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Flavigny-sur-Ozerain

Flavigny-sur-Ozerain est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Flavigny-sur-Ozerain
Flavigny-sur-Ozerain
Vue depuis le nord-ouest
Blason de Flavigny-sur-Ozerain
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement CĂ´te-d'Or
Arrondissement Montbard
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Alésia et de la Seine
Maire
Mandat
Dominique Bondivena
2020-2026
Code postal 21150
Code commune 21271
DĂ©mographie
Gentilé Flavignien(nes)
Population
municipale
274 hab. (2020 en diminution de 9,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 9,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 30′ 46″ nord, 4° 31′ 55″ est
Altitude Min. 239 m
Max. 482 m
Superficie 27,79 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Montbard
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Flavigny-sur-Ozerain
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Flavigny-sur-Ozerain
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Flavigny-sur-Ozerain

    La commune a été reçue membre, pour son vieux bourg, de l'association des Plus Beaux Villages de France, et le label officiel de « Site remarquable du goût » lui a été décerné en tant que lieu exclusif de fabrication des « Anis de Flavigny ».

    GĂ©ographie

    Au cœur de l'Auxois, la cité médiévale de Flavigny-sur-Ozerain est située sur un éperon rocheux.

    Flavigny fait partie de la communauté de communes Pays d'Alesia et de la Seine.

    Hydrographie

    Cerné de trois rivières, l'Ozerain, qui reçoit la Recluse et le Verpant, avant de confluer avec la Brenne.

    Communes limitrophes

    Carte de la commune de Flavigny et des proches communes.

    Urbanisme

    Typologie

    Flavigny-sur-Ozerain est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,3 %), forêts (31,4 %), terres arables (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones urbanisées (0,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    En 52 avant J-C, le chef gaulois Vercingétorix dirige la rébellion et conduit une armée contre César. Vercingétorix se replie sur le mont Auxois et César établit des lignes de défense tout autour de l'oppidum, et défait les armées gauloises. Il installe l'un de ses campements militaires sur la colline de Flavigny.

    Après le siège d'Alésia (oppidum situé alors sur une colline voisine) et le départ des armées romaines, le général de Jules César et vétéran romain Flavinius se voit offrir une partie de cette terre formée de la colline où sera bâtie peu après la cité de Flavianiacum, aujourd'hui commune de Flavigny-sur-Ozerain.

    Le village tient aussi son origine de l'ancienne abbaye bénédictine de Flavigny fondée en 719 par Wideradus, fils du chef burgonde Corbon (peuple germano-scandinave), puis rénovée au XVe siècle par l'archevêque de Besançon Quentin Ménard, natif du lieu. La règle bénédictine écrite par saint Benoît de Nursie au VIe siècle organise la vie quotidienne des moines ; elle rythme leur temps entre la prière, le travail manuel et le travail intellectuel.

    Au plus tard vers 1150 (et probablement bien avant), la ville de Flavigny appartient à l'évêché d'Autun[8] - [Note 2].

    En 1188, un prieuré d'Augustins est fondé à Nailly[9], sur le versant Est de l'Ozerain[10]. Il est connu comme hôpital ou maison-dieu Saint-Nicolas[11].

    Le roi de France Philippe Auguste convoque le duc Eudes III à sa cour à Vincennes en novembre 1198. Il lui fait tenir serment de ne jamais contracter alliance avec son ennemi Richard Cœur de Lion, ni même à se marier dans son entourage ou par sa médiation. Satisfait de l’assurance que lui donne le duc, il lui offre en donation immédiate les droits qu’il détient sur l’abbaye et la cité de Flavigny devenus ainsi propriété directe des ducs de Bourgogne.

    En 1488, la maison-dieu Sainte-Anne de Mont-Saint-Jean est réunie au prieuré, puis au mépart de Flavigny, et passe aux habitants de Mont-Saint-Jean en 1576[12] - [13].

    En 1590, Henri IV crée à Flavigny un Parlement rival de celui du Parlement de Dijon qui ne le reconnaît pas pour roi. Ainsi se rendent à Flavigny les parlementaires qui lui sont fidèles[14].

    Un haut lieu du catholicisme traditionaliste

    La statue d'Henri Lacordaire, dans la cour du séminaire Saint-Curé-d'Ars.

    En septembre 1971, l'abbé Coache acquiert la maison Lacordaire, à Flavigny[15]. Il y établit un centre de retraites spirituelles, puis un couvent de Petites Sœurs de saint François d'Assise, dont sa propre sœur, Mère Thérèse-Marie Coache, devient la supérieure. Le couvent est officiellement inauguré le lundi de Pâques 1972, en présence de Mgr Ducaud-Bourget. Deux ans plus tard, et ce malgré le refus de Mgr Decourtray, l'abbé Coache le gratifie d'un petit séminaire. Néanmoins, celui-ci est obligé de fermer dès l'année suivante, sur ordre de la commission de sécurité départementale[16]. En 1985, à la demande de Mgr Lefebvre, l'abbé Coache vend donc la Maison Lacordaire à la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X (FSSPX), qui y ouvre le séminaire Saint-Curé-d'Ars l'année suivante[16]. Les séminaristes se destinant à devenir prêtres viennent y passer leur première année, avant de partir poursuivre leur cursus de six ans à Écône.

    Parallèlement, en 1975, dom Augustin-Marie Joly, ancien saint-cyrien, acquiert l'abbaye Saint-Joseph de Clairval, à Flavigny, et y fonde l'archiconfrérie d'Issoudin, qui rassemble des bénédictins opposés aux réformes post-conciliaires dont leur ordre fait l'objet. En 1988, lors de l'« affaire des sacres », la communauté rompt avec Mgr Lefebvre, excommunié latæ sententiæ[16]. Depuis cette date, elle dépend donc de la commission pontificale Ecclesia Dei.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    « D'azur à la lettre F capitale couronnée d'or. »

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2008 GĂ©rard Fontheneau DVD
    mars 2008 en cours Dominique Bondivena Artisan
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2020, la commune comptait 274 habitants[Note 3], en diminution de 9,57 % par rapport Ă  2014 (CĂ´te-d'Or : +0,7 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3611 3371 2641 2671 2671 2441 1931 1181 166
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1651 1361 1111 1401 2121 1471 0801 0631 045
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    944806921769742670681818812
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    591437385435411341330329305
    2015 2020 - - - - - - -
    301274-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Entreprises

    • Depuis 1591, Flavigny est le lieu de fabrication des Anis de Flavigny[21]. Ce sont des dragĂ©es contenant en leur cĹ“ur une graine d'anis. FabriquĂ©s simplement avec du sucre, une graine d'anis et des arĂ´mes naturels, les Anis sont dĂ©clinĂ©s en plusieurs arĂ´mes naturels : l'anis, la violette, la menthe, le citron, la rĂ©glisse, la rose, la fleur d'oranger, le cassis, le gingembre, la mandarine. Les dragĂ©istes successifs sont fidèles Ă  la mĂŞme recette depuis plus de quatre siècles et les Anis sont toujours fabriquĂ©s Ă  l'abbaye Saint-Pierre. Cette fabrique artisanale et familiale a reçu le ruban bleu de l'interprofession Intersuc en 1988 et la reconnaissance des Ministères de la Culture, du Tourisme, de l'Agriculture et de l'Environnement en 1992 avec le titre de Site Remarquable du GoĂ»t. Il est possible de visiter l'atelier de dragĂ©ification au sein de l'abbaye.

    Domaine viticole

    SituĂ© en contrebas du village, le domaine viticole de Flavigny est très ancien. Il Ă©tait dĂ©jĂ  renommĂ© en 741 et sa superficie atteignait 480 hectares en 1820, mais le phylloxera et diffĂ©rents facteurs Ă©conomiques le font disparaĂ®tre Ă  la fin du XIXe siècle. Ă€ partir de 1994, le vignoble est replantĂ© et les bâtiments d'une ancienne dĂ©pendance monastique sont transformĂ©s en consĂ©quence. Celui-ci prend le nom de Flavigny-AlĂ©sia, pour valoriser la proximitĂ© du site prĂ©sumĂ© de la bataille d'AlĂ©sia, Ă  Alise-Sainte-Reine. Plusieurs cĂ©pages sont actuellement utilisĂ©s pour produire les vins du domaine : aligotĂ©, chardonnay et auxerrois pour les cĂ©pages blancs ; pinot noir et cĂ©sar pour les cĂ©pages noirs et pinot beurot pour les cĂ©pages rosĂ©s. La commune est classĂ©e en indication gĂ©ographique protĂ©gĂ©e « Coteaux de l'Auxois ».

    Culture

    Maison des Arts textiles & du design

    Flavigny abrite la Maison des Arts Textiles & du Design[22]. Elle est constituĂ©e d'un musĂ©e retraçant l'histoire du design textile (avec une bibliothèque de 1 300 ouvrages) et d'un jardin botanique composĂ© de plantes Ă  usages textiles.

    Cinéma

    En 2000, le film américain Le Chocolat de Lasse Hallström avec Juliette Binoche, Johnny Depp…a été tourné en partie au village.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le marchĂ© de la Saint Simon a lieu tous les ans, l'avant dernier dimanche d'octobre. Autrefois, alors que Flavigny sur Ozerain Ă©tait encore chef-lieu de canton, les habitants de la rĂ©gion Ă©changeaient leur production lors des marchĂ©s rĂ©guliers. Ce marchĂ© de la Saint Simon Ă©tait le dernier de la saison, donc le plus important, car il permettait Ă  chacun de faire ses rĂ©serves pour l’hiver Ă  venir. RĂ©activĂ©e il y a une trentaine d'annĂ©es, le marchĂ© de la Saint Simon, organisĂ© par l'association Flavigny Animations et la commune de Flavigny sur Ozerain, a aujourd'hui pour thème : « vide-grenier, artisanat, gastronomie et produits rĂ©gionaux ».
    • Flavigny est le rendez-vous annuel du stage de violoncelle PontiCelli[23] pour adultes amateurs ayant au moins deux ans d'apprentissage.
    • En 2020 et pour la douzième fois, aura lieu l'exposition[24] de 80 crèches rĂ©parties dans le village derrière les fenĂŞtres des maisons.

    Lieux et monuments

    Vue de la porte du Val, l'une des portes classées par la liste de 1846.
    La crypte carolingienne de l'abbaye Saint-Pierre.
    Religieux

    Abbaye de Flavigny

    L'abbaye bénédictine Saint-Pierre, fondée à Flavigny au VIIIe siècle, a été reconstruite au XVIIe siècle. Elle comporte des vestiges d'époque carolingienne : la crypte Sainte-Reine. Il est possible de visiter la crypte carolingienne de l'abbaye.

    Église Saint-Genest

    L'église Saint-Genest, édifiée au XIIIe siècle, a été remaniée aux XVe et XVIe siècles. Elle possède de remarquables stalles du XVIe siècle, une tribune centrale de style gothique et une importante statuaire.

    Civils

    HĂ´tel particulier du marquis de Souhey

    Construit en 1700, l'hôtel particulier du marquis de Souhey est aujourd'hui occupé par les moines bénédictins de l'abbaye Saint-Joseph de Clairval.

    Portes de la ville

    Les portes sont classées aux Monuments historiques par la liste de 1846 sans que la plate-forme ouverte du patrimoine n'apporte aucune précision.

    • Porte du Bourg (XVe siècle).
      Porte du Bourg (XVe siècle).
    • Église Saint-Genest.
      Église Saint-Genest.
    • Sculpture du village.
      Sculpture du village.
    • Maison au Donataire.
      Maison au Donataire.

    Personnalités liées à la commune

    Annexes

    Bibliographie

    • Claude CourtĂ©pĂ©e, Description gĂ©nĂ©rale et particulière du DuchĂ© de Bourgogne, t. III, , 2e Ă©d., p. 490-504.
    • Antoine Lacaille, « Les demeures mĂ©diĂ©vales d’un bourg monastique de l’Auxois : Flavigny-sur-Ozerain », Bulletin du Centre d'Ă©tudes mĂ©diĂ©vales, Auxerre, nos 20-1,‎ (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. L'évêque d'Autun possédait trois châteaux sous la dépendance du duc de Bourgogne : Saulieu, Touillon et Thoisy-l’Évêque (appelé Thoisy-Cypierre, puis Thoisy-la-Berchère), en sus de la ville de Flavigny. Voir Roserot 1924, p. 19.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Alphonse Roserot, Dictionnaire topographique du département de la Côte-d’Or, Paris, Imprimerie nationale, , 435 p. (lire en ligne [PDF]), p. 19.
    9. Albert Colombet et Edme Huchon, « Le prieuré de Nailly », Mém. Comm. Antiq. Côte-d'Or, t. 26, 1963-1969, pp. 341-341.
    10. « Nailly, carte interactive » sur Géoportail..
    11. « hôpital dit maison-Dieu Saint-Nicolas », notice no IA21004037, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. « Ancien hôpital (Mont-Saint-Jean) », notice n° IA21000381, et « Hôpital (ancien) », notice no PA00112562, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    13. « Le vieil hôpital de Mont-Saint-Jean », sur petit-patrimoine.com. Nombreuses photos d'ensemble et de détails.
    14. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne). p. 367.
    15. Thibaud Chalmin, Une affaire d'Église : les débuts de l'occupation de Saint-Nicolas-du-Chardonnet (27 février-4 juillet 1977), Mémoire de Maîtrise, sous la direction de Jean-Marie Mayeur, Paris, Sorbonne, 1994 (lire en ligne), p. 63
    16. Thibaud Chalmin, op. cit., p. 64
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. « Un bien bon bonbon ».
    22. Site de la Maison des Arts Textiles & du Design
    23. « Ponticelli, le rendez-vous des violoncellistes amateurs ».
    24. « Exposition de crèches et féérie de Noël 2018 », sur 100% Côte d'Or.
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