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Bail environnemental

En France le bail rural Ă  clauses environnementales ou plus simplement dit « Bail environnemental Â» est une nouvelle forme de bail prĂ©vu par la loi d'orientation agricole[1] et crĂ©Ă© par dĂ©cret du no 2007-326[2], qui vise Ă  imposer des pratiques plus respectueuses de l'environnement sur les parcelles qu'il dĂ©signe. Par cette forme particulière du bail un propriĂ©taire d'une terre (bailleur) loue a un agriculteur (preneur) en imposant certaines conditions de respect de l'environnement, gĂ©nĂ©ralement sur la base d'un plan de gestion[3].

Ce bail permet au propriétaire bailleur de préciser et contractualiser avec des exploitants les conditions environnementales de l'exploitation du sol et d'autres ressources environnementales afin de les préserver et d'en permettre une exploitation durable.

« Il vient concrétiser les différentes politiques de soutien et de prise en compte des pratiques agro-écologiques. » et s'inscrit dans la tendance qui vise à financer à l'exploitant certains surcoûts et manques à gagner (sur le court ou moyen terme) souvent induits par l'engagement à adopter ou retrouver des pratiques plus respectueuses de l'eau, de l'air, des sols, des écosystèmes et des services écosystémiques fournis par la nature et certains agroécosystèmes. Il permet d'inscrire dans la gestion d'un site une liste limitative de pratiques culturales susceptibles de protéger l'environnement et le cas échéant des éléments de trame verte et bleue[4].
Le bénéfice environnemental est supposé durable, car le non-respect par le (re)preneur des clauses environnementales inscrites dans le bail peut conduire à sa résiliation. Il devrait ainsi pouvoir encourager les partenariats public-privés entre collectivités publiques et agriculteurs pour la protection de milieux, d'espèces et de ressources naturelles.
Cependant les « clauses environnementales Â» restent limitĂ©es, et ne peuvent ĂŞtre introduites que lors de la conclusion d'un bail, ou lors de son renouvellement et uniquement sur des zones dĂ©jĂ  concernĂ©es par une règlementation environnementale.

Histoire

Le droit français du fermage, tel que codifiĂ© en 1946 n'avait pas prĂ©vu qu'un propriĂ©taire puisse prĂ©ciser d'Ă©ventuelles clauses visant directement la protection de l'eau, de l'air, des sols ou de la faune, de la flore. Il prĂ©cisait simplement, comme le veut la jurisprudence ancienne et le droit coutumier que le fermier ait Ă  entretenir le bien louĂ© « en bon père de famille » ce qui suppose qu'il ne dĂ©grade pas le bien lors de son utilisation. La notion de « bon père de famille Â» est floue et pouvait ĂŞtre interprĂ©tĂ©e de diverses manières ; ainsi dans les annĂ©es d'après guerre et jusqu'aux annĂ©es 1970-1980, la destruction de zones humides par le drainage ou le comblement de mares, l'arrachage de haies, l'Ă©levage hors-sol, l'utilisation gĂ©nĂ©ralisĂ©e d'engrais chimiques et/ou de pesticides ont pu ĂŞtre considĂ©rĂ© - de bonne foi Ă  l'Ă©poque - comme relevant d'une gestion en bon père de famille, avant qu'on ne dĂ©couvre ou dĂ©montre les effets globalement nĂ©fastes de ces pratiques en termes d'Ă©cologie et de santĂ© environnementale.

Face au constat d'une dégradation généralisée de l'environnement et de la biodiversité, et en particulier d'une dégradation des ressources en eau, les législateurs européen et français ont peu à peu cherché à intégrer les enjeux environnementaux dans les pratiques agricoles et les outils financiers de soutien à l'agriculture, pour notamment faire en sorte que le capital environnemental puisse être mieux pris en compte dans les outils fonciers et les baux. Ainsi en 1992, l'Europe rend obligatoire les mesures agro-environnementales (MAE), mais elles se montrent difficiles à mettre en œuvre.

Dans un contexte de déséquilibre écologique, de diffusion d'espèces invasives et d'absence ou régression des grands prédateurs et grands herbivore, la protection de l'environnement implique souvent une gestion restauratoire et conservatoire, qui nécessite des protocoles spécifiques, propres aux types d'habitats et espèces que les plans de gestion souhaitent protéger.

Cette nouvelle forme de Bail résulte ainsi de la loi d'orientation agricole du , mais aussi indirectement de la Loi d'orientation agricole de 1999, laquelle stipulait déjà que « la politique agricole » devait « prendre en compte la préservation des ressources naturelles, la biodiversité et l'entretien des paysages ; Art 1 : « La politique agricole prend en compte les fonctions économique, environnementale et sociale de l’agriculture et participe à l’aménagement du territoire, en vue d’un développement durable. Elle a pour objectifs, en liaison avec la politique agricole commune et la préférence communautaire [...], la préservation des ressources naturelles et de la biodiversité et l’entretien des paysages, l’équilibre économique des exploitations ne devant pas être mis en péril par les obligations qui en découlent, notamment en matière de préservation de la faune sauvage, sans qu’il en résulte des charges supplémentaires pour l’État ». ».
Cette loi prend en compte l'importance du foncier en ajoutant un 8e motif de préemption pour les SAFER (la préservation de l’environnement) tout en instituant un Contrat territorial d'exploitation (CTE) pour encourager l'agriculture durable, mais ce contrat était entièrement dépendant du volontariat de l'exploitant et souvent peu précis sur les engagements à prendre en faveur de l'environnement.

En 2003, un décret [5] remplace le CTE par le Contrat d'agriculture durable (CAD) qui comprend un volet environnemental obligatoire.

En 2007, le bail nouveau est effectivement rendu possible par un décret[6].

La loi n°2014-1170 du d'avenir pour l'agriculture, l'agroalimentaire et la forêt et sur son décret d'application ont assoupli les règles du BRE.

Utilisation du bail rural Ă  clauses environnementales

Cette forme de bail est particulièrement utilisée par les propriétaires chargés de restaurer, protéger ou gérer l'environnement (dont dans le cadre de mesures compensatoires ou conservatoires), et notamment par :

Conditions de signature, durée et validité

Ce bail peut venir en appui du document de gestion de l'espace agricole et forestier et de nombreux dispositifs de protection et gestion restauratoire de l'environnement, dans certaines zones géographiques précisées par le décret, pour des bailleurs publics, ou des associations agréées pour la protection de l'environnement, et pour des bailleurs privés (si leurs parcelles sont situées dans des espaces naturels particuliers et les clauses conformes au document de gestion officiel en vigueur dans ces zones).

Sa durée est classiquement de 9 ans, mais peut aussi être intégré dans un bail rural à long terme ou un bail rural cessible[7].

Où le BRE peut-il être utilisé ?

Les parcelles pouvant bénéficier des clauses environnementales doivent être situées en zones dites "à protéger" :

Qui peut utiliser le BRE ?

les bailleurs habilités à insérer une clause environnementale dans les baux qu’ils concluent sont selon le Code rural [7] :

  • Des personnes morales de droit public[7],
  • Des associations agrĂ©Ă©es pour la protection de l’environnement[7],
  • Des personnes morales agrĂ©Ă©es "entreprise solidaire"[7],
  • Des fondations reconnues d’utilitĂ© publique[7],
  • Des fonds de dotation[7].
  • des bailleurs privĂ©s (Ă  certaines conditions / voir ci-dessous)

Cas du bailleur privé

Un bailleur privé ne peut imposer des pratiques culturales que dans les espaces protégés par l'article 76 de la loi du codifié à l'article L. 411-27 du code rural, c'est-à-dire ; - dans des secteurs où l'autorité administrative peut réglementer les usages de l'eau sur la base de prescriptions nationales ou particulières (art. L. 211-12 code de l'environnement), - dans des zones de servitudes d'utilité publique sur des terrains riverains d'un cours d'eau ou de la dérivation d'un cours d'eau, ou situés dans leur bassin versant, ou dans une zone estuarienne (art. L. 211-12 code env.), - dans des terrains du Conservatoire du littoral qui avait déjà la liberté d'imposer de produire des conventions de gestion particulières (parfois précaires) de par l'article L. 322-9 du code de l'environnement (Ce bail rural environnemental assure maintenant une double garantie de stabilité ; au bailleur d'une part, et à l'exploitant d'autre part, tant qu'il respecte les pratiques culturales liées aux objectifs de sauvegarde des sites littoraux ainsi gérés et protégés). - dans les parcs nationaux (art. L. 331-1), - dans les réserves naturelles (art. L. 332-1) et les périmètres de protection autour des réserves naturelles (art. L. 332-16), - dans les sites classés « monuments naturels » (art. L 341-4 à L. 341-6), - dans les zones d'APPB (Arrêté préfectoral de protection de biotope) (art. 411-2), - dans les sites Natura 2000 (art. L. 414-1), - dans les zones couvertes par un plan de prévention des risques naturels prévisibles (art. L. 562-1), - dans les périmètre de captage (immédiat, rapproché et éloigné) - (art. L. 1321-2 du code de la santé publique), - dans les zones soumises à érosion (art. L. 114-1 du code rural). - dans les zones retenues pour constituer la Trame verte et bleue, outil français de préservation et de restauration des continuités écologiques (art. L. 371-1 à 3 du code de l'environnement), institué par la loi de modernisation de l'agriculture de . Le schéma régional de cohérence écologique contiendrait le document de gestion prévu.

Les clauses environnementales retenues par le bailleur privé doivent être conformes au « document de gestion » officiel de chaque zone considérée, c'est-à-dire conforme à[8], ce qui signifie qu'en l'absence de vrai plan de gestion, les prescriptions ou interdictions (par exemple pour une protection d'un captage, un APB (arrêté préfectoral, de biotope) ou un arrêté de réserve naturelle ; ce qui est logique puisqu'il s'agit d'obligations légales antérieures. Dans ces derniers cas, l'insertion de clauses environnementales dans les baux n'est donc pas nécessaire. Le bail ne doit rien imposer de plus que ce qu'imposent les documents officiels de gestion.

Obligations pour le bailleur

Dans tous les cas, le prix des baux incluant des clauses environnementales ne peut qu'être égal ou supérieur au minima fixé par l'arrêté préfectoral en vigueur.

Remarques

Ce bail peut -sur les zones où il est possible (zone faisant déjà l'objet d'un document de protection ou d'un « document officiel de gestion » ) - contribuer à améliorer la gestion des sols fragiles, ou vulnérables à la pollution, par les nitrates notamment, en particulier dans les champs captants.
Le Grenelle de l'Environnement a proposĂ© en 2007 les concepts de trame verte de remembrement environnemental qui pourraient tous deux contribuer Ă  restaurer les sols. La loi Grenelle II prĂ©voit une certification environnementale volontaire pour les exploitations agricoles qui souhaitent la demander ainsi qu'un label « Haute Valeur Environnementale » rĂ©servĂ© au niveau supĂ©rieur de certification pour notamment amĂ©liorer la lisibilitĂ© et Ă©largir le nombre des personnes morales pouvant proposer un bail environnemental[9], avec un objectif de « remise en bon Ă©tat Ă©cologique Â», notamment pour les zones humides que les zones humides menacĂ©es que les SAFER (et les Agences de l'eau hors zone-agricole) peuvent maintenant acheter pour les protĂ©ger[9] ;
Ce bail est un des outils qui peut être utilisé pour la cohérence des politiques localement mises en place avec les agriculteurs et propriétaires.
les bailleurs publics (collectivités territoriales..) peuvent avec ce dispositif remplacer d'anciens dispositifs d'aides, mais en sécurisant les baux.
Rappel : l'article L. 416-3 du code rural précise pour les baux ruraux d'au-moins vingt-cinq ans qu'« en l'absence de clause de tacite reconduction, le bail prend fin au terme stipulé sans que le bailleur soit tenu de délivrer congé.», mais « le locataire peut toujours négocier l'insertion d'une clause de tacite reconduction » a précisé le ministre de l'agriculture en [10]. Une autre limite provient du refus de la part des organisations agricoles majoritaires de voir ce type de bail mis en œuvre, comme elle l'ont encore montré lors des débats préalables au vote de la loi de modernisation agricole.

Intérêt et limites

L'intérêt est celui d'un outil permettant une garantie à long terme de respect d'un minimum de pratiques compatibles avec la protection de l'environnement, mais après négociation avec les organisations agricoles, mais il a été retenu que les clauses du bail devraient être conformes aux documents de gestion officiels en vigueur dans ces zones ; le bail ne peut imposer plus que ces derniers et il ne peut être institué que dans des zones déjà protégées.
Le décret paru au JO du fixe les conditions d'application de ces nouvelles dispositions, dont une liste limitative des pratiques culturales susceptibles d'être imposées par ce bail ;

  1. non-retournement de prairies ;
  2. création, maintien et modalités de gestion de surfaces enherbées (dont bandes enherbées); ex : pâturage extensif, etc ;
  3. modes de récolte ;
  4. ouverture de zones embroussaillés, maintien de l'ouverture d'un milieu menacé d'embroussaillement ;
  5. mise en défens (clôtures, interdiction de pénétrer) de parcelles ou de parties de parcelle ;
  6. limitation ou interdiction d'apports externes en fertilisants ;
  7. limitation ou interdiction d'usage de pesticides ;
  8. couverture végétale du sol périodique ou permanente, pour cultures annuelles ou pérennes ;
  9. implantation, maintien et modalités d'entretien de couverts spécifiques à vocation environnementale ;
  10. interdiction d'irrigation, drainage et toutes formes d'assainissement ;
  11. modalités de submersion des parcelles et de gestion des niveaux d'eau ;
  12. diversification des assolements ;
  13. création, maintien et modalités d'entretien d'éléments écopaysagers (haies, talus, bosquets, arbres isolés, mares, fossés, terrasses, murets ;
  14. techniques de travail du sol (pédologie) (ex : agriculture sans labour) ;
  15. culture respectant le cahier des charges de l'agriculture biologique.

Les bailleurs publics et les associations agréées de protection de l'environnement peuvent choisir des pratiques dans la liste du nouvel article R. 411-9-11-1 du code rural si elles correspondent à des préoccupations environnementales localement pertinentes pour la parcelle louée.

Le conservatoire du littoral ni les espaces domaniaux (forêts gérées par l'ONF...) ne peuvent utiliser ce type de bail, hormis pour quelques terrains non classés dans son domaine propre, sans intérêt majeur mais acquis par le conservatoire dans un lot plus important (il peut alors éventuellement les revendre ou échanger, les autres devenant inaliénables). Les mêmes clauses environnementales et d'autres peuvent cependant être incluses dans une convention d'occupation temporaire, personnelle, à durée déterminée, avec possibilité de transmission aux ayants droit, aec respect des cahiers des charges (Entre et début 2011, dans le cadre des mesures de gestion, « plus de 900 conventions de ce type ont été signées avec des exploitants agricoles sur les terrains du Conservatoire »[11]

Évaluation après 10 ans

Suit à une demande faite respectivement par les ministères de l’Écologie et de l'Agriculture, près de 10 ans après la mise en place de ce bail, le CEREMA a publié une étude évaluant son utilisation (et leurs tendances) ainsi que ses effets (dans un contexte législatif et réglementaire (contexte qui a évolué depuis 2006, dont par exemple avec les lois Grenelle et une évolution de la PAC et du Droit européen de l'environnement).

Cette étude fait une analyse qualitative et quantitative, sans être exhaustive est basée sur une enquête faite auprès de 57 bailleurs de nature variée (collectivités territoriales, établissements publics, réseau des CEN, parcs nationaux et régionaux, associations et fondations) et de l'étude d'un échantillon représentatifs de baux ruraux à clauses environnementales (37 % du total des BRE contractualisés en près de 10 ans).

Selon le CEREMA, le BRE est « complémentaire des autres formules locatives » et « l'ensemble des outils existants ont leur pertinence ».

Le bilan force/faiblesse des BRE se présente comme suit.

Forces (Avantages)

  • Il permet une adaptation aux contextes environnemental et Ă©conomique locaux ;
  • Il permet de sĂ©curiser l’agriculteur en place (en lui donnant aussi accès Ă  une certification « Agriculture Ă  haute valeur environnementale » );
  • L’arrĂŞtĂ© prĂ©fectoral qui fixe le montant du bail rural est un cadre de rĂ©fĂ©rence pour fixer le montant du BRE ;
  • Il se montre utile, quand les tĂŞtes de rĂ©seaux (que sont notamment la fĂ©dĂ©ration des Cen, celle des Parcs naturels rĂ©gionaux, l'AssemblĂ©e permanent des chambres d’agriculture...) le diffusent.

Faiblesses (inconvénients)

  • Il est inadaptĂ© Ă  des espaces ou des espèces remarquables en dĂ©sĂ©quilibre ou Ă©quilibre dynamique, qui demandent un ajustement permanent des plans et/ou outils de gestion ;
  • C'est un outil qui reste mal connu aux Ă©chelles locales ;
  • la mise en Ĺ“uvre des clauses environnementales est difficile Ă  contrĂ´ler ;
  • La nĂ©gociation de ces clauses et leur suivi alourdissent la procĂ©dure de mise en place des BRE. Elles sont un frein au dĂ©veloppement de ce type de contrat.

Voir aussi

LĂ©gislation

  • Loi d’orientation agricole du
  • DĂ©cret d’application du
  • Loi de modernisation de l'agriculture et de la pĂŞche 2010-874 du article 59 point 6

Articles connexes

Guides

  • CEREMA (2016) Guide : 10 Questions - 10 RĂ©ponses sur le bail rural Ă  clauses environnementales (BRE), , PDF, 13 pages
  • Cerema (2013) Guide mĂ©thodologique « StratĂ©gies foncières locales et mobilisation des outils fonciers en faveur de la biodiversitĂ© » DTerMed - - 173 pp
  • Ministères de l’écologie et de l’Agriculture (2013) Guide mĂ©thodologique « Protection d’aire d’alimentation de captage en eau potable contre les pollutions liĂ©es Ă  l’utilisation de fertilisants et de pesticides », - 103 pp.

Bibliographie

  • anonyme (2011) Tout l’intĂ©rĂŞt du bail rural Ă  clauses environnementales Espaces naturels n°33 - Revue des professionnels de la nature -
  • CERF RhĂ´ne-Alpes (2014) Le bail Ă  ferme Ă  clauses environnementales ; Focus n°2 - - 4 pp
  • FĂ©dĂ©ration des Conservatoires d’espaces naturels (2013) Fiches outils de nature contractuelle mobilisables pour la Trame verte et bleue, - 6 pp
  • Guiomar, X. (2011). Les collectivitĂ©s locales Ă  la recherche d'une agriculture de proximitĂ© prox. Pour, (2), 169-183 (rĂ©sumĂ©).
  • ONCFS (2011) Agriculture et environnement : vers plus de convergence du droit applicable - Article - Faune sauvage n°291 - 2e trimestre 2011
  • PSDR (2011) L’écologisation des baux ruraux au service d’une politique agroenvironnementale dĂ©centralisĂ©e - Focus PSDR 3 - www.psdr-ra.fr/-PSDR-en-Rhone-Alpes-.html - 2011 - 6 pp
  • SAF agriculteurs de France (2013) Les agriculteurs, producteurs d’eau potable - Produire tout en intĂ©grant la qualitĂ© de l’eau - S’engager dans des dĂ©marches pro-actives et collectives ; Les notes de la SAF - - 34 pp
  • Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentation et de la ForĂŞt & Union europĂ©enne (2012) Les mesures agroenvironnementales - Agriculteurs Produisons autrement - L’Europe s’engage en France ; - - 32 pp
  • SNPN (2012) L’élevage en zone humide - Zones humides Info n°75-76 - SociĂ©tĂ© nationale de protection de la nature - 1er & 2e trimestres 2012 - 40 pp
  • UICN (2009) BiodiversitĂ© & Signes de reconnaissance agricoles - Quelle prise en compte de la biodiversitĂ© dans les marques, labels et certifications de productions agricoles ? - ComitĂ© français de l’UICN en partenariat avec la FĂ©dĂ©ration des Parcs Naturels RĂ©gionaux de France - Ministère de l’Écologie, & Ministère de l’Agriculture - - 12 pp

Notes et références

  1. Loi d'orientation agricole du 5 janvier 2006 ; Loi d'orientation agricole
  2. http://www.legifrance.gouv.fr/./affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000794340&fastPos=2&fastReqId=162239073&categorieLien=id&oldAction=rechTexte
  3. CERAM (2015) Le bail rural à clauses environnementales et le paysage « agro-environnemental, PDF, 49 pp
  4. « Étude sur les Outils Contractuels pour la Mise en Place de la Trame Verte et Trame Bleue » (les conservatoires des espaces naturels ; Présentation / réunion du 29 mai, FPNRF ;PDF
  5. décret du 22 juillet 2003
  6. décret du 8 mars 2007 (décret n° 2007-326)
  7. (Cf. article L. 411-27 du Code rural)
  8. tout plan de gestion ou toute mesure de gestion arrêtée même si les pratiques prescrites ne s'inscrivent pas véritablement dans un plan de gestion
  9. [Communiqué de Presse http://www.plan-batiment.legrenelle-environnement.fr/images/stories/CP_G2.pdf] Adoption définitive du projet de loi portant engagement national pour l’environnement dit « Grenelle 2 » (PDF, 15 pages, consulté 2010 07 09)
  10. Source :(Dominique Bussereau, ministre de l'agriculture et de la pêche, lors d'une séance du Sénat français du 7 novembre 2006)
  11. ATEN, Droit Le bail rural s'applique-t-il sur les terrains du Conservatoire du littoral ?, dans la Revue Espaces naturels, n°34, avril 2011


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