Cizay-la-Madeleine
Cizay-la-Madeleine est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Cizay-la-Madeleine | |||||
Abbaye d'Asnière. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Grandhomme 2020-2026 |
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Code postal | 49700 | ||||
Code commune | 49100 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cizéens | ||||
Population municipale |
470 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 11′ 22″ nord, 0° 11′ 10″ ouest | ||||
Altitude | 74 m Min. 39 m Max. 109 m |
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Superficie | 19,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saumur (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Doué-en-Anjou | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Géographie
Localisation
Commune angevine du Saumurois, Cizay-la-Madeleine se situe au nord de Brossay, sur la route D 163[1]. Doué-la-Fontaine se trouve à 7 km à l'ouest de Cizay, et Saumur à 11 km au nord-est[2].
L'altitude de la commune varie de 39 à 109 mètres[3], et son territoire s'étend sur plus de 19 km2 (1 929 hectares)[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mont.-Bellay », sur la commune de Montreuil-Bellay, mise en service en 1986[10] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 599,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 76 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[14], à 11,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Cizay-la-Madeleine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,1 %), forêts (33,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,6 %), cultures permanentes (4,5 %), zones urbanisées (2,2 %), prairies (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
À l'Antiquité, la communauté présente sur le territoire prend le nom de Sitiacum ou Villa Sitii. Ainsi, le village se serait développé à partir du domaine d'un propriétaire terrien de l'époque gallo-romaine, un certain Sitius. La toponymie évolue au Moyen-Âge pour consacrer le village sous le nom de Siciacus (VIIe siècle), puis Siziacus (XIe siècle). Le développement du village autour d'une chapelle consacrée à Marie-Madeleine, dont le culte se répand dans la région au XIIe siècle, explique l'apparition de « Madeleine » dans le gentilé du village[24].
Les habitants de Cizay-la-Madeleine se nomment les Cizéens et Cizéennes[25].
Histoire
Époque moderne (XVe-XVIIIe siècles)
La vie de la paroisse de Cizay et de ses habitants durant l'époque moderne peut-être connue grâce aux registres paroissiaux établis dès 1596 par le desservant[26]. Ceux-ci ne comprennent pas les mentions des habitants non catholiques (protestants et juifs).
L'abbaye d'Asnières est dévastée durant les guerres de Religion : ne subsistent que le mur nord de la nef romane et du chœur gothique. Rachetée au début du XIXe siècle par la Société artistique des Monuments de la vallée de la Loire, elle évite ainsi la démolition[27].
La paroisse de la Madeleine est rattachée à celle de Cizay en 1770[28].
Époque contemporaine (depuis la fin du XVIIIe siècle)
À la suite de la Révolution française, la paroisse de Cizay devient, par le décret de l'Assemblée constituante du 14 décembre 1789, une municipalité qui prend le nom de commune en 1793. Depuis cette date, le conseil municipal retranscrit les délibérations dans des registres[26].
L'administration de la commune nécessitant un édifice public reconnaissable, le conseil municipal décide d'acquérir l'ancien presbytère dès 1823. Cependant, les négociations entre le curé et les conseils municipaux successifs retardent son acquisition, qui deviendra effectif en 1848. Des travaux d'entretien sont alors menés pour transformer la vocation religieuse de l'édifice vers une finalité administrative[26]. Composé d'un logis central et de deux ailes, le pavillon central devint une école de garçons[29].
Pendant la Première Guerre mondiale, 14 habitants perdent la vie. L'après-guerre est marqué par les demandes de titres d'alimentation par les Cizéens et par la cession d'obus comme trophée de guerre pour récompenser les efforts de la commune[26]. Le monument aux morts est construit en 1923[26].
L'épisode de la Seconde Guerre mondiale fait deux victimes parmi les habitants[30]. Pour autant, la commune est mise à contribution par les troupes d'occupation allemandes : les habitants sont soumis au ravitaillement mis en place par le régime de Vichy. À ce titre, ils doivent fournir chevaux, bétail, bois, céréales, métaux et nourriture[26].
Entre 1992 et 2013, l'abbaye d'Asnières, propriété du département mise à disposition de la commune, est ouverte aux visites. Le monument était le lieu de manifestations culturelles régulières : représentations théâtrales, spectacles de danse et concerts de musique. La vente de l'édifice et son passage du domaine public au privé met fin à ces manifestations[26].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2020, la commune comptait 470 habitants[Note 7], en diminution de 3,89 % par rapport à 2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,6 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 225 hommes pour 244 femmes, soit un taux de 52,03 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
- Société de l'Union de Fosse-Bellay.
Économie
Sur 45 établissements présents sur la commune à fin 2010, 44 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 33 % de celui du commerce et des services et 7 % du secteur de l'administration et de la santé[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abbaye d'Asnière, édifice du début du XIIIe siècle classé Monument historique[42] ;
- Château d'Épinats, château fort inscrit Monument historique[43] ;
- Église Saint-Denis, édifice religieux des XIIIe, XVIe et XVIIIe siècles, inscrit Monument historique[44] ;
- Prieuré de Breuil-Bellay, ancien prieuré du XIIe siècle de l'ordre de Grandmont classé Monument historique[45] ;
- Prieuré de la Madeleine, ancien prieuré des XIIe et XIVe siècles inscrit Monument historique[46].
Personnalités liées à la commune
- Jean de La Brète, pseudonyme d’Alice Cherbonnel, est une écrivaine française née à Saumur en 1858 et morte à Breuil-Bellay (Cizay-la-Madeleine) en 1945[47].
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 769-770.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Cizay-la-Madeleine (49), consulté le 2 septembre 2012
- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Cizay-la-Madeleine (49) », sur Lion1906 (version du 30 octobre 2020 sur Internet Archive), consulté le 2 septembre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2011), consulté le 2 septembre 2012 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mont.-Bellay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cizay-la-Madeleine et Montreuil-Bellay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mont.-Bellay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cizay-la-Madeleine et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages du Maine-et-Loire, Saint-Jean-d'Angély, J.-M. Bordessoules, (ISBN 2-913471-27-7 et 978-2-913471-27-6, OCLC 54406745), p.56.
- Cizay-la-Madeleine sur le site de l'office de tourisme de Saumur.
- Archives départementales de Maine-et-Loire, Répertoire numérique de la commune de Cizay-la-Madeleine, (lire en ligne), Cote 103 AC / 1 E 1.
- La Brière (de), Chappée (J.), « L'église et la chapelle abbatiale de l'Abbaye d'Asnières (Maine-et-Loire). Suivi du rapport sur les fouilles qui y ont été faites les 17,18 et 19 novembre 1903 », Revue de l'Anjou, no 5,‎ , p. 21.
- « Eglise St Denis », sur stdenisdesfaluns.diocese49.org (consulté le ).
- Jean-Luc Flohic, Le patrimoine des communes de France, Paris, Flohic, , p. 822.
- MemorialGenweb.org - Cizay-la-Madeleine : monument aux morts.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
- « Séance du conseil municipal du 27 mars 2015 », sur Mairie de Cizay-la-Madeleine, document du 22 juillet 2015 (consulté le ).
- « L'équipe municipale », sur Mairie de Cizay-la-Madeleine (consulté le ).
- « Cizay-la-Madeleine. Isabelle Grandhomme élue maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cizay-la-Madeleine (49100) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Cizay-la-Madeleine (49), consultées le 10 mars 2013.
- « Ancienne abbaye d'Asnières », notice no PA00109055, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château d'Épinats », notice no PA00109056, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église et presbytère », notice no PA00109057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de Breuil-Bellay (ancien) », notice no PA00109058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de la Madeleine (ancien) », notice no PA00109059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- René Marnot, « À propos d'un tableau de Jean de la Brète », Société des lettres, sciences et arts du Saumurois, no 126 (68e année),‎ , p. 20 (lire en ligne, consulté le ).