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Breilly

Breilly est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Breilly
Breilly
L'église Saint-Sulpice.
Blason de Breilly
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Nièvre et Somme
Maire
Mandat
Louis Lagrange
2022-2026
Code postal 80470
Code commune 80137
Démographie
Gentilé Breillois
Population
municipale
758 hab. (2020 en augmentation de 58,58 % par rapport à 2014)
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 56′ 02″ nord, 2° 10′ 45″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 101 m
Superficie 5,7 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Ailly-sur-Somme
(banlieue)
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ailly-sur-Somme
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Breilly
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Breilly
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Breilly
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Breilly
Liens
Site web https://www.breilly.fr/

    Géographie

    Localisation

    La commune de Breilly est située dans la vallée de la Somme à environ dix kilomètres à l'ouest de la ville d'Amiens, dans la vallée de la Somme, le long de l'ancienne RN 235 (actuelle RD 1235).

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La vallée est constituée de tourbe qui était autrefois exploitée pour le chauffage. Le plateau est constitué de calcaire.

    Le bourg est situé dans la vallée (12 m d'altitude), alors que la plus grande partie du territoire de la commune s'étend sur le plateau de la rive gauche de la Somme (jusqu'à 101 m d'altitude).

    Hydrographie

    La Somme et le bourg, vus depuis la véloroute.

    Le fleuve côtier la Somme, ici canalisé et entourée d’importantes zones humides et d'anciennes tourbières, traverse le territoire communal d'est en ouest.

    Urbanisme

    Habitat pavillonnaire à Breilly.

    Typologie

    Breilly est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ailly-sur-Somme, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 5 028 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,3 %), zones agricoles hétérogènes (9,7 %), forêts (8,6 %), zones urbanisées (7,8 %), eaux continentales[Note 3] (5 %), zones humides intérieures (3,6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 268, alors qu'il était de 195 en 2013 et de 190 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 94,3 % étaient des résidences principales, 0 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 1].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Breilly en 2018 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi l'absence de résidences secondaires et logements occasionnels, à comparer au département (8,3 %) et à la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 93,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (94,4 % en 2013), contre 60,3 % pour la Somme et 57,5 % pour la France entière[I 2].

    Le logement à Breilly en 2018.
    Typologie Breilly[I 1] Somme[I 3] France entière[I 4]
    Résidences principales (en %) 94,3 83,3 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0 8,3 9,7
    Logements vacants (en %) 5,7 8,4 8,2

    Voies de communication et transports

    Breilly est traversée d'est en ouest par la route départementale RD 1235 (ancienne route nationale 235), reliant Amiens et Abbeville. La route de Fourdrinoy (RD 212) part de Breilly et rejoint Fourdrinoy.

    La commune est traversée d'est en ouest par la voie ferrée reliant Amiens à Boulogne, mais le train ne s'y arrête pas... station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Ailly-sur-Somme, à km, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares d'Abbeville et d'Amiens, voire d'Albert.

    Toponymie

    Les diverses dénominations connues pour la commune sont[11] : Braili (1120), Braily (1279), Brely (1579), Bresly (1612), Brilly (1638), Bresly (1648), Brailly (1648), Breilly (1692), Brailli (1733).

    Voici un extrait d'une coupure de presse du Journal de Picquigny de 1900[12] : « Braili en 1120 et Braily en 1301 [...]. Il est constant que la nature du sol sur lequel se fondait un établissement a souvent servi de racine pour la composition de son nom. De même que Bray-sur-Somme et Bray-lès-Mareuil, Breilly se trouve dans la vallée de la Somme. Le nom de Breilly pourrait partiellement exprimer sa situation dans le fond d’une vallée et être synonyme des noms de lieux Bray, Brie, Broye placés comme notre village, dans des bas fonds aquatiques, dans la boue, d’autant plus que le mot celtique Bray qui semble former la racine de Breilly signifie boue, terre humide, marécage. Le document le plus ancien qui fasse mention de Breilly est une charte d’Enguerrand, évêque d’Amiens, de l’an 1120. »

    Histoire

    Le Journal de Picquigny du 22 juillet 1900 indique : « L’origine de cette localité doit être de beaucoup antérieure au XIIe siècle. Son nom l’atteste, ainsi que les instruments de silex et de bronze que l’on a trouvés sur son territoire. »

    Des traces dans les champs vues par photos aériennes[13] ainsi qu'un caveau gallo-romain trouvé sur le site de Montjoie attestent d'une présence ancienne.

    En 1766, un incendie ravagea le village.

    Des références à Breilly peuvent être trouvées dans la littérature religieuse, notamment à travers l'histoire des trappistes qui occupaient l'abbaye du Gard entre 1815 et 1845. On y parle de père Dieudonné, un trappiste qui a officié à la paroisse de Brilly quelque temps. On peut y lire des allusions aux habitants au contact de l'abbé, des références à M. Pecquet maire de Breilly, ainsi qu'à la "piété vraie et constante des bons habitants de Breilly"[14] - [15].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Picquigny[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Ailly-sur-Somme

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    Breilly était membre de la petite communauté de communes de l'Ouest d'Amiens, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Nièvre et Somme, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800 1803 Jean-Baptiste de Gouy
    1803 1820 François Pecquet (père) Agriculteur
    Mort en fonction
    1820 1830 François Pecquet (fils) Agriculteur
    1830 1834 Alexis Bocquet Agriculteur
    1834 1853 Augustin Lescot Agriculteur
    Mort en fonction
    1853 1871 Jean-Baptiste Pecquet Agriculteur
    14 mai 1871 11 décembre 1890 Léonce Fougeron républicain conservateur Agriculteur
    Mort en fonction
    18 janvier 1891 12 juillet 1897 Jean-Baptiste Rappe Agriculteur
    Mort en fonction
    29 août 1897 1925 Gabriel Pecquet Agriculteur
    17 mai 1925 1929 Eugène Finet Courtier
    19 mai 1929 1945 Gabriel Pecquet Agriculteur
    1945 1953 Charles Sailly Agriculteur
    1953 1958 Louis Fourdrinoy Agriculteur
    Mort en fonction
    1958 1959 Vulfran Carton Agriculteur
    1959 1971 Charles Sailly Agriculteur
    mars 1971 1986 Bernard Galliot Expert comptable
    Mort accidentellement en cours de mandat
    1986 mars 1989 Claudine Galliot Veuve de Bernard Galliot
    mars 1989 juin 1995 Alain Claudepierre Dessinateur
    juin 1995 mars 2008 Danielle Leroy France Telecom
    mars 2008 2022[18] Étienne Pecquet Retraité de l'armée

    Démissionnaire
    octobre 2022[19] En cours Louis Lagrange Agriculteur

    Anecdotes

    • Le maire qui est resté le plus longtemps en place est de loin Gabriel Pecquet, avec 44 années aux affaires.
    • Arrivent ensuite Léonce Fougeron et Augustin Lescot avec 19 années.
    • La famille Pecquet a eu des maires pendant 104 années, sur 5 générations.
    • Après le décès de Léonce Fougeron, c'est son bras droit (régisseur de son exploitation agricole) qui est élu maire.

    Équipements et services publics

    Enseignement

    Le syndicat scolaire gère les activités de l'école de la Vigne. Il regroupe les communes de Picquigny, Crouy-Saint-Pierre, Breilly et Yzeux[20]. Un service de cantine est à la disposition des élèves. Au cours de l'année scolaire 2020-2021, 198 élèves sont scolarisés au sein de la structure[21].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2020, la commune comptait 758 habitants[Note 4], en augmentation de 58,58 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    320369455449486465472517503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    518527510490472479469431416
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    431428414377395399376364418
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    389403419434434462471472459
    2017 2020 - - - - - - -
    685758-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    On compte 230 âmes en 1698 (Pagès), 62 feux en 1763 (Expilly) et 329 habitants en 1783 (P. Daire)[12]..

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Sulpice, dont une nouvelle cloche est bénie le en présence de Ferdinand d'Albert, duc de Chaulnes, de la duchesse, née Bonnier de la Mosson, et de René Boistel, lieutenant général de la baronnie de Picquigny[25]. Elle a été reconstruite en 1834. La toiture ainsi que les façades ont été rénovées récemment[26].
      L'église contient notamment un buste reliquaire de saint Sulpice en bois polychrome du XVIIIe siècle, attribué à Jean-Baptiste Carpentier[27].
    • Le cimetière, situé à côté de l'église Saint-Sulpice. Une étude sur les cimetières ruraux dans la Somme au XIXe siècle fait une référence amusante à un arrêté municipal de Breilly datant de 1805, stipulant que « nul ne pourra faire sécher du linge sur la clôture du cimetière »[28].
    • Le monument aux morts, situé en face de l'entrée de l'église Saint-Sulpice.
    • Monument à la mémoire de la 13e division d'infanterie, une stèle inaugurée le sur la route départementale entre Breilly et Picquigny, face aux étangs de Breilly.
      Le monument rend hommage aux morts de la 13e division d'infanterie, qui a combattu sur le front de la Somme en mai et juin 1940, avec cette dédicace : « À la 13e division qui lutta héroïquement en ces lieux du 26 mai au ».
    • Le château de Breilly et la ferme attenante, qui datent du milieu du XIXe siècle. Le château de style Louis XIII est en ruine après un incendie le [29].
    • Le calvaire, situé au croisement de la route départementale et la route de Fourdrinoy.
    • Petit patrimoine religieux ou mémoriel
    • Calvaire à Breilly.
      Calvaire à Breilly.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Monument commémoratif - juin 1940.
      Monument commémoratif - juin 1940.

    On peut rappeler des sites aujourd'hui disparus :

    • Le moulin de Breilly, situé sur les hauteurs du village. Construit en 1890, il a été détruit en 1948-1949. Des membres de la famille Gaudouin étaient les derniers meuniers de Breilly[30].
    • La chapelle Saint-Louis, mentionnée dans un ouvrage de 1855[31] mais son lieu d'implantation a été « oublié ».

    Héraldique

    Blason de Breilly Blason
    D'azur à la colline d'or mouvant du flanc senestre, au moulin à vent d'argent, maçonné de sable, ouvert essoré et ailé de gueules, brochant à senestre, accompagné d'un canard d'argent couché au milieu de brins d'herbe de sinople[32].
    Détails
    Montre « les deux visages du village : la vallée de la Somme (eaux, canard) et le coteau (colline, moulin à vent) ».
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Breilly
    Alias du blason de Breilly
    De gueules à l'écusson d'or.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 d'Ailly-sur-Somme », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. "Mémoires" (page 165-166 ; Société des antiquaires de Picardie - Édition La Société, 1867).
    12. coupure de presse, « Journal de Picquigny » du 22.07.1900, Archives Départementales de la Somme
    13. 3 photos aériennes (Ministère de la culture)
    14. "les trappistes du Gard, près de Picquigny, diocèse d'Amiens", Abbé J. Hardy, 1840, pages 32–36
    15. Histoire des Trappistes du Val-Sainte-Marie diocèse de Besançon", Waile, 1843, pages 260-279
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. « Les maires de Breilly », sur https://www.francegenweb.org (consulté le ).
    18. Thierry Griois, « Étienne Pecquet, le maire de Breilly, a démissionné : Étienne Pecquet, le maire de Breilly, a démissionné », Le Courrier picard,‎ « L’ex-maire conclut : « ce vendredi 7 octobre, nous élirons donc un nouveau maire qui devrait être Louis Lagrange, mon actuel deuxième adjoint. Quant à mon premier adjoint, je sais qu’il me reproche de tout commander tout seul mais lui décide des choses sans m’en parler… ».
    19. « Louis Lagrange élu nouveau maire », Courrier picard,‎ , p. 16.
    20. « José Herbet reste à la tête du SIVOS », Courrier picard,‎ , p. 11.
    21. « 50 masques par écolier », Courrier picard,‎ , p. 16.
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Amiens, Arch. Dles, E supplt 999, fol 18
    26. « La fondation du patrimoine ».
    27. « buste-reliquaire de saint Sulpice », notice no PM80000375, base Palissy, ministère français de la Culture
    28. Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie, Amiénois et Santerre, Édition de la Morande, 2003.
    29. Société des antiquaires de Picardie, Bulletin trimestriel, 1965 - page 115
    30. La Picardie. Publ. sous les auspices des académies et sociétés savantes des départements de la Somme, de l'Aisne [&c.]., Volume 11, 1865
    31. « 80137 Breilly (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).


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