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Domfront (Oise)

Domfront est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Domfront
Domfront (Oise)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Christophe Carré
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60200
Démographie
Gentilé Domfrontais, Domfrontaises
Population
municipale
318 hab. (2020 en diminution de 2,15 % par rapport à 2014)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 14″ nord, 2° 33′ 22″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 95 m
Superficie 2,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Domfront
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Domfront
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Domfront
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Domfront

    Ses habitants sont appelés les Domfrontais et les Domfrontaises.

    Géographie

    Description

    Donfront est un village situé dans le département de l'Oise mais limitrophe de celui de la Somme, situé à km au sud de Montdidier, à 39 km au nord-est de Beauvais et 36 km au sud-est d'Amiens.

    Domfront est traversée par la ligne d'Ormoy-Villers à Boves, dont la station la plus proche est la gare de Montdidier.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Domfront
    Royaucourt Rubescourt
    Somme
    Dompierre Domfront
    Godenvillers Le Ployron

    Hydrographie

    La commune est drainée par les Trois Doms, une rivière sous-affluent du fleuve côtier la Somme par l'Avre.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 677 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Godenvillers », sur la commune de Godenvillers, mise en service en 1937[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 700,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Domfront est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones urbanisées (11,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 50, alors qu'il était de 54 en 2013 et de 49 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 83,3 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 9,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,9 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Domfront en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 90,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Domfront en 2018.
    Typologie Domfront[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 83,3 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,4 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 9,3 7,1 8,2

    Toponymie

    Le village est attesté sous les formes Domfrond Donsfront, Donfront; Donffront (Domnus frons , Domus Frontonis)[21].

    L'église catholique, avant d'utiliser sanctus pour honorer les saints, a longtemps utilisé dans ce but le latin dominus (seigneur). Dominus aboutit à Dom-.

    Front était le nom d'un saint honoré localement : Domfront signifie donc "Saint-Front", lieu où l'on vénérait saint Front.

    En règle générale, les noms en Dom- sont plus anciens que les noms en Saint- .

    Histoire

    Vers 1840 existait un moulin à vent[21]

    En 1841 est fondé dans une ancienne sucrerie par Victorine Du Puy la congrégation de la Compassion, qui ouvre en 1850 un lieu d'accueil pour les enfants et les vieillards pauvres de la campagne, devenu depuis une maison de l'enfance et un Ehpad de 158 lits où vivent plus de la moitié des habitants de la commune. Sa gestion a été abandonnée par les religieuses en 1990[22] - [23] - [24].

    En 1847, par ordonnance royale, l’église de Domfront est érigée et, le 27 mai de la même année, l’abbé Cartier est nommé curé de Domfront et aumônier de l’hospice. Le 29 août 1855, un décret impérial reconnaît légalement la congrégation[23].

    La commune disposait autrefois de la gare de Domfront-la-Compassion, sur la ligne d'Ormoy-Villers à Boves.

    Première Guerre mondiale

    À la fin de la guerre, le village a subi d'importantes destructions[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Maignelay-Montigny[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton d'Estrées-Saint-Denis.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Plateau Picard, créée fin 1999.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 Guy Carré agriculteur
    mars 1989 mars 2008 Guy Smajda PS[28] retraité
    mars 2008 En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Christophe Carré agriculteur
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29] - [30] - [31]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Domfront, Godenvillers, Crèvecœur-le-Petit, Ferrières, Sains-Morainvillers, Royaucourt et Welles-Pérennes dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) construit à Ferrières, l'école des huit villages[32].

    Santé

    La commune accueille dans les anciens bâtiments de la Congrégation des sœurs Notre-Dame-de-la-Compassion un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) créé en 1990[22] - [33].

    La commune accueille également une maison d'ebfants à caractère social (MECS) gérée par l'association Temps de vie[34].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

    En 2020, la commune comptait 318 habitants[Note 7], en diminution de 2,15 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    145158183173195187182195239
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    274286274257270261290271333
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    309292336103141199259215306
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    313306317320287303307309335
    2014 2019 2020 - - - - - -
    325318318------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune a la population parmi les plus pauvres du département, en raison de la présence de nombreuses personnes âges résidant dans la maison de retraite et disposant de peu de ressources[38] - [22].

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 55,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 137 hommes pour 178 femmes, soit un taux de 56,51 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    3,6
    90 ou +
    13,0
    14,5
    75-89 ans
    28,2
    28,3
    60-74 ans
    21,9
    13,5
    45-59 ans
    7,1
    7,8
    30-44 ans
    7,1
    7,8
    15-29 ans
    6,6
    24,5
    0-14 ans
    16,0
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Économie

    En 2013, la commune rurale accueillait 110 emplois grâce notamment à la maison de l'enfance et à la maison de retraite[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Front : édifice du XXe siècle reconstruit en brique.
    • Congrégation des sÅ“urs Notre-Dame-de-la-Compassion : ensemble de bâtiments du XIXe siècle en brique abritant une petite chapelle et une horloge. Elle est occupée par une maison de retraite[41].
    • Calvaire, au croisement des rues Raineval, de Royaucourt et de Godenvillers.
    • Parc de loisirs Loisirmania, doté de jeux et animations en tous genres et implanté dans la verdure sur deux hectares, au lieu-dit Clos-du-Pont, entre Domfront et Godenvillers[42] - [43].

    Personnalités liées à la commune

    • Victorine du Puy, née le 7 février 1797 dans une fratrie de six enfants. Cette famille, originaire du Limousin, est venue s’installer dans la commune en 1816, pour gérer le domaine de Domfront, qui appartenait alors à une tante. Elle y crée la congrégatuon des sÅ“urs de la compassion. Le 21 novembre 1855 de la même année, Victorine du Puy porte officiellement les habits religieux et devient supérieure à vie, sous le nom de mère Marie de la Compassion. Elle meurt le [23]
    • Louis Hélié, Résistant né en 1889 à Domfront et mort à Paris le

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Domfront », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • « Domfront » sur Géoportail.
    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Godenvillers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Domfront et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Godenvillers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Domfront et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay - Arrondissement de Clermont (Oise) : Extrait de l'Annuaire de 1839, 114 p. (lire en ligne), p. 37, sur Google books.
    22. « Domfront : la maison de retraite, le cœur de ce village hors-norme », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    23. Lucien Djani, « La Compassion, à Domfront, une maison fondée en 1841 : L’établissement a été fondé par Victorine du Puy en décembre 1841. Il accueille aujourd’hui 160 personnes âgées dépendantes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Le 50e anniversaire de la fusion des congrégations de la Compassion et 60 ans de vie religieuse fêtés à Domfront : Sœur Aurore Rueda a été saluée pour son dévouement religieux pendant six décennies. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Annuaire des Mairies de l'Oise (60), EIP (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne).
    29. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Le visage de vos nouveaux élus », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3284,‎ , p. 29 (ISSN 1144-5092).
    30. « Christophe Carré de nouveau candidat », Le Bonhomme picard, édition Breteuil Crèvecœur, no 3589,‎ , p. 12.
    31. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    32. « Vie locale », sur http://www.dompierre60.fr (consulté le ).
    33. Lucien Djani, « L'Ephad de La Compassion à Domfront fête ses 30 ans : L’ancienne congrégation religieuse fondée en 1841 est devenue un Ehpad de 160 résidents. En 2020, elle fête les 30 ans de sa transformation. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. « M.E.C.S. DE DOMFRONT », sur https://annuaire.action-sociale.org (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. F. I., « La moitié des habitants vit en maison de retraite » : Christophe Carré, maire de Domfront », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Domfront (60200) », (consulté le ).
    40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    41. Site de la résidence de la compassion de Domfront
    42. « Un havre de fraîcheur et de loisirs, sur 20 000 m2 à Domfront: Loisir Mania : Ce parc d’attractions atypique se situe rue de Godenvillers. L’ensemble de ses activités- karting à pédales, mini-golf, manoir hanté, trampoline…- est accessible pour 6 euros seulement. », Le Courrier picard,‎ .
    43. « Entre Domfront et Godenvillers, le parc Loisir Mania entame sa onzième saison », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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