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CĂ©gep

Collège d’enseignement général et professionnel

La façade du Collège Ahuntsic, situé à Montréal.
Le Collège Dawson, un cégep anglophone situé à Westmount.

Un cégep (acronymie de collège d’enseignement général et professionnel[N 1] - [1]) est un type d'établissement d’enseignement collégial public et unique au Québec. Il s'agit, dans le système d'éducation québécois, d'études supérieures qui suivent les études secondaires et précèdent l'université. Les cégeps sont implantés depuis 1967 afin de favoriser l'accès aux études supérieures des Québécois. Le réseau des 48 cégeps est administré et financé par le gouvernement du Québec via le ministère de l'Enseignement supérieur[2].

Le terme cégep est souvent employé à tort dans le langage populaire pour désigner l'ensemble du système d'enseignement collégial et tous les types d'établissements.

L'enseignement collégial suit deux principaux parcours : les formations préuniversitaires et les formations techniques. Les formations préuniversitaires servent de préparation pour les études universitaires, tandis que les programmes techniques mènent à la pratique d'un métier technique (soins infirmiers, éducation spécialisée, techniques policières, etc.) ou à l'université. Les cégeps offrent également de la formation continue. Les études collégiales aboutissent à l'obtention d'un diplôme d’études collégiales (DEC) ou d'une attestation d’études collégiales (AEC)[3].

Histoire

Création

CĂ©gep Saint-Jean-sur-Richelieu

Les cégeps furent créés en 1967 par l'adoption du projet de loi 21 à l'Assemblée nationale du Québec. Ce projet de loi fut porté par Jean-Jacques Bertrand, ministre de l'Éducation dans le gouvernement de Daniel Johnson durant la Révolution tranquille. Le projet de loi 21 a été conçu à la suite du rapport de la Commission Parent, critiquant l'accès difficile, discriminatoire et onéreux aux études supérieures et le bas niveau de scolarité des Québécois. En effet, avant la réforme, deux ou trois années de plus étaient nécessaires aux francophones pour atteindre l'université que pour les anglophones (Conseil supérieur de l'éducation, 1988, page 94). De plus, les gens habitant en ville avaient beaucoup plus de chances de parvenir à cet échelon que les gens provenant des régions éloignées. Finalement, l'éducation postsecondaire était divisée en de nombreuses écoles parallèles, telles les écoles d'infirmières, (la plupart situées dans les hôpitaux), les écoles techniques (1907), les écoles d'arts et métiers (Québec) (1937-1976) financés par le Ministère du Bien-être social et de la Jeunesse[4], les écoles normales ou les collèges classiques.

Séminaire CÉGEP, 60, rue de l'Évêché Ouest, Rimouski.

Les cégeps ont donc été créés afin d'harmoniser le système d'éducation au Québec et de créer un système d'éducation équitable et diversifié pour tous en remplacement partiel du Cours classique dans les collèges privés menant vers des professions libérales. L'innovation des cégeps réside dans l'intégration des étapes terminales des formations technique et pré-universitaire, au sein d'un même institut. Cet institut permettrait de joindre les différentes écoles déjà présentes en un seul établissement, et qui serait implanté dans toutes les régions du Québec. Cela facilite l'accès à l'université ou au marché du travail dans des branches plus spécialisées, en même temps que la formation de citoyens critiques par le biais de la philosophie et de la littérature. Ce système est aussi considéré comme une phase transitoire entre l'école secondaire et l'université.

RĂ©forme Robillard

En 1993, la réforme Robillard a amorcé un travail de révision des programmes définis par le ministère de l'Éducation. Ces programmes ont été réévalués dans le but de correspondre aux attentes du marché du travail, pour qu'ils forment aux compétences définies par le marché du travail. Cette même réforme ajoute à la charge des professeurs la tâche de s'initier à l'enseignement stratégique, à l'approche par compétence, et à la demande de créer un cours d'intégration des acquis[5]. Finalement, on crée la commission d'évaluation de l'enseignement collégial, qui se charge de valider les plans de réussite des collèges, obligeant les collèges à avoir des taux de passage plus élevés pour obtenir leur subvention. L'approche par compétence, ainsi amalgamée, est dénoncée par les syndicats professoraux, faisant en sorte que les professeurs boycottent l'implantation de cette approche jusqu'en 1999. Toutefois, les techniques d'apprentissages utilisées par l'approche par compétence étaient déjà utilisées par certains professeurs au courant des nouvelles tendances en pédagogie.

La formation des maîtres fait place à la nouvelle pédagogie devant être intégrée aux cégeps : la pédagogie par compétences. Les enseignants furent encouragés à se perfectionner à l'aide de programmes pédagogiques dispensés par, entre autres, PERFORMA de l'Université de Sherbrooke[6].

Établissements

Les campus des 48 cégeps du Québec sont répartis dans les 17 régions administratives de la province. Un peu plus du quart d'entre eux sont situés sur l'île de Montréal[7].

Les 12 premiers cégeps ayant été inaugurés en septembre 1967 sont (par ordre alphabétique)[8]:

  1. CĂ©gep de l'Abitibi-TĂ©miscamingue
  2. Collège Ahuntsic
  3. CĂ©gep de Chicoutimi
  4. Collège Édouard-Montpetit
  5. Cégep de Jonquière
  6. CĂ©gep Limoilou
  7. Collège Lionel-Groulx
  8. Collège Maisonneuve
  9. CĂ©gep de l'Outaouais
  10. CĂ©gep de Rimouski
  11. CĂ©gep de Sainte-Foy
  12. Collège Valleyfield

Admission

Préalables de l'enseignement secondaire

Le cégep fait généralement suite à l'enseignement secondaire. Pour y accéder, dans une mesure générale, l'étudiant doit être détenteur d'un diplôme d'études secondaires (DES) ou d'un diplôme d'études professionnelles (DEP)[9]. Certains programmes peuvent exiger des unités dans des cours spécifiques tels que les mathématiques ou les sciences.

Reconnaissance des acquis

Par ailleurs, une personne possédant une expérience de travail suffisante (deux années de métier réel) dans un domaine technique peut également faire reconnaître ses acquis en termes de compétences[10]. Après avoir subi une formation complémentaire d'appoint, ce type de candidat peut être éligible à obtenir un DEC au même titre que l'étudiant provenant du milieu secondaire, et ce, à moindre coût[9]. Le processus étant offert sous une base de reconnaissance des acquis (RAC), le candidat est amené au même niveau et obtient son DEC tout comme l'étudiant régulier provenant du secondaire et ce, selon les mêmes normes et barèmes que celui-ci. L'étudiant au RAC pourra ainsi se doter des mêmes privilèges (dont la cote R) que l'étudiant régulier. Le candidat au RAC pourra ainsi accéder à des niveaux d'enseignement supérieur tels que l'université ou obtenir de l'avancement dans son emploi actuel ou futur[10]. La fonction publique québécoise exige en général la possession d'un DEC afin d'être considéré en tant que candidat potentiel pour plusieurs postes.

Procédure

Pour présenter une demande d'admission dans un des programmes préuniversitaires ou techniques dans l'un des cégeps de la province, il faut déposer une demande via un service d'admission centralisé. Il est possible d'y effectuer une demande comprenant trois choix par service d'admission centralisé.

Il existe trois groupes de service d'admission centralisé regroupant les cégeps selon leur région :

Programmes

Les établissements d'enseignement collégial offrent au total plus de 125 programmes pouvant mener à l'obtention d'un diplôme d'études collégiales dans des domaines d'études variés[3]. Malgré plusieurs établissements qui se spécialisent dans certains domaines d'études, parfois liés à leur emplacement géographique, il demeure que quelques programmes sont plutôt répandus et peuvent être suivis dans un nombre considérable d'établissements.

Quant aux programmes pouvant mener à l'obtention d'une attestation d'études collégiales, ceux-ci sont également nombreux. Leur contenu est toutefois établi par la direction de chacun des établissements et la sanction des études relève, non pas du ministère de l'Enseignement supérieur comme pour le DEC, mais plutôt de l'administration de l'établissement qui détermine les évaluations, les exigences à atteindre et qui délivre le diplôme[14]. Leur nombre est estimé à plus de 350[15].

Cours de formation générale

Tous les cégepiens des établissements francophones inscrits dans un programme pouvant mener à l'obtention d'un DEC doivent suivre des cours de formation générale, que leur formation soit préuniversitaire ou technique. Ceux-ci se détaillent comme suit : trois cours de philosophie, quatre cours de littérature, deux cours d'anglais, trois cours d'éducation physique et deux cours complémentaires (autre branche et domaine que le programme choisi). À l'inverse, les cégépiens des établissements anglophones doivent suivre quatre cours d'anglais et deux cours de littérature francophone[16].

  • En philosophie, les cours Philosophie et rationalitĂ©, L'ĂŞtre humain et Éthique et politique (le nom peut changer pour le dernier cours de philosophie) du cĂ©gep sont obligatoires dans le cursus collĂ©gial. Ils sont donnĂ©s dans l'ordre mais peuvent ĂŞtre dĂ©calĂ©s d'une session entre chacun d'entre eux.
  • En littĂ©rature, les cours Écriture et littĂ©rature, LittĂ©rature et imaginaire, LittĂ©rature quĂ©bĂ©coise et Communication et discours (ou LittĂ©rature et communication, le nom du dernier cours de littĂ©rature peut ĂŞtre diffĂ©rent selon les cĂ©geps du dernier cours de littĂ©rature) sont donnĂ©s dans l'ordre au cours des Ă©tudes collĂ©giales. Par contre, le 4e cours peut-ĂŞtre changĂ© par un autre cours plus adaptĂ© aux Ă©tudiants ayant des difficultĂ©s avec la langue française, il se voit ĂŞtre un des seuls cours donnĂ© exclusivement portĂ© sur la grammaire puisque les 3 premiers sont concentrĂ©s sur la rĂ©ussite de l'Ă©preuve uniforme de français, obligatoire Ă  la rĂ©ussite et l'obtention du DEC[17]. Le dernier cours peut aussi ĂŞtre changĂ© par un cours de Tutorat en français, l'Ă©tudiant devient le tuteur d'un Ă©lève qui a des difficultĂ©s en français.
  • En anglais, les cours donnĂ©s sont au nombre de deux dans tous les cĂ©geps francophones. Les cours Anglais de base (604-100-MQ), Langue anglaise et communication (604-101-MQ), Langue anglaise et culture (604-102-MQ) et Culture anglaise et littĂ©rature (604-103-MQ). L'Ă©tudiant est classĂ© avec un test de classement, gĂ©nĂ©ralement crĂ©Ă© par le cĂ©gep, et ensuite placĂ© dans le niveau (4 niveaux de classement) qui lui convient de 100 Ă  103; 100 Ă©tant l'anglais de base et 103 Ă©tant l'anglais très avancĂ© pour les bilingues. Dans certains Ă©tablissements, les Ă©tudiants sont directement rĂ©partis dans les diffĂ©rents niveaux en se basant sur les notes du secondaire. Un changement de niveau s'impose en dĂ©but de session si l'Ă©tudiant n'y est pas Ă  sa place. Certains cĂ©geps ne proposent pas certains niveaux Ă  leurs Ă©tudiants.
  • Les cours d'Ă©ducation physique sont donnĂ©s au nombre de trois rĂ©unis en trois cours : l'ensemble 1, 2 et 3. Dans le premier cours ActivitĂ© physique et santĂ©, on a des cours thĂ©oriques sur la santĂ© et les habitudes de vies. Dans le deuxième cours ActivitĂ© physique et efficacitĂ©, on teste l'efficacitĂ© d'une activitĂ© physique. Dans le troisième et dernier cours ActivitĂ© physique et autonomie, les professeurs encouragent les Ă©tudiants Ă  pratiquer de façon autonome une activitĂ© physique au quotidien, Ă©tant donnĂ© qu'après le CÉGEP, il n'y a plus de cours d'Ă©ducation physique obligatoires sauf pour ceux qui Ă©tudient dans ce domaine ou qui choisissent d'avoir un cours complĂ©mentaire en Ă©ducation physique. L'Ă©tudiant choisit, selon les cours offerts dans le cĂ©gep, l'activitĂ© qu'il veut effectuer dans son cours. L'ensemble 1 est consacrĂ© particulièrement Ă  l'activitĂ© physique et comment crĂ©er un programme d'entrainement et en tirer le maximum de profit. L'ensemble 2 est quant Ă  lui, comment dĂ©velopper ses compĂ©tences techniques et stratĂ©giques dans un sport donnĂ©. L'ensemble 3 se voit ĂŞtre un mĂ©lange des deux, il se veut ĂŞtre l'intĂ©gration de l'activitĂ© physique dans le mode de vie de l'Ă©tudiant; dans ce cours, les Ă©tudiants sont appelĂ©s Ă  prendre du temps extra-scolaire Ă  la pratique d'activitĂ© physique pour la passation du cours. L'ensemble 1 est obligatoire pour s'inscrire aux ensembles 2 et 3, par contre, le deuxième cours n'est pas prĂ©alable Ă  l'ensemble 3. Un Ă©tudiant peut donc s'inscrire Ă  l'ensemble 2 et au 3 en mĂŞme temps.
  • Les cours obligatoires incluent aussi deux cours complĂ©mentaires dans des domaines d'Ă©tudes qui ne sont pas liĂ©s au programme d'Ă©tudes suivi. Ces cours permettent souvent l'approfondissement ou l'initiation Ă  un domaine d'Ă©tudes dans des domaines tels que les sciences humaines, la science et la technologie, les langues, la mathĂ©matique et l'informatique, l'art et l'esthĂ©tique, l'administration, les finances personnelles ou les problĂ©matiques contemporaines.

Programmes préuniversitaires

Quelques manuels typiquement utilisés par des étudiants en sciences naturelles inscrits au collégial.

La formation préuniversitaire prépare les étudiants au niveau universitaire dans divers domaines. Cette formation est d'une durée de deux ans (quatre sessions).

Pour les programmes préuniversitaires, des programmes relativement répandus sont : sciences de la nature, sciences humaines, sciences humaines avec mathématiques, arts, lettres et communication (cinéma), arts, lettres et communication (langues), arts visuels, sciences de la nature et sciences humaines (double DEC).

Programmes techniques

En plus de programmes de formation préuniversitaire, les collèges peuvent émettre des diplômes dans les programmes de formation technique. Certains programmes sont offerts par la plupart des établissements, d'autres sont distribués en fonction des besoins de la région alors que d'autres encore sont distribués géographiquement, pour maximiser l'accessibilité. C'est le cas entre autres des métiers d'arts, donnés à Québec au Cégep Limoilou pour permettre un accès aux métiers d'arts dans l'est du Québec. Cette formation est d'une durée de trois ans (six sessions).

Pour les programmes techniques, des programmes relativement répandus sont : soins infirmiers, technologie du génie civil, techniques de génie mécanique, technologie de l'électronique industrielle, techniques d'éducation à l'enfance, techniques d'éducation spécialisée, techniques de comptabilité et de gestion, gestion de commerces et techniques de l'informatique.

Cheminements alternatifs

Plusieurs cheminements alternatifs sont proposés dans plusieurs établissements d'enseignement et permettent de modifier sensiblement son parcours collégial, tels que le double DEC, le baccalauréat international, les DEC-BAC en entente avec les universités, les programmes sport-études, le cégep à distance, le cégep à temps partiel et le cégep pour adultes.

Par ailleurs, d'autres types de formation généralement de plus courte durée que les programmes de formation préuniversitaire ou technique sont également répandus. Ces formations visent notamment l'obtention de préalables pour être admis dans un programme collégial en début de parcours ou universitaire en fin de parcours ou encore la formation spécifique visant des milieux de travail ou des entreprises en particulier[14]. L'une d'entre elles est le Tremplin DEC où il est habituellement possible pour les nouveaux étudiants de s'initier aux études et domaines d'études collégiaux ou encore de compléter des cours afin d'être admissible à un autre programme[18].

Quant aux formations pouvant mener à l'obtention d'une AEC, celles-ci constituent des programmes généralement courts conçus par les établissements d'enseignement collégial et sont constitués généralement d'une section de la formation incluse dans le cadre d'un programme technique menant au DEC. Plusieurs cégeps offrent ce type de programmes et délivrent eux-mêmes l'attestation en fin d'études[14]. Les programmes pouvant mener à une AEC sont dépourvus des cours généraux faisant partie du tronc commun de la formation menant au DEC[19].

Évaluation

En cours d'études, l'étudiant de niveau collégial se voit attribuer une cote R, calculée à partir de son rendement académique comparé à celui des autres étudiants de ses classes et des notes obtenues au secondaire, qui déterminera sa capacité à accéder à certains programmes universitaires[20]. Une cote R moyenne, qui permet d'accéder à la plupart des programmes, est de l'ordre de 25.

Critiques

En 2003, la Fédération des commissions scolaires du Québec remet encore une fois en cause les cégeps en questionnant leur utilité dans l'enseignement et le système d'éducation québécois[21]. Le questionnement et la remise en cause des collèges québécois ont marqué son histoire. En effet, l'entretien d'un réseau d'établissements complet est coûteux, et le gouvernement libéral, en période de coupes budgétaires, propose, sans succès, d'ajouter plutôt une année à l'éducation secondaire et une autre à la formation universitaire. D'autres voient l'enseignement collégial comme une manière unique et désirable de faciliter la transition entre le secondaire et l'université.

Caractère facultatif du cégep pour accéder à l'université

Si un élève souhaite faire des études universitaires, compléter un programme de cégep n'est pas strictement obligatoire. En effet, les universités québécoises admettent à compter de l'âge de 21 ans des adultes qui ont obtenu un diplôme d'études secondaires seulement. Évidemment, les programmes universitaires accessibles avec seulement un diplôme d'études secondaires seront limités, et ils exigent la réussite de quelques cours à titre d'étudiant libre avant l'admission à un baccalauréat. Par contre, si l'étudiant universitaire a de bons résultats dans un premier baccalauréat universitaire dans un domaine non contingenté (par exemple en complétant trois certificats), il est ensuite possible d'accéder même à des programmes universitaires fortement contingentés comme le droit sans avoir complété de cégep[22].

Notes et références

Notes

  1. L’acronyme « cégep » est également considéré comme un mot.

Références

  1. Fiche terminologique de l’OQLF
  2. Gouvernement du Québec, Loi sur le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, Québec, (lire en ligne), art. 4
  3. Fédération des cégeps, « Qu’est-ce qu’un cégep ? », sur Cégeps du Québec (consulté le )
  4. https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2241795?docref=XIEtqL37l9omHe0AzxbV9A&docsearchtext=%C3%A9cole%20d%27art%20et%20m%C3%A9tier%20l.o.c. p.53,55,57
  5. Certains collèges ne verront les cours d'intégration des acquis apparaitre qu'en 2000, avec le profil de profession.
  6. PERFORMA. Présentation : Perfectionnement et formation des maîtres au collégial, Université de Sherbrooke.
  7. Fédération des cégeps, « Membres », sur Fédération des cégeps (consulté le )
  8. ACCQ Association des cadres des collèges du Québec, Le réseau des cégep: trajectoires de réussites, Quebec, Presses de l'Université Laval, , p. 3
  9. Service régional d'admission du Montréal métropolitain, « Conditions d'admission », sur sram.qc.ca (consulté le )
  10. Mon retour au cégep, « Reconnaissance des acquis et des compétences - Mon retour au cégep », sur www.monretouraucegep.com (consulté le )
  11. « SRAM, service régional d'admission du montréal métropolitain » (consulté le )
  12. « Service Régional d'admission au collégial de Québec », sur www.sracq.qc.ca (consulté le )
  13. Service régional de l'admission des cégeps du Saguenay - Lac-Saint-Jean, « Accueil », sur www.srasl.qc.ca (consulté le )
  14. Fédération des cégeps, « Formation de courte durée », sur Cégeps du Québec (consulté le )
  15. Mon retour au cégep, « Types de formations disponibles », sur www.monretouraucegep.com (consulté le )
  16. Service régional d'admission du Montréal métropolitain, « Les programmes d'études », sur sram.qc.ca (consulté le )
  17. Josée Bonneville, Description des cours obligatoires de littérature au collégial, Productions Valmont, coll. « Lettres québécoises, numéro 126 », , 2 p. (lire en ligne), p. 9-10
  18. Collège Ahuntsic, « Tremplin DEC », sur Collège Ahuntsic (consulté le )
  19. Ministère de l'Éducation et de l'Enseignement supérieur, « Formation collégiale | Ministère de l'Éducation et Ministère de l'Enseignement supérieur », sur www.education.gouv.qc.ca (consulté le )
  20. Cégep de Matane, « Cote R », sur Cégep de Matane (consulté le )
  21. https://www.ledevoir.com/non-classe/41709/pour-l-abolition-des-cegeps, article du devoir, 28 novembre 2003
  22. UQAM. Guide d'admission de l'UQAM. En ligne. Page consultée le 2021-05-14

Bibliographie

  • Guide pratique des Ă©tudes collĂ©giales, publiĂ© par le service rĂ©gional des admissions du MontrĂ©al mĂ©tropolitain (SRAM), l'agence officielle des admissions pour la rĂ©gion mĂ©tropolitaine de MontrĂ©al.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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