1929 elle expose au Grand Palais une statue de pierre -Mulâtresse joueuse de dés-, probablement un aboutissement de la statue en plâtre qui lui valut une mention honorable en 1923[22]. Elle reçoit une médaille d'argent pour cette nouvelle œuvre[23]. La Ville de Paris en fait l'acquisition pour le Petit Palais[24]. Cette sculpture sera ensuite éditée en bronze sur socle de marbre. La même année elle reçoit le prix de Madagascar en suppléante[25].
- en 1930 elle présente un buste en marbre jaune de Sienne -Tête asiatique- aux côtés d'un de ses maîtres François Sicard[26].
- en 1931 elle réalise pour le Salon des artistes français une statue en pierre de Pouillenay -Danseuse cambodgienne- dont la ville de Paris fait l'acquisition[27] - [28]. Elle sera par la suite éditée en bronze par Susse Frères en différents formats. Le prix de la Compagnie Paquet lui est attribué par la Société coloniale des artistes français[29].
- en 1932 elle reçoit le prix Louis-Dumoulin pour l'Algérie en suppléante[30]. À la suite de l'exposition au Salon des artistes français, la Ville de Paris fait l'acquisition de Jeune fille slave, torse de marbre rose signé « C. Lévy-Kinsbourg[31] - [32] .
- en 1933 elle expose un buste en onyx du Maroc -Jeune Marocaine de Fez-, un buste en marbre jaune de Sienne -Femme africaine- et un buste en bronze -Martiniquaise- au Salon colonial des artistes français[15]. Par ailleurs, choisie parmi 17 candidats, la Ville de Paris lui attribue une bourse de 18000 F proposée par la Société coloniale des artistes français pour un séjour artistique d'un an en Afrique du Nord qui lui permet de se rendre l'année suivante au Maroc[33] - [34].
- en 1934 elle participe à un concours organisé par la Ville de Paris pour la présentation d'un buste de Marianne intitulé la République. Parmi douze œuvres de sculpteurs réputés celle de Clarisse Lévy-Kinsbourg est choisie par le jury[35] - [36]. Ce choix raisonnable ne souleva toutefois pas d'enthousiasme et n'échappa pas à quelques critiques parfois aux relents d'antisémitisme[37].
- en 1936 elle est invitée en même temps que son ex-beau-frère Marcel Armand Gaumont (1880-1962)[38], lui aussi sculpteur, à l'exposition du dix-septième Groupe des Artistes de ce temps au Petit Palais et participe un mois plus tard à l'exposition du dix-huitième Groupe des Artistes de ce temps[39].
- en 1937 au Salon des artistes français et de la Société nationale des Beaux-arts, elle présente un buste d'une Jeune arabe (ou Jeune fille de Marrakech)[40]. Sur commande du musée d'Art moderne de Paris pour l'Exposition universelle, elle réalise une statue de pierre reconstituée de 2,10 m intitulée Femme orientale debout et signée « C.L. Kinsbourg » qui lui vaut une médaille d'or, actuellement dans les collections du musée[41] - [42] - .
- en 1939 elle expose un buste en marbre -Tunisienne du bled- ainsi qu'un buste en pierre -Petite fille Chleuh-[43] - [44] . Au Salon de la Société coloniale elle reçoit le prix de l'Afrique occidentale française en suppléante[45].Mulâtresse joueuse de dés - bronze
- en 1940 au 2e Salon de la France d'outre-mer au Grand Palais, elle propose un buste de pierre -Algérienne-, un buste de plâtre -Jeune Tunisienne- et une vitrine contenant des sujets coloniaux[46]. Elle reçoit le prix Louis-Dumoulin pour l'Algérie et, en suppléante, le prix de l'Afrique occidentale française[47].
- en 1946 au Salon des beaux-arts de la France d'outre-mer, elle présente -Tête africaine- en marbre jaune de Sienne et un buste en marbre rose intitulé Jeune fille porteuse d'eau signés "Kinsbourg"[15] - [48].
- en 1948 à ce même Salon elle propose deux bustes en plâtre -Bédouine, région de Bizerte- et -Fillette de Tunis- ainsi qu'une sculpture en bois en taille directe intitulé Jeune Algérienne au turban[15] - [48].
- en 1949 elle expose une tête en plâtre stéariné -Mlle Solange Cang- et un nu féminin en bronze -Jeune Martiniquaise se coiffant-[15].
- en 1950 elle présente un plâtre -Buste de Lucette, Le Trung-Cang- signé « Kinsbourg »[49]. Deux bourses de voyage lui sont encore attribuées au Salon de la France d'outre-mer : le prix de Madagascar et, en suppléante, le prix de la Tunisie[50].Mère et son enfant sur le dos - bronze
- en 1955 trois sculptures sont exposées au Grand Palais : un buste en céramique -Martiniquaise-, un buste en pierre -Bédouine-, une statuette en terre cuite -Maternité (Bédouine)(Marocaine)-[15].
- en 1957 elle propose un buste en bronze -Dallal-, un nu féminin en bronze doré -Danseuse cambodgienne- et un buste en marbre jaune de sienne -Africaine-[15].
Durant toute cette période coloniale, Clarisse Lévy-Kinsbourg a réalisé d'autres sculptures peut-être exposées dans des salons dont les catalogues ont disparu mais dont on retrouve certaines éditions sur le marché de l'art :
- mère et son enfant sur le dos ou Maternité (bronze Susse, terre cuite), signature « Lévy-Kinsbourg ».
- femme marocaine et son enfant (bronze Susse, terre cuite), signature « C. Kinsbourg »[51].
- buste de jeune femme d'Indochine (bronze Susse), signature « C. Lévy-Kinsbourg »
- nu féminin à la jarre (bronze Ancienne Maison Colin), signature « Lévy-Kinsbourg ».
- nu féminin au turban (bronze Valsuani), signature « Lévy-Kinsbourg ».
- jeune femme orientale (bronze Patrouilleau).
- femme nue assise se coiffant (bronze cire perdue), signature « Lévy-Guinsbourg ».
- paysanne assise (plâtre).
- baigneuse asiatique (bois), signature « Kinsbourg ».
- tête africaine (bois), signature « Kinsbourg »
- nu féminin assis (bas-relief bois), signature « C.L. Kinsbourg ».
Bibliographie
- Anne Rivière, collectif : Sculpture'Elles : les sculpteurs femmes du XVIIIe siècle à nos jours, Somogy éditions d'art, 270 pages, 22 mai 2011
- Anne Rivière : dictionnaire des sculptrices en France, éditions Mare et Martin, Paris, 2018
- Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003
- Stephane Richemond : Terres cuites orientalistes et africanistes 1860-1940, Les Ă©ditions de l'Amateur, 1999
- Source gallica.bnf.fr/BnF : catalogues, articles de presse de 1921 Ă 1957, Bulletins du conseil municipal de Paris
- Historique des Musées d'Art Modernes - Janniot : http://www.janniot.com/histomuse37.html
- Alain-René Hardy Bruno Giardi : Les Craquelés Art Déco, Editions Penthesilia, Domont, 2009
- James A. MacKay : The dictionary of Sculptors in Bronze, Ă©dition Woodbridge, Suffolk : Antique Collectors Club, 1992
- Benezit : Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Edition GrĂĽnd, tome 6, 1976
Notes et références
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- Archives de Paris : Levy Roger, matricule 4644, D4R1 1680 ; archives_FRAD075RM_D4R1_1680_0289_D.jpg
- Publié par Bijoux et pierres précieuses, « Petites Rubriques: DUHAMEL bijoutier-joaillier peu connu. Roger Levy DEBLED, l homme de confiance d'Alfred Van Cleef et Barbary Joaillier parisien. » (consulté le )
- avenue renommée avenue Jean Moulin en 1965
- transcription le Ă la mairie de Paris 16e
- ces prix consistent en une somme d'agent et un voyage aller et retour, tant en chemin de fer qu'en paquebot, de Paris au chef-lieu de la colonie et en des moyens de transport dans l'intérieur
- Société renommée Société des beaux-arts de la France d'outre-mer en 1946 ; sa devise est « L’expansion coloniale par l’Art, au profit de la France et de l’Art »
- gallica.bnf.fr : Tunisie France, chronique de Bizerte, 28 février 1950, p. 3. Dans cet article C. Kinsbourg est nommée Clarisse Kinsbourg-Khemiri. Toutefois aucun document attestant d'une éventuelle union n'a été trouvé ; peut-être s'agit-il d'une union libre ? Dans son acte de décès, Clarisse Kinsbourg est seulement désignée divorcée de Roger Lévy.
- archives.paris.fr : 1959-1960 MTP_RJ19591961_01 vue 15/31. Situation de la sépulture : 3e israélite 1 Ouest 6 Sud
- Collection du Centre national des arts plastiques : inv. FNAC 3020, achat à l'artiste par l'Etat (fonds national d'art contemporain) en 1920 ; en dépôt depuis 1921 à l'Université de Poitiers.
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1920, p. 179
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1921, p. 185 ; Le Gaulois : Salon des artistes français, 20 mai 1921, p. 4
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1922, p. 180
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1923, p. 181
- Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1924 p. 186
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1925, p..130
- Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1927, p. 175 ; books.google.fr : Mercure de France, 1927, volume 196, p. 455 ; gallica.bnf.fr : La Renaissance, 1er juin 1927, p. 217
- certaines sculptures de Clarisse Lévy-Kinsbourg signées « C. Lévy » ou même « Clarisse Lévy » ont été attribuées par erreur à Claude Lévy (1895-1942), peintre décoratrice et membre de l'atelier Primavera (artnet.fr : vente de femme nue à la grappe de raisin du 5 avril 2014) (Alain-René Hardy Bruno Giardi, Les Craquelés Art Déco, Editions Penthesilia, Domont, 2009, p. 102 et p. 265)
- Alain-René Hardy Bruno Giardi, Les Craquelés Art Déco, Editions Penthesilia, Domont, 2009, p. 241
- gallica.bnf.fr : Paris midi, 17 novembre 1928, p. 2
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais 1929, p. 200.; Le Monde colonial illustré, 1er juin 1929, p. 162. Cette sculpture sera mise en dépôt à Bonneuil-sur-Marne en 1961 : gallica.bnf.f r : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 10 juillet 1961, p. 386
- Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 185 gallica.bnf.fr : Le Petit Parisien, 30 mai 1929, p. 4 ; Excelsior, 3 juin 1929, p. 2 ; Explication des ouvrages de peinture...sculpture..des artistes vivants, 1929, p. 309 ; Comoedia, 30 mai 1929, p. 3 ; Journal de débats politiques et littéraires, 30 mai 1929, p. 2 ; Le Matin, 30 mai 1929, p. 4 ; Le Temps, 30 mai 1929, p. 4 ; Le Droit, 6 juin 1929, p. 204 ;
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- Docplayer.fr : Salon de 1930-Section de sculpture, p. 1 gallica.bnf.fr : Le Monde colonial illustré : 1er janvier 1930, p. 150 ; Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais, 1930, p. 178
- gallica.bnf.fr : La Renaissance, 1er mai 1931, p. 57 ; L'Ami du peuple du soir, 24 mai 1931, p. 4 ; Le Journal, 6 mai 1931, p. 5 ; L'Express du Midi, 16 mai 1931, p. 6
- gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 7 juin, p. 3112 et 31 août 1931, p. 4130 ; sculpture prêtée à la commune de Vincennes : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 10 juillet 1931, p. 386
- le prix de la Compagnie Paquet consiste en un passage aller et retour en première classe de Marseille à Casablanca Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les éditions de l'Amateur, 2003, p. 44 gallica.bnf.fr : La Chronique coloniale, 15 janvier 1931, p. 241 ; Comoedia, 8 juin 1931, p. 3 ; L'Action française, 9 juin 1931, p. 4 ; L'Echo d'Alger, 9 juin 1931, p. 1 ; Le Journal, 9 juin 1931, p. 8 ; Paris-Films, 9 juin 1931, p. 3 ; Figaro, 10 juin 1931, p. 5 ; Le Journal de arts, 10 juin 1931, p. 2
- gallica.bnf.fr : Le Quotidien, 6 juin 1932, p. 5 ; La Dépêche coloniale, 6 juin 1932, p. 2 ; Le Journal des débats politiques et littéraires, 6 juin 1932, p. 4 ; Le Matin, 6 juin 1932, p. 6 ; L'Ami du peuple, 7 juin 1932, p. 4 ; Les Annales coloniales, 7 juin 1932, p. 1 ; Comoedia, 7 juin 1932, p. 3 ; L'Echo d'Alger, 7 juin 1932, p. 2 ; L'Echo d'Oran 7 juin 1932, p. 8 ; L'Express du Midi, 7 juin 1932, p. 2 ; L'Ouest-Eclair, 7 juin 1932, p. 2 ; Le Temps, 7 juin 1932, p. 3 ; La Chronique coloniale, 15 janvier 1932, p. 253 ; Bulletin mensuel de l'Office du protectorat français, Tunisie, 1er décembre 1932, p. 13
- gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 11 août 1932, p. 3573 ; Comoedia, 21 juillet 1932, p. 3
- gallica.bnf.fr : Explications des ouvrages de peinture, sculpture des artistes vivants : exposition au Grand Palais, 1932, p. 199 ; La Renaissance, 1er avril 1932, p. 51 ;L'Art et les artistes, 1er mars 1932, p. 113 ; L'Avenir, 11 mai 1932, p. 2 Sculpture de 1,34 m signée « C. Lévy-Kinsbourg » ; dépôt de la direction des Beaux-arts de la Ville de Paris à la Ville de Saint-Affrique (Aveyron) en 1963 ; œuvre exposée dans la Salle des Colonnes de l'ancien tribunal de Saint-Affrique.
- gallica.bnf.fr : Bulletin municipal officiel de la ville de Paris, 1er janvier 1933, p. 431 ; L'Echo d'Alger, 11 juillet 1933, p. 2 Stephane Richemond : Les Salons des artistes coloniaux, dictionnaire des sculpteurs, Les Ă©ditions de l'Amateur, 2003, p. 185
- gallica.bnf.fr : Le Petit Marocain, 14 octobre 1934, p. 7
- gallica.bnf.fr : L'Ĺ’uvre, 20 janvier 1934, p. 6. Autres candidats : Collamarini, Gimondo, Pommier, JĂ©gou, Martial, Malfray, Belmondo, Joachim Costa, Montagnon, Martin, Contesse.
- Ce buste de Marianne intitulé la République, actuellement dans la collection de l'Assemblée nationale, est aussi visible au Musée des Beaux-arts de la ville de Paris et à la mairie de Bois-Colombes (92)
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- Marcel Gaumont, sculpteur, ancien pensionnaire de la villa Médicis à l'Académie de France à Rome, est marié à Marcelle Lévy (1886-1972), sœur de Roger Lévy, le 5 octobre 1926 à Paris (6e)
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- gallica.bnf.fr : La Dépêche tunisienne, 2 août 1950, p. 2
- Anne Rivière : dictionnaire des sculptrices en France, p. 324. Collection du Centre national des arts plastiques, inv. FNAC 6649 ; achat par l'Etat (fonds national d'art contemporain) de l'œuvre en terre cuite à l'artiste en 1940 ; en dépôt depuis 1995 à La Piscine, musée d'art et d'industrie André Diligent de Roubaix