Chaudeney-sur-Moselle
Chaudeney-sur-Moselle est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Chaudeney-sur-Moselle | |||||
Église Sainte-Walburge de Chaudeney-sur-Moselle. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres Touloises | ||||
Maire Mandat |
Emmanuel Payeur 2020-2026 |
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Code postal | 54200 | ||||
Code commune | 54122 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Les Caldéniaciens [1] | ||||
Population municipale |
726 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 87 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 39′ 08″ nord, 5° 54′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 202 m Max. 311 m |
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Superficie | 8,34 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toul (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Toul | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Géographie
L'altitude moyenne de Chaudeney-sur-Moselle est de 223 mètres environ. Le ban communal, d'une superficie de 834 hectares , qui suit au sud le tracé de la rivière Moselle , s' étend sur un relief qui s’élève d'ouest en est à près de 4,8 % (vers la commune de Villey-le-Sec). Le cours de la Moselle, qui est le seul réseau d'eau de surface arrosant le territoire, ferme son espace à l'ouest (zonage AC), un massif forestier partagé avec les communes voisines constitue sa limite à l'est et au nord (zonage cadastral OD).
D'après les données Corinne Land Cover, la surface boisée du territoire communal représente 43 %[2] de sa surface totale,le village 7,5 %, les zones industrielles ou commerciales de 2 à 2,6 %.
La liaison routière Nancy-Toul (nationale 4 - A31) a pris place dans la vallée (lit majeur) au-dessous du village.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Chaudeney-sur-Moselle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toul, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[6] et 22 901 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9] - [10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43 %), prairies (13,8 %), terres arables (11,8 %), eaux continentales[Note 3] (11,5 %), zones urbanisées (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %), cultures permanentes (3 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Cadiniacum (870), Caldiniacum (883), Caldeniacum (1105), Chaudenay-sur-Moselle (1612) et Chodeney (1756), telles sont les graphies présentes dans le dictionnaire topographique d'Henri Lepage[13].
Ce dictionnaire cite également :
«Folie (La), éc. c de Chaudeney. et Moselli, chât. c de Chaudeney, appartenant autrefois aux évêques de Toul. ainsi que Trous de Sainte-Reine (Les), grottes souterraines sur la rive droite de la Moselle, c de Chaudeney.»
Le toponyme est formé de l'anthroponyme latin Caldinius et du suffixe gallo-romain -acum, formation typique de l'Antiquité tardive et de l'époque mérovingienne. Il apparaît sous la forme Caldiniaco en 869 ou 870 ; la localisation "sur-Moselle" est ajoutée le 2 mars 1929[14].
«À Chaudeney-sur-Moselle, se trouve la fontaine Sainte-Walburge (Valburge) à laquelle on attribuait des propriétés médicinales, en particulier de guérir les maux de tête».
(Il subsiste une rue portant ce nom[15] au-dessus du village)
« Au lieu-dit le moulin se tenait un lieu pour le traitement du blé. La commune partage avec Toul un écart dit Valcourt (VALCOURT, hameau. et chapelle, cne de Bicqueley (?) ; vill. détruit ; hôpital et léproserie» (H. LEPAGE).
Histoire
Présences paléolithique et protohistorique,
« Lors de la construction de la redoute de Chaudeney, en 1875, on découvrit, sous 0,80 m de terre, quatre bracelets de bronze et une épingle, au milieu de débris de bois et de charbons (F. Barthélemy)[16]. »
La datation de cette sépulture correspondrait au Halstatt final, d’après l'article de la Carte archéologique de Gaule, département 54[17].La redoute de Chaudeney se trouve dans les faits, sur le ban de la commune voisine de Villey-le-Sec[18].En 1900, dans le bois communal, ont été découverts deux tumulus fouillés en 1904. Ces découvertes relatées par J. Beaupré sont aujourd’hui mises en relation avec des habitats de plateau antérieurs à la conquête romaine de la Gaule, comme correspondant à des restes de nécropoles liées à ces occupations[19].
Des traces d'occupations pendant la période romaine ont été mises en évidence,
Avec la paix romaine en Gaule et l'accroissement relatif de sécurité qu'elle apporta, les habitants on délaissé les habitats de plateaux pour profiter des commodités de la plaine et notamment des voies de communication aménagées ou naturelles car elles permettaient le transport de pondéreux plus aisément que les routes. Le trafic devait être assez dense sur la Moselle et la Meurthe, voire sur des cours d'eau plus petits comme le Madon. On peut voir au musée de Toul une barque fort bien conservée qui fut trouvée à Chaudeney-sur-Moselle. Taillée d'une pièce dans le tronc d'un chêne, elle date du Ie-IIe siècle ap. J.-C.
[20]«Le Musée de Toul présente une pirogue monoxyle découverte dans les alluvions de la Moselle au faubourg Valcourt, datée du milieu du IIe siècle après Jésus-Christ.»
[21] Les dragages de la Moselle, à hauteur de la commune ont également permis la mise au jour d'une[22]stèle-maison et la partie inférieure d'une stèle à un personnage, pieds nus, derrière lequel est un animal (dont les archéologue estiment qu'il pourrait s'agir d'un petit cerf ?) agenouillé.
«....Le musée de Toul présente un dépôt exceptionnel, qui fut mis au jour en 1997 à Chaudeney-sur-Moselle. Il date de la fin du IIIe s. ou du début du IVe... L'ensemble, dont les pièces ont été restaurées par le laboratoire d'archéologie des métaux de Jarville, comprend deux chaudrons, deux bassins circulaires, un bassin à déversoir, une passoire à vin, une assiette plaquée d'argent et trois petites coupes. Tous ces objets sont façonnés dans un alliage de cuivre..... »(in archéographe[23]).
La commune faisait partie de l'évêché de Toul ,
Après l'écroulement de l'Empire romain, le transfert du pouvoir d'une bureaucratie centrale impériale à des autorités plus locales est à la fois progressif et presque imperceptible par le citoyen moyen, les francs venus de l'Est prenant progressivement leur place, leur passage étant attesté déjà par leurs nécropoles dont certaines ont été mises en évidence si ce n 'est sur le territoire de Chaudeney en tout cas très proche. (cf nécropole de Foug[24],la savonnière à 15 km et Pierre-la-Treiche, commune voisine, lieu-dit Champ du cercueil).
Les seigneurs issus de ces invasions barbares et les évêques de Toul se sont octroyés une partie les richesses produites par les communes , notamment par le biais des taxes, dîmes et autres impôts, en échange de leur protection[25]. La commune est citée dans les premières chartes médiévales comme dépendant de Toul, notamment dans la confirmation des biens de l'abbaye de Saint-Epvre de Toul, par Charles-le-Chauve, en 870. Le village est, par ailleurs appelé Caldeniucum dans une lettre de Pibon (1105), évêque de Toul, en faveur de l'église Saint-Gengoult de la même ville ; il y est dit qu'un chanoine de cette église, nommé Renaud, lui avait donné un moulin sur la Moselle, près de Chaudeney (supra Mosellam juxta Caldeniacum molendinum unum cum sesso[26] et vinea[27]). Ce moulin est mentionné sur une carte ancienne (1656)[28] au lieu-dit actuel le Moulin et la traduction du texte de Dom Calmet nous apprend qu'il s'ajoutait une famille de meuniers (sesso) et une parcelle de vigne (vinea) dans la donation.
L’église a été reconstruite en 1735 ou 1765, le village comptait alors 40 feux. ce qui pourrait correspondre à 160 habitants environ[29].
À l’écart du village se trouve le château de Moselly, qui de maison-forte des évêques de Toul, est devenu maison de plaisance, puis établissement industriel.
- Haches de l'âge du bronze et une,
- pirogue du IIe siècle, Musée d'art et d'histoire de Toul.
Politique et administration
Démographie
Au 1er janvier 2014 la population est de 709 habitants
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2020, la commune comptait 726 habitants[Note 4], en augmentation de 2,4 % par rapport à 2014 (Meurthe-et-Moselle : +0,06 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
L'abbé E. Grosse indique dans son Dictionnaire de la Meurthe[36] que la commune de Chaudeney comprenait au milieu du XIXe siècle environ 10 % de ses terres (80 hectares) en culture de vignes dont il qualifie la production de passable. À peu près 250 hectares étaient alors en prés et autant en terres arables.
Secteur primaire ou Agriculture
Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[37]), la commune de Chaudeney-sur-Moselle était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 59 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en baisse significative depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est fortement réduit de 583 à 45 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3 (15 auparavant) exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 2 unités de travail[Note 7]. (20 auparavant).
En 2015, une cinquantaine d'emplois salariés dans les autres domaines (secondaire et tertiaire) étaient raccrochés à la commune, selon les statistiques nationales.
CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2015
Total | % | 0 salarié | 1 à 9 salarié(s) | 10 à 19 salariés | 20 à 49 salariés | 50 salariés ou plus | |
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Ensemble | 50 | 100,0 | 42 | 5 | 0 | 2 | 1 |
Agriculture, sylviculture et pêche | 1 | 2,0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Industrie | 6 | 12,0 | 4 | 1 | 0 | 1 | 0 |
Construction | 11 | 22,0 | 10 | 0 | 0 | 0 | 1 |
Commerce, transports, services divers | 28 | 56,0 | 26 | 1 | 0 | 1 | 0 |
dont commerce et réparation automobile | 10 | 20,0 | 10 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Administration publique, enseignement, santé, action sociale | 4 | 8,0 | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 |
- Champ : ensemble des activités.
- Source : Insee, CLAP en géographie au 01/01/2015.
Culture locale et patrimoine
- Le trésor
- de Chaudeney
- au Musée de Toul.
Lieux et monuments
- Château 1760, restauré, résidence d'été des évêques de Toul construit par Nicolas Pierson, architecte du palais épiscopal de Toul, le château fut appelé par l'évêque, monseigneur Claude Drouas de Boussey, château Moselli (évocation de la rivière), ce pseudonyme fut pris par Émile Chenin, romancier du Toulois. Cela permit à monseigneur Drouas de Boussey, connu pour sa bonté, de soulager un peu la misère de nombre de paysans ayant souffert des mauvaises récoltes de cette année en leur donnant un travail.
- Église Sainte-Walburge reconstruite en 1765[38].
- Croix en pierre ogivale, dans l'ancien cimetière.
Personnalités liées à la commune
- Claude Drouas de Boussey (1712-1773), évêque de Toul qui a fait édifié le château Moselli afin de fixer les évêques dans leur diocèse et de procurer du travail aux démunis lors d'une grande disette.
- Émile Moselly (1870-1918), écrivain français, Prix Goncourt 1907 pour Jean des Brebis ou le Livre de la misère, inhumé dans le village d'où est originaire sa famille.
- Maurice Carême (1899-1978)[39], écrivain et poète belge, venu composé sous le Marronnier de Sully[40].
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Références
- « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
- « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toul », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Imprimerie impériale, Paris, 1862.
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle, Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, .
- « Fiche descriptive de la donnée BSS Eau - BRGM - ©2012 », sur fichebsseau.brgm.fr (consulté le ) : « Adresse ou Lieu-dit SOURCE SAINTE VALBURGE Identifiant national de l'ouvrage BSS000SDGL Ancien code 02296X0019/SCE ».
- Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 44.
- « Carte archéologique de la Gaule, 54. Meurthe et Moselle », sur www.lcdpu.fr (consulté le ).
- J. Beaupré, « Les tumulus hallstattiens à sépultures marniennes superposées de Chaudeney (Meurthe-et-Moselle) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 1, no 9,‎ , p. 311–318 (DOI 10.3406/bspf.1904.11298, lire en ligne, consulté le ).
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- « BATELLERIE ET NAVIGATION FLUVIALE Les origines lointaines Michel HACHET, conservateur du musée de Toul », sur CELT.
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- Franz Cumont, « Emile Linckenheld. Les stèles funéraires en forme de maison chez les Médiomatriques et en Gaule », Revue belge de Philologie et d'Histoire, vol. 6, no 3,‎ , p. 900–901 (lire en ligne, consulté le ) :
« Ce fut longtemps une croyance générale dans l'antiquité que l'ombre du mort continuait à habiter la tombe. De là naquit en plusieurs pays la coutume de donner à la sépulture ou à l'urne cinéraire l'apparence d'une maison... »
. - « Les collections archéologiques du musée de Toul | archeographe », sur archeographe.net (consulté le ).
- « LIEGER A », sur www.etudes-touloises.fr (consulté le ) : « Villa gallo-romaine et mérovingienne Savonnière, près de Foug ».
- Lepage, Henri, 1814-1887., Le Département de la Meurthe : statistique historique et administrative, Paris, Berger-Levrault, , 725 p. (ISBN 2-7013-0186-6 et 9782701301860, OCLC 461712902, lire en ligne), p. 30
« CHAUDENEY. Il est fait mention de ce villagesous le nom de Cadeniacum »
. - Gaffiot, Félix., Le grand Gaffiot : dictionnaire latin-français, Hachette, (ISBN 978-2-01-166765-6 et 2011667658, OCLC 995477788, lire en ligne)
« De sessus avec le suffixe -or.Nom commun 1 Assis, personne assise :2 Spectateur au théâtre.3 Cavalier sur sa selle.4 Habitant. »
. - Augustin Calmet, Histoire ecclesiastique et civile de Lorraine etc, Jean-B. Cusson, (lire en ligne), p. 518
« Sur la Moselle;jouxtant Caldeniacum;un moulin;ses habitants,la vigne;Renaldus,Chanoine, a fait don »
. - Nicolas (1600-1667) Cartographe Sanson et Jean Pruthenus (16-16 ? ; graveur) Graveur Somer, « Leuci. Archidiaconnés de Toul, de Ligny, et Reynel, dans l'Evesché de Toul : ou sont les comté, et balliage de Toul ; le Duché de Barrois, ou Balliage de Bar-le Duc, etc / par N. Sanson d'Abbeville », sur Gallica, (consulté le ).
- P. Meuriot, « Du calcul de la population par feux », Journal de la société française de statistique, vol. 57,‎ , p. 455–457 (lire en ligne, consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Grosse, E., abbé., Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe : contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages ..., Creusat, (OCLC 18912588, lire en ligne), p. 133.
- « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
- les sources indiquent plutôt 1735 ?
- Biographie de Maurice Carême
- Maurice Carême à Chaudeney