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Drusenheim

Drusenheim (prononcer [dʁyzənaim] ou [dʁuzənaim]) est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Drusenheim
Drusenheim
L'hôtel de ville en janvier 2013.
Blason de Drusenheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Haguenau-Wissembourg
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rhénan
(siège)
Maire
Mandat
Jacky Keller
2020-2026
Code postal 67410
Code commune 67106
Démographie
Gentilé Drusenheimois [1]
Population
municipale
5 254 hab. (2020 en augmentation de 3,18 % par rapport à 2014)
Densité 334 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 46″ nord, 7° 57′ 09″ est
Altitude Min. 119 m
Max. 128 m
Superficie 15,73 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Drusenheim
(ville isolée)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bischwiller
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Drusenheim
Liens
Site web www.drusenheim.fr

    Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Géographie

    La commune, située le long du Rhin, en aval de Strasbourg, est baignée par la Moder.

    Urbanisme

    Typologie

    Drusenheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Drusenheim, une unité urbaine monocommunale[5] de 5 254 habitants en 2020, constituant une ville isolée[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Un nouveau parc de jeu a été installé au bord de la Moder ainsi qu'une balade. Au parcours de santé un parc fitness outdoor a également été installé.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (44,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,8 %), forêts (29,3 %), zones urbanisées (12,9 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %), eaux continentales[Note 3] (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,8 %), mines, décharges et chantiers (3,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Drusenheim centre

    Le centre historique, le « village », est principalement constitué de maisons individuelles.

    Le noyau originel de la ville se situe principalement autour de l'église. Les maisons d’habitation situées autour de l'église sont implantées à l’alignement, en ordre serré le long des rues qui suivent le tracé d’anciens chemins ruraux.

    Après la Seconde Guerre mondiale, le développement urbain de Drusenheim se fait par vagues successives. Le nouveau quartier d'après-guerre (années 1950-60), est créé au sud et à l'ouest de la Moder.

    Logement

    La majorité des biens immobiliers de la ville sont des maisons individuelles (78 %) et des appartements (22 %). 93 % des résidences sont des résidences principales, 1 % des résidences secondaires et 6 % des résidences vacantes.

    76 % des résidents sont propriétaires de leurs maisons ou de leurs appartements et 21 % des locataires. Enfin 58 % des habitations ont cinq pièces ou plus[12].

    Transports

    Située sur l'axe ferroviaire Strasbourg - Lauterbourg, Drusenheim est une petite ville de l'Alsace au bord du Rhin. Elle est une étape sur la Véloroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, située à Andermatt en Suisse, à son embouchure à Rotterdam.

    Drusenheim est reliée par un bac sur le Rhin à Greffern sur la rive allemande.

    Histoire

    Cité et forts de Drusenheim 1850.

    Drusenheim aurait été un des nombreux forts que Drusus, fils de adoptif de l'empereur Auguste et de l'impératrice Livie, construisit le long du Rhin pour arrêter les incursions des Germains.

    Ce village figure sur la charte de donation concédée en 758 par le comte Ruthard à l'abbaye de Schwartzach. Celle-ci sut y conserver jusqu'à la Révolution le patronage et la dime, elle y jouissait aussi des droits castrensiens de l'ancien Brughof.

    Drusenheim, qui faisait partie dans le comté de Hanau-Lichtenberg du bailliage d'Offendorf, embrassa la Réforme en 1570 et redevint catholique en 1687[13].

    Buste de Nero Claudius Drusus - Musée du Louvre.

    Drusenheim du VIIIe siècle au XVIIe siècle

    À partir du VIIIe siècle et durant 600 ans, les habitants de Drusenheim sont sujets de l’abbé de Schwarzach aujourd'hui en Allemagne.

    La commune passe ensuite entre les mains de plusieurs seigneurs successifs, dont les comtes de Hanau-Lichtenberg de 1570 à 1736.

    Drusenheim du XVIIe siècle au XVIIIe siècle

    Au milieu du XVIIe siècle, l’Alsace devient française. Pour repeupler Drusenheim, vidée par les guerres, les famines et les épidémies, on fait venir des Suisses, des Allemands, des Lorrains.

    De nombreux affrontements ont lieu à Drusenheim entre la guerre de Trente ans (1618-1648) et le milieu du XVIIIe siècle. Après cette période chaotique, la paix s’installe enfin, le village se reconstruit et se développe. L’église est agrandie aux alentours de 1780, des industries s’installent.

    Drusenheim du XIXe siècle au XXe siècle

    • 1814 : défaite de l'empereur Bonaparte, la région est occupée par les troupes russes, autrichiennes et allemandes.

    Le XIXe siècle sera celui des révolutions à Drusenheim : révolution démographique (la population triple entre 1805 et 1820), industrielle (création de la filature et de la tuilerie et travaux d’endiguement du Rhin) et militaire (déclassement du poste de Drusenheim). Pas de révolution politique locale, en revanche : seuls quatre maires seront en fonction de la restauration jusqu’au XXe siècle.

    • 1870-1871 : guerre franco-allemande et rattachement de l’Alsace à l’Allemagne (jusqu’en 1918). C’est donc sous l’uniforme allemand que les soldats drusenheimois se sont battus durant la Première Guerre mondiale. 53 hommes ont perdu la vie sur les champs de bataille.
    • 1918 : après la victoire de la France, Alsace et Moselle redeviennent des provinces françaises. Drusenheim prospère, l’industrie se développe, la vie religieuse et associative connaît un nouvel essor.

    Drusenheim pendant la Seconde Guerre mondiale

    • 3 septembre 1939 : la Seconde Guerre mondiale est déclarée.
    • 31 août 1939 : évacuation des habitants de Drusenheim vers le Limousin, à Saint-Léonard-de-Noblat.
    • 21 juin 1940 : capitulation de l’armée française. Les autorités allemandes ordonnent le retour des populations évacuées. Au cours du mois d’août, les Drusenheimois réfugiés à Saint-Léonard sont rapatriés.

    Le retour des Drusenheimois

    Le village et les terres sont à l’abandon depuis un an, de nombreuses maisons sont démolies, les granges et habitations ont été pillées. Comme le reste de l’Alsace, Drusenheim subit une campagne de germanisation : les noms de rues français sont changés, les prénoms français sont transformés, les enseignes des commerces démontées, l’allemand devient la langue officielle.

    Dès août 1942 : incorporation de force des jeunes hommes (sauf bien sûr ceux qui parviennent à déserter malgré les grands risques pour eux et leur famille). Juin 1944 : libération de la Normandie et de Paris. Drusenheim devra attendre le début 1945.

    La première libération de Drusenheim

    Une première libération de la ville a lieu le 12 décembre 1944, par les forces américaines. Les Allemands s'étant retirés sans combattre, le village fut donc relativement épargné. Le 5 janvier 1945, une contre-attaque nazie est lancée, sous le nom de code « Nordwind ». Les premières victimes civiles tombent le jour même, touchées par l’artillerie allemande. Le 20 janvier 1945, l’armée US se retire au Barrwald et commence à bombarder le village. Les dégâts les plus importants sont situés autour de l’église, dont le clocher constituait un point d’observation privilégié des Allemands. La population vit un véritable calvaire durant les deux mois qui suivent, subissant la faim, le froid, les bombes, l’artillerie, les combats de rue.

    Colonne de chars américains sur la route menant de Rohrwiller à Drusenheim.

    Drusenheim enfin libre

    17 mars 1945 : les Allemands quittent Drusenheim. Quatre jeunes gens rassemblent alors leur courage pour aller prévenir, à travers les champs de mines, les troupes alliées stationnées à proximité. Le village est libéré par trois régiments, dont le 9e régiment des zouaves d’Alger, commandé par l’adjudant-chef Pradeau, originaire de Saint-Léonard-de-Noblat.

    Au cours de ce premier trimestre 1945, une cinquantaine de victimes civiles sont décédées à Drusenheim. 74 soldats, enrôlés sous l’uniforme allemand ou français, sont tombés au combat. Les dégâts matériels sont très importants, le village est détruit à 85 %. La ville se verra d’ailleurs attribuer la Croix de guerre avec étoile de vermeil en 1948.

    Un essor rapide

    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le village de Drusenheim est devenu une ville. La population a plus que doublé en 50 ans pour dépasser aujourd'hui les 5 000 habitants.

    Des industries pourvoyeuses d’emplois se sont installées (Le fabricant alsacien de chariots Caddie - Les Ateliers Réunis -, filiale d'Altia, y possède sa plus importante unité de production), des lotissements ont été construits pour accueillir de nouveaux habitants. Des infrastructures de qualité, rarement visibles dans une ville de 5 000 habitants, ont été créées : piscine été-hiver, pistes cyclables, gymnase intercommunal, l'espace de loisirs Le Gabion, les Jardins de l’Altwasser et le Pôle culturel. Des travaux d’urbanisme, d’assainissement, de rénovation routière ont également créé un cadre de vie agréable et sûr. Enfin, le fleurissement de la commune a été couronné en 2007 par l'attribution de la 4e fleur au concours national des Villes et Villages Fleuris.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    • Maire sortant : Jacky Keller (LR)
    • 29 sièges à pourvoir au conseil municipal (population légale 2017 : 5 154 habitants)
    • 6 sièges à pourvoir au conseil communautaire (CC du Pays Rhénan)

    Liste des maires

    Le maire actuel de Drusenheim est Jacky Keller depuis le 11 mars 2001. Il succède à Pierre Schott qui était en fonction de 1965 à 2001. Lors de l'élection de 2001 il est la seule liste présente et remporte donc les élections avec 100 % des voix. Lors des élections de 2008 sa liste obtient 71 % des voix. En 2014 il est réélu pour un troisième mandat consécutif avec près de 51 % des suffrages. En 2020 il est réélu pour un quatrième mandat avec 100 % des voix ayant été l'unique liste a se présenter.

    Liste des maires successifs de Drusenheim depuis 1800
    Période Identité Étiquette Qualité
    Joseph Schiff PCF
    Eugène Schmitt PCF
    Alexandre Huck PCF
    Pierre Schott RPR Directeur de collège retraité
    En cours
    (au 31 mai 2020)
    Jacky Keller [14]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    RPR (2001 - 2002), UMP (2002 - 2015), LR (depuis 2015) Cadre supérieur retraité
    Vice-président de la CC du Pays Rhénan

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2020, la commune comptait 5 254 habitants[Note 4], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2014 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8505288981 5111 5721 6661 6161 7201 848
    1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
    1 5621 6061 7231 6491 7031 6161 6871 6031 625
    1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7111 8681 9461 9932 1002 2982 4052 0602 454
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    2 9073 3353 8274 3094 3634 7234 9215 0464 990
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 0925 2685 254------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le 14 décembre 1819, Drusenheim comptait 1 495 âmes. La famille la plus présente alors est la famille Gabel, qui est présente dans 17 foyers du village. La première mention de la famille Gabel remonte à 1650. Une autre famille, les Eichler sont présents depuis 1675. D'autres familles sont encore plus anciennes tels que les Klein, Benninger, Kormann, Hoch, Gumbel, Schwoob, Gless (1600), Arbogast (1600) ou Veith sont aussi présentent depuis le XVIIe siècle dans le village.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fin du mois de septembre : messti du village.

    Associations et organisations

    Drusenheim comporte de nombreuses associations sportives, qui animent depuis longtemps la vie communale, permettant la pratique du foot, du basket ou encore du tennis.

    L'orchestre d'harmonie

    Constitué d’une cinquantaine de musiciens, l'orchestre d'harmonie regroupe les instruments de la famille des bois, des cuivres et des percussions. Les musiciens sont pour la plupart issus de l'école de musique[19].

    Économie

    Drusenheim est le siège de nombreuses usines industrielles notamment les entreprises Dow agro science, Corteva ou les métiers de l'artisanat tels que des menuisiers ou des concessionnaires automobiles. La société Caddie a eu son siège à Drusenheim jusqu'en 2020.

    A partir de 2020 une ZAE (zone d'activité économique) nommée Axioparc se développe sur le site de l'ancienne raffinerie à l'entrée de la ville[20]. Plusieurs entreprises françaises et allemandes s'y installent notamment la société Bauder qui conçoit des étanchéités pour toiture[21].

    Fiscalité et revenus

    Il y a 2 725 foyers fiscaux à Drusenheim sur une population d'environ 5 150 habitants. 2 073 foyers fiscaux payent la taxe d'habitation au titre de leur habitation principale à Drusenheim et 210 foyers en sont exonérés[22].

    En 2017, le revenu fiscal médian par ménage était de 35 500 €. Le niveau de vie médian de la ville est beaucoup plus élevé que le niveau de vie médian du reste de la France qui est de 19 785 €.

    Le montant moyen d'impôts locaux par foyer fiscal s'élève à 1 100 € (2 891 000 € au total collectés par la commune). En moyenne, en ce qui concerne l'impôt sur le revenu, les Drusenheimois sont taxés à hauteur de 1 379 € par foyer fiscal.

    Avec la réforme de la taxe d'habitation, en 2018, 1 354 foyers ont bénéficié à Drusenheim de la suppression de 30 % de la taxe d'habitation soit un gain moyen de 151 euros. En 2019, ce sont 1 354 foyers fiscaux de Drusenheim qui sont concernés par la suppression de 65 % de la taxe d'habitation soit un gain de 327 € en moyenne.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Mathieu (saint patron de Drusenheim), construite en 1839.
    • La mairie, construite en 1822. Il s'agit du plus vieux bâtiment de Drusenheim encore en activité.
    • Le Pôle culturel qui s’étend sur trois niveaux et deux demi-niveaux, offrant 2 600 m2 d'installations modernes dans une architecture épurée. Le Pôle culturel est le siège de la musique municipale Alsatia.
    • Les rives du Rhin, lieu touristique et de détente.
    • La Villa Wenger, siège de la communauté de communes de l'espace rhénan depuis 2013.
    • La gare, construite et mise en service en 1876.
    • La forêt de Drusenheim, classée au biotope.
    Les rives du Rhin.

    Personnalités liées à la commune

    • Drusus, général romain et consul, fils de l'empereur Auguste et de l'impératrice Livie, fondateur de Drusenheim.
    • Vauban, architecte militaire qui fit fortifier Drusenheim au XVIIe siècle.
    • Jacques de Lichtenberg, comte de Lichtenberg et seigneur de Drusenheim au XVe siècle.
    • Roland Wagner (1955), ancien international de football, né à Drusenheim.
    • Cyrille Schott (1950), préfet, né à Drusenheim.
    • Jacques Gachot (1885-1954), artiste-peintre, dessinateur alsacien, membre du célèbre Groupe de Mai[23].

    Héraldique

    Blason de Drusenheim

    Les armes de Drusenheim se blasonnent ainsi :
    « Parti : au premier coupé au I d'or aux trois chevrons de gueules et au II d'azur au lion couronné d'or lampassé de gueules, au second d'or au globe d'azur cerclé et croiseté du champ. »[24].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Drusenheim », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. « Prix m2 à Drusenheim (67) - Evolution et estimation du prix immobilier », sur efficity.com (consulté le ).
    13. Etat de l'Eglise d'Alsace avant la révolution
    14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    19. « Les musiciens », sur Orchestre d'Harmonie ALSATIA de Drusenheim, (consulté le ).
    20. « Axioparc - ZAC nouvelle génération : voir plus loin, ensemble... », sur Territoire d'avenir Axioparc (consulté le )
    21. « Industrie. L’allemand Bauder va s’implanter à l’Axioparc de Drusenheim-Herrlisheim », sur www.lalsace.fr (consulté le )
    22. « Impôts locaux Drusenheim (67410) - Taxe d'habitation et taxe foncière à Drusenheim », sur Impots-locaux.org, (consulté le ).
    23. Site internet sur Jacques Gachot.
    24. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur http://www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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