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Cabris

Cabris [kabʁis] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Alpes-Maritimes, en rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur.

Cabris
Cabris
Cabris.
Blason de Cabris
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Pierre Bornet
2020-2026
Code postal 06530
Code commune 06026
DĂ©mographie
Gentilé Cabriencs
Population
municipale
1 386 hab. (2020 en augmentation de 6,62 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 255 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 39â€Č 25″ nord, 6° 52â€Č 28″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 762 m
Superficie 5,43 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Cannes - Antibes
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Grasse-1
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Cabris
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Cabris
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Cabris
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Cabris

    Ses habitants sont appelés les Cabriencs.

    GĂ©ographie

    Localisation - Communes limitrophes

    Cabris est situĂ©e Ă  proximitĂ© (au Nord-Ouest) de Grasse (km); Ă  faible distance de Cannes (30 km) et non Ă©loignĂ©e de Nice (48 km).

    Du haut des 550 m d'altitude, les nombreux points de vue offrent un magnifique paysage sur la mer MĂ©diterranĂ©e.

    À proximitĂ©, on trouve de nombreux autres villages tels que SpĂ©racĂšdes, Le Tignet, Saint-CĂ©zaire-sur-Siagne, Saint-Vallier-de-Thiey, Peymeinade.

    GĂ©ologie et relief

    Vue du pays de Grasse et du lac de Saint-Cassien depuis Cabris.

    Village perché avec vue sur le Massif du Tanneron, sur la mer Méditerranée et le Golfe de La Napoule, sur le Lac de Saint-Cassien et le Massif de l'Esterel.

    La Corse vue de Cabris

    La Corse est visible en vue directe depuis la place de l'Ă©glise par temps clair le matin en hiver. L' altitude de Cabris (550 m) permet la vue directe des montagnes corses situĂ©es Ă  plus de 1 000 m d'altitude[1] - [Note 1].

    La ligne des sommets de la Corse vue du village de Cabris. Photo prise fin janvier au matin juste avant le lever du soleil (fort Mistral la veille)

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité modérée[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Production d'eau[3] :

    • 7 Sources,
    • 2 puits.

    Cabris dispose de la station d'Ă©puration intercommunale de Peymeinade d'une capacitĂ© de 20 000 Équivalent-habitants[4].

    Climat

    Climat classé Cfb dans la classification de Köppen et Geiger[5].

    Voies routiĂšres

    Le village est accessible via la route de Cabris (D 4) ainsi que la D 11.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur

    Le village est desservi par plusieurs lignes du réseau Sillages :

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

    Urbanisme

    Typologie

    Cabris est une commune urbaine[Note 2] - [7]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[8] - [9]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Nice, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 51 communes[10] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomĂ©ration de Nice est la septiĂšme plus importante de la France en termes de population, derriĂšre celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[11] - [12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cannes - Antibes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[13] - [14].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[15].

    La commune est intĂ©grĂ©e dans le PĂ©rimĂštre du SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale (SCoT’Ouest actĂ© par ArrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le 23 mai 2007[16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (61 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (64,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (51,2 %), zones urbanisĂ©es (36,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (9,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    • de Cabriis v1200. E. NĂšgre
    • Cabris = Le cabri est le petit de la chĂšvre
    • Pourcieux = Le lieu d' Ă©levage des porcs
    • Audides / Oudides = Les Ă©chos
    • La prouveresse

    Histoire

    Proto-Histoire & AntiquitĂ© (××⇔500)

    Sur le territoire cabrienc, une premiĂšre agglomĂ©ration a vu le jour dĂšs le nĂ©olithique (2 500 ans av. J.-C.).

    Haut Moyen Âge (500⇔1000)

    Point de départ du village, au sud-est et à km à vol d'oiseau du village actuel, se trouve le site du Mousteyret lequel fut appelé Cabrios Mostaïré puis Monestié; les vestiges de cette époque sont encore trÚs visibles avec en leur centre la partie « rescapée » de l'église que les moines de Lérins vinrent y implanter vers 940/950.

    Ce site antique est désormais complÚtement délaissé.

    Moyen Âge central (1000⇔1350)

    La construction de chùteau et des premiÚres maisons trouvent leur place durant cette période. Vers 1221 Bertrand de Grasse (que certains auteurs disent descendant des seigneurs d'Antibes fondés par Rodoard et parent des de Grasse du Bar sans qu'aucun document ne le prouve et que cela est contesté par d'autres auteurs)[19] - [20], fit des acquisitions dans la terre de Cabris et lui et ses descendants y fixÚrent leur demeure[21].

    Raymond de Grasse († 1351), chevalier, seigneur de Cabris participa à l'aventure angevine dans le royaume de Naples[22].

    La grande peste de 1348

    Le village est anéanti par l'épidémie de peste de 1348 et devient un village fantÎme durant prÚs de 150 ans.

    Bas Moyen Âge aprùs la grande peste de 1348

    Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, Jean de Grasse, seigneur de Cabris, soutient Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Le ralliement de Grasse Ă  la cause angevine, en 1386, entraĂźne son changement d’engagement, et il prĂȘte hommage au jeune duc d’Anjou, Louis II[23].

    La renaissance du village vers 1500

    Plaque commémorative de la fondation (en 997) et de la renaissance (en 1497) du village de Cabris

    En 1496 1497, Balthazar de Grasse, seigneur de Cabris fait venir de Ligurie 52 familles de paysans pauvres qui ré investissent les lieux désertés 150 ans plus tÎt. Un bon nombre des actuels habitants du village sont les descendants des familles d'immigrés de l'an 1497.

    Renaissance & Époque royale (1500⇔1789)

    Seigneurie de la famille de Grasse-Cabris depuis le dĂ©but du XIIIe siĂšcle, Cabris passe dans la famille de Clapiers de GrĂ©oux, par mariage en 1655, qui gardera le fief jusqu’à la RĂ©volution[24].

    RĂ©volutions & Empires (1789⇔1848)

    AprÚs la Révolution le village de Cabris devient le chef-lieu d'une commune constituée du territoire de l'ancien marquisat qui recouvre, outre Cabris, les actuelles communes de SpéracÚdes, Peymeinade & Le Tignet.

    Époque contemporaine (1848⇔1950)

    Vers 1870 Peymeinade est séparée de Cabris.

    Jusqu'en 1910 SpéracÚdes et Cabris ne forment qu'une seule commune ; le téléphone était inexistant et il fallait une heure de marche pour aller de SpéracÚdes au chef-lieu; aujourd'hui cinq minutes en voiture suffisent.

    Époque actuelle

    En 2012, une dizaine de familles de Cabris participent à un jeu collectif télévisé consistant à vivre sans électricité durant une semaine ; le lavoir communal a repris du service.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires de Cabris successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Elie Etienne Lavenne SE
    1911 1934 Michel Belletrud Médecin psychiatre, conseiller général[25]
    1934 février 1941
    (révoqué)[26]
    Octave Gras SFIO Ingénieur
    Révoqué par le Gouvernement de Vichy
    février 1941 novembre 1944 délégation spéciale
    Paul Reverdi SE
    Antoine PĂ©lisse SE
    Marcel Blanc SE
    Vers 1955 Vers 1965 Jean Padovani SE Gendre de Michel Belletrud
    Vers 1969 Vers 1969 Lucien Michel SE A planté l' Olivier du Centenaire
    mars 1989 mars 2008 Michel Joly SE Inspecteur Telecoms
    mars 2008 En cours Pierre Bornet[27] SE[28] Chirurgien

    Budget et fiscalité 2016

    L'hĂŽtel de ville.

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 084 000 â‚Ź, soit 803 â‚Ź par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 916 000 â‚Ź, soit 678 â‚Ź par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 321 000 â‚Ź, soit 238 â‚Ź par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 334 000 â‚Ź, soit 248 â‚Ź par habitant ;
    • endettement : 686 000 â‚Ź, soit 508 â‚Ź par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 8,58 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s bĂąties : 5,85 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 14,10 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 0,00 % ;
    • cotisation fonciĂšre des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2015 : mĂ©diane en 2015 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 24 619 â‚Ź[30].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[32].

    En 2020, la commune comptait 1 386 habitants[Note 4], en augmentation de 6,62 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8001 7001 7731 7371 8481 7951 7571 7851 787
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7351 7251 6421 0691 018920829779783
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    725693400339318347326321387
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    4896587701 1311 3071 4721 5341 5581 404
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 3001 3801 386------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[35] :

    • Écoles maternelle et primaire,
    • CollĂšges Ă  Peymeinade, Grasse,
    • LycĂ©es Ă  Grasse.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[36] :

    • MĂ©decins Ă  Cabris, SpĂ©racĂšdes,
    • Jusqu'en 2010 l'Office de tourisme occupait les locaux devenus la maison mĂ©dicale,
    • Pharmacies Ă  Cabris, Le Tignet,
    • HĂŽpitaux Ă  Cabris, Grasse.

    Cultes

    Manifestations culturelles et festivités

    • L'Appel de l'Ăąne - La crĂšche vivante : le soir de NoĂ«l, un grand feu est allumĂ© dans le prĂ©. Marie (une jeune fille du village) montĂ©e sur un Ăąne va jusqu'Ă  l'Ă©glise accompagnĂ©e du tambourinaire, du joueur de galoubetet de bergers en costumes d'autrefois. Au cours de la traversĂ©e du village, la procession rĂ©veille des villageois qui s'interpellent en provençal en annonçant la bonne nouvelle : la naissance du Sauveur. À l'arrivĂ©e Ă  l'Ă©glise a lieu la messe de minuit. Manifestation crĂ©e en 1949 par le pĂšre Baillet et la comtesse de Saint-ExupĂ©ry.
    • FĂȘte de la St Roch : FĂȘte patronale se dĂ©roulant sur 3 jours autour du 15 aoĂ»t, Bal/Concerts, procession, messe et aĂŻoli
    • Brocantes vide-greniers : en moyenne 200 exposants dans le grand prĂ© (avril, juillet, septembre)
    • FĂȘte des Bergers, concours de chiens de berger, mĂ©tiers anciens (mai)
    • MarchĂ© artisanal, 40 exposants (mai ou juin)
    • Cirque Arlette Gruss, 9 reprĂ©sentations (juillet - aoĂ»t), prĂ©sent tous les Ă©tĂ©s dans le grand prĂ©
    • CommĂ©moration de Saint-ExupĂ©ry, parade militaire et hommage sur la place Ă©ponyme (juillet)
    • MarchĂ© de NoĂ«l, 40 exposants (dĂ©cembre)
    • Expositions d'art et d'artisanat d'art de mai Ă  septembre Ă  la chapelle Sainte-Marguerite

    Économie

    Agriculture

    Les principales ressources agricoles de la commune sont l’olĂ©iculture et l'Ă©levage.

    Tourisme

    • GĂźtes, Chambres d'hĂŽtes[38]
    • Auberge du vieux chĂąteau[39].
    • Sept restaurants[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La belle fresque murale du restaurant « La ChĂšvre d'Or Â» agrĂ©mente le Rond-Point de la chĂšvre.
    Bien connue des Cabriencs, la statue « profil Â» de la chĂšvre orne le rond-point Ă©ponyme.
    • Grotte des Audides[41] : la grotte Ă©tait habitĂ©e dĂšs l'aube de l'humanitĂ© comme l'attestent les outils taillĂ©s, fossiles et ossements retrouvĂ©s. Six gouffres ont Ă©tĂ© dĂ©couverts en 1988. Sur 60 mĂštres de profondeur - le tiers de ce qui a Ă©tĂ© explorĂ© -, on y observe le paysage gĂ©ologique d'un aven en pleine activitĂ© de concrĂ©tionnement, avec son cours d'eau souterrain. La cavitĂ© s'ouvre sur le territoire de la commune voisine de Saint-Vallier-de-Thiey.
    • Dolmen de Stramousse et Dolmen de Pomeiret[42] : sĂ©pultures mĂ©galithiques Ă©rigĂ©es au Chalcolithique. Article complet dans l'inventaire des mĂ©galithes des Alpes-Maritimes sur le site Archeoprovence[43].
    • Édifices religieux : l'Ă©glise Notre-Dame-de-l'Assomption, construite au XVIIe siĂšcle, abrite des reproductions d’Ɠuvres de Murillo[44]. Les chapelles sont au nombre de quatre : Saint-SĂ©bastien, Sainte-Marguerite, Saint-Jean Baptiste et Saint-Jean de Pape et sont Ă©difiĂ©es aux quatre coins du village[45]. Chaque Ă©tĂ©, la chapelle Sainte-Marguerite[46] accueille les Ɠuvres d'artistes nationaux et internationaux[47].
    • Monument aux morts[48].

    Cabris et la télévision

    Pendant prĂšs d’une semaine, plusieurs personnes habitant un mĂȘme village, Cabris dans les Alpes-Maritimes, vont vivre sans Ă©lectricitĂ©. Diffusion : mardi 3 janvier 2012, 20 h 35 sur France 2.

    Personnalités liées à la commune

    Tombe de Richard Anthony, inhumé à Cabris (Alpes-Maritimes).
    Antoine & Marie (sa mÚre) de Saint-Exupéry à Cabris dans les années trente - Plaque commémorative apposée Place Antoine de Saint-Exupéry à Cabris en 1994, cinquantiÚme anniversaire de la disparition de l'écrivain.

    HĂ©raldique

    Blason de Cabris Blason
    Parti : au 1er d'azur Ă  la chĂšvre saillante d'argent, au 2e de gueules Ă  la clef renversĂ©e et contournĂ©e d'or surmontĂ©e de trois chevronels du mĂȘme[51].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Un calcul simple montre qu'un rayon lumineux allant de la place de l'église de Cabris à l'altitude de 1060 m en Corse rase (tangente) la surface de la Méditerranée ; dÚs lors seule la chaßne des montagnes corses au-dessus de 1060 m est visible de Cabris.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Manu Pietri, « Les plus hauts sommets de Corse », sur Montagnes de Corse: escalade, raids à ski avec des guides (consulté le )
    2. Didacticiel de la rĂšglementation parasismique
    3. L'eau dans la commune
    4. Description de la station
    5. Table climatique
    6. Horaire de la ligne Sillages Ă  la demande no 307
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    15. Plan local d'urbanisme
    16. PĂ©rimĂštre du SCoT’Ouest
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    19. Scipion du Roure, les maintenues de noblesse en Provence, par Belleguise (1667-1669), tome III, Bergerac, 1923, pages 213-215 (lire en ligne).
    20. MĂ©moires de l’Institut historique de Provence, 1934, page 247. Compte-rendu sur l’ouvrage du marquis de Grasse.
    21. Dominique Robert de Briançon, L'État de la Provence, volume 2, 1693, page 193.
    22. NoĂ«l Coulet, Affaires d'argent et affaires de famille en Haute Provence au XIVe siĂšcle, École Française de Rome, 1992, page 17.
    23. GeneviÚve Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, p. 422.
    24. Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, Principauté d'Orange, Comté de Nice, et Principauté de Monaco, par E. Baratier, G. Duby, E. Hildesheimer (Atlas Belfram, Paris, Armand Colin, 1969).
    25. Né à Cabris en 1866, il a laissé son nom au canal d'alimentation en eau qu'il a fait construire, achevé en 1931 ; cf. Nice-Matin, 19 juillet 2011, p. 7.
    26. J.O. du 24-02-1941
    27. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
    28. « Cabris », sur http://www.acteurspublics.com/, Acteurs Publics (consulté le )
    29. Les comptes de la commune
    30. Chiffres clĂ©s Évolution et structure de la population. Dossier complet
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Établissements d'enseignements
    36. Professionnels et établissements de santé
    37. Paroisse Sainte Marie des Sources
    38. GĂźtes, Chambres d'hĂŽtes
    39. Auberge du vieux chĂąteau
    40. Restaurants
    41. Grottes des Audides parc préhistorique
    42. Dolmen du Collet de Stramousse et Dolmen de Pomereit
    43. Site Archeoprovence
    44. Église Notre-Dame-de-l'Assomption
    45. Le village de Cabris
    46. Chapelle Sainte-Marguerite
    47. Site de l'office du tourisme de cabris
    48. Monument aux morts, Conflits commémorés 1914-1918
    49. https://www.geneanet.org/cimetieres/view/8557257/persons/?individu_filter=GALLO%2BMax
    50. https://www.geneanet.org/cimetieres/view/1518876/persons/?individu_filter=MOCH%2BJules+Salvador
    51. Dominique Cureau, « Terres de Siagne : Cabris », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Collectif (dir.), Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton Ă  Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 1077 p. (ISBN 2-84234-071-X)
      Canton de Saint-Vallier-de-Thiey : pp. 875 Ă  878 : Cabris
    • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des chĂąteaux et des fortifications du moyen Ăąge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4Ăšme trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
      Cabris, p. 218
    • NoĂ«l Coulet, Affaires d’argent et affaires de famille en Haute-Provence au XIVe siĂšcle : Le dossier du procĂšs de Sybille de Cabris contre Matteo Villani et la compagnie des Buonaccorsi, Rome, École française de Rome, 1992. (ISBN 2-7283-0247-2)
    • Anne-Marie Prat, Il Ă©tait une fois
 Cabris, Alandis Éditions, 2005.

    Articles connexes

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