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Essises

Essises est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Essises
Essises
La place de l'Église à Essises.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Château-Thierry
Intercommunalité Communauté de communes du canton de Charly-sur-Marne
Maire
Mandat
Christian Tréhel
2020-2026
Code postal 02570
Code commune 02289
Démographie
Gentilé Essisois(es)
Population
municipale
413 hab. (2020 en diminution de 5,28 % par rapport à 2014)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 45″ nord, 3° 25′ 15″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 219 m
Superficie 7,31 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Essômes-sur-Marne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Essises
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Essises
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Essises
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Essises

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap.
    Carte topographique.
    Carte avec les communes environnantes.

    Localisation

    Essises est située au sud de Château-Thierry, dans la région appelée l'Omois, sur les bords du Dolloir.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 751 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montfaucon », sur la commune de Montfaucon, mise en service en 1977[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 789,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 95 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Essises est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,7 %), prairies (36,8 %), forêts (13,1 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Asselum à l'époque gallo-romaine puis Esseces pour devenir enfin Essises.

    Histoire

    Plusieurs personnages importants ont marqué son histoire. Charles VII de France, accompagné de Jeanne d'Arc, traverse le village en 1429, de retour de son sacre à Reims. Un chemin porte d'ailleurs le nom de chemin du Roi.

    Dans la forêt voisine, sont venus chasser tour à tour François Ier, Charles IX de France et Henri IV.

    Le , près du hameau des Caquerêts, Napoléon Ier, à la suite de la bataille de Montmirail, bat les Alliés et les refoule sur Château-Thierry.

    Les Chroniques du village

    En 1719, sécheresse causant de fréquentes maladies, des flux de sang, des fièvres pourpreuses, petites véroles, et même, une grande mortalité chez les volailles. Cette même année, l'avoine a été brûlée sur pied.

    En 1725, le printemps et l'automne furent très pluvieux, le vin fut mauvais. À la fin de l'année, de grandes pluies firent déborder le Dolloir et les ruisseaux pendant trois semaines.

    En 1728, il y eut peu de blé et d'avoine, le vin était vert, les fruits mauvais, les vaches donnèrent peu de lait.

    En 1731, l'été fut très sec.

    En 1736, bénédiction de la grosse cloche refondue au château de Château-Thierry par François Chanez. Elle datait comme les deux petites, de 1534. Elle avait été fêlée par trois enfants qui la tiraient pour sonner l’angélus.

    En 1740, hiver rigoureux, été pluvieux, automne très froid, la Marne déborde, de même que toutes les rivières de France et d'Europe.

    En 1741, on avait à peine de quoi semer.

    En 1788, on constate que le terroir de la paroisse est difficile à cultiver, il durcit et s'amollit avec une égale facilité ; il faut quelquefois quatre ou cinq bêtes de trait par charrue.

    En 1789, une supplique a été demandée et adressée à l'administration pour qu'un pont soit construit sur le ru du Dolloir.

    Vins et propriétaires

    Il y a un peu plus d'un siècle, le village possédait encore des vignes, les habitants étaient fiers de leur cru, un excellent blanc de champagne. Ces vignes étaient cultivées au clos des Caquerets, La Duy, La Marcaude. Quelques noms de propriétaires récoltants en l'an 1790 ont été trouvés : André Degret, André Mahu, François Lefranc. Malheureusement, en 1870, le phylloxera, détruira toutes les plantations. Il n'en fut plus jamais replanté.

    Seigneurs et notables

    • 1549 Tristant de Radinghan seigneur des Orgérieux et de Villeneron Montlevon
    • 1557 Jacques de Silly seigneur de Montmirail
    • Jean de Gomer seigneur d'Artonges
    • 1572 Nicolas de Creil seigneur de Revillon
    • Jeanne de Nully femme du seigneur des Tournelles Chezy
    • 1687 Claude des Louviers seigneur vicomte de Savigny
    • 1719 Philippe de Montigny écuyer seigneur de la Ville aux Bois
    • Nicolas Lesguise écuyer seigneur d'Aigremont
    • 1722 Louis de Chavigny écuyer seigneur de Vieux Maisons
    • 1658 Augustin Vitart seigneur de Saint Gilles
    • 1685 De Montferrand marquis seigneur de Rozoy
    • 1695 Angélique Charlotte Vitart de Bellevalle
    • Nicolas Vitart seigneur vicomte de Rosoy de la contrie seigneur de la Motte
    • 1735 Françoise Geneviève Vitart dame de Rosoy
    • Belle-Valle femme de Joachim de Nesles Chevigny de Briquenay
    • 1636 René de Vieils Maisons Chevalier
    • Antoine de Grimberg vicomte de Nogentel
    • 1667 Jean Berard maire royal d'Essises
    • 1711 Jean de Bouot de la Rondillière seigneur des Tournelles
    • 1717 Claude Genée Officier de Vénerie
    • 1771 Messire Philippe Guillaume Jacquier de Vieils Maisons

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Château-Thierry du département de l'Aisne[21].

    Elle faisait partie depuis 1803 du canton de Charly-sur-Marne[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Essômes-sur-Marne[21]

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Aisne[23] depuis le dernier découpage électoral de 2010 .

    Intercommunalité

    La commune d'Essises est membre de la communauté de communes du Canton de Charly-sur-Marne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Charly-sur-Marne. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[24].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 En cours
    (au 3 août 2020)
    Christian Tréhel PR puis UDI Retraité Fonction publique
    Vice-président de la CC du canton de Charly-sur-Marne (2001 → 2020[25])
    Réélu pour le mandat 2020-2026[26] - [27]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2020, la commune comptait 413 habitants[Note 8], en diminution de 5,28 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    300316320323369365353347365
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    384316331328346358370350356
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    304339344290271242216213219
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    206203177239325370406420429
    2014 2019 2020 - - - - - -
    436411413------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Lavoirs, à Essises et au hameau des Caquerêts[31].
    Lavoir public à Essises, devant l'église.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Montfaucon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Essises et Montfaucon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Montfaucon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Essises et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Essises », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    24. « communauté de communes du Canton de Charly-sur-Marne - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Essises : Christian Tréhel nest[sic] plus vice-président de l’interco : Le maire d'Essises na pas retrouvé le fauteuil quil occupait depuis près de vingt ans à l'intercommunalité. Il se consacre donc à 100 % à sa commune », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Celui qui est élu local depuis 30 ans demeure hyper actif. Cofondateur de la salle historique 1814, voisine de la mairie. Il en assure les visites et la conservation des pièces depuis sa création en 1977 ».
    26. « Municipales à Essises : Christian Tréhel repart : Élu depuis 25 ans, le maire brigue un nouveau mandat avec une équipe renouvelée », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Fondateur ou membre actif de plusieurs associations historiques, patrimoniales ou historiques, il est titulaire de plusieurs décorations dont les Palmes académiques et est à l’origine de diverses publications à compte d’auteur sur le patrimoine local ou de poésie ».
    27. « Essises : Christian Tréhel retrouve son écharpe : Après bien des péripéties, le maire a repassé son écharpe après un second tour de scrutin atypique », Le Pays briard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « On se souvient que les élections ont connu un épisode inédit dans le département voire en France avec l’organisation d’un second tour sans candidat ni bulletin ! ».
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. Site répertoriant les lavoirs
    32. https://monumentum.fr/eglise-pa00115661.html

    Liens externes

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