Accueil🇫🇷Chercher

Bucciali TAV 12

La Bucciali TAV 12 (appelĂ©e Ă©galement 8-32 ou Type 7) est une automobile de luxe lancĂ©e en par le constructeur français Bucciali, dont elle constitue le dernier modèle. Ses particularitĂ©s et son histoire, qui n’a pas Ă©tĂ© entièrement clarifiĂ©e, en font une automobile qualifiĂ©e de « lĂ©gendaire »[1]. Parmi ces particularitĂ©s, l’une est sa transmission Ă  traction avant, inhabituelle pour l’époque, et des carrosseries sensationnelles, dont une version connue sous le nom de « Flèche d’or ». Cet exemplaire unique est dĂ©montĂ© avant le dĂ©clenchement de la Seconde Guerre mondiale, avant d’être reconstituĂ© par un collectionneur 40 ans plus tardp. 48_2-0">[2]. Depuis le dĂ©but des annĂ©es 1990, la TAV 12 reconstruite est rĂ©gulièrement prĂ©sentĂ©e lors d’expositions automobiles.

Bucciali TAV-12
Bucciali TAV 12

Appelé aussi Bucciali 8-32
Bucciali Type 7
Marque Bucciali
Années de production 1931 - 1932
Production 1 exemplaire(s)
Classe Berline luxueuse
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) Avions Voisin H18 (V12 Ă  chemises louvoyantes)
Position du moteur Longitudinale avant
CylindrĂ©e 4 886 cm3
Puissance maximale 120 ou 180 ch DIN (88 ou 132 kW)
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 4 rapports
Poids et performances
Vitesse maximale 180 km/h
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Cabriolet puis berline
Châssis Châssis acier et carrosserie sur structure bois
Freins MĂ©canique Ă  tambours
Dimensions
Longueur 6 360 mm
Hauteur 1 480 mm
Empattement 3 734 puis 4 089 mm

Contexte

Les frères Angelo (dit « Buc » ; 1889–1981) et Paul-Albert (1887–1946) Bucciali, issus d'une famille corse, sont nĂ©s Ă  Boulogne-sur-Mer. Après leurs Ă©tudes, ils s’installent comme facteurs de piano et d’orgues dans leur ville natalep. 49_3-0">[3]. Après la Première Guerre mondiale, en 1922, ils fondent Ă  Courbevoie une nouvelle petite entreprise, la SociĂ©tĂ© Bucciali Frères, qui produit quelques voitures de sport de conception traditionnelle[4]. Les vĂ©hicules produits, d’abord vendus sous la marque Buc, sont souvent uniques ; certains modèles comme la Buc AB 4-5 sont produits en petite sĂ©rie, jusqu'Ă  100 exemplaires[5]. Quelques Buc prennent part Ă  des courses automobiles en France[N 1]. La production de vĂ©hicules est faible ; elle atteint, selon les sources, un total de 120[6], 150[7] ou 200[8] exemplaires en 1926. Cela ne suffisant pas pour rendre l’entreprise Ă©conomiquement viable, les frères Bucciali dĂ©cident d’abandonner la construction d’automobiles conventionnelles fin 1925[9].

En 1926, la SociĂ©tĂ© Bucciali Frères se transforme en bureau d'Ă©tudes automobile[8]. Les frères Bucciali s’intĂ©ressent principalement Ă  la mĂ©thode de transmission Ă  traction avant, un concept technologique novateur mis en valeur en 1926 par la victoire inattendue de la Miller 122 de l’ingĂ©nieur amĂ©ricain Harry Miller lors des 500 miles d'Indianapolis. Les frères Bucciali s’inspirent alors des travaux d’autres ingĂ©nieurs. Dans leur première voiture Ă  traction avant, la Bucciali TAV 1, on peut ainsi reconnaĂ®tre les concepts dĂ©veloppĂ©s par le brĂ©silien Dimitri Sensaud de Lavaud[1] - p. 49_3-1">[3]. Leurs Ă©tudes ultĂ©rieures prĂ©sentent des similitudes avec les solutions employĂ©es sur la Cord L-29 de 1929p. 50_11-0">[10], première voiture de sĂ©rie Ă  traction avant[11].

Ă€ compter de 1926, la sociĂ©tĂ©, dont les produits portent dĂ©sormais le seul nom de Bucciali, prĂ©sente un nouveau vĂ©hicule lors du Salon de l’automobile de Paris, celui-ci Ă©tant habituellement une Ă©volution du modèle de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Si parfois seul le châssis est exposĂ©, la plupart du temps, les vĂ©hicules sont munis d’une carrosserie unique, dessinĂ©e par Angelo Bucciali et se signalant par des proportions hors-normes, avec une longueur inhabituelle et une hauteur extrĂŞmement faible. Ce type de dessin devient une marque de fabrique de Bucciali. Les moteurs proviennent d’autres fabricants, comme SCAP, Continental ou Lycoming ; sauf en 1930 oĂą est prĂ©sentĂ© un projet de moteur Ă  16 cylindres destinĂ© Ă  la Bucciali Double Huit, qui ne sera jamais rĂ©alisĂ©. Ainsi, la plupart des modèles Bucciali restent uniques ; seule la Bucciali TAV 30 est produite Ă  trois ou quatre exemplairesp. 50_11-1">[10]. Le dernier modèle produit sera la TAV 12, en 1931, qui connaĂ®tra deux carrosseries successives.

Si les frères Bucciali annoncent rĂ©gulièrement vouloir produire en sĂ©rie leurs modèles Ă  traction avant, le sĂ©rieux de cette intention est mis en doute dans la littĂ©rature, compte tenu de leur volume de production extrĂŞmement faible. La plupart des auteurs supposent qu’ils cherchaient plutĂ´t Ă  vendre leurs brevets aux grands fabricants qui s’y intĂ©ressaient ; le dessin sensationnel mais peu pratique des carrosseries Bucciali peut se comprendre dans ce contexte[9] - p. 51_13-0">[12]. En rĂ©alitĂ©, Bucciali ne vendra de licences de ses brevets qu’à la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine Peerless, qui cessera ses activitĂ©s en 1931 et se transformera en brasserie avant de pouvoir les exploiter.

DĂ©signation

Comme souvent avec Bucciali, la dĂ©signation exacte du vĂ©hicule n’est pas clairement Ă©tablie, et plusieurs noms seront utilisĂ©s au fil des ans. Lors de sa sortie d’usine, la voiture est dĂ©signĂ©e Bucciali 8-32, le premier chiffre indiquant le nombre de cylindres initialement prĂ©vu, et les deux suivant dĂ©signant l'annĂ©e 1932, prĂ©vue pour sa commercialisation. Cependant, cet intitulĂ© devient obsolète lorsque l’acheteur choisit qu’y soit installĂ© un moteur V12. Les historiens de l'automobile utilisent par la suite la dĂ©signation TAV 12, oĂą TAV signifie Traction AVant, le 12 dĂ©signant, selon les sources, la puissance fiscale ou le nombre de cylindres. On trouve Ă©galement le nom de Type 7, car il s’agit du septième modèle Ă  traction avant produit par Buccialip. 50_11-2">[10].

Histoire du modèle

Une conception marquée par les changements d’avis du client

La Bucciali TAV 16 Double Huit au salon de 1930.

Si TAV 12 est la dernière des sept voitures Ă  traction avant produite par les frères Bucciali, il s’agit Ă©galement du seul modèle de la marque Ă  n’être pas d’abord construit pour ĂŞtre exposĂ©, mais pour le compte d'un client[9]. Celui-ci est un certain Georges Roure, homme d’affaires ayant remarquĂ© la Bucciali Double Huit Ă  16 cylindres lors du salon de l’automobile de Paris de 1930. Le vĂ©hicule connaĂ®tra de nombreuses Ă©volutions au cours de sa rĂ©alisation. La commande porte, Ă  l’origine, sur une rĂ©plique du cabriolet Ă  moteur V16 prĂ©sentĂ© en 1930. Or, les frères Bucciali se trouvent dans l’incapacitĂ© de fournir ce V16, qui n’existe tout simplement pas : celui exposĂ© en 1930 n'Ă©tait qu'une maquette non fonctionnellep. 48_2-1">[2] - [8]. Georges Roure demande alors d’abord son remplacement par un 8 cylindres amĂ©ricain Continental, avant de changer d’avis et de faire installer un moteur Ă  12 cylindres en V du constructeur Avions Voisin[13].

La première version de la TAV 12, apparue Ă  l'automne 1931, est un cabriolet Ă  deux portes. Contrairement aux modèles prĂ©cĂ©dents de Bucciali, il est prĂŞt Ă  prendre la route, et Paul-Albert Bucciali effectue Ă  son bord une tournĂ©e publicitaire en novembre 1931p. 51_13-1">[12]. Il conduit ensuite la voiture Ă  Nice, oĂą elle est prĂ©sentĂ©e lors d’une exposition oĂą elle reçoit un prix d'honneur pour ses avancĂ©es technologiques[9]. MalgrĂ© cela, le client se dĂ©tourne du cabriolet, dont il n’apprĂ©cie pas les lignes.

Dans les premiers mois de 1932, Bucciali redessine alors la voiture sous la forme d’une berline Ă  quatre portes, qui reçoit le nom de « flèche d'or ». La construction de celle-ci s’achève en avril 1932, le mois mĂŞme oĂą Georges Roure en prend livraison. Bucciali lui facture le châssis au prix de 130 000 francs, la carrosserie coĂ»te quant Ă  elle 85 600 F[9]. Peu après, Georges Roure revend la voiture Ă  un banquier parisien[14].

En octobre 1932, la Flèche d'or est présentée au Salon de l'Automobile de Paris, ce qui constitue la dernière apparition de la marque à cet évènement. La TAV 12 s’y trouve accompagnée d’un cabriolet TAV 30 muni d’un huit cylindres en ligne Lycoming, dont les lignes basses et élancées rappellent celles de la berline.

Un exemplaire unique ?

La Flèche d'or est probablement[1] restée une pièce unique ; en tout cas, on ne connaît aujourd’hui qu'un seul véhicule de ce type. Pour une unique source, deux voitures similaires à moteur Voisin ont été construites en 1932[7] ; toutefois, cette information n’est pas prouvée[N 2]. En revanche, il est établi qu'à l’été ou l’automne 1932, un châssis TAV 30 produit deux ans auparavant, et carrossé à l’origine en roadster, a reçu, sur demande d’un client, une nouvelle carrosserie rappelant celle de la Flèche d’or[15], mais équipée d'un huit cylindres Lycoming. Enfin, il est également établi qu’à l’automne 1932, les frères Bucciali commencent à travailler sur une autre berline destinée à être présentée au salon de 1933, sans que ce projet ne se concrétise du fait de la cessation des activités de Bucciali pour raisons financièers au début 1933[9].

DĂ©montage et reconstruction

Moteur de Bugatti Type 46.

Dans les annĂ©es 1930, la TAV 12 est rĂ©gulièrement utilisĂ©e par son propriĂ©taire. Vers la fin de la dĂ©cennie, celui-ci fait dĂ©poser la carrosserie, et la faire remonter sur un châssis de Bugatti Type 46[13]. Connue sous le nom de « petite Royale », la Bugatti Type 46, produite de 1929 Ă  1936, est la plus longue Bugatti après la cĂ©lèbre Type 41 du constructeur de Molsheim, sur laquelle elle est basĂ©e[16]. NĂ©anmoins, l’empattement de la Bugatti se trouve ĂŞtre plus court de 50 cm que celui de la TAV 12, de sorte qu’il s’est avĂ©rĂ© nĂ©cessaire de raccourcir considĂ©rablement le capot. Cette Bugatti carrossĂ©e en Flèche d’or sera transfĂ©rĂ©e aux États-Unis après-guerre, tandis que le châssis Bucciali restait en France, au point d’être considĂ©rĂ© comme perdu pendant plusieurs annĂ©es. Après sa redĂ©couverte, il sera rachetĂ© par un collectionneur français[13].

En 1976, la carrosserie et le châssis de la Bucciali TAV 12 sont rachetés par un collectionneur américain, qui décide de la reconstruction de la Flèche d’or. Le moteur, la transmission, la suspension et la plupart des pièces de tôlerie sont reprises du véhicule d'origine, mais certains composants du châssis, ainsi que les ailes arrière et le capot, doivent être refaits. La reconstruction totale prendra plus de dix ans. Depuis la fin des années 1990, la TAV 12 a été présentée à plus de douze reprises en public, notamment lors du Concours d'élégance de Pebble Beach de 2006[1].

Conception et détails techniques

Carrosserie

D’abord construite sous forme de cabriolet, la TAV 12 est ensuite rapidement transformée en berline.

Cabriolet

La première carrosserie de la TAV 12, Ă  l'automne 1931, est un cabriolet Ă  deux portes. Le vĂ©hicule repose sur un châssis en acier d’un empattement de 3 734 mm, copie de celui utilisĂ© l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente pour la TAV 30p. 50_11-3">[10]. Contrairement aux autres TAV, le dessin de la carrosserie n’est pas l’œuvre des frères Bucciali, mais celle d’Émile Guillet, propriĂ©taire d'un atelier de carrosserie et partenaire occasionnel de Bucciali[4] - [9].

Berline « Flèche d’or »

Long capot et grandes roues caractérisent la Flèche d'or (modèle réduit)
L’avant de la TAV 12.

Dans les premiers mois de 1932, Bucciali reconstruit la voiture pour le compte de Georges Roures, sous la forme d’une longue berline à quatre portes surnommée la Flèche d’or . Cette carrosserie est de construction composite, avec un habillage de tôles d’acier clouées sur un cadre en bois[1].

La berline prĂ©sente un empattement allongĂ© Ă  4 089 mm, soit juste quelques millimètres de moins que celui de la Bugatti Royale . La voiture est extrĂŞmement longue — 6 360 mm —, mais d’une hauteur limitĂ©e Ă  1 480 mm, ce qui en fait la voiture la plus basse de son Ă©poque[4]. Les roues ont un diamètre de 24 pouces[1]. La carrosserie est due au crayon de Paul-Albert Bucciali, mais a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e dans les ateliers Saoutchik de Neuilly-sur-Seine[1]. Le capot est Ă©galement très bas, avec une ligne supĂ©rieure se situant sous le point le plus Ă©levĂ© des ailes, de manière Ă  paraĂ®tre plus bas que les roues en vue de cĂ´tĂ©. Comme les prĂ©cĂ©dentes TAV de Bucciali, une cigogne stylisĂ©e figure sur les ouĂŻes de ventilation latĂ©rales du capot, qui Ă©voque l’Escadrille des Cigognes, unitĂ© aĂ©rienne au sein de laquelle Paul-Albert Bucciali a combattu durant la Première Guerre mondialep. 49_3-2">[3]. Une autre caractĂ©ristique particulière est l’absence de marchepieds. Les grands phares sont positionnĂ©s devant la calandre, directement sur le pare-chocs avant. Ă€ l'arrière, deux roues de secours superposĂ©es sont fixĂ©es sur le coffre.

Technique

Sous le capot d’une Bucciali, la transmission se situe devant le moteur.

La Bucciali TAV 12 est Ă©quipĂ©e d’un châssis en acier, muni d’une transmission Ă  traction avant et d’une suspension indĂ©pendante Ă  l’avant et Ă  l’arrière[1]. Celle-ci est conçue selon un système brevetĂ© par Paul-Albert Bucciali en 1928[N 3] - [17]. Dans ses deux versions, la voiture est propulsĂ©e par un moteur Ă  12 cylindres, que Bucciali s’est procurĂ© auprès de Voisin. Ce moteur sans soupapes, de type H18, se retrouve sous le capot de la Voisin C18[18]. D’une cylindrĂ©e de 4 886 cm3, il est alimentĂ© par quatre carburateurs ZĂ©nith[1]. Selon les sources, sa puissance est de 180 ch (132 kW)[4] ou de 120 ch (88 kW)[8]. Ce moteur, initialement conçu pour un vĂ©hicule Ă  propulsion, se trouve montĂ© en sens inverse dans la Bucciali, avec le volant moteur et l’embrayage placĂ©s Ă  l’avant[18]. La boĂ®te Ă  quatre vitesses, de conception Bucciali, est Ă©galement situĂ©e devant le moteur, derrière le diffĂ©rentiel[18]. Les freins Ă  tambour avant sont internes ; fixĂ©s sur le diffĂ©rentiel, ils agissent directement sur les arbres des roues.

La TAV 12 dans la presse et la littérature

Les particularités de la Bucciali TAV 12 étonnent beaucoup aujourd’hui. Ainsi, lors de sa première présentation à Paris après à sa restauration, la Flèche d’or est-elle décrite comme ayant été, à son époque, « la voiture la plus moderne et la plus évoluée de France »[9]. Les auteurs automobiles la qualifient comme l’une des voitures les plus célèbres[1] ou même « l’une des voitures les plus mystérieuses jamais produites »[6].

Notes et références

Notes

  1. Une participation d’un dénommé Auguste Bucciali, sur automobile Buc, est attestée au Grand Prix de Boulogne 1923 ; le pilote termine la course mais n’est pas classé (source). Aucune participation n’apparaît en 1924 ; en 1925, plusieurs participations sont attestées (Sources pour 1924 et 1925).
  2. Il s’agit peut-être d’une erreur ; le cabriolet et la berline étant parfois considérés comme deux véhicules distincts.
  3. Le brevet est enregistré au nom de « Albert-P. Bucciali »

Références

  1. (en) « 1932 Bucciali TAV 12 Berline, Coachwork by Saoutchik. Private Portfolio No. 114 » [archive du ] [PDF], sur www.kidston.com,
  2. p. 48-2" class="mw-reference-text">Borgeson et Query 1989, n°5, p. 48.
  3. p. 49-3" class="mw-reference-text">Borgeson et Query 1989, n°4, p. 49.
  4. Bellu 2001, p. 77.
  5. Bellu 2001, p. 70.
  6. Bellu 2001, p. 69.
  7. (de) Harald Linz et Halwart Schrader, Die große Automobil Enzyklopädie : 100 Jahre Geschichte, 2500 Marken aus 65 Ländern, Munich, BLV Verlagsgesellschaft, (ISBN 978-3-405-12974-3, 3-405-12974-5 et 978-3-405-13217-0, OCLC 159841277), p. 72.
  8. Favre 2003.
  9. Vaughan 2010.
  10. p. 50-11" class="mw-reference-text">Borgeson et Query 1989, n°5, p. 50.
  11. (en) Richard M. Langworth, Encyclopedia of American Cars 1930–1980, New York, Beekman House, , 672 p. (ISBN 0-517-42462-2), p. 215.
  12. p. 51-13" class="mw-reference-text">Borgeson et Query 1989, n°5, p. 51.
  13. (de) Hans-Otto Meyer-Spelbrink, « Der Flug der Störche : Die Frontantriebsmodelle von Bucciali. », Oldtimer Markt, no 4,‎ , p. 30
  14. (en) Wouter Melissen, « 1931 - 1932 Bucciali TAV 8-32 Saoutchik 'Fleche d'Or' Berline - Images, Specifications and Information », sur Ultimatecarpage.com, (consulté le )
  15. Bellu 2001, p. 76.
  16. (de) H.G. Conway, « Die Bugatti-Typen », dans Die Bugattis : Automobile, Möbel, Bronzen (Catalogue d'exposition du Musée des Arts et Métiers de Hambourg), Hambourg, , p. 271
  17. (en) « US1837106 », sur Google Patents (consulté le )
  18. (en) Gijsbert-Paul Berk, André Lefebvre, and the cars he created at Voisin and Citroën, Dorchester, Veloce Publishing, , 144 p. (ISBN 978-1-84584-464-6 et 1-84584-464-5, OCLC 865098146, lire en ligne), p. 52

Voir aussi

Bibliographie

  • Christian Huet, Bucciali, Paris, Christian Huet, , 351 p. (ISBN 978-2-9500432-3-8, OCLC 470143674).
  • Serge Bellu, « Bucciali TAV 12. L’attraction des frères Bucciali », Automobiles classiques, no 116,‎ (ISSN 0759-6065)
  • Eric Favre, « Bucciali, la passion de la dĂ©mesure », Gazoline,‎ (ISSN 1262-4357)
  • (de) Griffith Borgeson et Roy D. Query, « Das Märchen vom Storch. Markenhistorie Bucciali (1926–1932) » [« La lĂ©gende de la Cigogne. Histoire de la marque Bucciali (1926-1932) »], Motor Klassik, nos 4 et 5,‎ (ISSN 0938-5746)

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.