Chef d'Ă©tat-major de la Marine (France)
Le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est un officier général français, conseiller du chef d'État-Major des armées pour la Marine nationale et responsable devant le ministre des Armées de la préparation de la Marine en vue de sa mise en œuvre. Depuis le , le chef d'état-major est l'amiral Pierre Vandier.
Chef d'Ă©tat-major de la Marine | ||
Marque signifiant la présence du chef d'état-major de la Marine à bord d'une unité de la Marine nationale. | ||
Titulaire actuel Amiral Pierre Vandier depuis le | ||
Création | ||
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Mandant | Président de la République | |
Premier titulaire | Contre-amiral Jules Krantz | |
RĂ©sidence officielle | Hexagone Balard (depuis 2015) HĂ´tel de la Marine (1871-2015) |
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Site internet | www.defense.gouv.fr/marine | |
Principales attributions
Le chef d'état-major de la marine (CEMM) est le premier représentant de la marine nationale. Il conseille et assiste le chef d'état-major des armées (CEMA). Il lui apporte l'expertise propre à la Marine.
Il entretient des relations bilatérales avec les marines étrangères. Il participe aux instances inter administration dans le domaine de l’action de l’Etat en mer. Il a autorité sur l’état-major de la Marine (EMM), sur la direction du personnel militaire de la marine (DPMM), ainsi que sur l’ensemble des commandements, directions et services qui composent la Marine nationale.
Il s’assure de la préparation des forces de la marine. A ce titre, il est responsable de l’instruction et de l’entraînement, ainsi que du maintien en condition opérationnelle. Il élabore les concepts et les doctrines d’emploi des forces de la marine. Il rend compte au CEMA de la disponibilité des moyens et de l’état de préparation opérationnelle des forces de la marine.
Dans le domaine capacitaire, le CEMM élabore les besoins militaires de la marine. Il définit les besoins en matière de soutien et d’infrastructure. Il est responsable de l’évaluation opérationnelle des nouveaux équipements. Il prononce leur mise en service opérationnel et le retrait de service en fin de vie.
En matière de ressources humaines, il est responsable pour le personnel militaire de la marine du recrutement, de la formation initiale et continue, de la discipline, du moral et de la condition du personnel, des parcours professionnels et de carrière, de la gestion des effectifs, des emplois et des compétences. Il exprime les besoins en emploi, effectifs et compétences du personnel civil relevant de son autorité. Il prend part à la mise en œuvre de la politique ministérielle concernant le personnel civil et participe aux instances de dialogue social.
Il possède des attributions en matière de maîtrise des risques et en matière de sécurité nucléaire.
Autorité et commandement
L'autorité du chef d'état-major de la Marine s'exerce sur plusieurs organismes :
- L'état-major de la Marine qui assure, sous la direction du major général de la Marine (MGM) et à travers ses sept bureaux — performance et synthèse, soutiens et finances, plans et programmes, opérations aéronavales, relations internationales, affaires nucléaires et maîtrise des risques, ressources humaines — la direction générale des entités suivantes[1] :
- La direction du personnel militaire de la Marine (DPMM), dirigée par un vice-amiral d'escadre « DPMM » ;
- Les grands commandements de forces :
- Le vice-amiral d'escadre « ALFAN », commandant la force d'action navale (FAN) ;
- Le vice-amiral d'escadre « ALFOST », commandant la force océanique stratégique (FOST) ;
- Le contre-amiral « ALAVIA », commandant l'aéronautique navale (AVIA) ;
- Le contre-amiral « ALFUSCO », commandant la force des fusiliers marins et commandos (FORFUSCO) ;
- Les commandants de zones maritimes :
- Le vice-amiral d'escadre, préfet maritime de la Méditerranée ;
- Le vice-amiral d'escadre, préfet maritime de l'Atlantique ;
- Le vice-amiral d'escadre, préfet maritime de la Manche et de la mer du Nord ;
- Le contre-amiral « ALPACI », commandant la flotte du Pacifique et les forces armées en Polynésie française ;
- Le contre-amiral « ALINDIEN », commandant la zone maritime de l'océan Indien (ZMOI) et les forces maritimes de l'océan Indien ;
- Le contre-amiral « COMSUP FAA », commandant les Forces armées aux Antilles.
- Les services et directions suivants :
- L'Inspection de la Marine nationale (à ne pas confondre avec l'Inspection générale des armées, qui relève du ministre des Armées) ;
- Le délégué au rayonnement de la Marine ;
- La Commission permanente des programmes et des essais des bâtiments de la flotte ;
- Le Centre d'études stratégiques de la marine ;
- Le Service d'informations et de relations publiques des armées pour la Marine (SIRPA Marine) ;
- Le Service logistique de la Marine ;
- Le Conseil permanent de la sécurité nautique de la marine ;
- Le Conseil permanent de la sécurité aérienne de la marine ;
- Le secrétariat permanent du Conseil de la fonction militaire de la Marine ;
- L'inspecteur du service de santé pour la Marine ;
Il préside le conseil d'administration du Service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) et exerce, au nom du ministre des Armées, la tutelle de l'École navale.
Historique de la fonction
Avant la Première Guerre mondiale, le chef d'état-major de la Marine (CEMM) est avant tout le chef du cabinet militaire du ministre de la Marine, et ce mode de fonctionnement est à l'origine de l'appellation utilisée ; le militaire qui a autorité effective sur la Marine est alors l'amiral commandant l'armée navale, parfois désigné officieusement comme « amiralissime », en référence au titre de « généralissime » usité à l'époque dans l'Armée de terre.
La Première Guerre mondiale remet tout cela en cause, car un immense travail de réorganisation doit être effectué « rue Royale »[alpha 1] pour conduire une guerre maritime industrielle de longue durée et être en mesure d’affronter les nouvelles menaces constituées par les sous-marins allemands et les mines sous-marines : on crée même alors une sorte « d'état-major bis » appelé « direction générale de la guerre sous-marine » — la DGGSM —, aux domaines d'action parfois redondants ; cette redondance constatée conduit logiquement à la dissolution de la DGGSM à la fin de la guerre et à l'attribution de ses nombreuses prérogatives aux bureaux de l'état-major général de la Marine.
Pour disposer d’un système permettant une transition souple entre le temps de paix — période de préparation — et le temps de guerre — période d’action —, le vice-amiral chef d'état-major général de la Marine devient, dans les années 1920, le commandant désigné des forces maritimes françaises en cas de guerre, et le travail d'état-major revient dans de telles circonstances au major général de la Marine, son premier adjoint en temps de paix.
Du au , l'organisation de la Marine n'a plus comporté d'état-major général, mais un "état-major des forces maritimes françaises" en lieu et place qui en faisait office pour le temps de guerre. L'amiral Darlan est ainsi devenu commandant en chef des forces maritimes françaises avant d'être appelé à d'autres fonctions en dans la France de Vichy.
Après la Seconde Guerre mondiale, la disparition progressive du portefeuille de ministre de la Marine amène à confier une partie des prérogatives du ministre au chef d’état-major de la Marine, prérogatives qui sont cependant peu à peu reprises au niveau « interarmées » par l'État-Major des armées et son chef : le chef d'État-Major des armées (CEMA). Le CEMM perd ainsi au profit du CEMA ses responsabilités de direction des opérations maritimes en 1971[alpha 2].
Dans les années 2000, c'est à nouveau une large part des prérogatives organiques — préparation des forces — qui est transférée au CEMA, mais le CEMM reste son principal conseiller quant à la préparation et à l'emploi de la Marine.
L'amiral Bernard Louzeau décide à la fin des années 1980 de remplacer l'emblème de la Marine « une ancre d'or entrelacée d'un câble » par un logo représentant « une étrave de navire blanche avec deux vagues bleu et rouge ». L'amiral Pierre-François Forissier décide quant à lui de doter la Marine d'un hymne dont les paroles sont écrites en 2011 par le lieutenant de vaisseau Christian Beauval et la musique par le chef de musique des armées Didier Descamps, chef de la Musique des équipages de la flotte de Brest[2] - [3] - [4].
Liste des chefs d'Ă©tat-major de la Marine
IIIe République : chefs d'état-major général de la Marine (CEMGM)
État français : chef d'état-major des Forces maritimes françaises (CEMFMF)
Portrait | Grade au moment de la prise de fonction |
Chef d'état-major | Date de prise de poste et décret de nomination |
Durée | |
---|---|---|---|---|---|
Amiral de la flotte | François Darlan | [47] | 2 ans, 69 jours | ||
Contre-amiral | Gabriel Auphan[alpha 4] | [48] | 1 an, 77 jours | ||
Vice-amiral d'escadre | Maurice Le Luc | [49] | 131 jours |
France libre : commandant des Forces navales françaises libres
Portrait | Grade au moment de la prise de fonction |
Commandant | Date de prise de poste et décret de nomination |
Durée | |
---|---|---|---|---|---|
Vice-amiral | Émile Muselier | [50] | 1 an, 246 jours | ||
Contre-amiral | Philippe Auboyneau | Avril 1942 | [51] | - |
Gouvernement provisoire de la RĂ©publique et IVe RĂ©publique
Portrait | Grade au moment de la prise de fonction |
Chef d'état-major | Date de prise de poste et décret de nomination |
Durée | |
---|---|---|---|---|---|
Vice-amiral d'escadre | André Lemonnier[alpha 5] | [52] | 6 ans, 294 jours | ||
Vice-amiral | Robert Battet | [53] | 47 jours | ||
Vice-amiral d'escadre | Roger-Gabriel Lambert | 1 an, 69 jours | |||
Vice-amiral | Henri Nomy | 8 ans, 249 jours |
Ve RĂ©publique : chef d'Ă©tat-major de la Marine
Portrait | Grade au moment de la prise de fonction |
Chef d'état-major | Date de prise de poste et décret de nomination |
Durée | |
---|---|---|---|---|---|
Amiral | Georges Cabanier | 7 ans, 184 jours | |||
Amiral | André Patou | 2 ans, 120 jours | |||
Amiral | André Storelli | 1 an, 276 jours | |||
Amiral | Marc de Joybert | 2 ans, 163 jours | |||
Amiral | Albert Joire-Noulens | [54] | 2 ans, 18 jours | ||
Amiral | Jean-René Lannuzel | [55] | 6 ans | ||
Amiral | Yves Leenhardt | [56] | 4 ans, 182 jours | ||
Amiral | Bernard Louzeau | [57] | 3 ans, 294 jours | ||
Amiral | Alain Coatanéa (d) | [58] | 3 ans, 223 jours | ||
Amiral | Jean-Charles Lefebvre | [59] | 4 ans, 305 jours | ||
Amiral | Jean-Luc Delaunay | [60] | 2 ans, 60 jours | ||
Amiral | Jean-Louis Battet | [61] | 3 ans, 349 jours | ||
Amiral | Alain Oudot de Dainville | [62] | 2 ans, 234 jours | ||
Amiral | Pierre-François Forissier | [63] | 3 ans, 220 jours | ||
Amiral | Bernard Rogel | [64] | 4 ans, 305 jours | ||
Amiral | Christophe Prazuck | [65] | 4 ans, 49 jours | ||
Amiral | Pierre Vandier | [66] | 2 ans, 302 jours |
Notes et références
Notes
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Chief of Staff of the French Navy » (voir la liste des auteurs).
- Où se trouve le ministère de la Marine.
- À titre de comparaison, ses homologues de l'armée de terre et de l'armée de l'air les avaient déjà perdues dix ans plus tôt, en 1961.
- On a vu plus haut (cf.Historique de la fonction), la particularité de l'organisation de l'état-major de la Marine d'août 1939 à juin 1943. Darlan s'est ensuite rangé du côté des Alliés en . Il a été assassiné à Alger le .
- Il a fait en sorte que les Forces de Haute Mer de l'amiral de Laborde n'interviennent pas contre les forces alliées qui ont débarqué en Afrique du Nord, début novembre 1942, puis à l’arrivée des troupes allemandes à Toulon le , il veille à ce que l'ordre qu'il a donné de sabordage de la Flotte soit exécuté. Il a démissionné de ses fonctions le .
- L'amiral Lemonnier est nommé à ce poste par le Comité français de libération nationale, qui a été constitué en pour mettre un terme à la division entre les Forces françaises libres du général de Gaulle et les forces de l'Armée d'Afrique du général Giraud alors commandant en chef français civil et militaire. Sont ainsi réunies les Forces Maritimes d’Afrique, et les Forces navales françaises libres aux que commande le contre-amiral Auboyneau qui est alors nommé Chef d'État-Major Général-Adjoint
Références
- Arrêté du 27 avril 2014 portant organisation de l'état-major de la marine et des organismes directement subordonnés au chef d'état-major de la marine.
- Philippe Chapleau, « La Marine nationale a désormais son hymne officiel », sur Lignes de défense, (consulté le ).
- Stéphane Dugast, « Un hymne pour la Marine », sur site de la Marine nationale, (consulté le ).
- Jean Guisnel, « La marine s'est dotée d'un hymne officiel », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le )
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- « Décret portant appellation avec prise de rang », sur Gallica (JOEF numérisé), (consulté le )
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- « Émile Muselier », sur le site de l'ordre de la Libération (consulté le ).
- « Philippe Auboyneau », sur le site de l'ordre de la Libération (consulté le ).
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Gallica (JORF numérisé), (consulté le )
- « Décret du 27 mai 1950 portant affectation d'un officier général », sur le JORF numérisé sur Legifrance (consulté le ).
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le )
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le )
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le )
- « Décret portant affectation d'un officier général », sur Légifrance (JORF numérisé), (consulté le )
- Décret du 7 novembre 1990 conférant les rang et appellation d'amiral et portant affectation d'un officier général de la marine.
- Décret du 9 mai 1994 portant admission par anticipation dans la 2e section, élévation aux rang et appellation d'amiral, élévation aux rang et appellation de général d'armée aérienne, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
- Décret du 9 avril 1999 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
- Décret du 31 mai 2001 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, élévation aux rang et appellation d'amiral, élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée, élévation aux rang et appellation de vice-amiral d'escadre, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section et affectation d'officiers généraux.
- Décret du 13 mai 2005 portant réintégration dans les cadres et admission dans la 2e section, admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée et affectation, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, affectation et élévation aux rang et appellation de vice-amiral d'escadre, promotion et nomination dans la 1re et la2e section et affectation d'officiers généraux.
- Décret du 21 janvier 2008 portant maintien dans la 1re section, réintégration et admission dans la 2e section par anticipation et sur demande, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, promotion et nomination dans la 1re et la 2e section, affectation d'officiers généraux
- Décret du 24 juin 2011 portant affectation et élévation aux rang et appellation de général d'armée, affectation et élévation aux rang et appellation d'amiral, d'officiers généraux
- Décret du 7 juillet 2016 portant affectation et élévation d'un officier général
- Décret du 22 juillet 2020 portant nominations d'officiers généraux.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Les fonctions du chef d'Ă©tat-major de la Marine sur le site de la Marine nationale