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Bouyon

Bouyon est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-CÎte d'Azur.

Bouyon
Bouyon
Vue sur le village depuis la route de Nice.
Blason de Bouyon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d’Azur
DĂ©partement Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Sophia Antipolis
Maire
Mandat
Jean-Pierre Mascarelli
2020-2026
Code postal 06510
Code commune 06022
DĂ©mographie
Gentilé Bouyonnais
Population
municipale
548 hab. (2020 en augmentation de 12,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 49â€Č 31″ nord, 7° 07â€Č 26″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 1 260 m
Superficie 12,29 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vence
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Bouyon
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Bouyon

    GĂ©ographie

    Localisation

    SituĂ©e Ă  35 km au nord-ouest de Nice, Bouyon se trouve Ă  une altitude moyenne de 650 m.

    GĂ©ologie et relief

    Village perchĂ©, son territoire est composĂ© de reliefs de montagne appartenant aux contreforts du Cheiron Ă  l'ouest (point culminant 1 224 m Ă  la crĂȘte de PerriĂšre), s'abaissant au nord vers la vallĂ©e de l'EstĂ©ron (en limite de la commune) Ă  173 m et au centre avec le vallon de Bouyon pour remonter au sud avec l'adrech de Berdine (946 m).

    Sismicité

    Le village a été détruit en partie par le Séisme du 23 février 1887 en Ligurie[1].

    Commune située dans une zone de sismicité moyenne[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[4].

    Voies routiĂšres

    • RD 1 depuis Les Ferres, Le Broc[5], Nice
    • RD 8 depuis BĂ©zaudun-les-Alpes.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté d'agglomération Sophia Antipolis.

    Urbanisme

    Typologie

    Bouyon est une commune rurale[Note 1] - [7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8] - [9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[10] - [11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (91,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (91,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (56,8 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (32,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (2,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme latin Buzidonis (au gĂ©nitif), ou Buzido (Ă  l'ablatif), apparaĂźt le 21 aoĂ»t 1155 dans le cartulaire de l’abbaye de LĂ©rins, Ă  l’occasion d’une donation de biens faite par un certain Bertrannus Engilranus, de Coursegoules, au monastĂšre[14] :

    Donatio bonorum, in territorio Corsegolis, Buzidonis, Besalduni et Alagaudae, a Bertranno Engilranno monasterio Lirinensi facta.

    Donation de biens, sur les territoires de Coursegoules, Bouyon, BĂ©zaudun et La Gaude, faite par Bertrannus Engilranus au monastĂšre de LĂ©rins.

    Les termes « Castrum de Bosisone » (chùteau de Bouyon) seraient attestés vers 1200.

    On trouve plus tard la forme Boysono (à l'ablatif) dans le manuscrit B 1054 des Archives départementales des Bouches-du RhÎne, daté de 1333 et relatif aux droits du roi de Naples et comte de Provence, Robert d'Anjou, dans la viguerie de Grasse et le bailliage de Villeneuve et Vence[15].

    "De Boysono", extrait du folio 50 du manuscrit B 1054 des Archives départementales des Bouches-du-RhÎne, daté de 1333 et relatif aux droits du roi sur le village de Bouyon.
    "De Boysono", extrait du folio 50 du manuscrit B 1054 des Archives départementales des Bouches-du-RhÎne, daté de 1333 et relatif aux droits du roi sur le village de Bouyon.

    En 1604, Boyon est mentionnĂ© dans le procĂšs-verbal des visites pastorales de Mgr Pierre du Vair, Ă©vĂȘque de Vence[16].

    "Boyon", extrait du folio 13 du document G 1219 ÉvĂȘchĂ© de Vence du 01/01/1604 au 31/12/1609 des Archives dĂ©partementales des Alpes-Maritimes. http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/arca/home.html
    "Boyon", extrait du folio 13 du document G 1219 ÉvĂȘchĂ© de Vence du 01/01/1604 au 31/12/1609 des Archives dĂ©partementales des Alpes-Maritimes. http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/arca/home.html

    Au milieu du XVIIIe siÚcle, le ContrÎle général des Finances de Turin utilise, en italien, le nom Boyone[17].

    "Boyone", extrait du folio 49 du document NI FINANCES MAZZO 007 du 01/01/1751 au 31/12/1754 des Archives départementales des Alpes-Maritimes.
    "Boyone", extrait du folio 49 du document NI FINANCES MAZZO 007 du 01/01/1751 au 31/12/1754 des Archives départementales des Alpes-Maritimes. http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/arca/home.html

    En 1866, dans son Armorial des communes de Provence[18], Louis de Bresc prĂ©cise que Bouyon se dit “quelquefois” Boyon, et Bouyoun “en langue du pays”.

    Enfin, dans les annĂ©es 1880, l’entrĂ©e Bouioun du Tresor dĂłu Felibrige recense encore d’autres formes, sans toutefois prĂ©senter de sources :

    BOUIOUN (rom. Boion, b. lat. Boyo, Boysono, Bosiono, Bozisone, Bisodono). n. de l. Bouyon (Var), village qui porte dans ses armes un poids de romaine, bouioun[19].

    Étymologie

    Du mot occitan buisset (« un bois de buis »), du latin buxetum, de buxus (« buis ») et suffixe collectif -etum.

    Histoire

    Seigneurie des Laugier en 1351, puis pour partie des Grimaldi (seigneurs Grimaldi de Bouyon) relevant ainsi du comté de Provence de 1364 à 1385.

    En 1385, il passa aux mains de Charles de Duras et en 1388 Bouyon devint territoire savoyard.

    Ce n'est qu'avec le traitĂ© de Turin, en 1760, qu'il revint en Provence. Il avait pour cela, d’aprĂšs les Archives dĂ©partementales des Alpes-Maritimes, fait l'objet d'un inventaire sommaire relayĂ© dans une "Note des Ă©critures laissĂ©es aux archives du roy Ă  la disposition de M. le Baron Foncet le 21 aoĂ»t 1760"[20] :

    L'Ă©tat du village et terroir de Bouyon (comtĂ© de Nice, diocĂšse de Vence), mentionne (renseignements fournis par Alziary, notaire des Ferres) : 8 prĂȘtres, 100 mulets, 30 bouriques, 20 paires de boeufs, 1 500 bĂȘtes d'avĂ©rage, des cochons pour la provision ; il note que "la contrebande se fait sans risque d'un État Ă  l'autre"[21].

    En 1790, il est rattaché au canton de Coursegoules.

    Bouyon est détaché du département du Var avec la création du département des Alpes-Maritimes aprÚs l'annexion du comté de Nice par la France, le .

    Émission de Radio-Nice, Partie 1 ‘’Visages et Villages’’, reportage à Bouyon – Fonds Francis Gag[22]

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1929 FĂ©lix Funel
    1935 FĂ©lix Funel
    1953 1983 Michel Salvadori DVD Conseiller général du canton de Coursegoules
    1983[23] En cours Jean Pierre Mascarelli UMP-LR Ingénieur conseil
    Ancien conseiller général du canton de Coursegoules

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

    • total des produits de fonctionnement : 591 000 â‚Ź, soit 1 137 â‚Ź par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 542 000 â‚Ź, soit 104 â‚Ź par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 438 000 â‚Ź, soit 843 â‚Ź par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 593 000 â‚Ź, soit 1 141 â‚Ź par habitant ;
    • endettement : 590 000 â‚Ź, soit 1 134 â‚Ź par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 14,74 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s bĂąties : 15,75 % ;
    • taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 82,06 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s non bĂąties : 0,00 % ;
    • cotisation fonciĂšre des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clĂ©s Revenus et pauvretĂ© des mĂ©nages en 2017 : mĂ©diane en 2017 du revenu disponible, par unitĂ© de consommation : 20 110 â‚Ź[25].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    Ses habitants sont appelés les Bouyonnais.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 548 habitants[Note 3], en augmentation de 12,07 % par rapport Ă  2014 (Alpes-Maritimes : +1,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    302442500504529600621640648
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    594492464442426390377333326
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    301258272195186173185180229
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    288157202229243352436460485
    2018 2020 - - - - - - -
    560548-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[30] :

    • École maternelle,
    • École primaire[31],
    • CollĂšges Ă  Carros, Saint-Martin-du-Var, Saint-Jeannet,
    • LycĂ©es Ă  Vence.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[32] :

    • MĂ©decins Ă  Bouyon, Gilette, Carros,
    • Pharmacies Ă  Gilette, Carros,
    • HĂŽpitaux Ă  Saint-Jeannet.

    Cultes

    • Culte catholique, Notre-Dame de l'Assomption-Sainte Trophime[33],

    Manifestations culturelles et festivités

    Fin mai ou dĂ©but juin, la « Procession aux Limaces » se dĂ©roule dans les rues et places de Bouyon. Celles-ci sont Ă©clairĂ©es par des milliers de bougies et des coquilles d'escargots (limaces) remplies d'huile (calen) avec une mĂšche. Des oratoires sont Ă©rigĂ©s oĂč la procession fait halte pour prier. Cette procession remonte Ă  trĂšs loin dans le temps, Ă  l'origine elle Ă©tait faite pour prier afin que la rĂ©colte des olives soit bonne.

    Film tourné en partie sur Bouyon

    Il s'agit du film Le Saut de l'ange dont les scÚnes concernant la cérémonie à l'église et l'enterrement, censées se dérouler dans un village Corse, ont été tournées dans les rues et le cimetiÚre de Bouyon.

    Économie

    Agriculture

    • La Fromagerie de la ChĂšvre Blanche[34].
    • La Cueillette Provençale, agriculteur[35].
    • Terrasses cultivĂ©es en jardins potagers[36].

    Tourisme

    • HĂ©bergement La Maison Barnoin. Location de chambres Ă  la nuitĂ©e. Établissement ouvert Ă  l'annĂ©e[37].
    • Snack, pizzeria.
    • Piscine de Bouyon. La piscine et son snack ouvrent leurs portes chaque Ă©tĂ©.

    Commerces

    • Commerces et services de proximitĂ©[38].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bouyon vue de la route de BĂ©zaudun.
    Chapelle Saint-Roch.

    Patrimoine religieux :

    • Église Saint-Trophime[39] : la paroisse de Bouyon est mentionnĂ©e dĂšs 1312. En 1683, saint Trophime en est dĂ©clarĂ© le patron (dans l'Ă©glise, buste en bois polychrome de 1683 le reprĂ©sentant - ce buste renferme ses reliques). En 1787, l'Ă©glise est consacrĂ©e Ă  Notre Dame de l'Assomption, d'oĂč son nom de « Saint-Trophime et Notre Dame de l'Assomption »[40]. AprĂšs le tremblement de terre de 1887 elle est entiĂšrement reconstruite entre 1889 et 1891[41]. On peut y dĂ©couvrir un trĂšs beau retable de la Vierge du XVe siĂšcle Ă  l'huile sur bois.
      • Retable de la Vierge (vers 1450) : Ă  l'huile sur bois (tilleul) attribuĂ© Ă  tort Ă  l'artiste niçois Jacques Durandi (vers 1400-1469) (dimensions h = 184 - l = 150)[42]
    • Chapelle Saint-Pons : construite en 1602 (date gravĂ©e dans une pierre de l'arc de façade), anciennement dĂ©diĂ©e au Saint-SĂ©pulcre[43], elle est la plus ancienne de la commune[44].
    • Chapelle Saint-Roch[45] : date de 1714[46]. Elle a Ă©tĂ© construite Ă  l'entrĂ©e ouest du village pour Ă©radiquer l'Ă©pidĂ©mie de peste qui sĂ©vit dans la rĂ©gion au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle : en 1673 la paroisse de Bouyon comptait environ 470 personnes. La chapelle abrite un tableau reprĂ©sentant Dieu envoyant Ă  saint Roch le flĂ©au de la peste. Ce saint protecteur intercĂšde alors en faveur des humains[47].
    • Chapelle Saint-Bernardin des PĂ©nitents Blancs[48].
    • Monument aux morts[49] : Conflits commĂ©morĂ©s : Guerre franco-allemande de 1914-1918 - 1939-1945[50] - [51].

    Autres patrimoines :

    • Four Ă  pain communal[52] : il date du dĂ©but du XXe siĂšcle. On peut voir sur sa façade le blason du village[53].
    • Portissoles : des maisons ont remplacĂ© les remparts primitifs et quatre des anciens accĂšs au village mĂ©diĂ©val sont des passages sous maisons. Ce type de construction (appelĂ©e aussi « portissole ») est frĂ©quent dans de nombreux villages. Il permet, outre un gain de place, d'avoir des façades en continuitĂ©.
    • Place de la Fontaine : cette fontaine en calcaire[54], a Ă©tĂ© construite en 1822 par l'entreprise Lombardini sur les plans de l'architecte Goby[55]. C'est par une dĂ©libĂ©ration du que le conseil municipal (maire Giraudy) a dĂ©cidĂ© sa construction. Elle devait au dĂ©part ĂȘtre implantĂ©e contre une des maisons de la place de Tourre. Devant le refus des propriĂ©taires et moyennant un surplus de 28 000 francs, elle est Ă©difiĂ©e au centre de la place devenue depuis place de la Fontaine.

    HĂ©raldique

    Blason de Bouyon Blason
    D’argent au peson de gueules[56].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. André Laurenti, « Effets sur le village de Bouyon », sur Azurseisme (consulté le )
    2. Didacticiel de la réglementation parasismique
    3. RiviĂšre L'esteron
    4. Table climatique
    5. Itinéraire depuis Le Broc
    6. RĂ©seau de transports Zou !
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    14. « Bertrannus Engilranus de Coursegoules pour Lérins (abbaye Saint-Honorat) » (consulté le )
    15. « Manuscrit B 1054 du fonds ancien des Archives déparementales des Bouches-du-RhÎne »
    16. "Boyon", extrait du folio 13 du document G 1219 ÉvĂȘchĂ© de Vence du 01/01/1604 au 31/12/1609 des Archives dĂ©partementales des Alpes-Maritimes. http://www.basesdocumentaires-cg06.fr/os-html/arca/home.html
    17. Archives départementales des Alpes-Maritimes : ContrÎle général des Finances de Turin. Document NI FINANCES MAZZO 007 du 01/01/1751 au 31/12/1754.
    18. Armorial des communes de Provence, ou Dictionnaire gĂ©ographique et hĂ©raldique des villes et villages des Bouches-du-RhĂŽne, du Var, des Basses-Alpes, de Vaucluse et des Alpes-Maritimes, Éditions Bachelin-Deflorenne, 1866.
    19. « Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne.... T. 1, A-F », sur Gallica, (consulté le ).
    20. Archives départementales des Alpes-Maritimes : Cour de Turin, document NI FIUME VARO MAZZO 006 du 01/01/1334 au 31/12/1790.
    21. Royaumes de France et de Sardaigne.
    22. (en) « Émission de Radio-Nice, Partie 1 ‘’Visages et Villages’’, reportage Ă  Bouyon » [vidĂ©o], sur Dailymotion (consultĂ© le ).
    23. « Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008. »
    24. Les comptes de la commune
    25. Chiffres clĂ©s Évolution et structure de la population. Dossier complet
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Établissements d'enseignements
    31. École primaire
    32. Professionnels et établissements de santé
    33. Notre-Dame de l'Assomption-Sainte Trophime
    34. La Fromagerie de la ChĂšvre Blanche
    35. La Cueillette Provençale
    36. Terrasses cultivées en jardins potagers, sur dossiersinventaire.maregionsud.fr/illustration/
    37. La Maison Barnoin
    38. Commerces et services de proximité
    39. Église paroissiale
    40. Église Saint Trophime
    41. Ex-voto, tableau
    42. Retable (triptyque) : Vierge Ă  l'Enfant
    43. Chapelle Saint-SĂ©pulcre, Saint-Pons
    44. Chapelle Saint Pons
    45. Chapelle Saint-Roch, sur www.pop.culture.gouv.fr/
    46. Chapelle Saint Roch Bouyon, sur
    47. Le mobilier de la chapelle Saint-Roch
    48. Chapelle Saint Bernardin des PĂ©nitents Blancs
    49. Monument aux morts
    50. Bouyon - Morts aux guerres, sur geneawiki.com/
    51. Plaque commémorative, de la guerre de 1914-1918, sur dossiersinventaire.maregionsud.fr/
    52. L'ancien four communal
    53. Four Ă  pain
    54. Fontaine, sur
    55. Bouyon - Place de la Fontaine
    56. Dominique Cureau, « Communauté d'agglomération Sophia Antipolis (canton de Coursegoules) : Bouyon », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

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