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Charles Belle

Charles Belle est un peintre français né à Rochejean[1] dans le Doubs.

Charles Belle
L'artiste Charles Belle devant l'une de ses peintures
Naissance

Rochejean
Période d'activité
Nationalité
française
Activités
Peinture, dessin
Autres activités
Édition
Site web

Biographie

Famille

Charles (Alfred Louis) Belle naĂźt[2] dans la maison de ses parents, au-dessus de leur boulangerie Ă  Rochejean. Son pĂšre est Camille Belle (1921-2010), fils de Gabrielle Belle, nĂ©e Maire, et de Charles Belle[1]. Sa mĂšre est Marie-Pierre Belle, nĂ©e Gaudet (1930-2013), fille de Henriette Gaudet, nĂ©e Monnier, et Georges Gaudet. Il a une sƓur, Eveline, et trois frĂšres Daniel, Michel et Christophe. Charles Belle a Ă©galement deux fils, Émilien et Maxence.

Parcours

Charles Belle est un peintre français dont l'Ɠuvre est connue pour son approche de la reprĂ©sentation des Ă©lĂ©ments de la nature[3] dans des formats souvent monumentaux. Artiste inclassable, il suit sa propre ligne. En 40 ans de carriĂšre, il a rĂ©alisĂ© prĂšs de 10 000 peintures et plus de 20 000 dessins. Les titres de ses Ɠuvres sont toujours empreints de poĂ©sie et de mystĂšre[4].

Issu d’une famille modeste, il s’oriente trĂšs tĂŽt vers des Ă©tudes Ă  l’école rĂ©gionale des beaux-arts de Besançon (actuel Institut supĂ©rieur des beaux-arts de Besançon Franche-ComtĂ© – ISBA). AprĂšs l’obtention de son DiplĂŽme national supĂ©rieur d'expression plastique (DNSEP) en 1979, parallĂšlement Ă  son travail d’artiste, il devient photographe pour le MusĂ©e du Temps de Besançon, professeur d’art plastique en collĂšge, puis enseigne[5] le dessin Ă  l’école des beaux-arts de Mulhouse (actuelle Haute École des arts du Rhin – HEAR) jusqu’en 1998.

Ses premiers travaux sont de grands dessins reprĂ©sentant des gens, des paysages, des chaussures, des objets d’un quotidien humble. Dans le contexte artistique de la fin des annĂ©es 70, peu de professeurs le soutiennent, ses dessins apparaissent en dĂ©calage avec ce qui est alors enseignĂ© au sein des Ă©coles d’art. Pourtant, ils sont trĂšs tĂŽt repĂ©rĂ©s et achetĂ©s par des collectionneurs[6] et le Fonds National d’Art Contemporain (collections du Centre National des arts plastiques - CNAP)[7]. Jeune artiste diplĂŽmĂ©, il continue son travail de dessin mais suscite beaucoup de critiques sur son statut d’artiste. Alors, en rĂ©ponse Ă  ce contexte dĂ©lĂ©tĂšre, Charles Belle dĂ©cide de se mettre Ă  la peinture dans une sorte de dĂ©fi. Par provocation, comme test de ses qualitĂ©s de peintre, il choisit un sujet qui ne l’intĂ©resse pas : les fleurs de gĂ©ranium. Fleurs qui n’ont pas de statut particulier, que l’on trouve banalement sur tous les balcons. Il rĂ©alise alors une sĂ©rie de grandes peintures sur cette thĂ©matique qui est davantage un prĂ©texte Ă  l’acte pictural qu’un sujet rĂ©aliste. Son travail autour des fleurs[4] rencontre un grand succĂšs mais il travaille toujours avec la mĂȘme implication des thĂšmes trĂšs diffĂ©rents[8] - [9]. Ses peintures ont comme point commun d’approcher l’invisible, ce qui est en dehors de l’image, hors cadre.

Le travail de Charles Belle est prĂ©sent dans les foires d’art contemporain telles que Art Basel, Art Basel-Miami, la FIAC[9], Art Brussel, Art Paris[10], etc. Il est exposĂ© rĂ©guliĂšrement Ă  Paris, en Europe, en Suisse, Ă  New York[11], SĂ©oul[12] - [13] et Ă  Beyrouth[14] - [15].

Jeunesse

Charles Belle grandit dans un milieu rural modeste, oĂč les gens sont marquĂ©s par le travail et des conditions de vie rudes dans les montagnes du Haut-Doubs. Ses parents tiennent la boulangerie du village de Rochejean[1]. DĂšs l’enfance, Charles Belle est attirĂ© par le dessin. Son institutrice racontera plus tard qu’il se dĂ©pĂȘchait de finir les exercices demandĂ©s pour pouvoir dessiner sur son ardoise et imaginer des histoires. Adolescent, il se passionne pour les quelques livres d’Histoire de l’Art auxquels il a accĂšs Ă  la bibliothĂšque du lycĂ©e. PremiĂšre tentative de peinture : il couvre les murs de sa chambre d’oiseaux sur fond bleu. Il se dĂ©tourne du cursus gĂ©nĂ©ral pour entrer Ă  l’École RĂ©gionale des Beaux-Arts de Besançon[16] Ă  18 ans. Il devient pĂšre Ă  23 ans et arrĂȘte toutes ses activitĂ©s sportives pour se consacrer exclusivement Ă  sa famille et Ă  son travail artistique[17].

Formation

Il est admis Ă  l’École RĂ©gionale des Beaux-Arts de Besançon en 1974 (actuel Institut SupĂ©rieur des Beaux-Arts - ISBA). Étudiant, sa production est dĂ©jĂ  consĂ©quente. Il s’applique Ă  faire le travail qui est attendu par l’École, mais en cachette, il rĂ©alise une grande sĂ©rie de dessins. Sans moyens, il dessine sur du papier kraft avec du fusain qu’il fabrique lui-mĂȘme. Il reprĂ©sente des espaces du quotidien, des gens d’origine modeste et rurale. Il les dessine le plus souvent de dos, cherchant Ă  capter avec tendresse cette part d’eux qu’ils abandonnent aux autres. Lorsque toute cette production est dĂ©couverte par hasard par l’une de ses professeurs, elle l’encourage Ă  suivre cette voie qui lui est propre. Mais l’accueil rĂ©servĂ© par la plupart des autres enseignants de l’époque est plutĂŽt dĂ©courageant. Le travail de Charles Belle ne s’inscrit pas dans les prĂ©occupations artistiques de la fin des annĂ©es 70[17]. Pourtant, ce travail d’étudiant de troisiĂšme annĂ©e suscite trĂšs tĂŽt l’intĂ©rĂȘt de collectionneurs et fait l’objet d’acquisitions[6] par le CNAP[7] (Centre National des Arts Plastiques). Charles Belle obtient son DNSEP (DiplĂŽme National SupĂ©rieur d’Expression Plastique) en 1979[18].

Ses débuts

AprĂšs sa sortie de l’École des Beaux-Arts, il continue son travail de dessin[19] au fusain et au pastel, avec des paysages, des arbres, des champs, des fruits, des portraits, des dĂ©tails de son environnement. En 1987, il entame un travail de peinture sur les fleurs de gĂ©ranium. C’est un peu par provocation qu’il choisit ce thĂšme qu’il trouve galvaudĂ© et dĂ©pourvu d’intĂ©rĂȘt. Sa motivation est de montrer que l’essentiel en peinture, ce n’est pas le sujet[6]. Le mobile de la peinture se situe ailleurs, dans une forme d’abstraction. À cette Ă©poque, Charles Belle n’a pas les moyens financiers de se procurer suffisamment de toile, alors il recouvre certaines peintures pour en crĂ©er des nouvelles. C’est Ă  partir de cette contrainte matĂ©rielle que ce mouvement perpĂ©tuel se met en place dans son travail. Aucune de ses peintures ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme arrĂȘtĂ©e tant qu’elle est encore dans son atelier[9].

Atelier

Au dĂ©but des annĂ©es 1990, le frĂšre aĂźnĂ© de Charles Belle est atteint d’une maladie grave. Accompagner ce frĂšre mourant pour qui la vie n’était plus qu’une succession d’instants douloureux a provoquĂ© une sorte de dĂ©clic pour Charles Belle. AprĂšs une visite Ă  l’hĂŽpital, il rĂ©alise que contrairement Ă  son frĂšre, il a le privilĂšge d’ĂȘtre vivant et de pouvoir faire des projets. Il est dans cette conscience aiguĂ« de ce que reprĂ©sente la fragilitĂ© d’une vie. À 38 ans il se lance dans le projet, ambitieux et risquĂ© dans le contexte de sa carriĂšre naissante, de construction d’un atelier. Il entame donc un travail avec un architecte[9]. Son idĂ©e se rĂ©sume ainsi : « crĂ©er un atelier de rĂȘve ».

Le lieu est pensĂ© Ă  partir des besoins de l’artiste. Les dimensions de l’atelier sont dĂ©terminĂ©es par les formats monumentaux de ses toiles. Jusqu’alors, Charles Belle peignait ses grands formats repliĂ©s[20] au plafond et ne les dĂ©couvrait entiers qu’une fois exposĂ©s[9]. La lumiĂšre, les Ă©nergies du lieu, les formes, tout est Ă©tudiĂ©. Le bois utilisĂ© pour la charpente et le plancher est celui des arbres que son grand-pĂšre Charles Belle[1] avait plantĂ©s. Avec des ouvertures sur la forĂȘt Ă  360°, l’atelier est conçu comme un abri dans le paysage. Charles Belle commence Ă  peindre pendant le chantier de construction, au milieu des ouvriers et du bruit. Il peint de trĂšs grandes toiles de fleurs d’Arnica. Aujourd’hui, Charles Belle travaille toujours au sein de cet atelier.

Accident

En 2004, Charles Belle s’apprĂȘte Ă  entamer un travail autour des betteraves lorsqu’il a un accident. Il chute d’une Ă©chelle dans son atelier, d’une hauteur de 6 mĂštres. Une enceinte de musique amortit un peu sa chute. Il dira plus tard que « la musique (lui) a sauvĂ© la vie ». AprĂšs cet accident, une pĂ©riode de convalescence de trois mois l’empĂȘche de travailler. TraumatisĂ© par cette Ă©preuve, Charles Belle reprend le dessin sur de grandes feuilles de papier. Il rĂ©alise cinq autoportraits[17]. Cela l’aide Ă  rĂ©aliser qu’il est vivant. Puis il peint et dessine les betteraves[17] qui l’ont attendu plusieurs mois dans l’atelier. Elles se sont dessĂ©chĂ©es. Cette sĂ©rie, dans des couleurs sombres et profondes, est chargĂ©e d’une tension dramatique particuliĂšre.

Engagements

Charles Belle est trĂšs sensible aux problĂ©matiques environnementales. Depuis plus de 30 ans, il apporte son soutien Ă  plusieurs organismes qui travaillent Ă  la sauvegarde du patrimoine naturel, la protection de l’eau et de la faune sauvage. Pendant 25 ans, il a Ă©tĂ© Ă©lu[21] au Conseil Municipal du village oĂč il rĂ©side dans le Doubs. Dans le cadre de son mandat, il s’est investi pleinement dans la prĂ©servation de l’environnement local.

ƒuvre

« Il s’agit d’une peinture infinie ». Ce sont les mots de Charles Belle pour exprimer la sensation qu’il a en peignant Ă  la conjonction des mĂ©andres exaltĂ©s de 2016 Ă  fin 2017. Ces mots sont valables pour l’ensemble de son travail, rien n’est jamais vraiment arrĂȘtĂ©[17]. Charles Belle travaille dans un mouvement perpĂ©tuel. Chaque peinture peut ĂȘtre remise en question Ă  tout moment. Aucune de ses peintures ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme terminĂ©e tant qu’elle est encore dans son atelier[20]. Il les reprend, les continue, les recouvre, parfois plusieurs annĂ©es aprĂšs leur commencement[9]. Le travail de Charles Belle se situe dans l’impermanence de la peinture, de la trace. Sa peinture est intuitive, ses couleurs sont complexes, il n’utilise jamais le noir. Il accumule la matiĂšre, ou au contraire l’entame pour laisser apparaĂźtre une lumiĂšre, une vibration.

Charles Belle aborde le thĂšme de la nature, mais sans s’attacher Ă  une reprĂ©sentation rĂ©aliste[5]. Ce qui le mobilise se situe davantage dans une certaine abstraction. Pour lui,

« le sujet d’une peinture, ce n’est pas le sujet ! »

[22]

Qu’une peinture soit figurative ou abstraite[6], ce n’est pas la question. Le mobile de sa crĂ©ation est une recherche de solutions picturales pour parler de sensations, d’émotions, de l’invisible. Ses Ɠuvres font sentir ce qu’elles ne montrent pas. Son travail autour de la thĂ©matique des fleurs est le plus connu du public, pourtant, Charles Belle a tout autant travaillĂ© d’autres thĂšmes. Il explique que lorsqu’il peint des fleurs, « ce ne sont pas des fleurs. » Ce qui l’intĂ©resse ce sont tous les signaux qu’une peinture peut transmettre, de façon indĂ©finissable et directe, comme pour la musique.

L’Ɠuvre dessinĂ©[23] de Charles Belle est plus confidentiel et pourtant aussi consĂ©quent que son Ɠuvre peint. L’essence de sa crĂ©ation trouve son origine dans son rapport au dessin[24]. Il ne l’utilise jamais comme travail prĂ©paratoire Ă  de futures peintures, ni comme simples esquisses. Un dessin a le mĂȘme statut qu’une peinture. Ses dessins sont parfois dans des formats monumentaux[25] - [26].

Collections publiques et privées

Depuis 1978, plus de 80 expositions personnelles et 110 expositions collectives ont Ă©tĂ© consacrĂ©es Ă  l'Ɠuvre de Charles Belle. Son travail est prĂ©sent sur la scĂšne internationale, notamment en GrĂšce, au Liban, en CorĂ©e du Sud, en Suisse, en France et aux États-Unis.

Ses Ɠuvres ont Ă©tĂ© acquises par plusieurs collections :

Collaborations, expositions (sélection)

Collaboration avec le Cirque Plume

Bernard Kudlak, le directeur du Cirque Plume, est un ami de longue date de Charles Belle. Ils ont souvent partagĂ© beaucoup de valeurs importantes autour de la crĂ©ation en gĂ©nĂ©ral, du cirque et de la peinture en particulier[29] - [30]. Pour deux tableaux du spectacle La DerniĂšre Saison, Bernard Kudlak a choisi de mettre en scĂšne un grand dessin au fusain, confiĂ©s Ă  la forĂȘt[31] (2015-2017, fusain sur toile, 3 x 8 m. inv.no 11). Ce dessin reprĂ©sente une branche symbolique ou abstraite. Il a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© au fond des grandes forĂȘts d’épicĂ©as du Doubs oĂč Charles Belle a passĂ© son enfance[32].

Le taureau dans l'atelier[33]

En 2009, Charles Belle souhaite travailler autour du thĂšme du taureau. Il rencontre un Ă©leveur et Ă©voque avec lui la possibilitĂ© de faire venir un taureau dans son atelier. Le projet suscite quelques inquiĂ©tudes. Peu de temps avant la visite de l’artiste, un collĂšgue de l’éleveur a Ă©tĂ© tuĂ© par une bĂȘte. Charles Belle installe une structure mĂ©tallique dans son atelier pour pouvoir recevoir Balou, le taureau. Pendant douze jours, le taureau reste Ă  l’atelier et devient le modĂšle de l’artiste. Charles Belle rĂ©alise plusieurs dizaines de dessins, et une sĂ©rie de peintures[34].

Collaboration avec Hubert-Félix Thiéfaine

Hubert-FĂ©lix ThiĂ©faine dĂ©couvre la peinture toute ta passion (1999, huile sur toile, 290 x 333 cm. inv.no 547) lors d'une visite de l’atelier de Charles Belle. Quelques mois plus tard, il compose la chanson CamĂ©lia : huile sur toile (Ă  Charles Belle) en dĂ©dicace au peintre[35].

Pour la couverture de son 13e album, « Défloration 13 » sorti en 2001, Hubert-Félix Thiéfaine choisit des peintures de Charles Belle sur le thÚme des iris orange[36].

Il Ă©tait une forĂȘt, regards d'artistes

En 2011 le cinĂ©aste Luc Jacquet invite Charles Belle Ă  participer Ă  un projet autour de son film Il Ă©tait une forĂȘt. Il s'agit du troisiĂšme long mĂ©trage cinĂ©matographique de Luc Jacquet aprĂšs La Marche de l'empereur et Le Renard et l'Enfant. Le long mĂ©trage Il Ă©tait une forĂȘt est la partie centrale d'un projet plus gĂ©nĂ©ral dit cross-media, intitulĂ© La ForĂȘt des pluies, qui a Ă©galement une ambition Ă©ducative Ă  propos de l'environnement. Ce projet permet notamment la participation d'artistes qui partent en rĂ©sidence en pleine forĂȘt : tels que Vincent Munier et Charles Belle[37].

Charles Belle tend une toile de 1,80 m x 10 m au milieu de la forĂȘt primaire du Gabon et rĂ©alise au fusain un dessin de feuilles. Cette toile[38], employant le futur (2012, fusain sur toile, 180 x 1000 cm. inv.no 233) est exposĂ©e en 2013 dans Regards d’artistes[39] au Parc AndrĂ© CitroĂ«n.

Expositions personnelles (sélection)

Expositions collectives (sélection)

Édition

En 2017, avec la collaboration de son agent NoĂ©mie Paya, Charles Belle crĂ©e les Éditions Sources. Cette maison est spĂ©cialisĂ©e dans la publication de livres d'artistes, livres objets et monographies. Le premier ouvrage[46], paru en dĂ©cembre 2017, s'intitule Sources[47] - [48] - [49].

Critiques et mentions

  • "La toile vivante" de Charles Belle, dĂ©cor naturel du Cirque Plume, Coline Bastard, 2017[50]
  • CamĂ©lia : huile sur toile (Ă  Charles Belle)[35], Hubert FĂ©lix ThiĂ©faine, DĂ©floration 13, 2001
  • RĂ©seau TRAM, Art contemporain Paris Île-de-France, 2017[51]
  • Une peinture de Charles Belle confiĂ©e Ă  la nature, Fabienne Le Moing, 2017[52]
  • Arts Ă  la pointe, Charles Belle expose au patronage, Ouest France, 2013[53]

Catalogue Drouot[54]

  • Dans VitalitĂ© toute printaniĂšre pour Art Paris, Harry Bellet, Le Monde, 2011[55]
  • Dans La Foire qu'on adore dĂ©tester, Harry Bellet, Le Monde, 2012[56]
  • Art in review : Charles Belle, 2000, New York Times[45] : Je prĂ©fĂšre les noirs de Charles Belle Ă  ceux de Soulage, Denis Jeambar, 2011[57]

Filmographie

Films de François Royet

  • Dans la forĂȘt
[58] 2017, durĂ©e 20 minutes.
  • Ce chou si beau 2007, durĂ©e 26 minutes.
  • Le figuier, tout ! 2008, durĂ©e 14 minutes.
  • Juste un dessin... 2010, durĂ©e 13 minutes.
  • Le peintre et son modĂšle
 Un taureau. 2009, durĂ©e 16 minutes.

Film réalisé par Pierre Guy

  • Charles Belle, blancs soucis 1996, durĂ©e 26 minutes. Coproduction : Altamira, France 3 Bourgogne / Franche-ComtĂ© Altamira Films, 3 bis, rue Bastide F-34000 Montpellier.

Film réalisé par Wild Touch

  • Il Ă©tait une forĂȘt - regards d’artistes, 2012, durĂ©e 3 min 28 s. Un projet de Luc Jacquet dans les forĂȘts primaires du Gabon. Dessine-moi une forĂȘt - voyages en forĂȘt des pluies - tournage #28,

Film réalisé par Bertrand Vinsu

  • Nkumby 2, 2010, durĂ©e 19 min 23 s.

Voir aussi

Bibliographie

  • sources[59] - [60], 2017, Editions Sources (ISBN 978-2-9562210-0-5)
  • ConfiĂ©s Ă  la forĂȘt, 2017
  • L'Atelier du peintre Charles Belle, Bernard Kudlak, Editions Virgile, 2012 (ISBN 978-2-914-48193-9)
  • Dans Portraits crachĂ©s de Denis Jeambar, Flammarion, 2011
  • Dans Hubert-FĂ©lix ThiĂ©faine : Jours d'orage, Jean ThĂ©faine, Fayard, 2011
  • Dans La Vie des formes, 2009, l'exemplaire (ISBN 2-9520402-3-0)
  • Arbres d'hiver, Bruno Mory, 2008
  • Penche-toi[61], Charles Belle, Jacques Moulin, François Royet, Editions Joca Seria, 2007 (ISBN 978-2-84809-078-8)
  • Charles Belle, (monographie), Art price, 2005 (ISBN 89-957297-0-8)
  • Dans À visages dĂ©couverts, 2005, le 19 (ISBN 2-35075-006-X)
  • Ipso facto, Charles Belle et Jacques Moulin, Les AffinitĂ©s, 2002
  • d'ELLE, 2002, Christian Pfister et Charles Belle, Thasmara Editeur (ISBN 2-9519335-1-7)
  • Charles Belle, 2001, espace art brenne Ă©diteur
  • Charles Belle, 2000, Ă©ditions Arts et Dialogues EuropĂ©ens[62] (ISBN 2-911691-12-1)


Notes et références

  1. Danielle Demangeon-Raguin, « Charles Elia Belle », sur gw.geneanet.org
  2. (nl) « Ontdek schilder, tekenaar Charles Belle (1956) », sur rkd.nl (consulté le ).
  3. « CHARLES BELLE CE DOUX CHEMIN SILENCIEUX », sur artabsolument.com, Art Absolument, .
  4. Edgar DAVIDIAN, « Roses sensuelles pour les soupirs silencieux de Charles Belle », sur lorientlejour, L'Orient Le Jour,
  5. Florence Mourey, « Montrer autre chose que des fleurs », sur laterredecheznous.com, La terre de chez nous,
  6. SYLVIE BALMER, « Les fleurs et tubercules féconds de Charles Belle », sur arcinfo.ch, 02.08.2015, 18:05 actualisé le 19.06.2008 à 12:00
  7. « Collection en ligne », sur cnap.fr
  8. « CHARLES BELLE Galerie Bernard Jordan », sur lemonde.fr, Le Monde,
  9. Denis Jeambar, Portraits crachés, Flammarion (lire en ligne)
  10. Harry Bellet, « Vitalité toute printaniÚre pour Art Paris », sur lemonde.fr, Le Monde,
  11. (en) Grace Glueck, « ART IN REVIEW; Charles Belle », sur nytimes.com, The New York Times,
  12. (en) « Curators gather for show at top-rated art university », Korea Herald,‎ (lire en ligne)
  13. (ko-Hani) « Artprice », Artprice kr,‎ (lire en ligne)
  14. « EXPOSITION - Charles Belle Ă  la galerie Alice Mogabgab jusqu’au 29 mars Au nom de la rose », sur lorientlejour.com, L'Orient Le Jour,
  15. « REGARD - Charles Belle, Samia Osseiran Jumblat, Joseph Abi Yaghi La rose est sans pourquoi », sur lorientlejour.com, L'Orient Le Jour,
  16. « RDV #63 : Visite guidĂ©e de l’exposition ‘Chaque instant’ de Charles Belle Ă  la Galerie Alice Mogabgab », sur agendaculturel.com, agenda culturel,
  17. Noémie Paya, Sources, Tallenay, Editions Sources, , 510 pages (ISBN 978-2-9562210-0-5, lire en ligne), p. 7-11
  18. « Charles Belle, peintre », sur festivaldemontfaucon.com,
  19. maison de la culture de Grenoble, ActualitĂ©s du dessin, maison de la culture de grenoble, (lire en ligne), Le dessin est une trace et non le spectacle d'un complaisant savoir-faire. D'oĂč la nĂ©cessitĂ© de sentir intĂ©rieurement le dessin, de l'Ecrire dans un espace avec la main et l’Ɠil.- Ecrire un regard, un instant, le temps, mais aussi le temps aboli (instant de vie, instant de mort). -Ecrire le constat de l'Ă©phĂ©mĂšre, du rien, du quotidien - Transcrire I lumiĂšre, le silence, la poĂ©sie, l'Ă©motion et imposer une prĂ©sence physique, un espace matĂ©riel, «l'ĂȘtre là» qui s'Ă©chappe Ă  force de vĂ©ritĂ© et laisse place Ă  la mĂ©moire, au souvenir. - DĂ©passer les notions de rĂ©alisme, d'hyperrĂ©alisme et de figuration." Charles Belle.
  20. « charles belle », sur armelsoyer.com,
  21. Koredge, « Elections municipales : liste de Tallenay », Ma Commune,‎ (lire en ligne)
  22. Rencontre avec le peintre Charles Belle avant l'exposition Puls'Art 2012.
  23. maison de la culture de Grenoble, « actualitĂ©s du dessin », l'expo journal no 7,‎ (lire en ligne)
  24. « Le fonds de dotation pour l'art contemporain », sur bredinpratfoundation.org
  25. François Royet, « juste un dessin... », sur vimeo.com
  26. Guillaume Gesret, « un nouveau visage pour la conque », sur nanterreinfo.fr,
  27. Fondation Colas
  28. Fonds de dotation Bredin Prat
  29. « "La toile vivante" de Charles Belle, décor naturel du Cirque Plume », sur francetvinfo.fr, France TV info, (consulté le )
  30. Eric Demey, « La derniĂšre saison », La Terrasse,‎ (lire en ligne)
  31. « Le Cirque plume à la Villette du 26 sept au 30 déc 18 », sur franceinter.fr, France Inter,
  32. « Une peinture de Charles Belle confiée à la nature », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr, France Info,
  33. Élodie CREZE, « Il peint son taureau et 1 473 feuilles de figuier ! », Ouest France,‎ (lire en ligne)
  34. miss.dom, « Charles Belle expose ses taureaux Ă  la Cimaise », Ma Commune,‎ (lire en ligne)
  35. « Discographie », sur www.thiefaine.com,
  36. « PEINTURES CHARLES BELLE », sur thiefaine.com,
  37. « Il Ă©tait une forĂȘt », sur cine-chateau.fr,
  38. Marion Thuillier, « Le tournage d'Il Ă©tait une forĂȘt inspire les artistes », L'Internaute,‎ (lire en ligne)
  39. « Il Ă©tait une forĂȘt : la critique », Unification,‎ (lire en ligne)
  40. « Les natures mortes de Charles Belle s'exposent au musĂ©e de la Cohue Ă  Vannes », CULTUREBOX-Francetvinfo,‎ (lire en ligne)
  41. « Nanterre : balade enflammĂ©e pour l’ouverture de la saison culturelle », Le Parisien,‎ (lire en ligne)
  42. « Voir la grotte de Lascaux, comme vous ne l’avez jamais vue », actu.fr La Vie Quercynoise,‎ (lire en ligne)
  43. (fr + en) « Alice Mogabgab Gallery », sur alicemogabgab.com
  44. il Ă©tait une forĂȘt
  45. (en) Grace Glueck, « Art in review : Charles Belle », New York Times,‎ (lire en ligne)
  46. France 3 Bourgogne Franche-Comté. Intervenants : Charles Belle (artiste), Rémi Bottigliri (conducteur offset - Imprimerie Simon Graphic), Antoine Simon (codirecteur de l'imprimerie Simon Graphic).
  47. « Charles Belle un résumé page à page », sur https://signatures-singulieres.fr, signatures singuliÚres,
  48. « ça vaut le détour », sur francebleu.fr, France Bleu,
  49. Samuel Cordier, « Charles Belle : “Je suis un hĂ©ritier” », Le ProgrĂšs,‎ (lire en ligne).
  50. Coline Bastard, « La "toile vivante" de Charles Belle, dĂ©cor naturel du Cirque Plume », Culturebox, France Info,‎ (lire en ligne)
  51. « Charles Belle Sens figurĂ©s La Terrasse - TRAM », TRAM,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  52. Fabienne Le Moing, « Une peinture de Charles Belle confiĂ©e Ă  la nature », francetvinfo,‎ (lire en ligne)
  53. « Arts Ă  la pointe », Ouest France,‎ (lire en ligne)
  54. « ventes aux enchÚres », sur catalogue.drouot.com
  55. Harry Bellet, « VitalitĂ© toute printaniĂšre pour Art Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  56. Harry Bellet, « La Foire qu'on adore dĂ©tester », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  57. Denis Jeambar, « « Je prĂ©fĂšre les noirs de Charles Belle Ă  ceux de Pierre Soulages ! » », Entre,‎ (lire en ligne)
  58. (fr + en + ar) « Beirut Art Film Festival », sur bafflebanon.org,
  59. « Nouveautés éditeurs BNF », sur nouveautes-editeurs.bnf.fr,
  60. Samuel Cordier, « Charles Belle : « Je suis un hĂ©ritier » Une importante monographie dĂ©diĂ©e Ă  l’Ɠuvre du peintre Charles Belle sort aujourd’hui. », Le ProgrĂšs,‎ (lire en ligne)
  61. « Editions Joca Seria », sur jocaseria.fr
  62. « La vie est Belle... », sur ladepeche.fr, La DĂ©pĂȘche du Midi,

    Liens externes

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