Cabris
Cabris [kabÊis] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Alpes-Maritimes, en rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur.
Cabris | |||||
Cabris. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Provence-Alpes-CĂŽte dâAzur | ||||
DĂ©partement | Alpes-Maritimes | ||||
Arrondissement | Grasse | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays de Grasse | ||||
Maire Mandat |
Pierre Bornet 2020-2026 |
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Code postal | 06530 | ||||
Code commune | 06026 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Cabriencs | ||||
Population municipale |
1 386 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 255 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 39âČ 25âł nord, 6° 52âČ 28âł est | ||||
Altitude | Min. 240 m Max. 762 m |
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Superficie | 5,43 km2 | ||||
Unité urbaine | Nice (banlieue) |
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Aire d'attraction | Cannes - Antibes (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Grasse-1 | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
GĂ©olocalisation sur la carte : Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur
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Ses habitants sont appelés les Cabriencs.
GĂ©ographie
Localisation - Communes limitrophes
Cabris est située à proximité (au Nord-Ouest) de Grasse (7 km); à faible distance de Cannes (30 km) et non éloignée de Nice (48 km).
Du haut des 550 m d'altitude, les nombreux points de vue offrent un magnifique paysage sur la mer Méditerranée.
à proximité, on trouve de nombreux autres villages tels que SpéracÚdes, Le Tignet, Saint-Cézaire-sur-Siagne, Saint-Vallier-de-Thiey, Peymeinade.
GĂ©ologie et relief
Village perché avec vue sur le Massif du Tanneron, sur la mer Méditerranée et le Golfe de La Napoule, sur le Lac de Saint-Cassien et le Massif de l'Esterel.
La Corse vue de Cabris
La Corse est visible en vue directe depuis la place de l'église par temps clair le matin en hiver. L' altitude de Cabris (550 m) permet la vue directe des montagnes corses situées à plus de 1 000 m d'altitude[1] - [Note 1].
- Distance CorseâCabris = 200 km
- CirconférenceTerre = 40 000 km
- RayonTerre = 6 366,2 km
- AltitudeCabris (Place de lâ Ăglise) = 550 m
- Cos (AngleHorizonCabris) = RayonTerre / (RayonTerre + AltitudeCabris) = 6366,2 / 6366,75 = 0,9999136137
- AngleHorizonCabris = Acos (0,999936137) = 0,00131144 rad = 0,00131144 x 180 / Pi = 0,753 °
- Distance LigneHorizonâCabris = 40000 x 0,00131144 / (2 x Pi) = 83,7 km
- Distance LigneHorizonâCorse = 200 â 83,7 = 116,3 km
- AngleHorizonCorse = 116,3 / 40000 x 2 x Pi = 0,00182715 rad = 1,0469 °
- Cos (AngleHorizonCorse) = Cos (0,00182715) = 0,9998330802
- AltitudeCorse = (1 / Cos (AngleHorizonCorse) â 1) x RayonTerre = (1/ 0,9998330802 - 1) x 6366,2 = 1,063 km = 1 063 m
Sismicité
Commune située dans une zone de sismicité modérée[2].
Hydrographie et les eaux souterraines
Production d'eau[3] :
- 7 Sources,
- 2 puits.
Cabris dispose de la station d'Ă©puration intercommunale de Peymeinade d'une capacitĂ© de 20 000 Ăquivalent-habitants[4].
Climat
Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[5].
Voies routiĂšres
Le village est accessible via la route de Cabris (D 4) ainsi que la D 11.
Transports en commun
- Transport en Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur
Le village est desservi par plusieurs lignes du réseau Sillages :
- Ligne 33 (Saint-CĂ©zaire-sur-Siagne â Grasse) : 12 A/R par jour du lundi au vendredi en pĂ©riode scolaire de 6 h 45 Ă 19 h 30, 6 A/R par jour le samedi et du lundi au vendredi en vacances scolaires ;
- Ligne 38 (Saint-Vallier-de-Thiey â Saint-CĂ©zaire-sur-Siagne) : 1 A/R le samedi toute l'annĂ©e (sauf fĂ©riĂ©) ;
- Ligne 307 (Cabris â Peymeinade) : fonctionne du lundi au samedi Ă la demande[6].
Intercommunalité
Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.
Urbanisme
Typologie
Cabris est une commune urbaine[Note 2] - [7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[10] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septiÚme plus importante de la France en termes de population, derriÚre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11] - [12].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cannes - Antibes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13] - [14].
La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[15].
La commune est intĂ©grĂ©e dans le PĂ©rimĂštre du SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoTâOuest actĂ© par ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le 23 mai 2007[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (64,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,2 %), zones urbanisĂ©es (36,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (9,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,6 %)[17].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[18].
Toponymie
- de Cabriis v1200. E. NĂšgre
- Cabris = Le cabri est le petit de la chĂšvre
- Pourcieux = Le lieu d' Ă©levage des porcs
- Audides / Oudides = Les Ă©chos
- La prouveresse
Histoire
Proto-Histoire & AntiquitĂ© (ĂĂâ500)
Sur le territoire cabrienc, une premiÚre agglomération a vu le jour dÚs le néolithique (2 500 ans av. J.-C.).
Haut Moyen Ăge (500â1000)
Point de départ du village, au sud-est et à 1 km à vol d'oiseau du village actuel, se trouve le site du Mousteyret lequel fut appelé Cabrios Mostaïré puis Monestié; les vestiges de cette époque sont encore trÚs visibles avec en leur centre la partie « rescapée » de l'église que les moines de Lérins vinrent y implanter vers 940/950.
Ce site antique est désormais complÚtement délaissé.
Moyen Ăge central (1000â1350)
La construction de chùteau et des premiÚres maisons trouvent leur place durant cette période. Vers 1221 Bertrand de Grasse (que certains auteurs disent descendant des seigneurs d'Antibes fondés par Rodoard et parent des de Grasse du Bar sans qu'aucun document ne le prouve et que cela est contesté par d'autres auteurs)[19] - [20], fit des acquisitions dans la terre de Cabris et lui et ses descendants y fixÚrent leur demeure[21].
Raymond de Grasse (â 1351), chevalier, seigneur de Cabris participa Ă l'aventure angevine dans le royaume de Naples[22].
La grande peste de 1348
Le village est anéanti par l'épidémie de peste de 1348 et devient un village fantÎme durant prÚs de 150 ans.
Bas Moyen Ăge aprĂšs la grande peste de 1348
Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, Jean de Grasse, seigneur de Cabris, soutient Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le ralliement de Grasse Ă la cause angevine, en 1386, entraĂźne son changement dâengagement, et il prĂȘte hommage au jeune duc dâAnjou, Louis II[23].
La renaissance du village vers 1500
En 1496 1497, Balthazar de Grasse, seigneur de Cabris fait venir de Ligurie 52 familles de paysans pauvres qui ré investissent les lieux désertés 150 ans plus tÎt. Un bon nombre des actuels habitants du village sont les descendants des familles d'immigrés de l'an 1497.
Renaissance & Ăpoque royale (1500â1789)
Seigneurie de la famille de Grasse-Cabris depuis le dĂ©but du XIIIe siĂšcle, Cabris passe dans la famille de Clapiers de GrĂ©oux, par mariage en 1655, qui gardera le fief jusquâĂ la RĂ©volution[24].
RĂ©volutions & Empires (1789â1848)
AprÚs la Révolution le village de Cabris devient le chef-lieu d'une commune constituée du territoire de l'ancien marquisat qui recouvre, outre Cabris, les actuelles communes de SpéracÚdes, Peymeinade & Le Tignet.
Ăpoque contemporaine (1848â1950)
Vers 1870 Peymeinade est séparée de Cabris.
Jusqu'en 1910 SpéracÚdes et Cabris ne forment qu'une seule commune ; le téléphone était inexistant et il fallait une heure de marche pour aller de SpéracÚdes au chef-lieu; aujourd'hui cinq minutes en voiture suffisent.
Ăpoque actuelle
En 2012, une dizaine de familles de Cabris participent à un jeu collectif télévisé consistant à vivre sans électricité durant une semaine ; le lavoir communal a repris du service.
Politique et administration
Liste des maires
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :
- total des produits de fonctionnement : 1 084 000 âŹ, soit 803 ⏠par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 916 000 âŹ, soit 678 ⏠par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 321 000 âŹ, soit 238 ⏠par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 334 000 âŹ, soit 248 ⏠par habitant ;
- endettement : 686 000 âŹ, soit 508 ⏠par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 8,58 % ;
- taxe fonciÚre sur les propriétés bùties : 5,85 % ;
- taxe fonciÚre sur les propriétés non bùties : 14,10 % ;
- taxe additionnelle à la taxe fonciÚre sur les propriétés non bùties : 0,00 % ;
- cotisation fonciĂšre des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2015 : mĂ©diane en 2015 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 24 619 âŹ[30].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].
En 2020, la commune comptait 1 386 habitants[Note 4], en augmentation de 6,62 % par rapport Ă 2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Ătablissements d'enseignements[35] :
- Ăcoles maternelle et primaire,
- CollĂšges Ă Peymeinade, Grasse,
- Lycées à Grasse.
Santé
Professionnels et établissements de santé[36] :
- Médecins à Cabris, SpéracÚdes,
- Jusqu'en 2010 l'Office de tourisme occupait les locaux devenus la maison médicale,
- Pharmacies Ă Cabris, Le Tignet,
- HĂŽpitaux Ă Cabris, Grasse.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Sainte Marie des Sources[37], DiocĂšse de Nice.
Manifestations culturelles et festivités
- L'Appel de l'ùne - La crÚche vivante : le soir de Noël, un grand feu est allumé dans le pré. Marie (une jeune fille du village) montée sur un ùne va jusqu'à l'église accompagnée du tambourinaire, du joueur de galoubetet de bergers en costumes d'autrefois. Au cours de la traversée du village, la procession réveille des villageois qui s'interpellent en provençal en annonçant la bonne nouvelle : la naissance du Sauveur. à l'arrivée à l'église a lieu la messe de minuit. Manifestation crée en 1949 par le pÚre Baillet et la comtesse de Saint-Exupéry.
- FĂȘte de la St Roch : FĂȘte patronale se dĂ©roulant sur 3 jours autour du 15 aoĂ»t, Bal/Concerts, procession, messe et aĂŻoli
- Brocantes vide-greniers : en moyenne 200 exposants dans le grand pré (avril, juillet, septembre)
- FĂȘte des Bergers, concours de chiens de berger, mĂ©tiers anciens (mai)
- Marché artisanal, 40 exposants (mai ou juin)
- Cirque Arlette Gruss, 9 représentations (juillet - août), présent tous les étés dans le grand pré
- Commémoration de Saint-Exupéry, parade militaire et hommage sur la place éponyme (juillet)
- Marché de Noël, 40 exposants (décembre)
- Expositions d'art et d'artisanat d'art de mai Ă septembre Ă la chapelle Sainte-Marguerite
Ăconomie
Agriculture
Les principales ressources agricoles de la commune sont lâolĂ©iculture et l'Ă©levage.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Grotte des Audides[41] : la grotte était habitée dÚs l'aube de l'humanité comme l'attestent les outils taillés, fossiles et ossements retrouvés. Six gouffres ont été découverts en 1988. Sur 60 mÚtres de profondeur - le tiers de ce qui a été exploré -, on y observe le paysage géologique d'un aven en pleine activité de concrétionnement, avec son cours d'eau souterrain. La cavité s'ouvre sur le territoire de la commune voisine de Saint-Vallier-de-Thiey.
- Dolmen de Stramousse et Dolmen de Pomeiret[42] : sépultures mégalithiques érigées au Chalcolithique. Article complet dans l'inventaire des mégalithes des Alpes-Maritimes sur le site Archeoprovence[43].
- Ădifices religieux : l'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption, construite au XVIIe siĂšcle, abrite des reproductions dâĆuvres de Murillo[44]. Les chapelles sont au nombre de quatre : Saint-SĂ©bastien, Sainte-Marguerite, Saint-Jean Baptiste et Saint-Jean de Pape et sont Ă©difiĂ©es aux quatre coins du village[45]. Chaque Ă©tĂ©, la chapelle Sainte-Marguerite[46] accueille les Ćuvres d'artistes nationaux et internationaux[47].
- Monument aux morts[48].
Cabris et la télévision
Pendant prĂšs dâune semaine, plusieurs personnes habitant un mĂȘme village, Cabris dans les Alpes-Maritimes, vont vivre sans Ă©lectricitĂ©. Diffusion : mardi 3 janvier 2012, 20 h 35 sur France 2.
Personnalités liées à la commune
- Romain Langasque (1995) : golfeur.
- Richard Anthony (1938-2015) a vécu à Cabris et repose au cimetiÚre du village.
- Max Gallo (1932-2017) : écrivain et homme politique français, membre de l'Académie française. Il repose au cimetiÚre de SpéracÚdes[49].
- Catherine Gide (1923-2013) : écrivaine, fille légitimée d'André Gide et d'Elisabeth Van Rysselberghe a résidé à Cabris durant de longues années.
- Pierre Herbart (1903-1974) : écrivain, résistant, mari d'Elisabeth Van Rysselberghe, est inhumé à Cabris.
- Jean Marais (1913-1998) a vĂ©cu une dizaine d'annĂ©es Ă Cabris oĂč un boulevard porte son nom.
- Alexandre de Marenches (1921-1995) : homme politique, conseiller des présidents Ronald Reagan et Valéry Giscard d'Estaing.
- Maurice Boitel (1919-2007) : peintre, a peint de nombreuses Ćuvres Ă Cabris en 1955.
- Aline Mayrisch de Saint-Hubert (1874-1947) : femme de lettres et mécÚne luxembourgeoise, qui a vécu à Cabris de 1939 à sa mort, accueillit Gide et ses amis dans sa propriété de La MessuguiÚre au début de la DeuxiÚme Guerre mondiale.
- Jules Moch (1893-1985) : ingénieur des mines, ministre à plusieurs reprises sous la TroisiÚme République et surtout la QuatriÚme République, inhumé à Cabris[50].
- Jean Carles (1892-1966) : parfumeur, célÚbre « nez », venait en famille à Cabris.
- Marie de Saint-Exupéry (1875-1972) : mÚre de l'écrivain, a résidé à Cabris de 1938 à son décÚs.
- De nombreux Ă©crivains ont habitĂ© ou sĂ©journĂ© Ă Cabris : Antoine de Saint-ExupĂ©ry, AndrĂ© Gide, Albert Camus, Henri Thomas, Roger Martin du Gard, Jean-Paul Sartre et Simone de BeauvoirâŠ
HĂ©raldique
Blason | Parti : au 1er d'azur Ă la chĂšvre saillante d'argent, au 2e de gueules Ă la clef renversĂ©e et contournĂ©e d'or surmontĂ©e de trois chevronels du mĂȘme[51]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Un calcul simple montre qu'un rayon lumineux allant de la place de l'église de Cabris à l'altitude de 1060 m en Corse rase (tangente) la surface de la Méditerranée ; dÚs lors seule la chaßne des montagnes corses au-dessus de 1060 m est visible de Cabris.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Manu Pietri, « Les plus hauts sommets de Corse », sur Montagnes de Corse: escalade, raids à ski avec des guides (consulté le )
- Didacticiel de la rĂšglementation parasismique
- L'eau dans la commune
- Description de la station
- Table climatique
- Horaire de la ligne Sillages Ă la demande no 307
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
- Plan local d'urbanisme
- PĂ©rimĂštre du SCoTâOuest
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Scipion du Roure, les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669), tome III, Bergerac, 1923, pages 213-215 (lire en ligne).
- MĂ©moires de lâInstitut historique de Provence, 1934, page 247. Compte-rendu sur lâouvrage du marquis de Grasse.
- Dominique Robert de Briançon, L'Ătat de la Provence, volume 2, 1693, page 193.
- NoĂ«l Coulet, Affaires d'argent et affaires de famille en Haute Provence au XIVe siĂšcle, Ăcole Française de Rome, 1992, page 17.
- GeneviÚve Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 422.
- Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, Principauté d'Orange, Comté de Nice, et Principauté de Monaco, par E. Baratier, G. Duby, E. Hildesheimer (Atlas Belfram, Paris, Armand Colin, 1969).
- Né à Cabris en 1866, il a laissé son nom au canal d'alimentation en eau qu'il a fait construire, achevé en 1931 ; cf. Nice-Matin, 19 juillet 2011, p. 7.
- J.O. du 24-02-1941
- Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
- « Cabris », sur http://www.acteurspublics.com/, Acteurs Publics (consulté le )
- Les comptes de la commune
- Chiffres clĂ©s Ăvolution et structure de la population. Dossier complet
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Ătablissements d'enseignements
- Professionnels et établissements de santé
- Paroisse Sainte Marie des Sources
- GĂźtes, Chambres d'hĂŽtes
- Auberge du vieux chĂąteau
- Restaurants
- Grottes des Audides parc préhistorique
- Dolmen du Collet de Stramousse et Dolmen de Pomereit
- Site Archeoprovence
- Ăglise Notre-Dame-de-l'Assomption
- Le village de Cabris
- Chapelle Sainte-Marguerite
- Site de l'office du tourisme de cabris
- Monument aux morts, Conflits commémorés 1914-1918
- https://www.geneanet.org/cimetieres/view/8557257/persons/?individu_filter=GALLO%2BMax
- https://www.geneanet.org/cimetieres/view/1518876/persons/?individu_filter=MOCH%2BJules+Salvador
- Dominique Cureau, « Terres de Siagne : Cabris », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton Ă Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Ăditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 1077 p. (ISBN 2-84234-071-X)Canton de Saint-Vallier-de-Thiey : pp. 875 Ă 878 : Cabris
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chĂąteaux et des fortifications du moyen Ăąge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4Ăšme trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Cabris, p. 218
- NoĂ«l Coulet, Affaires dâargent et affaires de famille en Haute-Provence au XIVe siĂšcle : Le dossier du procĂšs de Sybille de Cabris contre Matteo Villani et la compagnie des Buonaccorsi, Rome, Ăcole française de Rome, 1992. (ISBN 2-7283-0247-2)
- Anne-Marie Prat, Il Ă©tait une fois⊠Cabris, Alandis Ăditions, 2005.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de l'office de tourisme
- Cabris sur le site de l'Institut géographique national
- Site de la Direction RĂ©gionale de lâEnvironnement, de l'AmĂ©nagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections rĂ©glementaires de l'environnement des communes
- Cartes postales de Cabris