Accueil🇫🇷Chercher

CC 65000

Les CC 65000 sont une série de vingt locomotives Diesel-électriques commandées par la SNCF le 1er février 1955.

CC 65000
Description de cette image, également commentée ci-après
La CC 65001 à la Cité du train de Mulhouse.
Identification
Exploitant(s) SNCF
DĂ©signation 060 DB 1-20 puis
CC 65001 Ă  65020
Surnom Sous-marin
Type Locomotive Diesel
Motorisation Diesel-Ă©lectrique
Constructeur(s) Alstom, CAFL, SACM
Mise en service 1957-1958
Retrait 1988
Affectation Ouest
Préservation CC 65001 et 65005
Caractéristiques techniques
Disposition des essieux Co'Co'
Écartement standard (1 435 mm)
Carburant gazole
Moteur thermique 2 * SACM MGO VSHR
V12 680 kW
Moteurs de traction 6 * TA 643 A1 Alstom
180 V Ă  ventil. forcĂ©e
Puissance continue 970 kW
Masse en service 112 t
Longueur 19,814 m
Vitesse maximale 80 / 130 km/h

Elles constituent, avec les CC 65500, les premières locomotives diesel « de ligne Â» de construction française et sont conçues pour assurer un service mixte, marchandises et voyageurs. La première d'entre elles est livrĂ©e au dĂ©pĂ´t de La Rochelle-Bongraine en dĂ©cembre 1956. Ces locomotives interviennent surtout sur la transversale Nantes — Bordeaux et les antennes qui s'y rattachent. De leur livraison Ă  la fin des annĂ©es 1970, elles figurent en tĂŞte de trains de marchandises et de rames de voyageurs. Par la suite, leur activitĂ© est rĂ©duite Ă  la traction des trains de marchandises bien souvent en unitĂ©s doubles.

La série est retirée du service entre 1981 et 1988 mais deux exemplaire sont préservés : la CC 65001 à la Cité du train à Mulhouse et la CC 65005 par le Train des mouettes (en 2022, garée pour restauration à Saintes).

Origine

En 1954, la SNCF lance un appel d'offres pour la construction de machines de ligne à moteur Diesel. Elle souhaite en effet abandonner au plus vite la traction vapeur car elle l'estime bien trop onéreuse (en hommes, en combustible et en maintenance au regard du faible nombre d'heures de service), en évitant pour autant d'électrifier tout son réseau, ce qui serait très coûteux. Elle envisage donc de tester, sur une large zone géographique, la faisabilité et la rentabilité de la traction Diesel[C 1].

La SNCF lance deux projets, l'un pour des locomotives lourdes destinées au trafic marchandises, les futures CC 65500, l'autre pour des machines plus légères, capables de tracter des trains de marchandises comme des rames de voyageurs. Alsthom répond à ce second appel d'offres, dont le cahier des charges est exigeant[C 2] :

  • poids adhĂ©rent de cent tonnes ;
  • charge maximum par essieu de dix huit tonnes pour circuler sur des voies secondaires ;
  • effort Ă  la jante Ă  vingt kilomètres Ă  l'heure : 15 800 kgf ; Ă  120 km/h : 2 610 kgf ;
  • utilisation de fioul domestique comme carburant ;
  • chaudière Ă  vapeur pour le chauffage des voitures ;
  • vitesse maximale de 130 km/h ;
  • cabine de conduite Ă  chaque extrĂ©mitĂ©.

Les locomotives sont destinées à assurer tout type de trafic : voyageurs express, messageries et marchandises sur les liaisons Bordeaux-Nantes et La Rochelle-Poitiers. Elles doivent y remplacer l'ancien parc de locomotives à vapeur formé par les 231 F, 141 R, 141 C et 140 C.

Description

Caractéristiques techniques

La CC 65001 conservée à la Cité du Train à Mulhouse.

Afin que la machine puisse circuler sur toutes les lignes, la charge par essieu est ramenée à dix-sept tonnes. Les 060 DB sont donc des machines « légères », mais disposant de beaucoup de puissance (pour tracter les trains de marchandises) et d'une chaudière à gazole (pour chauffer les rames de voyageurs en hiver) installée dans la caisse entre les moteurs Diesel.

Les deux moteurs MGO Ă  douze cylindres en V suralimentĂ©s dĂ©veloppent chacun 930 ch Ă  1 500 tr/min. Ils sont très proches de ceux Ă©quipant les BB 63000, les X 2720 et X 2800. Un essai est fait avec des moteurs de seize cylindres. Ces moteurs sont construits sous licence MGO par la sociĂ©tĂ© SACM Ă  Mulhouse. Les locomotives comportent une gĂ©nĂ©ratrice principale GP 830 M par groupe-moteur ; ceux-ci peuvent ĂŞtre isolĂ©s, permettant Ă  la locomotive de fonctionner Ă  demi-puissance en cas d'avarie d'un groupe[C 3] - [1]. AlimentĂ©e par les batteries, la gĂ©nĂ©ratrice fait aussi office de dĂ©marreur pour le moteur Diesel[C 4].

Outre les moteurs Diesel, les CC 65000 utilisent des équipements déjà éprouvés, comme les bogies très proches de ceux des CC 7100, bien que plus légers. Les six moteurs électriques de traction Alsthom TA 643 A sont suspendus par le nez et disposent d'une ventilation forcée, chaque moteur attaquant un essieu[C 5].

Le manipulateur, caractéristique, comprend une commande marche avant/marche arrière avec les positions série/parallèle et point mort, ainsi qu'en un volant avec les positions neutre, lancement et huit crans de traction plus les poignées de la veille automatique[2].

Les locomotives possèdent deux rĂ©gimes de marche, autorisant une vitesse maximale de 80 km/h (marchandises) ou 130 km/h (voyageurs)[C 6]. D'une puissance unitaire de 970 kW (1 800 ch), elles sont aptes Ă  la marche en unitĂ©s multiples (un seul conducteur pour plusieurs locomotives) et, Ă  cet effet, disposent de portes frontales d'intercirculation permettant le passage d'une locomotive Ă  l'autre ; dans la pratique, ces portes ne sont jamais utilisĂ©es et cet amĂ©nagement n'est reconduit sur aucune sĂ©rie ultĂ©rieure[3]. En raison de l'Ă©troitesse de leur compartiment interne, peu accessible, ces locomotives sont affublĂ©es du surnom de « Sous-marins Â»[4] - [C 6].

Livrée

Le dessin de la locomotive, inspirĂ© des machines amĂ©ricaines disposant de capots proĂ©minents et de postes de conduite surĂ©levĂ©s, ainsi que sa livrĂ©e sont dus au styliste Paul Arzens[C 7]. Ă€ leur sortie d'usine, les CC 65000 reçoivent une livrĂ©e uniforme bleu roi 203 avec motifs frontaux et filet « crème autorail Â» 407. Dans les annĂ©es 1960, leur dĂ©coration se rapproche de celle des autres locomotives Diesel de ligne : caisse « bleu Diesel Â» clair 205 avec du « bleu Diesel Â» foncĂ© 206 en partie supĂ©rieure et sur le pavillon, filet et motifs frontaux (dont la surface est rĂ©duite) blanc cassĂ© 703[C 8] - [5].

Carrière

Le nombre de CC 65000 nécessaires est d'abord évalué à cinquante, mais après la livraison des quinze premiers exemplaires et la mise en service des BB 66000, la série est limitée à vingt locomotives en deux commandes de quinze puis cinq locomotives, respectivement passées le puis le [C 9] pour des mises en service commercial s'échelonnant du au .

Marches d'essais

En prĂ©alable Ă  leur mise en service commercial plusieurs CC 65000 se livrent Ă  des essais destinĂ©s Ă  valider leurs qualitĂ©s au cours du dernier trimestre 1956 et au dĂ©but de l'annĂ©e 1958. En octobre 1956, des essais conduisent la 060 DB 1 de Belfort Ă  Vesoul et de Belfort Ă  Épinal ; la locomotive dĂ©marre notamment une rame de mille cent tonnes en rampe de 10 â€° avec un effort au crochet de vingt trois tonnes. En dĂ©cembre 1956, la mĂŞme locomotive effectue des marches d'essais de Paris-Saint-Lazare Ă  Évreux et de Paris-Saint-Lazare Ă  Mantes-la-Jolie oĂą elle est prĂ©sentĂ©e Ă  Charles Boyaux, alors directeur gĂ©nĂ©ral de la SNCF. En 1957, des essais conduisent la 060 DB 2 d'Étampes Ă  Pithiviers.

En octobre 1958, les 060 DB 5 et 8 se rendent sur la ligne Marseille à Nice et Vintimille, l'électrification de cette section n'étant encore pas décidée[C 10].

Utilisation en service mixtes, voyageurs et marchandises

La CC 65017 de passage au dépôt de Saintes le 17 juillet 1974.

Les 060 DB 1 Ă  16, 18 et 20 sont attribuĂ©es Ă  la rĂ©gion Ouest et le dĂ©pĂ´t de la Rochelle-Bongraine devient alors titulaire de ces machines, leur fief allant de Nantes Ă  Bordeaux (376 km), de La Rochelle Ă  Poitiers (147 km) et d'AngoulĂŞme Ă  Royan (113 km) avec des incursions sur PaimbĹ“uf, Fouras et le Chapus. Le choix de ce dĂ©pĂ´t n'est pas le fruit du hasard : La Rochelle est non seulement une gare de bifurcation, situation idĂ©ale pour vĂ©rifier que les 060 DB sont vraiment des machines mixtes, mais elle est aussi proche des raffineries de la Loire-Atlantique et de la Gironde, ce qui facilite grandement l'approvisionnement en gazole[6]. Les 060 DB 17 et 19, rejointes en 1958 par les 060 DB 13, 14 et 15, sont affectĂ©es Ă  des navettes entre les triages de Saint-Louis en France et Bâle-Muttenz en remplacement de locomotives Ă  vapeur et dĂ©pendent du dĂ©pĂ´t de Mulhouse-Ile-NapolĂ©on[C 11]. La livraison des locomotives destinĂ©es Ă  la SNCF est lĂ©gèrement retardĂ©e pour qu'Alsthom puisse honorer la commande argentine de 24 engins par la compagnie du chemin de fer General Roca[C 6]. Trente-six machines en commande optionnelle et non confirmĂ©e par la SNCF seront vendues Ă  la SNCFA ( chemins de fer algĂ©riens )

En 1962, dans le cadre du plan général de renumérotation des engins moteurs de la SNCF, les 060 DB deviennent CC 65001 à 20 dans l'ordre de leur numérotation initiale[C 12].

En 1968, Nantes et la Rochelle reçoivent des BB 63500, qui viennent compléter l'effectif insuffisant des 65000 et permettent ainsi l'amélioration du service. Roulant, souvent en unité multiple, en tête des trains de voyageurs, les CC 65000 sont retirées de ce service sur la ligne Nantes — La Rochelle en 1971, avec l'arrivée des CC 72000, les chaudières étant déposées en 1978. En période de pointe, les CC 65000 se retrouvent parfois en tête de trains militaires ou de pèlerins, ou dans des compositions particulières[7].

En tĂŞte des seuls trains de marchandises

Nantes devient titulaire de ces machines lors de la fermeture du dĂ©pĂ´t de la Rochelle. Les CC 65000 n'Ă©tant plus aptes Ă  remorquer des rames de voyageurs après la dĂ©pose de leur chaudière — celle-ci devient inutile dès lors que les rames voyageurs sont composĂ©es de voitures Corail, chauffĂ©es Ă©lectriquement —, les dix dernières annĂ©es de leur service sont dĂ©volues Ă  des messageries et des trains de rĂ©gime ordinaire (RO), le plus souvent en unitĂ© double pour ne pas trop solliciter les moteurs[8]. Jusqu'en 1983, ces engins effectuent des parcours mensuels supĂ©rieurs Ă  9 000 km.

La carrière de la CC 65010 s'est arrêtée en 1981 par sa radiation à la suite d'un accrochage au dépôt de Bordeaux et celle de la CC 65014 en 1984 alors qu'elle était en réparation différée (RD). D'autres ont été garées en bon état, les A1AA1A 68000 et les BB 67000, puis les CC 72000, prenant petit à petit la relève[C 13].

Le transfert de quelques unités sur le chantier de construction de la ligne du TGV Atlantique est étudié, ce qui offrirait un sursis à ces machines trentenaires, mais il n'a pas eu lieu, les locomotives étant jugées trop anciennes, insuffisamment puissantes et d'un coût de maintenance trop élevé en raison de leur conception bimoteur[9].

Du au , les CC 65003 et CC 65012 sont envoyées sur la voie dite « des Gauches » à Villeneuve-Saint-Georges en raison d'indisponibilités de machines CC 65500 du dépôt de La Plaine[C 14].

Le record de kilomètres parcourus est rĂ©alisĂ© par la CC 65001 avec 4 110 248 km parcourus du au ; cette machine est prĂ©servĂ©e au MusĂ©e français du chemin de fer Ă  Mulhouse[C 15]. La principe d'une locomotive Diesel de sĂ©rie Ă  deux moteurs n'est plus jamais mis en application par la SNCF, les progrès technologiques permettant de construire des moteurs Diesel Ă  rotation rapide et de puissance Ă©levĂ©e[C 16].

Dessertes voyageurs

Dessertes marchandises

  • Nantes - Savenay - Donges
  • Nantes - La Rochelle - Rochefort - Saintes - Bordeaux
  • La Rochelle - Poitiers
  • AngoulĂŞme - Saintes
  • Saujon - GĂ©mozac
  • Rochefort - Le Chapus
  • Bordeaux - Hourcade
  • Saint-Mariens-Saint-Yzan - port de Blaye (dont en 1981)
  • Mulhouse - Saint-Louis - Bâle-Muttenz (de 1958 Ă  1960) en service international
  • Saint-Louis triage - Bâle-Muttenz (de 1958 Ă  1960) en service international

DĂ©pĂ´ts titulaires

Les CC 65000 sont, dès leur mise en service, affectées au dépôt de La Rochelle-Bongraine, à l'exception de cinq exemplaires qui rejoignent très vite le dépôt de Mulhouse-Île-Napoléon avant qu'elles ne reviennent à La Rochelle entre avril et . À la fermeture de ce dernier dépôt, l'ensemble de la série est muté au dépôt de Nantes-Blottereau où les dernières machines sont réformées le [C 17].

Si l'entretien ordinaire des locomotives est assuré par les dépôts titulaires, les révisions sont confiées à l'atelier de Nevers puis à celui de Sotteville-Quatre-Mares[C 18].

État du matériel au [C 15].
Engin Mise en service Radiation km parcourus Engin Mise en service Radiation km parcourus
CC 65001 DĂ©cembre 1956 4 110 248 CC 65011 3 894 556
CC 65002 3 937 570 CC 65012 3 957 143
CC 65003 3 850 999 CC 65013 3 521 205
CC 65004 3 912 329 CC 65014 3 464 697
CC 65005 3 759 063 CC 65015 3 552 439
CC 65006 3 925 112 CC 65016 3 421 914
CC 65007 3 898 483 CC 65017 3 467 830
CC 65008 3 758 637 CC 65018 3 603 424
CC 65009 3 763 664 CC 65019 3 444 310
CC 65010 ? CC 65020 3 577 292

Les CC 65000 hors de la SNCF

En 1956, les chemins de fer algĂ©riens passent commande de 8 locomotives dĂ©rivĂ©es des CC 65000 (060 DC 1 Ă  8). LivrĂ©es en 1957, elles en diffèrent par des moteurs MGO Ă  16 cylindres plus puissants (2 200 ch). Mises en service en 1957, elles sont affectĂ©es Ă  la traction de rames voyageurs ou de marchandises. Une commande supplĂ©mentaire de 28 locomotives est livrĂ©e entre 1958 et 1962 (060 DC 9 Ă  37). Ces dernières machines ne possèdent pas, Ă  la diffĂ©rence des prĂ©cĂ©dentes, de chaudière ; elles sont dĂ©volues Ă  la remorque de lourds trains de produits pĂ©troliers ou de minerai. Certaines 060 DC reçoivent des blindages de vitres de cabine. SupplantĂ©es par des sĂ©ries plus modernes, elles sont radiĂ©es, pour les dernières, en 1982[10].

C'est aussi en 1956 que la compagnie ferroviaire argentine General Roca commande 25 locomotives proches des CC 65000 (sĂ©rie 5201 Ă  5225 puis 8001 Ă  8025). Un peu plus puissantes, Ă©quipĂ©es de bogies pour voie large (1,676 m), dotĂ©es de systèmes d'Ă©clairage et de freinage diffĂ©rents des unitĂ©s françaises, elles n'ont pas de chaudière pour le chauffage de rames voyageurs. Elles commencent Ă  circuler en 1957, tractant toutes sortes de trains au dĂ©part de Buenos Aires. La dernière d'entre elles est rĂ©formĂ©e en 1981 mais un exemplaire est prĂ©servĂ© pour figurer dans un musĂ©e[11].

En 1957-1958, la locomotive 060 DB 6 effectue des essais sur le réseau espagnol de la Renfe après adoption d'un groupe électrogène (moteurs et génératrices) plus puissant et de bogies adaptés à la voie large ; ces essais ne débouchent cependant sur aucune commande[C 19].

Machines préservées

La CC 65001 est exposée à la Cité du train, à Mulhouse.

Image externe
CC 65005 Agrivap sur trainspo.com.

La CC 65005 fut restaurée en état de marche[4] par l'Agrivap pour la traction de navettes marchandises alimentant une cartonnerie sur la ligne du Train touristique du Livradois-Forez à partir de [12]. Ses prestations se réduisant au fil des années en raison de difficultés de maintenance au profit de machines plus récentes, elle cessa de rouler le . La locomotive fut revendue en 2021 au train des mouettes[13], qui la fit transférer au technicentre industriel SNCF de Saintes, début .

L'association des Trains à vapeur de Touraine (TVT) rachète en 1988-1989 les CC 65004, 65006 et 65012 qui sont transférées au dépôt de l'association à Richelieu. Après une période d'utilisation commerciale et touristique autour de Richelieu jusqu'en 1992 (Joué-lès-Tours — Chinon — Saint-Jean-de-Sauve, Chinon — Richelieu, Loudun — Le Bouchet et Arçay — Thouars), les CC 65004 et 65012 sont utilisées par la Société générale de chemins de fer et de transports automobiles (CFTA) dans le nord et l'est de la France puis mises à la ferraille à Gray en 1998. La CC 65006, pour sa part, est temporairement louée par l'entreprise de travaux ferroviaires R. Vecchietti — la raison sociale de l'entreprise est peinte en lettres rouges sur les flancs de la caisse — et employée à la traction de divers trains de chantiers ; elle est envoyée à la ferraille en 2003 à Clamecy où elle était garée depuis longtemps[14] - [15].

Modélisme

La CC 65001 Mistral Trains Models.

Les CC 65000 sont reproduites à l'échelle HO sous différents numéros et différentes livrées (SNCF, entreprises ou associations) par les firmes JEP, VB (puis Lejeune), HOrnby-acHO, Troby dans les années 1960, Atmofer, Carpena & Goupille(la CC65001 qui est décrite dans la revue de modélisme ferroviaire "Le Train"numéro 15 de mai 1989 pages 16 et 17) , DJH - Model Loco et plus récemment (2009) Mistral Trains Models[16] et Lematec[17].

Notes et références

  • « Les « sous-marins Â» - CC 65000 (ex-060 DB 1 Ă  20) Â», Le Train, 2001 :
  1. Constant, p. 11.
  2. Constant, p. 11-12.
  3. Constant, p. 20.
  4. Constant, p. 18.
  5. Constant, p. 23.
  6. Constant, p. 15.
  7. Constant, p. 16.
  8. Constant, p. 30-31.
  9. Constant, p. 13-14.
  10. Constant, p. 30.
  11. Constant, p. 33.
  12. Constant, p. 35.
  13. Constant, p. 37.
  14. Constant, p. 31.
  15. Constant, p. 39.
  16. Constant, p. 38.
  17. Constant, p. 32-34.
  18. Constant, p. 26-27.
  19. Constant, p. 31-32.
  • Autres rĂ©fĂ©rences :
  1. Didelot 2014, p. 38.
  2. Rémy Sarrade, « Au pupitre d'une CC 65000 », Ferrovissime, Auray, LR Presse, no 70,‎ , p. 53 (lire en ligne).
  3. Jehan-Hubert Lavie, « Les particularités des CC 65000 », Ferrovissime, Auray, LR Presse, no 70,‎ , p. 52 (lire en ligne).
  4. CC 65005, sur agrivap.fr. Consulté le 11 février 2012.
  5. Loïc Fieux, « 100 ans de Paul Arzens : panorama du diesel français », Correspondances ferroviaires, no 7,‎ , p. 23-24 (lire en ligne).
  6. Prévot 2014, p. 32.
  7. Didelot 2014, p. 41.
  8. Didelot 2014, p. 46.
  9. Didelot 2014, p. 51.
  10. Olivier Constant, « Les CC 65000 hors de France », Le Train, no 25 spécial « Les Diesel de ligne - tome 5 : Les CC 65000/65500 »,‎ , p. 41-44.
  11. Olivier Constant, « Les CC 65000 hors de France », Le Train, no 25 spécial « Les Diesel de ligne - tome 5 : Les CC 65000/65500 »,‎ , p. 44-45.
  12. Olivier Constant, « Et s'il n'en reste qu'une : la CC 65005 de l'Agrivap », Le Train, no 25 spécial « Les Diesel de ligne - tome 5 : Les CC 65000/65500 »,‎ , p. 88-93.
  13. « La CC 65005 bientôt de retour au bercail, par Anne JEANTET-LECLERC », sur lettreducheminot.fr (consulté le )
  14. « CC 65000 » [PDF], sur le site trainsso.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
  15. Frédéric Didelot, « La seconde vie des CC 65000 », Ferrovissime, Auray, LR Presse, no 70,‎ , p. 47 (lire en ligne).
  16. Yann Baude, « Test HO : 060 BD et CC 65000 », Loco Revue, no 479,‎ , p. 76-79 (lire en ligne).
  17. Yann Baude, « Les 060 BD & CC 65000 de Lematec en HO », Loco Revue, no 479,‎ , p. 61-62.

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • « Les Diesels de ligne Â», Rail Passion, no 11 hors sĂ©rie, .
  • « Les locomotives Diesel de vitesse : 60 ans d'Ă©popĂ©e thermique Â», Ferrovissime, no 4 hors-sĂ©rie, .
  • Olivier Constant, « Les « sous-marins Â» - CC 65000 (ex-060 DB 1 Ă  20) », Le Train, no 25 spĂ©cial « Les Diesel de ligne - tome 5 : Les CC 65000/65500 »,‎ , p. 8-39. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jacques Defrance, Le matĂ©riel moteur de la SNCF, La Vie du rail, (1re Ă©d. 1969), 655 p.
  • FrĂ©dĂ©ric Didelot, « Les CC 65000, une carrière en Loire et Gironde », Ferrovissime, Auray, LR Presse, no 70,‎ , p. 38-53 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jehan-Hubert Lavie, « Les sous-marins de l'Atlantique », Loco Revue, no 515,‎ , p. 329-335 (lire en ligne).
  • AurĂ©lien PrĂ©vot, « Les premières diesel aptes aux voyageurs comme aux marchandises », Ferrovissime, Auray, LR Presse, no 70,‎ , p. 30-37 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.