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Cocheren

Cocheren [kɔʃʁən] est une commune française de l'agglomĂ©ration de Forbach, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Moselle, en rĂ©gion Grand Est. Elle est localisĂ©e dans la rĂ©gion naturelle du Warndt et dans le bassin de vie de la Moselle-Est.

Cocheren
Cocheren
Le site gallo-romain du HĂ©rapel.
Blason de Cocheren
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Forbach Porte de France
Maire
Mandat
Jean-Bernard Martin
2020-2026
Code postal 57800
Code commune 57144
DĂ©mographie
Gentilé Cocherennois
Population
municipale
3 355 hab. (2020 en diminution de 4,63 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 597 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 08â€Č 39″ nord, 6° 51â€Č 26″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 340 m
Superficie 5,62 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Forbach (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Forbach
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Cocheren
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Cocheren
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Cocheren
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Cocheren

    GĂ©ographie

    La localitĂ© est situĂ©e dans la vallĂ©e de la Rosselle, Ă  km au sud-ouest de Forbach, au pied de la colline du HĂ©rapel qui culmine Ă  330 mĂštres.

    Sur la rive droite de la Kocherenbach, Cocheren-village, au passĂ© si ancien, oĂč les hommes avaient dĂ©jĂ  choisi de vivre il y a plus de deux mille ans
 Sur la rive gauche, la CitĂ© Belle-Roche, si jeune encore, qui est nĂ©e dans les annĂ©es 1950 (ancienne rĂ©daction : il y a quarante ans Ă  peine), sur les terres de l’ancien domaine de Ditschviller.

    Écarts et lieux-dits

    • Ditschviller, Kehlloch, Herapel.

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Rosselle, le ruisseau de Cocheren et le ruisseau le Wimbornbach[Carte 1].

    La Rosselle, d'une longueur totale de 32,8 km, prend sa source dans la commune de Boucheporn traverse treize communes françaises puis, au-delĂ  de Petite-Rosselle, poursuit son cours en Allemagne oĂč elle se jette dans la Sarre[1].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Cocheren.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement dĂ©limitĂ© par un triangle formĂ© par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est la rĂ©gion Grand Est[2]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].

    La qualitĂ© des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau la Rosselle, peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Cocheren est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 15 communes[7] et 82 547 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Forbach (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (40,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (40,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (37,9 %), zones urbanisĂ©es (25,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (17,5 %), prairies (8,4 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2,6 %), terres arables (1,9 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l'évolution dans le temps de l'occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siÚcle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    • Cocheren[14] : Cocheres (1322), Cochern (1365), Rochern (1594), Kocher (1595), Kochern (1688), Cochren (1751), Koheren et Cokeren (1756), Coquereim (Deliste, carte du Rhin), Kochern (1871-1918). En francique lorrain : Kochere et Kuchern.
    • Ditschviller[14] : Dickeswilre (1365), Dietzweiler (1684), Ditzsweiler[15] & Ditzschweiler (1751), Ditzviller ou Dietzweiller (1779), Dietzweiler (1782), Ditschweiler (carte de l'Ă©tat-major), Ditschwiller (XIXe siĂšcle). Le moulin de Ditschviller est Ă©galement appelĂ© Kaas'en MĂŒhle[15].

    Sobriquets

    • Anciens sobriquets dĂ©signant les habitants[16] : Die BohnesĂ€ck (les sacs Ă  haricots), Die Felseritscher (ceux qui glissent sur les rochers), Die Eicherde (les Ă©cureuils), Die BĂ€sekrĂ€mer (les marchands de balais).

    Histoire

    • DĂ©pendait de l'ancienne province de Lorraine.
    • Au XVIIIe siĂšcle, le chĂąteau de Ditschviller fut la rĂ©sidence d’étĂ© du comte de Forbach.
    • Cocheren, village frontalier mosellan, fait partie du canton de Forbach depuis 1790.
    • L'ancien hameau de Girlingen Ă©tait situĂ© sur la commune, dĂ©truit Ă  la fin du XVIIe siĂšcle[17].
    • La ville est situĂ©e de part et d’autre de la riviĂšre Kocherenbach au pied du site gallo-romain du HĂ©rapel. Il y a quelques annĂ©es ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es des traces de civilisation celte.
    • Les vestiges archĂ©ologiques trouvĂ©s sur le site du HĂ©rapel sont dispersĂ©s dans divers musĂ©es français (Sarreguemines et Metz) et allemands, les grandes fouilles ayant eu lieu avant la PremiĂšre Guerre mondiale et sous administration allemande de 1871 Ă  1914.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[18]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1840 1870 Pierre Walter
    1871 1876 Nicolas Houp
    1877 1880 Schmidt
    1881 1886 Schwartz
    1887 1894 Nicolas Neu
    1895 1900 Haag
    1901 1916 Nicolas Schmidt
    1917 1918 Emile Eblinger
    1919 1919 Muller
    1919 1940 Alphonse Kaas
    1940 1944 Joseph Lacour
    1944 octobre 1947 Alphonse Kaas
    octobre 1947 mars 1959 Albert Braun
    mars 1959 mars 1965 Jean Dauster
    mars 1965 mars 1977 Adrien Landfrid
    mars 1977 1997
    (démission)
    Paul Bladt PS Ajusteur retraité
    DĂ©putĂ© de la 6e circonscription de la Moselle (1981 → 1986)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Behren-lĂšs-Forbach (1988 → 2008)
    1997 En cours Jean-Bernard Martin SE Chef de section principal des travaux publics de l'État
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Behren-lĂšs-Forbach (2008 → 2015)
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelage

    Le village est jumelé depuis 1985 avec le village allemand de Lampaden, une municipalité du Verbandsgemeinde de Kell am See, dans l'arrondissement de TrÚves-Saarburg, en Rhénanie-Palatinat, dans l'ouest de l'Allemagne.

    L’origine du jumelage a Ă©tĂ© initiĂ©e par un gendarme originaire de Cocheren, stationnĂ© Ă  Saarburg, et un habitant de Lampaden, fonctionnaire de Police dans cette mĂȘme ville. Ce sont les Ă©lus en fonction Ă  l’époque qui ont concrĂ©tisĂ© le jumelage, Monsieur Paul BLADT, DĂ©putĂ© Maire de Cocheren, et Monsieur ThĂ©o WILHEM, Maire de Lampaden.

    Les cérémonies officielles ont lieu le à Cocheren et le à Lampaden.

    Le 25e anniversaire du jumelage a Ă©tĂ© fĂȘtĂ© le Ă  Cocheren et le Ă  Lampaden.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[20].

    En 2020, la commune comptait 3 355 habitants[Note 3], en diminution de 4,63 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    422433468505624572510523502
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    489462477495574659722840834
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    8999149969513 2444 5744 2273 7313 544
    1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2020 -
    3 4253 2933 3603 3523 4823 5183 3803 355-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les établissements scolaires de Cocheren sont rattachés à l'académie de Nancy-Metz. Pour le calendrier des vacances scolaires, la ville se trouve en zone B.

    La ville de Cocheren compte plusieurs Ă©tablissements scolaires :

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Vestiges gallo-romains : sur la montagne d'HĂ©rapel, traces d'un camp et d'un temple d'Apollon ; vase.
    • Fontaine de dĂ©votion miraculeuse d'HĂ©rapel : selon la lĂ©gende, l'eau de cette source serait bĂ©nĂ©fique pour les yeux et pour les cheveux.
    • ChĂąteau de Ditschviller XVIIIe siĂšcle, restaurĂ© XIXe siĂšcle.

    Édifices religieux

    • Église de la Sainte-TrinitĂ© 1780 : trĂšs riche mobilier XIXe siĂšcle.
    • Église Notre-Dame-des-HouillĂšres (CitĂ© Belle Roche).
    • Chapelle Sainte-HĂ©lĂšne, bĂątie dans la roche.

    PrĂȘtres de la commune

    Abbé Joseph Bour

    1802-1805 : Abbé Jean Nicolas Decker

    1806-1810 : Abbé Jean Kremer

    1810-1812 : Abbé Jean Grotius

    1812-1818 : Abbé Hyacinthe Courte

    1818-1822 : Abbé François Fey

    1822-1830 : Abbé Antoine Grotzinger

    1830-1833 : Abbé Antoine Gapp

    1833-1841 : Stéphane Guingler

    1841-1842 : Abbé Nicolas Kollen

    1842-1873 : Abbé Nicolas Neis

    1873-1874 : Abbé Jacques Fabing

    1874-1884 : Abbé Jean Marc Fabing

    1884-1888 : Abbé Jean Pierre Riff

    1888-1897 : Abbé Louis Hessemann

    1897-1926 : Abbé Jean Vagner

    1926-1941 : Abbé Jean Adam

    1941-1945 : Abbé Alfred Rohmer

    1945-1962 : Abbé Jean Adam

    1962-1987 : Abbé Marcel Poinsignon

    1987-1995 : Abbé Bernard Basselin

    1995-2011 : Abbé Clément Reiff

    2011-2016 : Abbé Martin Pyza

    depuis 2016- : Abbé Gérard Zawadski

    • Église de la Sainte-TrinitĂ©.
      Église de la Sainte-TrinitĂ©.
    • Église Notre-Dame-des-HouillĂšres (CitĂ© Belle Roche).
      Église Notre-Dame-des-HouillĂšres (CitĂ© Belle Roche).
    • Chapelle Sainte-HĂ©lĂšne.
      Chapelle Sainte-HĂ©lĂšne.

    HĂ©raldique

    Blason de Cocheren Blason
    Parti : au 1er d'azur Ă  la crosse d'or, au livre ouvert d'argent brochant sur le tout, au 2e d'azur semĂ© de croisettes d'argent, au lion du mĂȘme, lampassĂ© et couronnĂ© d'or, brochant sur le tout.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Cocheren » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « QualitĂ© des eaux de riviĂšre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consultĂ© le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenĂȘtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « la Rosselle »
    2. « SAGE Bassin Houiller », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    3. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur www.eau-rhin-meuse.fr (consulté le )
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Unité urbaine 2020 de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    8. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Forbach (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
    15. Chronique de Cocheren - Denis Quiring, Marcel Stein (1989)
    16. Cercle "Die Furbacher" - Histoire locale de Forbach n°62 - 2008
    17. Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle-Mémoires Volumes 2 à 4
    18. Liste des maires de Cocheren
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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