Everything Everywhere All at Once
Everything Everywhere All at Once, ou Tout, partout, tout à la fois au Québec, est un film américain co-écrit et co-réalisé par Daniel Kwan et Daniel Scheinert, sorti en 2022. Comédie dramatique d'aventure et de science-fiction, le film met en vedette Michelle Yeoh, Ke Huy Quan, Stephanie Hsu, James Hong, Jamie Lee Curtis, Jenny Slate et Harry Shum Jr.
Titre québécois | Tout, partout, tout à la fois |
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Réalisation |
Daniel Kwan Daniel Scheinert |
Scénario |
Daniel Kwan Daniel Scheinert |
Musique | Son Lux |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
A24 AGBO Ley Line Entertainment IAC Films |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Comédie dramatique, science-fiction |
Durée | 139 minutes |
Sortie | 2022 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Le film est remarqué pour son originalité, sa réalisation et son jeu d'acteur. C'est aussi par la représentation de concepts philosophiques tels que l'existentialisme, le nihilisme et l'absurde et par l'analyse des thèmes communs que sont la dépression, l'identité et le choix que le film se démarque. Véritable « comédie familiale engloutie dans un blockbuster hypnotique » selon Le Monde[1], le film rapporte lors de sa sortie 112 millions de dollars, devenant le premier film A24 à franchir la barre des cent millions.
Everything Everywhere All at Once est officiellement le film le plus récompensé de tous les temps[2]. Il reçoit lors de la 95e cérémonie des Oscars onze nominations et en obtient sept, ce qui fait de lui le film le plus récompensé de la cérémonie. Il remporte les Oscars du meilleur réalisateur, du meilleur scénario original, du meilleur montage. Michelle Yeoh est sacrée meilleure actrice, tandis que Ke Huy Quan et Jamie Lee Curtis sont récompensés par les Oscars des meilleurs seconds rôles, masculin et féminin. Enfin, le film obtient la récompense suprême en remportant l'Oscar du meilleur film.
Synopsis
Présentation générale
Une femme sino-américaine usée par la vie est emportée dans une aventure irréelle où elle doit sauver ce qui est important pour elle en se connectant aux vies qu'elle aurait pu avoir dans d'autres univers parallèles.
Première partie : Tout (Everything)
Evelyn Quan Wang est une femme sino-américaine issue des premières générations d'immigrants du pays qui tient une laverie avec Waymond, son mari. Les tensions montent dans sa famille : la laverie est inspectée par l'IRS ; Waymond essaie désespérément de lui faire signer un acte de divorce ; Gong Gong, son père, vient d'arriver de Hong Kong ; Joy, sa fille, essaye de lui faire accepter sa relation lesbienne avec Becky.
Lors d'un rendez-vous avec Deirdre Beaubeirdre, inspectrice de l'IRS, la personnalité de Waymond change totalement alors que son corps est brièvement emprunté par Alpha Waymond, une version de Waymond venant d'un univers parallèle appelé « l'Alphavers ». Alpha Waymond explique à Evelyn l'existence du multivers, composé de tous les choix faits dans l'univers. Des habitants de l'Alphavers, menés par la regrettée Alpha Evelyn, ont réussi à développer une technologie permettant aux gens d'accéder aux talents, aux souvenirs et au corps de leurs homologues d'univers parallèles par des « sauts d'univers » en remplissant des conditions loufoques. Le multivers est menacé par Jobu Tupaki, qui se révèle être la version de Joy dans l'Alphavers : son esprit a été scindé après plusieurs expériences de sauts d'univers menées par Alpha Evelyn ; Jobu Tupaki expérimente à présent tous les univers à la fois et peut manipuler la matière et les univers selon sa volonté. Omnipotente, elle a créé un trou noir sous la forme d'un bagel capable de détruire le multivers.
Alpha Waymond donne à Evelyn la technologie nécessaire aux sauts d'univers alors que les sbires de Jobu Tupaki commencent à infiltrer le bureau de l'IRS. Evelyn apprend que Waymond veut divorcer et découvre ses vies alternatives, dont l'une où elle est devenue maîtresse de kung-fu et star de cinéma après avoir refusé de partir de Chine avec Waymond, qui est devenu un important homme d'affaires. Alpha Waymond pense qu'Evelyn, étant la version d'Evelyn la plus ratée de tous les univers, a le pouvoir caché de pouvoir vaincre Jobu Tupaki. Alpha Gong Gong ordonne à Evelyn de tuer Joy afin d'affaiblir Jobu Tupaki, mais Evelyn refuse et décide d'affronter Jobu Tupaki en acquérant les mêmes pouvoirs qu'elle : elle combat alors les sbires de Jobu Tupaki et les soldats d'Alpha Gong Gong avec des sauts d'univers à répétition. Après la bataille, Alpha Waymond est localisé et tué par Jobu Tupaki et l'esprit d'Evelyn se scinde.
Deuxième partie : Partout (Everywhere)
Evelyn fait des sauts d'univers dans d'autres univers dont certains très étranges, comme celui où les humains ont des saucisses à la place des doigts et où elle a une relation amoureuse avec Deirdre, et un autre où elle travaille avec Chad, un chef de teppanyaki manipulé par « Ratontouille », un raton laveur. Elle apprend que Jobu Tupaki n'a pas créé le trou noir pour tout détruire, mais pour se détruire elle-même, et cherchait une Evelyn qui puisse la comprendre. Jobu Tupaki pense que la multitude d'univers et le chaos qui en découle font que rien n'a réellement de sens et souhaite simplement ne plus exister.
Dans d'autres univers, les Wang perdent la laverie à cause de leurs dettes, la relation entre Evelyn-saucisse et Deirdre-saucisse prend fin, Evelyn-chef révèle la supercherie de Chad et Waymond-businessman rejette Evelyn-star après leurs retrouvailles. Après une longue discussion philosophique dans plusieurs univers, Evelyn est presque ralliée à la cause de Jobu Tupaki et poignarde le Waymond de son univers. Elle s'apprête à entrer dans le bagel avec Jobu Tupaki mais s'arrête quand elle entend Waymond suppliant la fin du combat, en demandant d'être gentil et d'avoir espoir même dans un univers où rien ne semble faire sens. Evelyn vainc les soldats d'Alpha Gong Gong et de Jobu Tupaki non pas en les blessant, mais en trouvant ce qui leur apporte du bonheur grâce à sa connaissance du multivers. Evelyn atteint Jobu Tupaki et lui dit qu'elle n'est pas seule et qu'elle choisira toujours d'être avec elle, peu importe ses choix. Pendant ce temps, dans un autre univers, Evelyn fait face à Gong Gong, se réconcilie avec Waymond et Joy, et trouve un commun accord avec Deirdre. Jobu Tupaki rejette d'abord Evelyn, avant de se retourner et de l'embrasser.
Conclusion : Tout à la fois (All at Once)
Peu de temps après, les vies et les relations de la famille se sont améliorées : Becky est considérée comme faisant partie de la famille ; Waymond et Evelyn partagent un bref moment romantique pour la première fois depuis longtemps ; ils retournent dans le bureau de Deirdre pour classer leurs taxes. Pendant que Deirdre parle, l'attention d'Evelyn est momentanément attirée par le multivers, mais elle parvient à revenir dans son propre univers.
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb.
Médias externes | |
Images | |
Affiche du film sur le site internet de A24. | |
Vidéos | |
Bande-annonce officielle sur la chaîne YouTube de A24. |
- Titre original et français : Everything Everywhere All at Once
- Titre québécois : Tout, partout, tout à la fois
- Réalisation et scénario : Daniel Kwan et Daniel Scheinert
- Musique : Son Lux
- Direction artistique : Amelia Brooke
- Décors : Jason Kisvarday
- Costumes : Shirley Kurata
- Photographie : Larkin Seiple (en)
- Montage : Paul Rogers
- Production : Daniel Kwan, Mike Larocca, Anthony et Joe Russo, Daniel Scheinert et Jonathan Wang
- Coproduction : Allison Rose Carter, Sarah Finn et Jon Read
- Production déléguée : Eli Bush, Tim Headington, Theresa Steele Page et Josh Rudnick
- Sociétés de production : A24, AGBO Studios, Hotdog Hands, Ley Line Entertainment, IAC et Year of The Rat
- Sociétés de distribution : A24 (États-Unis), Elevation Pictures (Canada), Originals Factory en collaboration avec Pathé Live (France)[3]
- Budget : 25 millions de dollars[4]
- Pays de production : États-Unis
- Langue originale : anglais, mandarin, cantonais
- Format : couleur — 1,85:1 (format principal) / 2,39:1 (scènes d'action) / 1,33:1 (flashbacks)[5] - [6] - [7]
- Genre : science-fiction, comédie dramatique, action, aventure
- Durée : 139 minutes
- Dates de sortie :
- États-Unis : (festival South by Southwest) ; (sortie nationale)
- France : (Champs-Élysées Film Festival)[8] - [9] ; (sortie nationale)
- Classification :
- États-Unis : R
Distribution
- Michelle Yeoh (VF : Yumi Fujimori ; VQ : Nathalie Coupal) : Evelyn Wang
- Stephanie Hsu (VF : Jessica Monceau ; VQ : Ludivine Reding) : Joy Wang / Jobu Tupaki
- Ke Huy Quan (VF : Guillaume Lebon ; VQ : François Sasseville) : Waymond Wang
- James Hong (VF : Gabriel Le Doze ; VQ : Jacques Lavallée) : Gong Gong
- Jamie Lee Curtis (VF : Véronique Augereau ; VQ : Claudine Chatel) : Deirdre Beaubeirdre
- Tallie Medel (en) (VF : Gwenaëlle Julien ; VQ : Célia Gouin-Arsenault) : Becky
- Jenny Slate (VF : Isabelle Sempéré ; VQ : Stéfanie Dolan) : « Dog Mom »
- Harry Shum Jr (VF : Damien Le Délézir ; VQ : Nicolas Bacon) : Chad
- Audrey Wasilewski : une officière Alpha
- Daniel Scheinert : un manager de district (caméo)
- Randy Newman (VQ : Louis-Philippe Dandenault) : Raccoonie (caméo vocal, non crédité)
Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[10] et carton de doublage français ; version québécoise (VQ) sur Doublage Québec[11].
Production
En , la production reçoit un crédit d'impôt pour tourner en Californie[12]. Les réalisateurs annoncent ensuite, en septembre 2019, toujours attendre la validation du projet[13].
Distribution des rôles
En , Michelle Yeoh et Awkwafina sont annoncées dans les rôles principaux d'un « film d'action interdimensionnel » réalisé par le duo de réalisateurs Daniels (Daniel Kwan et Daniel Scheinert) et produit par les frères Anthony et Joe Russo[14].
Prise par d'autres projets dont, notamment, le tournage de Shang-Chi, Awkwafina quitte le projet en . Stephanie Hsu, James Hong, Ke Huy Quan, et Jamie Lee Curtis rejoignent ensuite la distribution, la première en remplacement d'Awkwafina. Le tournage débute en [15].
Accueil
Accueil critique
Site | Note |
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Metacritic | 81/100 |
Rotten Tomatoes | 95% |
Allociné |
Périodique | Note |
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Franceinfo Culture | |
Le Parisien | |
Libération | |
Ouest-France | |
Écran Large | |
Le Journal du dimanche | |
Le Journal du Geek | |
Femme Actuelle | |
La Voix du Nord | |
Première | |
Télé 7 Jours | |
Télérama | |
Le Monde |
En France, le site Allociné propose une moyenne de 3,9⁄5, à partir de l'interprétation de 34 critiques de presse[16]. Le site Rotten Tomatoes donne une note de 95 % pour 341 critiques[17]. Le site Metacritic donne une note de 81⁄100 pour 54 critiques[18].
Les critiques de presse, nombreuses et intriguées, sont très élogieuses à l'égard du film, ne laissant que peu de place pour les critiques négatives.
Pour la critique du site Film Actu, le film est une « véritable déclaration d’amour au septième art pleine de trouvailles et de bizarreries génialissimes, Everything Everywhere all at once est le genre de claque cinématographique qui fait incroyablement du bien. Le Multiverse comme vous ne l'avez jamais vu sur grand écran. »[19]. Pour GQ, le film est tout simplement « inclassable, [et] explore une multitude de genres du cinéma avec une gourmandise jamais factice ou opportuniste »[20].
Pour Le Parisien, « au final, on rit beaucoup, on est bluffé par une telle créativité, et on est ému par les conséquences de ce voyage virtuel pour cette mère de famille, qui pourraient tous nous concerner »[21].
Selon Écran Large, « Everything Everywhere All at Once réussit l’exploit d’être un pur chaos organisé, un bijou d’orfèvrerie tourné vers le n'importe quoi pour pleinement embrasser son délire cosmique… et revenir à la simple échelle de ses touchants personnages. Brillant »[22].
Parmi les critiques les plus négatives, on peut retrouver celle du site Critikat qui trouve « dommage qu’un film obnubilé par l’infinité vertigineuse des possibles se révèle, sous sa surface rutilante, aussi convenu. »[23]. Pour Le Monde, « en roue libre, les « Daniels » confondent grand n’importe quoi et licence poétique. »[24].
Box-office
Le premier jour de sa sortie en France, le film réalise 26 199 entrées (ce qui inclut 10 130 en avant-première), pour 479 copies, se positionnant sur la seconde place du box-office des nouveautés derrière La Dégustation (32 250) et devant Avec amour et acharnement (15 072)[25]. Au bout d'une première semaine d'exploitation dans les salles obscures françaises, le long-métrage sur le multivers inverse sa place du premier jour d'exploitation avec celle du film La Dégustation, ce dernier ayant réalisé 125 997 contre 132 121 pour Everything Everywhere All at Once[26]. En seconde semaine, le film chute de trois places pour une quatrième position avec 76 098 entrées, derrière Revoir Paris (142 841) et devant Bullet Train (71 285)[27]. En troisième semaine, le long-métrage réalise 55 329 entrées, chutant à la neuvième place du box-office, derrière Bullet Train (55 892) et devant La Dégustation (51 821)[28] - [29].
Distinctions
Récompenses
- Saturn Awards 2022 :
- Golden Globes 2023 :
- Meilleure actrice dans un film musical ou une comédie pour Michelle Yeoh
- Meilleur acteur dans un second rôle pour Ke Huy Quan
- BAFTA 2023 :
- Oscars 2023 :
- Prix Nebula : prix Ray-Bradbury 2022 pour la meilleure approche dramatique pour Daniel Kwan et Daniel Scheinert
Nominations
Sélection
- Champs-Élysées Film Festival 2022 : film de clôture[8] - [9]
Analyse
Culture
De nombreuses références à la pop culture et easter eggs émaillent le film, que ce soit sous la forme de thématiques récurrentes ou de simples clins d'œil.
Sous la thématique du rapport à la réalité, la trilogie Matrix est régulièrement référencée : la scène où Evelyn est guidée par Alpha Waymond dans son open space rappelle ainsi le premier contact téléphonique entre Néo et Morpheus, ou encore la course poursuite entre Deirdre, la contrôleuse des impôts, et Evelyn rappelle la poursuite de Néo par l'Agent Smith[33].
D'autre références sont plus humoristiques et contribuent à l'atmosphère absurde du film. Ratatouille, Kill Bill, 2001, l'Odyssée de l'espace, ou encore In the Mood for Love inspirent ainsi les univers parallèles dans lesquels se projettent Evelyn[34] - [35] - [36] - [37] - [38].
Sous-texte sociétal et familial
De nombreux articles de presse ont évoqué le thème mère-fille abordé dans le film Everything Everywhere All at Once. À commencer par la relation des réalisateurs avec leurs propres mères. Selon Mashable, les réalisateurs, les Daniels, prennent souvent le risque d'utiliser un humour gras ou absurde à un niveau qui peut rebuter le public. Ces derniers déclarent se fixer comme limite de ne pas dépasser ce qui pourrait choquer leur propre mère. Par ailleurs, ils ont exprimé leur intention d'adresser un message en sous-texte à leurs mères grâce au film. Ils déclarent : « Ce film est presque le moyen pour nous de montrer que nous avons de l'empathie pour les difficultés que nos parents ont eues »[39].
De son côté, Vox souligne que ce film s'inscrit dans une tendance actuelle de mettre en lumière les difficultés des relations entre mères et enfants. Le site parle de "ces films où les mères demandent pardon". Dans ce cas précis, le film explore une relation abusive entre une mère et sa fille, à tel point que cette dernière devient le super vilain de l'histoire. Ces films mettent en scène des mères qui réfléchissent sur leurs propres comportements et envisagent la possibilité de s'excuser auprès de leur progéniture. Le site nomme le genre « fantasme d'excuse parentale pour millenials »[40].
BuzzFeed a également abordé cette thématique en relatant l'expérience d'une personne ayant regardé ce film avec sa mère. Le titre de l'article, « J'ai regardé Everything Everywhere All at Once avec ma mère et nous avons pleuré toutes les deux », évoque les sujets complexes tels que le traumatisme transgénérationnel et la difficile connexion émotionnelle mère-fille dans les familles immigrées[41].
Notes et références
- « « Everything Everywhere All at Once » : une comédie familiale engloutie dans un blockbuster hypnotique », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « ‘Everything Everywhere All at Once’ now the most awarded film in history, report reveals », sur NextShark, (consulté le )
- « Une date de sortie française pour Everything Everywhere All at Once », sur boxofficepro.fr, (consulté le ).
- (en) Andreas Wiseman, « A24 Launches Sales On Michelle Yeoh Sci-Fi Everything Everywhere All at Once — AFM », sur Deadline.com, (consulté le )
- (en) James Y. Lee, « The Fractured, Deranged Genius of Everything Everywhere All at Once », sur Medium, (consulté le )
- (en) Alec Maskell, « Everything Everywhere All at Once is a multidimensional good time », sur thesuffolkjournal.com, (consulté le )
- (en) Colin Jacobson, « Everything Everywhere All at Once [Blu-Ray] (2022) », sur dvdmg.com, (consulté le )
- Elodie Bardinet, « Everything Everywhere All at Once sortira le 31 août au cinéma en France », sur Première, (consulté le )
- Renaud Baronian, « D'After Yang à Everything Everywhere All at Once, le Champs-Élysées Film Festival va crever l'écran », sur Le Parisien, (consulté le )
- « Fiche de doublage - Everything Everywhere All At Once », sur RS Doublage
- « Tout, partout, tout à la fois », sur doublage.qc.ca (consulté le ).
- (en) Dominic Patten, « Leonardo DiCaprio Produced Akir Scores in Latest CA Tax Credits Allocation », sur Deadline.com, (consulté le )
- (en) Eric Kohn, « Swiss Army Man Directors Passed on Deadpool 2 to Make a Sci-Fi Movie With Michelle Yeoh », sur Indiewire, (consulté le )
- (en) Mia Galuppo, « Michelle Yeoh, Awkwafina in Talks for Film From Swiss Army Man Directors », sur The Hollywood Reporter, (consulté le )
- (en) Mike Fleming Jr, « A24 Reunites With Swiss Army Man Directors; Finance & Distribute AGBO's Everything Everywhere All at Once », sur Deadline.com, (consulté le )
- « Everything Everywhere All at Once », sur Allociné (consulté le ).
- (en) « Everything Everywhere All at Once », sur Rotten Tomatoes (consulté le )
- (en) « Everything Everywhere All at Once », sur Metacritic (consulté le )
- Pierre Champleboux, « Everything Everywhere All At Once : la claque SF de 2022 ! notre critique », (consulté le )
- Adam Sanchez, « Everything Everywhere All at Once au cinéma : le film qui met une raclée aux blockbusters américains », sur GQ, (consulté le )
- « Sorties cinéma du 31 août : «Everything Everywhere All At Once», «La Page blanche», «Flee»... les films à voir (ou pas) » , sur Le Parisien, (consulté le )
- Antoine Desrues, « Everything Everywhere All at Once : critique dans le vrai Multivers de la folie », sur Ecran Large, (consulté le )
- « La suture », sur Corentin Lê, (consulté le )
- « « Flee », « Les Cinq Diables », « Avec amour et acharnement »… Les films à l’affiche cette semaine », sur Le Monde, (consulté le )
- Vincent Formica, « Box-office : de l'amour et du vin avec La Dégustation, en tête du 1er jour France », sur Allociné, (consulté le )
- Vincent Formica, « Box-office France : Top Gun Maverick proche d'un nouveau record, Everything Everywhere All At Once en tête », sur Allociné, (consulté le )
- Brigitte Baronnet, « Box-office France : Kompromat avec Gilles Lellouche s'impose devant Le Visiteur du futur », sur Allociné, (consulté le )
- « Chronique d'une liaison passagère et Revoir Paris le suivent de près. (Source : Le Film Français) », sur Première, (consulté le )
- Maximilien Pierrette, « Box-office France : Kompromat conserve la tête, un podium 100% français », sur Allociné, (consulté le )
- (en) « Everything Everywhere All at Once (2022) », sur Box Office Mojo
- (en) « Everything Everywhere All at Once - weekly », sur Box Office Mojo
- « Don't Worry Darling », sur JP's box-office
- (en) Tom Février, « Tout sur Everything Everywhere All at Once », sur Medium, (consulté le ).
- (en) Tom Février, « Tout sur Everything Everywhere All at Once », sur Medium, (consulté le )
- Condé Nast, « Everything Everywhere All at Once au cinéma : le film qui met une raclée aux blockbusters américains », sur GQ France, (consulté le )
- Philippe Guedj, « SF et système D : « Everything Everywhere All at Once » », sur Le Point, (consulté le )
- « "Everything everywhere all at once", en salles le 31 août : un voyage loufoque dans le multivers porté par Michelle Yeoh, virtuose », sur Franceinfo, (consulté le )
- Maya Boukella, « Une mère chinoise met Marvel KO : foncez voir Everything Everywhere All at Once au cinéma », sur Madmoizelle, (consulté le )
- (en) Kristy Puchko, « How 'Everything Everywhere All at Once' is a love letter to moms...and the internet », sur Mashable, (consulté le )
- (en) Emily St James, « Hollywood’s hot new trend: Parents who say they’re sorry », sur Vox, (consulté le )
- (en) Scaachi Koul, « I Made My Mom See “Everything Everywhere All At Once” And We Both Cried », sur BuzzFeed News (consulté le )
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- (en-US) Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- (en) AllMovie
- (it) Cinematografo.it
- (pl) Filmweb.pl
- (en) IMDb
- (en) LUMIERE
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- (en) Metacritic