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Cimetière Saint-Paul-des-Champs

Le cimetière Saint-Paul-des-Champs est un ancien cimetière qui était accolé à l’arrière de l’église Saint-Paul-des-Champs démolie en 1797, actuellement à l’emplacement de l’école primaire de la rue Neuve-Saint-Pierre dans le 4e arrondissement de Paris.

Cimetière Saint-Paul-des-Champs
L’église et le cimetière Saint-Paul sen 1737 sur plan de Turgot
Pays
Région française
Commune
Superficie
2400 m2
Mise en service
632-642
Abandon
1796
Coordonnées
48° 51′ 14″ N, 2° 21′ 47″ E
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Localisation sur la carte du 4e arrondissement de Paris
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Situation

Le cimetière était situé entre les nos 17 et 5-7 de la rue Neuve-Saint-Pierre au fond de la parcelle du no 28 rue Saint-Paul.

Formant un rectangle de 60 mètres sur 40 mètres, c’était sous l'Ancien RĂ©gime, le plus grand cimetière parisien après celui des Saints-Innocents.

On y accédait par le « cul-de-sac Saint-Éloi » percé au milieu du XVIe siècle qui longeait la paroi nord de l'église à partir de la rue Saint-Paul, à l'emplacement de l'actuelle rue Neuve-Saint-Pierre prolongé par le « cul-de-sac Saint-Paul » ouvert en 1670 avec retour d'angle à l'emplacement de l'actuelle rue de l'Hôtel-Saint-Paul. L'entrée du « cul-de-sac Saint-Éloi » était une voûte sous la maison du no 28 rue Saint-Paul, celle du « cul-de-sac Saint-Paul » une voute sous la maison du no 65 rue Saint-Antoine.

Histoire

Le cimetière Saint-Paul a été fondé entre 632 et 642 pour la sépulture des religieuses du monastère Saint-Martial sur l’île de la Cité. C’est le plus ancien cimetière parisien après la nécropole gallo-romaine qui s’étendait à l’emplacement et aux alentours de l’église Saint-Gervais. La chapelle construite à côté du cimetière fut remplacée par l’église Saint-Paul-des-Champs.

Devenu cimetière de la paroisse Saint-Paul-des-Champs, une des plus anciennes de Paris, des centaines de milliers de personnes y furent enterrĂ©es du VIIe siècle Ă  la fin du XVIIIe siècle. Le cimetière Ă©tait entourĂ© de charniers formant cloĂ®tre sur trois cĂ´tĂ©s. Ces galeries de 3 mètres de haut et de 3,2 mètres de large Ă©taient bordĂ©es de chapelles et Ă©clairĂ©es entre les piliers de 64 vitraux dont 45 Ă©tablis en 1634-1635 par Le Vasseur d'après des cartons de Claude Vignon.

  • Cimetière, Ă©glise Saint-Paul et grange Saint-Éloi vers 1550
    Cimetière, église Saint-Paul et grange Saint-Éloi vers 1550
  • Vestige de l'ancien charnier dĂ©couvert lors de travaux en 1898
    Vestige de l'ancien charnier découvert lors de travaux en 1898

Au XVIIIe siècle, on y comptait 650 enterrements par an. Devenu insuffisant, il fut envisagé en 1763 de le suppléer par une nécropole qui aurait été établie dans l'enclos des Célestins ou dans le fossé de l'Arsenal mais le cimetière continue d'être utilisé jusqu'à la Révolution.

En mai-juin 1790, les ossements des cachots de la Bastille y furent transportés sous un tombeau édifié par Palloy, l’entrepreneur chargé de la démolition de la forteresse.

La pierre tombale portait sous l’inscription « EX UNITATE LIBERTAS », l’ épitaphe :

« Qui nos incarceribat viventes
nos adhuc incarcerat mortuos
lapis
sous les pierres mĂŞmes des cachots
où elles gémissoient vivantes
Reposent en Paix
quatre Victimes du Despotisme
leurs Os découverts
et recueillis par leurs frères libres
ne se lèveront plus
qu'au jour des justices
pour confondre leurs Tyrans »

  • Cimetière et Ă©glise en 1790 avec la tombe de la Bastille
    Cimetière et église en 1790 avec la tombe de la Bastille
  • Pierre tombale des ossements des cachots de la Bastille
    Pierre tombale des ossements des cachots de la Bastille

Le cimetière vendu comme bien national est acquis le 16 octobre 1796 par le citoyen Susse avec l’église Saint-Paul, la grange et la prison Saint-Éloi. Le passage Saint-Pierre est ouvert à l'emplacement de l'ancien « cul-de-sac Saint-Éloi ». Les deux « cul-de-sac» Saint-Éloi et Saint-Paul sont transformés en passage Saint-Pierre formant un angle droit, également accessible par les voutes sous les maisons des rues Saint-Paul et Saint-Antoine. La partie du passage qui longeait l'ancienne église démolie en 1797 est élargie et bordée de maisons construites au cours du XIXe siècle. Une voute ouverte sous une maison à l'angle du passage Saint-Pierre donnait sur une porte grillagée à l'entrée du terrain de l'ancien cimetière[1].

Les ossements sont transférés en 1843 aux catacombes.

En 1912, le passage Saint-Pierre est remplacé par la rue Neuve Saint-Pierre qui se prolonge jusqu’à la rue Beautreillis. L’école primaire établie le long de l'ancien passage sur une partie de l’ancienne église Saint-Paul est reconstruite et agrandie à l’emplacement de l’ancien cimetière. La rue de l'Hôtel-Saint-Paul est ouverte la même année à l'emplacement de l'ancien « cul-de-sac Saint-Paul »[2].

Inhumations

Liste non exhaustive des personnes notables inhumées dans l'église, sous les charniers et dans le cimetière de la paroisse Saint-Paul de Paris ainsi que dans l'ancien enclos des moniales près de la chapelle Saint-Paul-des-Champs, qui a précédé le cimetière paroissial.

  • 666 : Aure de Paris, première abbesse du monastère Saint-Martial (Ă©tabli sur l'ĂŽle de la CitĂ©, ultĂ©rieurement nommĂ© monastère Saint-Éloi) mourut lors de l'Ă©pidĂ©mie de peste de 666 et fut inhumĂ©e dans l'enclos du cimetière des moniales, près de l'ancienne chapelle Saint-Paul-des-Champs.

XVIe siècle

  • 1503 : Nicolas Gilles, historien, mort le
  • 1534 : Jacques Bourdin père, seigneur de Chars et de Vilette, secrĂ©taire des finances sous les rois Charles VIII et Louis XII, mort le [3], inhumĂ© dans l'Ă©glise. Natif de Bourges, il Ă©pousa Caterine Brinon, dont il eut Jacques Bourdin (mort en 1567), diplomate, secrĂ©taire d'État et ministre[4].
  • 1553 : François Rabelais, mort en , Ă  58 ans, dans une maison de la rue des Jardins-Saint-Paul et inhumĂ© dans le cimetière près d'un figuier que l'on voyait encore entre 1647 et 1662.
  • 1560 : Robert Ceneau (1483-1560), Ă©vĂŞque d'Avranches, doyen en la FacultĂ© de ThĂ©ologie, natif de Paris, mort le , inhumĂ© dans le chĹ“ur de l'Ă©glise Saint-Paul, oĂą lui fut Ă©levĂ© un tombeau de marbre noir surmontĂ© d'une statue de cuivre qui le reprĂ©sentait en Ă©vĂŞque[3].
  • 1578 : Louis de Maugiron (1560-1578)[5], capitaine de l'armĂ©e du roi, mignon du roi Henri III, mort le , Ă  l'aube, au milieu du marchĂ© aux chevaux des Tournelles (future place Royale, actuelle place des Vosges) d'un coup d'estoc que RibĂ©rac lui porta dans la poitrine lors du funeste duel des Mignons opposant les mignons du roi et les partisans du duc de Guise.
  • 1578 : François d'Aydie de RibĂ©rac, mort le , lendemain du duel des Mignons, des suites d'une grave blesseure qu'il s'Ă©tait lui-mĂŞme infligĂ© en tombant dans l'Ă©pĂ©e de Maugiron, auquel il venait de porter un coup mortel.
  • 1578 : Jacques de LĂ©vis de Caylus ou QuĂ©lus (1554-1578), mignon de Henri III, mort le Ă  l'hĂ´tel de Boissi[6] ou de Boisy, rue Saint-Antoine Ă  Paris[7], après trente trois jours d'agonie, des suites des blessures - dix-neuf coups d'Ă©pĂ©e - reçues lors du duel des Mignons. « L'HĂ´tel de Boisi », indique de La Force, Ă©tait « situĂ© oĂą est aujourd'hui le monastère des Filles de sainte Marie de la rue S. Antoine[3]. » (Voir : Temple du Marais, ancienne chapelle Sainte-Marie-des-Anges des filles de la Visitation).
  • 1596 : Thibault MĂ©tezeau, architecte, mort en 1596, Ă  63 ans.

XVIIe siècle

  • 1602 : Charles de Gontaut, duc de Biron, marĂ©chal gĂ©nĂ©ral des camps et armĂ©es du roi, dĂ©chu, condamnĂ© pour haute trahison et dĂ©capitĂ© le (Ă  l'âge de 40 ans) « dedans l'enclos de la Bastille »[8]. Le mĂŞme jour, il est notĂ© dans le registre des dĂ©cès de Saint-Paul « convoy de monsieur le MarĂ©schal [sic] de Biron : il est gĂ©nĂ©ral », ce qui signifie que le service fut solennel et que tout le clergĂ© y assista. Lorsque, des dĂ©cennies plus tard le corps d'un nommĂ© Laurent Bouchard, vivant escuyer, sieur de Fontenelles, « exĂ©cutĂ© Ă  mort, au coin de [la rue] Saint-Paul » est inhumĂ© Ă  Saint-Paul, il est prĂ©cisĂ© qu'il « a estĂ© enterrĂ© dans la nef de cette Ă©glise, soubz la tombe oĂą est le feu Marechal de Biron. »[9]
  • 1605 : Jean Nicot[10].
  • 1609 : Pierre Biard l'AĂ®nĂ© (1559-1609), sculpteur, mort le , Ă  l'âge de 50 ans, en son logement de la rue de la Cerisaie, inhumĂ© dans le cimetière de Saint-Paul, sa paroisse, oĂą sa famille fit dresser une pierre gravĂ©e d’une Ă©pitaphe. Sa mère, morte le Ă  la mĂŞme adresse y reposait « soubz le charnier. ». ElĂ©onore Fournier demeurait dans la mĂŞme rue lorsque Biard l'AĂ®nĂ© l'Ă©pousa en 1592 Ă  Saint-Paul, oĂą furent aussi baptisĂ©s les enfants du couple.
  • 1615 : Louis MĂ©tezeau (?-1615), fils de Thibaut, architecte du roi, concierge et garde-meuble des Tuileries, mort Ă  Paris, paroisse Saint-Roch, inhumĂ© dans l'Ă©glise Saint-Paul le [11]
  • 1635 : [Jean] Blet, organiste de Saint-Paul, mort par noyade, inhumĂ© dans l'Ă©glise le (voir section Organistes de l'Ă©glise Saint-Paul de Paris ci-dessus).
  • 1637 : Thomas Boudin (1570-1637), « sculpteur, peintre et architecte du Roy », demeurant rue Saint-Antoine, vis-Ă -vis les JĂ©suites, mort le , inhumĂ© le lendemain[12].
  • 1650 : Marion Delorme ou de Lorme (1613-1650), courtisane, morte le , Ă  l'âge de 36 ans.
  • 1652 : Paul Mancini (1636-1652, neveu du cardinal Mazarin, mortellement blessĂ© le , Ă  l'âge de 15 ou de 16 ans, lors de la bataille du faubourg Saint-Antoine qui opposa les troupes du roi Ă  celles de la Fronde. Il succomba quelques jours plus tard. De nombreuses victimes de cette sanglante rencontre, mortes sur le coup ou des suites de leurs blessures furent enterrĂ©es par le clergĂ© de Saint-Paul[13].
  • 1652 : ClĂ©ment II MĂ©tezeau, architecte ingĂ©nieur ordinaire du roi, mort le Ă  Paris, dans son logement aux galeries du Louvre, portĂ© Ă  Saint-Paul le lendemain[14]
  • 1658 : Joseph BĂ©jart (vers 1617-1658), aĂ®nĂ© de la fratrie BĂ©jart, comĂ©dien de la troupe de Molière, mort le Ă  Paris. L'extrait de l'acte d'inhumation indique que le « convoi de Joseph Baygar [sic], comĂ©dien » […] « pris sur le quai de l’Escholle, emportĂ© en carrosse Ă  Saint-Paul » eut lieu le lendemain, lundi [15].
  • 1665 : Jean-Baptiste Blanchard (après 1595-1665), « peintre du Roi et de son AcadĂ©mie Royalle », demeurant rue Saint-Antoine Ă  la fin de sa vie, mort le , inhumĂ© le dans l'Ă©glise Saint-Paul[16]. Une trentaine d'annĂ©es plus tĂ´t, le service des obsèques de son frère Jacques Blanchard (1600-1638), « peintre ordinaire du Roy », avait Ă©tĂ© cĂ©lĂ©brĂ© dans cette Ă©glise, sa paroisse, le , mais son corps avait Ă©tĂ© portĂ© le mĂŞme jour Ă  Saint-Jean-en-Grève pour y ĂŞtre inhumĂ©[17].
  • 1666 : François Mansart (1598-1666), architecte, mort le , au 5, rue Payenne, paroisse Saint-Paul.
  • 1666 : Charles Sanguin († 1666), conseiller du roi en ses conseils d’État et privĂ©, maĂ®tre d’hĂ´tel et gentilhomme ordinaire du roi (1649) sous la rĂ©gence d’Anne d’Autriche, mère de Louis XIV, eut pour frères notamment Christophe Sanguin († 1641), seigneur de Livry (1629), Nicolas Sanguin (v. 1580-1674), Ă©vĂŞque de Senlis (1622-1651) et le poète Denis Sanguin de Saint-Pavin (1595-1670). Il fut inhumĂ© Ă  Saint-Paul le [18].
  • 1672 : Madeleine BĂ©jart (1618-1672), comĂ©dienne de la troupe du roi, morte le Ă  l'âge de 55 ans dans son logement vis-Ă -vis du Palais-Royal, d'oĂą son corps fut portĂ©, « avec permission de Mgr l'ArchevĂŞque » Ă  l'Ă©glise Saint-Germain-l'Auxerrois le , avant d'ĂŞtre acheminĂ© en carrosse Ă  l'Ă©glise Saint-Paul le pour respecter sa volontĂ© de reposer dans la paroisse oĂą elle avait passĂ©e son enfance. Ni le clergĂ© de Saint-Germain-l'Auxerrois, ni celui de Saint-Paul ne mit d'obstacle Ă  son inhumation sous les charniers du cimetière Saint-Paul[19].
  • 1676 : Jean Desmarets de Saint-Sorlin (1597-1676), poète et dramaturge, acadĂ©micien, mort le (Ă  l'âge de 81 ans).
  • 1684 : Henry Du Mont (1610-1684), organiste et compositeur, mort le (Ă  l'âge de 74 ans).

XVIIIe siècle

  • 1703 : L'homme au masque de fer, mort le Ă  la Bastille, inhumĂ© le lendemain en prĂ©sence du sergent major Rosarges et du chirurgien major Regle, tous deux affectĂ©s au service Ă  la Bastille. Le dĂ©cès est portĂ© le mĂŞme jour sur le registre des inhumations de Saint-Paul, signĂ© par le curĂ© Gilles Le Sourd[20].
  • 1716 : Jacques Antoine Friquet de Vauroze (1638-1716), peintre et graveur français, mort le Ă  Paris, paroisse Saint-Paul. Son acte de dĂ©cès indique : « Jacques Friquet, sieur de Voroze, peintre et acadĂ©miste ordinaire du Roy, est dĂ©cĂ©dĂ© en son appartement Ă  l'arsenal, âgĂ© de 78 ans ou environ, duquel le corps a Ă©tĂ© inhumĂ© sous les charniers de Saint-Paul, sa paroisse, le 26 du courant [...][21] ».
  • 1761 : Prudent Bruley (1686-1761), procureur au Châtelet, commissaire des pauvres et marguillier de Saint-Paul, sa paroisse, inhumĂ© dans le caveau de l'Ă©glise.
  • 1706 : Adrien Baillet (1649-1706), bibliothĂ©caire, mort le .
  • 1708 : Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), architecte, mort subitement Ă  Marly, le .

Annexes

Références

  1. Danielle Chadych, Le Marais, Paris, Parigramme, , 638 p. (ISBN 2 84096 188 1), p. 169
  2. Danielle Chadych, Le Marais, Paris, Parigramme, , 638 p. (ISBN 2 84096 188 1), p. 168
  3. Jean-Aymar Piganiol de La Force : Description de Paris, de Versailles, de Marly …, Paris, chez Charles-Nicolas Poirion, 1742, t. 4, pp. 1-173 (voir en ligne).
  4. Louis Pierre d'Hozier, Antoine Marie d'Hozier de Sérigny : Armorial général de la France, volume 1, numéro 1, Paris, Firmin Didot frères et fils, 1865, p. 90 (voir en ligne.
  5. Fils de Laurent de Maugiron, lieutenant général au gouvernement du Dauphiné
  6. François Eudes de Mézeray: Histoire de France, tome 12, Paris, 1830, p. 448 (voir en ligne
  7. Nicolas Le Roux : La faveur du Roi : mignons et courtisans au temps des derniers Valois, Seyssel, Champ Vallon, coll. « Époques », (voir en ligne)
  8. Henri IV, le Ă  Monsr de Beaumont, cf. Recueil des lettres missives de Henri IV, t. V, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 645.
  9. Extrait du registre des décès de la paroisse Saint-Paul de Paris, sous la date du 8 mars 1640, reproduit dans le Dictionnaie critique de biographie et d'histoire.
  10. Danielle Chadych, Le Marais, Paris, Parigramme, , 638 p. (ISBN 2 84096 188 1), p. 165
  11. Adolphe Lance : Dictionnaire des architectes français, Paris, Vve A. Morel et Cie, 1872, t. 2 p. 133-134.
  12. Jal, Dictionnaire, p. 250.
  13. Jal, Dictionnaire, p. 57
  14. Adolphe Lance : Dictionnaire des architectes français, Paris, Vve A. Morel et Cie, 1872, t. 2 p. 132.
  15. Extrait de l'acte d'inhumation porté sur le registre de la paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois en date du 26 mai 1658.
  16. Jal, Dictionnaire, p. 223.
  17. Henri Herluison : Actes d’État-Civil d’Artistes Français : peintres, graveurs, architectes, etc., extraits des registres de l’Hôtel de Ville de Paris détruits dans l’incendie du 24 mai 1871, Genève, Slatkine Reprints, 1972, p. 37.
  18. A.-E. Genty, Livry et son abbaye : recherches historiques, P. Mouillot, Paris 1898, p. 77 (en ligne).
  19. Jal, Dictionnaire, p. 181.
  20. Michel Vergé-Franceschi, Le Masque de fer, Paris, Fayard, 2009.
  21. Jal, Dictionnaire, p. 620.

Article connexe

Église Saint-Paul des Champs

Bibliographie

  • AbbĂ© Valentin Dufour, Le charnier de l’ancien cimetière Saint-Paul, Paris, Revue universelle des Arts, , 66 p. (lire en ligne)
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