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Blieux

Blieux est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Blieux
Blieux
Une des cluses qui cloisonnent le territoire de Blieux.
Blason de Blieux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
GĂ©rard Collomp
2020-2026
Code postal 04330
Code commune 04030
DĂ©mographie
Gentilé Blieuxiens
Population
municipale
62 hab. (2023)
DensitĂ© 1,1 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 52′ 24″ nord, 6° 22′ 18″ est
Altitude Min. 831 m
Max. 1 930 m
Superficie 56,8 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Blieux
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Blieux
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Blieux
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Blieux

    Le nom de ses habitants est Blieuxiens[1].

    GĂ©ographie

     Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
    Blieux et les communes voisines (cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village est situĂ© Ă  950 m d’altitude[2], dans la vallĂ©e de l’Asse de Blieux, dans le massif du Montdenier.

    Blieux est une des 46 communes adhérentes du parc naturel régional du Verdon.

    Les communes limitrophes de Blieux sont :

    BarrĂŞme, Senez, Castellane, Rougon, La Palud-sur-Verdon, Majastres et Senez Ă  nouveau avec son enclave du Poil[3] - [4].

    GĂ©ologie

    Le périmètre de protection de la réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Blieux.

    Environnement

    La commune compte 690 ha de bois et forĂŞts, soit seulement 12 % de sa superficie[1].

    Hameaux

    • le Bas-Chaudoul
    • la Tuilière
    • Thon
    • la Castelle

    Relief

    Montagne de la Vibre.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Une cascade proche des hameaux de La Melle, affluente du ravin de Chast.

    Cours d'eau sur la commune ou Ă  son aval[5] :

    • rivière l'Asse,
    • ravins de Reibert, de Chaudanne, du Riou d'Ourgeas, du Champ, de la Font des Bruscs, du Collet, de Chanier, de la Clue, de la Clape, de la Colle, du Riu, du Rayet, de la radasse, des RoumĂ©gière, de Longuet, des Lèches, de la Bourbonne, de la Castelle, de la Plâtrière, de la Charbonnière, de la Quille, des Combes, de Malamort, du Chast, du Pas d'Escale, de l'Enfantasse, du Roi, de la Gipière Blanche,
    • vallon Nègre,
    • torrent de Praux.

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Blieux est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[6], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7]. La commune de Blieux est également exposée à trois autres risques naturels[7] :

    • feu de forĂŞt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain : la commune est concernĂ©e par un alĂ©a moyen Ă  fort dans toute la vallĂ©e de l’Asse[8].

    La commune de Blieux n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[9].

    Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[9] et le Dicrim existe depuis 2011[10].

    La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle, en 1994 (hiver et automne) et en 2011, pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue[7]. Les tremblements de terre qui ont été le plus fortement ressenti à Blieux sont ceux des 30 novembre 1951, avec une intensité de 6,5 (épicentre à Chasteuil, actuellement rattaché à Castellane) et 17 février 1947, d’intensité 3 dans la commune (avec un épicentre dans le Piémont)[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Blieux est une commune rurale[Note 1] - [12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13] - [14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[15] - [16].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (61,5 %), forêts (19,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), prairies (0,5 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Selon Ernest Nègre, le nom de la commune (Bleus en 1110, Vleus au XIIe siècle selon l’Atlas historique de la Provence[19]) vient de l’occitan bleusse, qui signifie « sec », probablement en référence au sol sec[20]. Selon Charles Rostaing, il se forme sur la racine oronymique (désignant une montagne en forme d’éperon) *BL[21], toponyme qui est probablement préceltique[22]. Les Fénié sont du même avis que Rostaing[23].

    Le lieu-dit la Melle (castri de Mela, vers 1200), a un nom tiré du celtique mello, désignant un lieu situé en hauteur[24] - [25].

    Histoire

    Dans l'Antiquité, le peuple installé à l'arrivée des Romains est celui des Sentii[26].

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1110, comme appartenant à Raimundus de Bleus[27]. Le fief appartient au chapitre épiscopal de Senez, puis passe aux Castellane au XIIIe siècle, aux Pontevès au XIVe siècle, aux Engelfred au XVIIIe siècle[19]. Les églises des paroisses de Blieux (à Blieux et à Melle), et les revenus qui y sont attachés, passent successivement à l'abbaye Saint-Victor de Marseille, à l’évêque de Senez, puis à l’abbaye de Lérins[27].

    En 1342, la communauté de Blieux est rattachée à la viguerie de Castellane par le comte de Provence[28] - [27].

    Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire, la communauté de Roquemartine adhère à l'Union d'Aix (1382-1387), soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Elle fait même partie des plus fidèles et maintient son soutien même après la reddition d'Aix. Ce n’est que fin 1387 qu’elle se soumet[29].

    À la fin des guerres de Religion, les habitants de Blieux détruisent leur église pour éviter que leurs ennemis s’en emparent[27].

    Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[30].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d'améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités. Dès 1811, le cadastre dit napoléonien de Blieux est achevé[31].

    Comme de nombreuses communes du département, Blieux se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle en compte deux qui dispensent une instruction primaire aux garçons, situées au chef-lieu et au hameau de la Melle[32]. Les filles bénéficient elles aussi de cette instruction, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[33] - [34].

    HĂ©raldique

    Blason de Blieux Blason
    Coupé d'or à un chien contourné d'azur lampassé de gueules colleté du champ, et aussi de gueules à un pont de trois arches d'argent maçonné de sable[35] - [36].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 Baptistin Bianco[37]
    mars 1965[38] mars 2014 Marcel Collomp[39]
    avril 2014 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    GĂ©rard Collomp[40] SE Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Blieux fait partie :

    Urbanisme

    La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[41].

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[42] :

    • total des produits de fonctionnement : 82 000 â‚¬, soit 1 394 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 66 000 â‚¬, soit 1 126 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 108 000 â‚¬, soit 1 837 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 31 000 â‚¬, soit 526 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 6 000 â‚¬, soit 96 â‚¬ par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 8,00 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s bâties : 7,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 53,00 % ;
    • taxe additionnelle Ă  la taxe foncière sur les propriĂ©tĂ©s non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 17,16 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[43].

    DĂ©mographie

    En 2020, Blieux comptait 55 habitants. Ă€ partir du XXIe siècle, les recensements rĂ©els des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Blieux). Les autres « recensements » sont des estimations.

    La commune est, parmi celles des Alpes-de-Haute-Provence qui ont subsisté sans être totalement abandonnées, celle qui a connu le plus grand recul démographique entre le milieu du XIXe (et même la fin du XVIIIe siècle) et le milieu du XXe siècle.

    Évolution démographique
    1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
    150 feux37 feux823913801818810907969876
    1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    802780735736650598573560537508
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    449442403374241200181160110100
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2020 -
    735954595759625655-
    Population sans doubles comptes de 1962 Ă  1999 ; population municipale depuis 2006
    (Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[19], EHESS jusqu'en 1962[44], Insee à partir de 1968[45] - [46] - [47] - [48])

    L’histoire démographique de Blieux, après la grande saignée du XIVe siècle et la lente croissance allant de la fin du XVe siècle aux années 1830, est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période, courte dure de 1831 à 1841. Elle est suivie d’un mouvement de diminution assez rapide. En 1896, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population de 1836[49]. Le mouvement de baisse s’est poursuivi jusqu’aux années 1960. Depuis un demi-siècle, la population est stable, entre 50 et 60 habitants, soit 5 à 6 % de la population du maximum de 1836.

    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 22 personnes, dont sept chômeurs[50]. Ces travailleurs sont majoritairement non-salariés (neuf sur dix-sept)[51] et travaillent majoritairement dans la commune (même proportion)[51]. L’essentiel des établissements de la commune se trouvent dans l’agriculture (13 sur 21 en 2010)[52].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 13 établissements actifs au sens de l’Insee et aucun emploi salarié[52].

    Le nombre d’exploitations, selon l’enquĂŞte Agreste du ministère de l’Agriculture, est en forte baisse dans les annĂ©es 2000, passant de 10 Ă  6, essentiellement des Ă©levages ovins[53]. De 1988 Ă  2000, la surface agricole utile (SAU) a fortement baissĂ©, de 1 312 ha Ă  960 ha, alors que le nombre d’exploitations baissait (de 12 Ă  10)[54]. Ce mouvement s’est poursuivi, la SAU s’établissant Ă  256 ha en 2010[53].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait un seul établissement artisanal, employant un salarié[52].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait cinq établissements (sans aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif, sanitaire et social[52].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[55]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :

    • plusieurs meublĂ©s[56] ;
    • un gĂ®te est le seul hĂ©bergement collectif[57].

    Les résidences secondaires apportent un appoint important à la capacité d’accueil[58] : plus de la moitié des logements (soit 52) sont des résidences secondaires, dont 10 avec deux logements ou plus[59] - [60].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • Église Sainte-Elizabeth-de-Portugal Ă  la Melle[2] (douteuse, il semble que ce soit Ă  sainte Élisabeth (mère de Jean le Baptiste) et non Ă  sainte Élisabeth de Portugal qu’il faille attribuer la titulature[27]). Elle est construite Ă  plus de 1 400 m d’altitude au-dessus de la Melle[27] ;
    • Chapelle du Bas-Chaudoul ; chapelle de la Tuilière, en ruines ; la chapelle Saint-Pons, au hameau du Thor (ou du Thon, ou du Toun[27]), en ruines, peut avoir la partie antĂ©rieure qui remonte au XIIIe siècle[61]. Elle est dĂ©jĂ  signalĂ©e en 1122[27].
    • L’église Saint-Symphorien (XVIIe siècle) est de caractère très archaĂŻque, avec un dĂ©cor fruste ; les chapelles latĂ©rales sont formĂ©es de renfoncements voĂ»tĂ©s pratiquĂ©s dans les murs[62]. La statue de la Vierge Ă  l'Enfant, un marbre du XVIIIe siècle, est classĂ©e au titre objet[63]. Elle est ornĂ©e d’un tableau (159 cm sur 128), reprĂ©sentant la Visite de saint Antoine Ă  saint Paul ermite. Il reprĂ©sente la scène de la LĂ©gende dorĂ©e oĂą un corbeau envoyĂ© par Dieu apporte un pain Ă  l’ermite. DatĂ©e entre 1850 et 1875, elle est de la main de Fidèle Maria Patritti[64]. C’est cette Ă©glise que les habitants dĂ©truisent en 1595, reconstruisent au XVIIe siècle, puis au XVIIIe siècle[27].
    • Monuments commĂ©moratifs :
      • Plaque commĂ©morative dans l'Ă©glise Saint-Symphorien[65],
      • Plaque commĂ©morative chapelle de La Melle,
      • Plaque commĂ©morative Chapelle Sainte Elizabeth[66].

    Autres patrimoines :

    • Château au sommet du village, en ruines (XIIe ou XIIIe siècles[67])
    • Quatre ponts de Blieux sont assez anciens :
      • le pont de l’Asse, Ă  la Rouvière : situĂ© sur la route allant Ă  la Tuilière (RD 21), ancienne route de Castellane par le col des Lèques, il adopte une forme classique, en dos d'âne, Ă  une arche. Il date approximativement des XVIIe – XVIIIe siècles[68] ;
      • toujours sur l’Asse, le pont en dessous de l’ancien village[69] ;
      • le pont sur un affluent de l’Asse : il a la particularitĂ© d’avoir un tablier en pente, proche deux prĂ©cĂ©dents[70] ;
      • le pont de la Melle : situĂ© sur le chemin muletier Senez-Melle, il permet le franchissement du ravin du Chast. Sa voĂ»te est en partie taillĂ©e dans le tuf et est aux deux-tiers appareillĂ©e dans du tuf, qui a pu ĂŞtre extrait sur place. Il peut dater du XIXe siècle[71] ;
    • Observatoire astronomique au Chiran.
    • Canaux d'irrigation[72].
    • Chapelle de la Basse-Melle.
      Chapelle de la Basse-Melle.
    • Plaque monument aux morts des hameaux de la Haute et de la Basse-Melle.
      Plaque monument aux morts des hameaux de la Haute et de la Basse-Melle.
    • Pont muletier de La Melle.
      Pont muletier de La Melle.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7).
    3. Magazine Conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, juillet-août 2008, p. 7.
    4. Carte du Pays A3V, consultée le 21 juillet 2008.
    5. L'eau dans la commune
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39.
    7. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 2 juillet 2012.
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
    9. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95.
    10. Notice de Blieux, base Dicrim, consultée le 2 juillet 2011.
    11. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Barrême », Sisfrance, consulté le 2 juillet 2012.
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 165.
    20. Ernest Nègre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne).. Notice 23793, p. 1281.
    21. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p. 85.
    22. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise » in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., carte 11 et commentaire.
    23. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest, coll. « Sud Ouest Université », , 128 p. (ISBN 978-2-87901-442-5), p. 80.
    24. Rostaing, Essai sur la toponymie..., p. 206.
    25. Fénié & Fénié, op. cit., p. 23.
    26. Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
    27. Daniel Thiery, « Blieux », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 2 juillet 2012.
    28. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Histoire de la Sous-Préfecture de Castellane », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012.
    29. Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419, et 408.
    30. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires », La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
    31. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    32. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    33. Labadie, op. cit., p. 16.
    34. Labadie, op. cit., p. 18.
    35. Banque du Blason.
    36. Dominique Cureau, « Moyen Verdon, 3 : Blieux », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
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    38. F. B., « Marcel Collomp n'ira pas au-delà de sept mandats », La Provence, 1er mars 2014, p. 10.
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    67. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p. 315.
    68. Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p. 59.
    69. Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre op. cit., p. 59.
    70. Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre, op. cit., p. 60.
    71. Notice qui lui est consacrée par Philippe Autran et Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre op. cit., p. 160.
    72. restauration et l’entretien des canaux d’irrigation gravitaire : le soutien de la Fondation du patrimoine
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