AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Fedora Linux

Fedora Linux est un systĂšme d’exploitation libre et une distribution Linux communautaire dĂ©veloppĂ©e par le projet Fedora et sponsorisĂ©e par l’entreprise Red Hat, qui lui fournit des dĂ©veloppeurs ainsi que des moyens financiers et logistiques. Fedora est orientĂ©e vers l'inclusion de nouvelles technologies pour le monde du logiciel libre, auquel elle contribue via les projets amont tels que le noyau Linux, GNOME, NetworkManager, PackageKit, PulseAudio, Wayland, la cĂ©lĂšbre suite de compilateurs GCC et bien d’autres. Tous les six mois, au printemps et Ă  l'automne, Fedora Linux propose une nouvelle version stable ; elle est maintenue treize mois.

Histoire

Quatre fondements de Fedora : “LibertĂ©, amitiĂ©s, fonctionnalitĂ©s, leader”[6].

fedora.us

Fin , Warren Togami[7] crĂ©e le projet fedora.us[8]. Le but est alors de crĂ©er et de maintenir des dĂ©pĂŽts RPM pour Red Hat Linux, permettant l’installation d’applications et logiciels supplĂ©mentaires et de bonne qualitĂ©. Une des premiĂšres mesures mises en place concerne la nomenclature des noms de paquets[8] : en effet, les premiers temps sont marquĂ©s par des problĂšmes de coexistence de paquets fedora.us et Red Hat Linux avec les mĂȘmes noms, ce qui conduit Ă  l’établissement des Conventions de nommage Fedora encore utilisĂ©es dans les versions rĂ©centes[9]. Les ressources de fedora.us sont fournies par Red Hat, ce qui conduit Ă  de bonnes structures et procĂ©dĂ©s pour une communautĂ© de dĂ©veloppeurs[8].

Selon Michael Pharable de Phoronix en 2021 l'enthousiasme des utilisateurs a augmenté et les versions 34 et 35 présentent des progrÚs. Elles ont été délivrées dans les temps avec moins de soucis techniques que les versions précédentes, et Fedora confirme sa position de leader dans l'intégration des innovations de Linux[10].

Fedora Core

Fin , Red Hat abandonne la commercialisation de ses produits pour le particulier, et dirige les utilisateurs professionnels vers Red Hat Entreprise Linux, et les particuliers vers la communauté Fedora. Depuis, RHEL est la seule distribution GNU/Linux pour laquelle Red Hat fournit une assistance officielle.

Le [11], Red Hat annonce la fusion de sa distribution pour particuliers avec le projet fedora.us, et son soutien futur au nouveau projet communautaire.

Un autre sous-projet est alors Fedora Legacy, qui maintient les anciennes versions de Fedora. Les mises Ă  jour sont alors Ă  l’initiative propre des dĂ©veloppeurs, qui s’occupent de les concevoir et de les tester. Le projet Fedora met Ă  disposition de ce projet une infrastructure, mais dĂ©cline toute responsabilitĂ© pour les paquets[12].

Fedora.next

En aoĂ»t 2013, une profonde restructuration du Projet Fedora est amorcĂ©e sous le nom Fedora.next[13] - [14] - [15]. Il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©, entre autres, qu’il y ait cinq groupes de travail[16] :

  • Poste de travail : l’objectif de ce groupe de travail est concentrĂ©e sur l’utilisation de Fedora sur les postes de travail ;
  • Atomic : orientĂ© cloud computing ;
    Architecture en anneaux et composants de Fedora. Sur les anneaux intérieurs se trouvent les composants de base et sur les anneaux extérieurs se trouvent les composants des variantes Workstation, Server et Atomic.
  • Serveur : le but est de crĂ©er une base pour une variĂ©tĂ© d’applications serveur ;
  • Base : noyau, cadres et API qui sont inclus dans toutes les versions de Fedora ;
  • Env et Stacks : ce groupe de travail s’occupe, par exemple, les soins de l’infrastructure du projet Fedora, du packaging ou de la traduction.

Fedora 21, sortie fin 2014, est la premiĂšre version Ă©mergĂ©e de cette nouvelle structure. Elle marque l’arrĂȘt des noms de versions[17] - [18]. Le dĂ©veloppement de cette version a pris un an et a permis la remise en question de la gouvernance du projet pour les dix ans Ă  venir. Ce dĂ©veloppement est appelĂ© Fedora.next. Des versions plus ciblĂ©es ont fait leur apparition : Workstation, Server et Atomic[17].

Fedora 25, sortie en novembre 2016, fut la premiĂšre distribution GNU/Linux majeure Ă  remplacer, par dĂ©faut, le serveur d’affichage (en) X.Org par Wayland pour l’environnement de bureau GNOME[14].

Nom

Fedora est parfois appelée Fedora Linux bien que ce ne soit pas son nom officiel. Avant la septiÚme version, le nom « Core » faisait la distinction entre les principaux paquets logiciels Fedora, et ceux du projet Fedora Extra, qui fournissent les paquets supplémentaires à Fedora Core[19] : le dépÎt Core était géré par Red Hat, et le dépÎt Extra était géré par des bénévoles.

Ainsi depuis la version 7, Core a disparu du nom de la distribution, qui a simplement été rebaptisée Fedora.

À l’occasion de la sortie de la version 35, la distribution est renommĂ©e de Fedora en Fedora Linux afin de distinguer le projet Fedora de la distribution[20].

Le logo de Fedora est composé de plusieurs éléments, organisés comme suit.

Dans Fedora, le symbole d’infini « ∞ » fait rĂ©fĂ©rence Ă  la libertĂ© perpĂ©tuelle et immuable du systĂšme d’exploitation et des logiciels qui le composent. Le f est Ă  la fois le f de « Fedora », ainsi que le f de « freedom », qui signifie « libertĂ© » en anglais. Enfin, le dernier Ă©lĂ©ment est une bulle, symbolisant « la voix de la communautĂ© »[21] - [22].

Le changement de logo a eu lieu en 2021 Ă  la sortie de Fedora 34[23].

  • Logo Fedora jusqu'en 2021
    Logo Fedora jusqu'en 2021
  • Logo Fedora depuis 2021
    Logo Fedora depuis 2021
  • Variante du logo Fedora jusqu'en 2021
    Variante du logo Fedora jusqu'en 2021
  • Variante du logo Fedora depuis 2021
    Variante du logo Fedora depuis 2021

Éditions

Éditions Fedora : Workstation, Server et Atomic[13].
GNOME, environnement de bureau par défaut de Fedora[24].

Depuis la version 21, Fedora est distribuĂ© sous trois formes diffĂ©rentes : Workstation, Server et Atomic[13]. L’environnement de bureau par dĂ©faut de Fedora Workstation est GNOME[24].

DĂ©pĂŽts

  • RPM Fusion (en) est un projet de dĂ©pĂŽt tiers permettant d’installer des logiciels qui ne satisfont pas la dĂ©finition du logiciel libre selon le projet Fedora ou que ces derniers violent la loi amĂ©ricaine. Le dĂ©pĂŽt permet d’installer par exemple les codecs x264, x265 et VLC media player[27].
  • RPM Freedom est un projet de dĂ©pĂŽt tiers permettant d’installer le noyau GNU Linux-libre Ă  la place du noyau Linux libĂ©rĂ© de ses BLOB[28].
  • Freed-ora est une Ă©dition non-officielle libĂ©rĂ©e de Fedora. Il s’agit d’un tiers-projet, portĂ© par la FSFLA qui prĂ©pare et maintient les paquets RPM basĂ©s sur les paquets de Fedora. freed-ora-freedom est un paquet qui fait conflit avec tous les paquets installĂ©s non-libres afin de les dĂ©tecter pour pouvoir les supprimer. Une fois ces paquets supprimĂ©s, le noyau Linux-libre peut remplacer le noyau Linux libĂ©rĂ© de ses BLOB[29] - [30] - [31] - [32]. Depuis la fin de vie de Fedora Linux 35, le , le projet est arrĂȘtĂ©, car son mainteneur Alexandre Oliva n’a pas trouvĂ© de mainteneur pour le remplacer[33].

Versions

Le rythme de sortie des nouvelles versions suit celui de GNOME, c’est-à-dire tous les six mois. Une fois sorties, les versions sont maintenues treize mois.

  • Anciennes versions non maintenues
  • Anciennes versions maintenues
  • Version actuelle
  • Versions avancĂ©es
Version Date de sortie Date de fin de vie[34] Noyau Linux GNOME
36 10 mai 2022[35] [36] 5.17 42.0
37 [37] - [38] 6.0 43.0
38 [36] 6.2 44.0
39 [39] > 6.4 45.0

Cycle de vie

Fedora a un cycle de vie relativement court : la version n est maintenue un mois aprĂšs la sortie de la version n + 2 avec Ă  peu prĂšs six mois entre deux versions, ce qui signifie que les versions de Fedora sont maintenues Ă  peu prĂšs treize mois[40] - [41].

Fedora est basé sur les gestionnaires de paquets DNF et RPM et se met à niveau avec DNF[42].

Rawhide

Rawhide est une branche de dĂ©veloppement de Fedora. Il s’agit d’une copie complĂšte de la distribution Fedora oĂč les nouvelles applications sont ajoutĂ©es et testĂ©es avant leurs inclusions dans la prochaine version stable. La branche Rawhide possĂšde gĂ©nĂ©ralement plus de fonctionnalitĂ©s que la version stable. Elle est composĂ©e du code source CVS, Subversion et Git qui sont activement dĂ©veloppĂ©s. Bien que la branche Rawhide soit orientĂ©e pour les utilisateurs avancĂ©s, les testeurs et les mainteneurs d’applications, elle peut Ă©galement ĂȘtre utilisĂ©e en tant que systĂšme d’exploitation. Les utilisateurs de la branche Rawhide mettent Ă  jour quotidiennement et participent Ă  la rĂ©solution de bugs[43]. Les utilisateurs de Rawhide n’ont pas de mise Ă  niveau entre deux versions successives Ă©tant donnĂ© qu’elle est mise Ă  jour sur un modĂšle de rolling release[44].

Gestionnaires de paquets

La gestion des paquets logiciels est effectuĂ©e avec les gestionnaires de paquets RPM et DNF[45]. L’interface graphique GNOME Software notifie lorsque des mises Ă  jour sont disponibles[45].

Flatpak est Ă©galement gĂ©rĂ© par dĂ©faut, et la gestion des Snap (en) peut ĂȘtre ajoutĂ©. Fedora utilise les deltas RPM lors de la mise Ă  jour des paquets installĂ©s. Un delta RPM contient la diffĂ©rence entre l’ancienne et la nouvelle version du paquet. Ça signifie qu’uniquement les changements entre le paquet installĂ© et le nouveau sont tĂ©lĂ©chargĂ©es. Ceci rĂ©duit le trafic rĂ©seau et la consommation et la bande passante.

  • RPM – RPM Package Manager: RPM est un systĂšme de gestion (installation, vĂ©rification, mise Ă  jour, dĂ©sinstallation, etc.) de paquets logiciels, dĂ©veloppĂ© par Red Hat pour ses distributions GNU/Linux, et largement utilisĂ© ou supportĂ© par un grand nombre d’autres distributions.

Sécurité

L’une des fonctionnalitĂ©s de Fedora ayant trait Ă  la sĂ©curitĂ© est Security-Enhanced Linux, une fonctionnalitĂ© du noyau qui gĂšre un ensemble de mesures de sĂ©curitĂ©, dont les rĂšgles d’accĂšs au MinistĂšre de la DĂ©fense des États-Unis, par les Linux Security Modules (LSM) du noyau Linux. Fedora a ouvert la voie aux distributions incorporant SELinux[48], dĂšs Fedora Core 2. La fonction Ă©tait dĂ©sactivĂ©e d’office, car elle modifiait fondamentalement le fonctionnement du systĂšme ; elle a Ă©tĂ© par la suite activĂ©e d’emblĂ©e, avec une politique moins stricte, dite « ciblĂ©e », lors de la parution de Fedora Core 3[49] - [50]. Fedora inclut Ă©galement des mĂ©canismes pour prĂ©venir l’exploitation de failles liĂ©es aux dĂ©passements de mĂ©moire tampon, et empĂȘcher les rootkits d’entrer en action. Des analyses du tampon, Exec Shield ainsi que des restrictions aux accĂšs mĂ©moire au niveau du noyau dans /dev/mem permettent de prĂ©venir l’exploitation de ces failles[51].

Architectures

Les architectures primaires x86_64 et ARM sont gérées par Fedora[26]. Depuis la sortie de la version 20, Fedora gÚre également les architectures secondaires PowerPC et s390. Depuis la version 31, les systÚmes 32 bits x86 ne sont plus pris en charge.

Pidora[52] est une distribution Fedora spĂ©cialisĂ©e pour le Raspberry Pi. À partir de la version 25, Fedora est officiellement gĂ©rĂ© pour Raspberry Pi[53].

Dérivés de Fedora

Distributions notables bĂąties sur Fedora[54] :

Popularité

En février 2016, la distribution a été téléchargée 1,2 million de fois[14]. Linus Torvalds, le créateur et dictateur bienveillant du noyau Linux, utilise Fedora[55] - [56].

Critiques

Les diffĂ©rentes versions de RHEL Ă©tant inspirĂ©es de celles de Fedora, plusieurs critiques ont Ă©tĂ© Ă©mises dĂ©nonçant que les utilisateurs de Fedora se trouvaient en fait ĂȘtre des essayeurs de RHEL (voir Correspondances RHL/RHEL)[57]. Le focus de Red Hat sur son succĂšs commercial est critiquĂ© par certains utilisateurs de Linux comme menant Ă  une dĂ©pendance trop grande par rapport Ă  une corporation et Ă©ventuellement une remise en cause de l'appartenance au milieu open source[57] - [58].

Fedora serait un systĂšme d’exploitation efficace pour le devops car il est fourni avec tout ce qui est nĂ©cessaire, une disponibilitĂ© des derniers paquets et bibliothĂšques et qu’il est la base de la distribution RHEL, qui est utilisĂ©e par les entreprises[59].

Les changements de version fortement conseillĂ©s et les mises Ă  jour trop frĂ©quentes sont aussi reprochĂ©s Ă  Fedora, car s’ils permettent d’avoir des versions trĂšs rĂ©centes des logiciels, ils apportent aussi des modifications non nĂ©gligeables. De plus, le support Ă  long terme fait dĂ©faut, en comparaison avec d’autres distributions comme RHEL, CentOS ou encore Scientific Linux[60]. C'est une raison invoquĂ©e par la fondation Wikimedia pour switcher de Fedora linux Ă  Ubuntu en 2003[61]. Jusqu'en 2008, Wikipedia Ă©tait hĂ©bergĂ©e sur Red Hat Linux 9 et diffĂ©rentes versions de Fedora. Fin 2008, les 400 serveurs de la Wikimedia Foundation ont Ă©tĂ© migrĂ©s vers Ubuntu[62].

Dans Fedora 18, l’installeur retravaillĂ© est critiquĂ© pour des erreurs nombreuses, et un comportement partiellement opaque, mĂȘme pour des experts[63].

La validation des paquets RPM et YUM est jugĂ©e plus lente que sur des systĂšmes comparables, cependant ce problĂšme est partiellement rĂ©solu par l’abandon de YUM dans Fedora 22[47].

Fedora a une politique claire sur ce qu'on peut inclure dans la distribution et semble la suivre scrupuleusement. Elle exige que la plupart des logiciels et des polices soient disponibles sous une licence libre, mais fait une exception pour certains types de micrologiciels non libres. Le résultat de cette derniÚre décision est que Fedora ne respecte pas les recommandations pour une distribution systÚme libre[64].

Notes et références

  1. « https://fedoraproject.org/wiki/User:Wtogami?rd=WarrenTogami »
  2. (en) « Fedora 38 Released With GNOME 44 Desktop, GCC 13, Many New Features », (consulté le )
  3. (en) « Announcing Fedora Linux 38 », (consulté le )
  4. (en) « Fedora 38 released », (consulté le )
  5. « Fedora Linux 38 devient accessible ! », (consulté le )
  6. (en) « 4 Foundations of Fedora project », sur Projet Fedora (consulté le )
  7. (en) « Warren Togami », sur Projet Fedora (consulté le )
  8. (de) Enrico Scholz, « Das Fedora-Projekt », (consulté le )
  9. (en) « Packaging:NamingGuidelines », sur Fedora Project, Red Hat (consulté le )
  10. (en) « Fedora Had A Stellar 2021 & Continued Running At The Forefront Of Linux Innovations », sur www.phoronix.com (consulté le )
  11. (de) Oliver Diedrich, « Fedora zum Ersten », sur Heise News-Ticker, (consulté le )
  12. (en) « Packaging:NamingGuidelines », sur Fedora Project, Red Hat (consulté le )
  13. (en) Chris Hoffman, « One OS, three flavors: How Fedora 21 is splitting up to double down on focus », sur PC World, (consulté le ).
  14. (en) Chris Hoffman, « Fedora project leader Matthew Miller reveals what's in store for Fedora in 2016 », sur PC World, (consulté le )
  15. (en-US) James S et ers, « Fedora at 15: Why Matthew Miller sees a bright future for the Linux distribution », sur TechRepublic, (consulté le )
  16. (en) « Fedora.next », sur Fedora Project (consulté le ).
  17. (en-US) Sean Michael Kerner, « Nameless Fedora 21 Linux Is an Opportunity for Growth », sur eWEEK, (consulté le )
  18. (en) « History of Fedora release names », sur Projet Fedora (consulté le )
  19. (en) Christopher Negus et Francois Caen, Fedora Linux Toolbox : 1000+ Commands for Fedora, CentOS and Red Hat Power Users, John Wiley & Sons, , 307 p. (ISBN 978-0-470-27616-7, lire en ligne), p. 5
  20. (en) « "Fedora Linux" Is The Latest Change Proposed For F35 », sur Phoronix, (consulté le )
  21. (en) Richard Petersen, Beginning Fedora Desktop : Fedora 20 Edition, Berkeley/New York, NY, Apress, , 504 p. (ISBN 978-1-4842-0067-4, lire en ligne), « Chapitre 1 : Fedora 20 Introduction », p. 10
  22. « Présentation Fedora lors des Rencontres Fedora 24 à Paris », (consulté le ), p. 4
  23. (en-US) « Fedora logo redesign », sur Fedora Magazine, (consulté le )
  24. (en) Brian Fagioli, « Fedora 24 is here with GNOME 3.20 », sur betnews, (consulté le )
  25. « Fedora Spins », Fedora Project (consulté le )
  26. (en) « fedora 24 : Top Features You Should Know », sur admin's choice, (consulté le )
  27. (en) « RPM Fusion », LWN.net, (consulté le )
  28. (en) « RPM Freedom » (consulté le )
  29. (en) « Freed-ora », sur Free Software Foundation Latin America (consulté le )
  30. (es) « Fedora totalmente software libre, eso es Freed-ora », (consulté le )
  31. (en) Marcus Moeller, « Freed-ora 23 Workstation available », (consulté le )
  32. (en) « Fedora Freedom », sur Fedora Project, (consulté le )
  33. (en) « GNU Linux-libre's Freed-ora Effort To "Free Fedora" Has Been Sunset », Phoronix, (consulté le )
  34. (en) « End of Life Releases », Fedora Project (consulté le )
  35. (en) « Fedora 36 Schedule: Key », Fedora Project (consulté le ).
  36. (en) « Fedora 38 Schedule: Key », Fedora Project (consulté le )
  37. (en) « Fedora 37 Schedule: Key », Fedora Project (consulté le )
  38. (en) « Fedora 37 Release Delayed To Mid-November Over Critical OpenSSL Vulnerability », sur Phoronix, (consulté le )
  39. (en) « Fedora 39 Schedule: Key », Fedora Project (consulté le )
  40. (en) Liron, « Ubuntu VS Fedora – which is best? », sur IWF1, (consultĂ© le )
  41. (en) « Fedora Release Life Cycle », Fedora Project (consulté le )
  42. « Parution de Fedora 23 », sur Linuxfr, (consulté le )
  43. (en) « Releases/Rawhide », Fedora Project (consulté le )
  44. (en) Danny Stieben, « Be On The Bleeding Edge of Linux with Fedora Rawhide », sur Make Use Of, (consulté le )
  45. (en) « DNF Software Management Tools in Fedora » (consulté le )
  46. (en) Chris Hoffman, « Fedora 23 lands with GNOME 3.18, Wayland progress, and a new upgrade system », sur PC World, (consulté le )
  47. « Sortie de Fedora 22 – DNF remplace Yum », sur Linuxfr, (consultĂ© le )
  48. « Mandatory Access Control with SELinux » (consulté le )
  49. (en) « Fedora Core 2 Release Notes » (consulté le )
  50. (en) « Fedora Core 3 Release Notes » (consulté le )
  51. (en) « Fedora Core 1 Release Notes » (consulté le )
  52. (en) « Pidora - Fedora pour Raspberry Pi », pidora.ca (consulté le )
  53. (en) Marius Nestor, « Fedora 25 Linux OS to Officially Offer Support for Raspberry Pi 2 and 3 Devices », sur Softpedia, (consulté le )
  54. (en) « Liste des distributions bùties sur Fedora », sur DistroWatch (consulté le )
  55. (en) « Interview de Linus Torvalds », sur TuxRadar, Linux Format, (consulté le )
  56. (en) Linus Torvalds, « The merge window being over, and things being calm made me think I should try upgrading to F21 », sur Google+, (consulté le )
  57. (en) Steven Vaughan-Nichols, « From Linux to cloud, why Red Hat matters for every enterprise », sur ZDNet (consulté le )
  58. (en-US) Peter Galli, « Red Hat Cans Linux Distribution », sur eWEEK, (consulté le )
  59. (en) Swapnil Bhartiya, « Fedora 24 -- The Best Distro for DevOps? », sur linux.com, (consulté le )
  60. (de) Hans-Joachim Baader, « Fedora 18 - Multimedia, Paketverwaltung, Fazit - Pro-Linux », Pro-Linux,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  61. (en) Timothy Prickett Morgan, « Wikipedia dumps Red Hat for Ubuntu », sur www.theregister.com (consulté le )
  62. (en) « Wikipedia wechselt mit Ihren 400 Servern zu Ubuntu | Julius Beckmann » (consulté le )
  63. « Alan Cox Calls Fedora 18 "The Worst Red Hat Distro" - Phoronix », sur www.phoronix.com (consulté le )
  64. « Pourquoi nous n'homologuons pas d'autres systÚmes » (consulté le )

Annexes

Liens externes

Origine :
Red Hat
Basé sur :
GNU/Linux
Fedora Variantes :
Workstation, Server, Atomic, Spins, Labs
Dérivés :
RHEL, CentOS, Korora, OLpC, Viperr
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.