Diem (cryptomonnaie)
Diem, anciennement Libra, Ă©tait un projet de cryptomonnaie stable (stablecoin) initiĂ© par Facebook (devenu par la suite Meta) rejoint, Ă l'origine, par un consortium de vingt-huit entreprises et ONG. Il Ă©tait convenu que la monnaie serait gĂ©rĂ©e par une fondation sans but lucratif dont Facebook ne serait qu'une des organisations cofondatrices. Libra devait ĂȘtre gĂ©rable via Novi, un portefeuille virtuel, auparavant nommĂ© Calibra[1] - [2]. En dĂ©cembre 2020, Libra change de nom pour s'appeler Diem[3].
Date de création | 2019 |
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Créateur | Libra Association, Facebook, David Marcus |
Symbole boursier | â |
Fonction de hachage | SHA-3 |
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En janvier 2022, le groupe Meta renonce officiellement au lancement de Diem ; le projet est abandonné[4].
De maniÚre à rassurer et garder un cours stable, à chaque achat de ce stablecoin, la fondation s'engage à adosser en réserve l'équivalent en titres gouvernementaux ou en monnaies légales.
Les soutiens au projet
A son lancement, chacune des vingt-huit entreprises[5] a choisi d'apporter au moins 10 millions de dollars pour faire son entrée dans la fondation suisse Libra Networks, enregistrée le à GenÚve et ayant pour actionnaire Facebook Global Holdings[6].
Chaque membre de la fondation s'engage Ă participer Ă la gouvernance de la monnaie ; il aura la possibilitĂ© d'opĂ©rer un nĆud du rĂ©seau[7]. Libra indique souhaiter Ă©tendre la participation Ă la fondation Ă 100 entreprises puis, Ă terme, ouvrir cette possibilitĂ© Ă tous.
Alors que la tendance à participer au projet est plutÎt baissiÚre, en février 2020, la plateforme d'e-commerce Shopify[8] et, en avril 2020, Checkout.com[9] annoncent rejoindre Libra.
Liste non exhaustive d'organisations adhérentes
Elles Ă©taient 28 au lancement[10]
Services de paiements
- PayU
- Checkout.com
Services et vente en ligne
Télécoms
- Iliad (Free)
Acteurs des cryptomonnaies
- Coinbase
- Xapo
- BisonTrails
- Anchorage
Fonds d'investissements
- Ribbit Capital
- Thrive Capital
- Andreessen Horowitz
- Union Square Ventures
- Creative Destruction Lab
Recherche
Organisations Non Gouvernementales (ONG)
- Women's World Banking
- Mercy Corps
- Kiva
Difficultés et défections pendant le démarrage
InterrogĂ© le par les Ă©lus amĂ©ricains de la commission parlementaire des services financiers, le patron de Facebook dĂ©clare[11] : « Lâassociation Libra est sĂ©parĂ©e de Facebook. Si je vois que nous nâarrivons pas Ă continuer en accord avec les principes que jâai Ă©tablis, alors Facebook se retirera du projet. »
Liste des organisations qui se sont retirées de Libra
- Visa (s'est retiré du projet le )[12]
- Mastercard (s'est retiré du projet le )[12]
- PayPal (s'est retiré du projet le )[13]
- Stripe (s'est retiré du projet le )[12]
- Ebay (s'est retiré du projet le )[12]
- Booking holdings (Booking.com) (s'est retiré du projet le )[14]
- Mercado pago (s'est retiré le )
- Vodafone (sort du projet le pour le regarder de l'extérieur)[15]
Simon Morris, chef de produit de l'association Libra, est resté en poste 5 mois avant de partir. Il n'a pas souhaité s'étendre sur les raisons de son départ mais réaffirme sa confiance en Libra[16].
Objectifs
L'objectif annoncĂ© de ce projet est de rĂ©soudre les problĂšmes des cryptomonnaies actuelles avec des frais de transaction faible et des capacitĂ©s importantes de volumes de transactions. Ainsi, Diem souhaite permettre l'accĂšs simple Ă une monnaie stable dans les pays Ă©mergents oĂč la majoritĂ© des habitants ne disposent pas de compte en banque. De plus, Facebook y voit un intĂ©rĂȘt pour dĂ©velopper les paiements via sa messagerie instantanĂ©e et faciliter les achats en ligne.
Historique
Au printemps 2018, Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, annonce la crĂ©ation dâune division dĂ©diĂ©e au domaine de la blockchain. Il choisit David Marcus, ancien prĂ©sident de Paypal et ex-responsable de Facebook Messenger, pour la diriger et une cinquantaine de personnes pour travailler sur le projet[17].
Le 6 mai 2020, Stuart Levey est nommé CEO de Libra[18].
Mai 2021, l'association Diem (anciennement Libra) quitte GenÚve pour la Californie. Et retire sa demande de licence de systÚme de paiement à l'autorité de surveillance des banques Suisse (FINMA). Cette décision est justifiée par un partenariat avec la banque Californienne Silvergate[19].
Essor du projet
Le , le fondateur souligne lâimportance du paiement via messagerie comme un axe stratĂ©gique du dĂ©veloppement de ses services de messagerie[20].
Lâobjectif du « Facebook Coin » serait dâĂȘtre utilisĂ© pour des paiements et transferts de monnaie Ă partir des messageries WhatsApp et Messenger et vers tous les pays oĂč Facebook est prĂ©sent[21].
Contrairement au Bitcoin, le Facebook Coin ne sera pas soumis Ă une volatilitĂ© importante du marchĂ© dans la mesure oĂč Facebook revendique avoir les moyens financiers de garantir la valeur dâun Facebook Coin avec des devises dĂ©tenues sur des comptes bancaires de Facebook. De plus, il devrait ĂȘtre adossĂ© Ă plusieurs monnaies telles que lâeuro et le dollar, ce qui assurerait une certaine stabilitĂ©[22].
Facebook souhaite profiter de ses nombreux utilisateurs : messageries WhatsApp (1,5 milliard dâutilisateurs), Messenger (1,3 milliard) et Instagram (1 milliard) afin de s'imposer[23].
Depuis , un test est en cours auprĂšs dâun million de personnes en Inde Ă travers une plateforme de paiement dĂ©matĂ©rialisĂ©e du secteur bancaire indien : Unified Payment Interface.
Messenger dispose dĂ©jĂ dâune fonction paiement depuis 2015 mais le service rencontre des dĂ©sagrĂ©ments du systĂšme bancaire. En effet, les fonds peuvent mettre jusquâĂ 5 jours pour arriver sur un compte et plusieurs intermĂ©diaires (cartes, bancaires, banquesâŠ) entrent en jeu. Ainsi, la cryptomonnaie de Facebook rendrait le processus instantanĂ© et permettrait de remplacer les prestataires bancaires.
L'annonce du projet en juin 2019
En , Mark Zuckerberg prĂ©sente plus en dĂ©tail le libra, nouveau nom du Facebook Coin. Les Ă©changes passeront par la technologie blockchain, avec un rĂ©seau privĂ©, mais le libra sera adossĂ© Ă un panier de devises traditionnelles qui doit lui donner une certaine stabilitĂ©. Les libras pourront ĂȘtre achetĂ©s avec n'importe quelle devise et seront utilisĂ©s pour rĂ©gler des transactions sur Internet comme dans des boutiques physiques. Le systĂšme pourrait apporter des frais rĂ©duits aux commerçants. La monnaie sera Ă©mise par une association Ă but non lucratif installĂ©e en Suisse[24].
Vingt-huit partenaires sont associés au projet, dont des acteurs du secteur du paiement et des transactions sur Internet tels que Mastercard,Visa, Paypal, Uber et Spotify, ou le français Iliad[25].
L'essor du marché
Le marchĂ© du transfert dâargent et paiement via messagerie est en plein essor. En effet, pour les pays en voie de dĂ©veloppement, il peut ĂȘtre difficile pour beaucoup dâhabitants dây ouvrir un compte bancaire traditionnel ou de faire des achats en ligne. Câest une nouvelle façon dâapporter un accĂšs bancaire Ă des populations exclues du systĂšme financier.
Par consĂ©quent, la Chine est particuliĂšrement en avance sur ce marchĂ© et emploie Tencent Ă travers WeChat pour les paiements via messagerie. Cette application mobile permet aux internautes de discuter en ligne, dâacheter des billets dâavion ou train, payer ses courses et trajets en taxi. La diffĂ©rence avec Facebook Coin est que dans le cas de Tencent, câest le gouvernement chinois qui a le contrĂŽle[26].
Telegram, une messagerie Ă 180 millions dâutilisateurs, souhaite Ă©galement lancer sa propre plateforme blockchain et sa cryptomonnaie sâappellera Grams. La messagerie compte gagner en indĂ©pendance financiĂšre auprĂšs des banques et gouvernements. Quant aux utilisateurs, ils pourront contourner les frais de transfert lorsquâils envoient des fonds au niveau international et pourront dĂ©placer de lâargent discrĂštement.
RĂ©actions et critiques
L'annonce du projet a suscité nombre commentaires et critiques.
Selon Pauline Adam-Kalfon, associĂ©e chez PwC France, les banques centrales ont tout intĂ©rĂȘt Ă laisser Facebook tester les cryptomonnaie avant de lancer la leur. Cela leur permettra d'identifier les risques liĂ©s Ă lâĂ©mission dâune devise numĂ©rique[27].
Le garant italien pour la protection des donnĂ©es personnelles, Antonello Soro, s'est inquiĂ©tĂ© des risques de non-respect de la vie privĂ©e dans les transactions et du fait que les multinationales souhaitent battre monnaie au mĂȘme titre que les Etats[28]. Le journaliste Romain Subtil de La Croix rappelle que la crĂ©ation de cette cryptomonnaie favorise la monĂ©tisation des donnĂ©es personnelles que fournissent les utilisateurs de Facebook, contrepartie de l'« inscription gratuite » sur la page d'accueil du rĂ©seau[29].
En France, le ministre de l'Ăconomie et des Finances, Bruno Le Maire a dĂ©clarĂ© : « Que Facebook crĂ©e un instrument de transaction, pourquoi pas. En revanche, que ça devienne une monnaie souveraine, il ne peut pas en ĂȘtre question »[30] - [31].
Le , le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, annonce la mise en place, dans le cadre du G7, dâun groupe de travail des banques centrales sur les stablecoins mondiaux, prĂ©sidĂ© par BenoĂźt CoeurĂ©[32]. Le 18 octobre 2019, le groupe de travail rend ses conclusions. Le rapport indique que les stablecoins mondiaux prĂ©sentent deux types de risques. Le premier est commun Ă lâensemble des projets de stablecoins, en matiĂšre de sĂ©curitĂ© juridique, gouvernance, intĂ©gritĂ© financiĂšre et de marchĂ©, protection des donnĂ©es et du consommateur, tarification des services, conformitĂ© aux exigences fiscales. Le deuxiĂšme type de risques, spĂ©cifique aux stablecoins mondiaux, porte sur les conditions de concurrence, la politique monĂ©taire et la stabilitĂ© financiĂšre[33].
La prĂ©sidente du ComitĂ© sur les services financiers du CongrĂšs des Ătats-Unis, Maxine Waters a demandĂ© la suspension du projet tant que le CongrĂšs et les rĂ©gulateurs n'auraient pas examinĂ© le dossier et a appelĂ© les initiateurs du projet Ă venir tĂ©moigner devant le CongrĂšs[34]. Marc Zuckerberg, le dirigeant de Facebook, est auditionnĂ© par la Chambre des ReprĂ©sentants le 23 octobre 2019[35].
La Banque des rÚglements internationaux estime que l'incursion des géants de la tech dans la monnaie virtuelle pose des questions en matiÚre de concurrence et de confidentialité de données[36].
Le Prix Nobel d'Economie Joseph Stiglitz a Ă©crit : « Seul un imbĂ©cile ferait confiance Ă Facebook pour son bien-ĂȘtre financier. Mais câest peut-ĂȘtre lâessentiel : avec autant de donnĂ©es personnelles sur quelque 2,4 milliards dâutilisateurs actifs par mois, qui sait mieux que Facebook, combien de gogos naissent Ă chaque minute ? »[37].
Jamie Dimon, PDG de JP Morgan s'est montré trÚs critique envers le Diem, évoquant un manque de transparence, et un risque de blanchiment d'argent[38].
En aout 2019, selon Bloomberg, bien avant sa mise en service, Diem serait dĂ©jĂ concernĂ© par une enquĂȘte de l'Union europĂ©enne, pilotĂ©e par les autoritĂ©s de contrĂŽle de la concurrence[30].
En juin 2020, la Banque de France publie un texte explicatif sur les crypto-actifs et stable coins. Ces derniers, dont le Diem fait partie, prĂ©sentent une valeur plus stable et peuvent ĂȘtre vus comme la deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration des crypto-actifs[39]. En octobre 2020, le conseil de stabilitĂ© financiĂšre du G20 approuve dix recommandations afin de rĂ©glementer, superviser et surveiller les accords sur les stable coins[40].
Suisse
Le ministre suisse des Finances, Ueli Maurer, estime, dâaprĂšs un entretien publiĂ© vendredi 2019 par la chaĂźne suisse SRF, que le projet de monnaie numĂ©rique de Facebook « a Ă©chouĂ© dans sa forme actuelle »[41] - [42]. « Les banques centrales ne vont pas accepter le panier de devises » sur lequel le libra est censĂ© sâappuyer.
France
Le , Bruno Le Maire, le ministre français de lâĂconomie a dĂ©clarĂ© « Nous n'accepterons pas qu'une entreprise multinationale privĂ©e ait la mĂȘme puissance monĂ©taire que les Etats souverains qui sont soumis au contrĂŽle dĂ©mocratique ; car la grande diffĂ©rence entre Facebook et les Etats, c'est que nous sommes soumis au contrĂŽle dĂ©mocratique, c'est-Ă -dire au contrĂŽle du peuple »[43] et annonce que la France, l'Italie et l'Allemagne prĂ©parent une sĂ©rie de mesures pour interdire le Diem en Europe[44].
En octobre 2020, Denis Beau, premier sous-gouverneur de la Banque de France, rappelle dans son discours sur les crypto-actifs que la monnaie centrale doit conserver sa position dâancrage, y compris dans un univers numĂ©risĂ©[45].
Ătats-Unis dâAmĂ©rique
à Washington, les politiciens se sont rapidement plaints des antécédents de Facebook en matiÚre de protection de la vie privée des utilisateurs. Maxine Waters, sénatrice démocrate de Californie qui préside le Comité des services financiers de la Chambre des représentants, a demandé à Facebook de suspendre le développement du Diem jusqu'à ce que le CongrÚs puisse en apprendre davantage sur le projet. Sherrod Brown, un sénateur démocrate de l'Ohio, a écrit que l'on ne pouvait pas faire confiance à Facebook pour gérer seul une cryptomonnaie[16].
Allemagne
Markus Ferber, parlementaire allemand au Parlement européen craint que Facebook et ses 2 milliards d'utilisateurs devienne une « shadow bank » une banque parallÚle[46] et met en garde les régulateurs.
Le gouvernement allemand, Ă travers son ministre de l'Ăconomie Olaf Scholz, a adoptĂ© une stratĂ©gie blockchain visant Ă stimuler la transformation numĂ©rique dans lâindustrie financiĂšre, mais Ă©galement lutter contre les initiatives privĂ©es de monnaie numĂ©rique[47].
Fonds monétaire international
Le , le FMI a rappelĂ© sa position sur les monnaies virtuelles stablesâ: tirer les bĂ©nĂ©fices de lâinnovation tout en minimisant les risques[48].
Abandon du projet
En 2021, Meta (anciennement Facebook) abandonne le projet Libra face aux contraintes rĂšglementaires[50].
à la suite de cet abandon, une partie de l'équipe initiale continue ce projet d'infrastructure blockchain via la société Mysten Lab[51]. Le nouveau nom de la cryptomonnaie est SUI[52] et poursuit le projet de stablecoin DIEM commencé en 2019.
SUI a levé 100M$ de la part de FTX, quelques semaines avant la chute de la plateforme en 2022.
Le listing de SUI sur les Ă©changes cryptos sâest produit le 4 mai 2023.
Informations techniques
Libra Core
Libra Core est un programme dont le but est d'implémenter le protocole Libra, mis en place par la Libra Association. Ce programme est écrit en Rust[53].
Blockchain
La blockchain Libra est gérée par le protocole Libra[54]. En outre, un langage de programmation a été développé dans le cadre de ce projet, Move (bytecode). Il intervient dans le traitement des transactions et les transactions personnalisées[55]. Sa premiÚre fonction est le déplacement de Libra coins d'un compte vers un autre.
Exemple de syntaxe en Move :
public main(payee: address, amount: u64) {
let coin: 0x0.Currency.Coin = 0x0.Currency.withdraw_from_sender(copy(amount));
0x0.Currency.deposit(copy(payee), move(coin));
}
Notes et références
- (en) « Novi | Un nouveau portefeuille numérique pour le systÚme de paiement Libra », sur www.novi.com (consulté le )
- Le Figaro avec AFP, « Calibra, le projet de portefeuille numérique de Facebook, devient Novi », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- « Ne l'appelez plus Libra, la cryptomonnaie de Facebook rebaptisée Diem », sur www.20minutes.fr (consulté le )
- « Meta renonce officiellement Ă son projet de monnaie numĂ©rique Diem », Le Temps,â (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Libra : 10 choses à savoir pour tout comprendre à la future monnaie virtuelle de Facebook », sur L'Obs (consulté le )
- «Libra : 10 choses à savoir pour tout comprendre à la future monnaie virtuelle de Facebook», L'Obs, 17 juin 2019
- « Facebook lance une "monnaie digitale mondiale" Libra pour créer des services financiers », sur La Tribune (consulté le )
- « Cryptomonnaie : le e-commerçant Shopify, nouveau partenaire du Libra de Facebook », sur Les Echos, (consulté le )
- « Le fournisseur de solutions de paiement Checkout.com rejoint Libra », sur usine-digitale.fr (consulté le )
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- Le Monde avec AFP, « Mark Zuckerberg prĂȘt Ă repousser le lancement de sa cryptomonnaie, le libra », Le Monde,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- (en) Lauren Feiner, « Facebook's libra cryptocurrency coalition is falling apart as eBay, Visa, Mastercard and Stripe jump ship », sur CNBC, (consulté le )
- "PayPal se retire du projet Libra de Facebook", La Presse Ca, le 4 octobre 2019
- «Le projet de monnaie virtuelle libra Ă la recherche dâun second souffle», Le Monde, 15 octobre 2019
- « Projet Libra : Vodafone, dernier partenaire à quitter un navire qui sombre », sur www.lesnumeriques.com, (consulté le )
- « Facebook Libra : fonctionnement, projet, polémiques... on vous dit tout sur la cryptomonnaie », sur CNET France (consulté le )
- « «Facebook Coin»: le projet d'une cryptomonnaie de Facebook se précise », sur FIGARO, (consulté le )
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- Romain Subtil, « Nouvelle ombre sur Facebook », sur la-croix.com,
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- « Pour la BCE, le Libra de Facebook pourrait nuire à l'euro », sur La Tribune (consulté le )
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