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Asnières-sur-Vègre

Asnières-sur-Vègre est une commune française, située dans le département de la Sarthe en région Pays de la Loire, peuplée de 379 habitants[Note 1].

Asnières-sur-Vègre
Asnières-sur-Vègre
Le vieux pont.
Blason de Asnières-sur-Vègre
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Sarthe
Arrondissement La Flèche
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Sabolien
Maire
Mandat
Jean-Louis Lemarié
2020-2026
Code postal 72430
Code commune 72010
Démographie
Gentilé Asniérois
Population
municipale
379 hab. (2020 en diminution de 4,29 % par rapport à 2014)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 19″ nord, 0° 14′ 03″ ouest
Altitude Min. 30 m
Max. 75 m
Superficie 12,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sablé-sur-Sarthe
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sablé-sur-Sarthe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Asnières-sur-Vègre
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Asnières-sur-Vègre
Liens
Site web www.asnieres-sur-vegre.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine.

    Géographie

    Le territoire est traversé par la Vègre.

    Géologie

    La commune repose sur le bassin houiller de Laval daté du Culm, du Viséen supérieur et du Namurien (daté entre -346 et -315 millions d'années)[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 681 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sable Sur Sarth », sur la commune de Sablé-sur-Sarthe, mise en service en 1963[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 706,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, mise en service en 1944 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Asnières-sur-Vègre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sablé-sur-Sarthe, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), prairies (17,6 %), forêts (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Asnières vient du latin asinus, « âne ».

    Le gentilé est Asnièrois.

    Histoire

    L'exploitation des houillères locales favorise le développement de l'activité chauffournière dans la région au XIXe siècle[1].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 1995 Robert Bruneau
    1995[22] mars 2014 Jean Anneron SE Responsable de gîtes
    mars 2014[23] mai 2020 Jean-Pierre Bourrely SE Directeur comptable retraité
    mai 2020[24] En cours Jean-Louis Lemarié SE Cadre retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

    En 2020, la commune comptait 379 habitants[Note 8], en diminution de 4,29 % par rapport à 2014 (Sarthe : −0,31 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    663595703720649669707706771
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    737702771744671658579544501
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    477496498492469433426428469
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    421387406356338375423396405
    2020 - - - - - - - -
    379--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Regroupé en intercommunalité au sein de la communauté de communes de Sablé-sur-Sarthe, Asnières, qui a reçu le label des « Petites Cités de caractère », reste un village rural à forte production agricole animalière, laitière et céréalière.

    Après une restauration de longue haleine, le manoir de la Cour ouvre ses portes en 2014 avec un musée sur le thème « Les Seigneurs du Moyen Âge ». Il se verra décerner « Les Rubans du patrimoine » en 2017. Avec ses cinq monuments historiques, Asnières bénéficie d’un pôle d’attraction touristique.

    Asnières possède un restaurant, Le Pavillon, des tables et chambres d’hôtes au manoir des Claies et divers gîtes, aux Claies, la Basse-Cour, les Vaux, la Tuffière, les Grandes Mottes, la Tannerie, les Bois.

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Hilaire, classée au titre des monuments historiques en 1979[29] - [30], abritant de nombreuses peintures murales. À partir du XIe siècle, les chanoines embellissent et développent leur seigneurie d’Asnières. C’est ainsi qu’ils achètent la nef et que selon leurs souhaits, les murs de l’église sont décorés. Ce sont les célèbres peintures murales mises au jour en 1951 par Madeleine Pré. Sur les murs de la nef, on peut observer la promesse de la Rédemption qui réconforte l’âme des fidèles terrifiés par les démons de l’Enfer.
    • Manoir de la Cour, ancienne cour de justice, appelée aussi le Temple, dont la construction remonte aux XIIIe et XIVe siècles, édifice exceptionnel tant par son ancienneté que par son traitement architectural. Siège de la seigneurie ecclésiastique d’Asnières au XIIIe siècle, gentilhommière au XVe siècle, puis métairie au XVIIIe siècle, cet édifice est finalement partagé en appartements au XIXe siècle. Il est propriété de la commune depuis 1972 et classé au titre des monuments historiques en 1991[31] - [32].
    • Pont sur la Vègre, dit le vieux pont, de style roman, reconstruit au début du XIXe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1984[33] - [34].
    • Fontaine de dévotion Saint-Aldric, transformée en lavoir au XIXe siècle, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[35].
    • Château de Moulinvieux, des XVIIe et XVIIIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques en 1989[36] - [37].
    • Manoir des Claies, du XVe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 1996[38].
    • Manoir de la Tannerie, des XVe, XVIe (?) et XIXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[39].
    • Maison marchande, dite le Pavillon, du XVIe ou XVIIe siècle, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[40].
    • Les vestiges miniers, notamment les cheminées des puits de la Detterie et de la Filousière[41].
    • Fontaine de dévotion Saint-Aldric puis lavoir, construite avant 1827, reconstruite dans le 3e quart 19e siècle par l'entrepreneur Pierre Chauvin. Photo février 2017.
      Fontaine de dévotion Saint-Aldric puis lavoir, construite avant 1827, reconstruite dans le 3e quart 19e siècle par l'entrepreneur Pierre Chauvin. Photo février 2017.
    • La Cour de Justice appelée aussi "Le Temple, (XIIIe – XIVe siècle) est aujourd'hui musée communal consacré à la chevalerie médiévale. Classé monument historique depuis le 17 janvier 1991.
      La Cour de Justice appelée aussi "Le Temple, (XIIIe – XIVe siècle) est aujourd'hui musée communal consacré à la chevalerie médiévale. Classé monument historique depuis le 17 janvier 1991.
    • La Cour de Justice. Propriété de la commune depuis 1972.
      La Cour de Justice. Propriété de la commune depuis 1972.
    • À partir du XIe siècle, les chanoines embellissent et développent leur seigneurie d'Asnières. C'est ainsi qu'ils achètent la nef et que selon leurs souhaits, les murs de l'église sont décorés. Ce sont les célèbres peintures murales mises au jour en 1951 par Madeleine Pré. Ici, Vierge en Majesté qui tient dans la main droite soit une perle, symbole de pureté soit un anneau nuptial symbole de l'alliance de la Vierge avec l'Esprit Saint.
      À partir du XIe siècle, les chanoines embellissent et développent leur seigneurie d'Asnières. C'est ainsi qu'ils achètent la nef et que selon leurs souhaits, les murs de l'église sont décorés. Ce sont les célèbres peintures murales mises au jour en 1951 par Madeleine Pré. Ici, Vierge en Majesté qui tient dans la main droite soit une perle, symbole de pureté soit un anneau nuptial symbole de l'alliance de la Vierge avec l'Esprit Saint.
    • Vue sur une maison Renaissance du village. Photo prise depuis l'entrée de l'église Saint-Hilaire.
      Vue sur une maison Renaissance du village. Photo prise depuis l'entrée de l'église Saint-Hilaire.
    • Le pont médiéval qui enjambe la Vègre, entièrement reconstruit en marbre et en grès vers 1806 par l'entrepreneur Jacques Baumier, est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 8 octobre 1984.
      Le pont médiéval qui enjambe la Vègre, entièrement reconstruit en marbre et en grès vers 1806 par l'entrepreneur Jacques Baumier, est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 8 octobre 1984.
    • On remarque le clocher en bâtière de l'église Saint-Hilaire, Le (ou la) Vègre est un affluent de la Sarthe en rive droite donc un sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine.
      On remarque le clocher en bâtière de l'église Saint-Hilaire, Le (ou la) Vègre est un affluent de la Sarthe en rive droite donc un sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine.
    • L'église paroissiale : le clocher en bâtière.
      L'église paroissiale :
      le clocher en bâtière.
    • L'église paroissiale : les fresques.
      L'église paroissiale : les fresques.
    • Le manoir de la Cour.
      Le manoir de la Cour.
    • Le château de Moulinvieux.
      Le château de Moulinvieux.
    • Cheminée du puits de la Detterie.
      Cheminée du puits de la Detterie.
    • Cheminée du puits de la Filousière.
      Cheminée du puits de la Filousière.
    • Puits de la Filousière.
      Puits de la Filousière.
    • Le terril du puits de la Filousière.
      Le terril du puits de la Filousière.

    Personnalités liées

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. H. Etienne et J.-C. Limasset, Ressources en charbon de la région Pays-de-la-Loire : Loire-Atlantique, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et Vendée, Nantes, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sable Sur Sarth - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Asnières-sur-Vègre et Sablé-sur-Sarthe », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sable Sur Sarth - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Asnières-sur-Vègre et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Sablé-sur-Sarthe », sur insee.fr (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Jean Anneron propose d'« Agir pour Asnières » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    23. « Les maires élus suite aux élections municipales de mars 2014 », sur le site de la Préfecture de la Sarthe (consulté le ).
    24. « Municipales à Asnières-sur-Vègre. Premier mandat de maire pour Jean-Louis Lemarié », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « Église », notice no PA00109663, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Église paroissiale Saint-Hilaire », notice no IA00058053, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Cour de justice (ancienne) dénommée aussi le Temple », notice no PA00109662, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. « Manoir de la Cour », notice no IA00058057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Vieux pont sur la Vègre », notice no PA00109664, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Pont dit le vieux pont », notice no IA00058077, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Fontaine de dévotion Saint-Aldric, Lavoir », notice no IA00058078, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Château de Moulinvieux », notice no PA00109994, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Château Notre-Dame », notice no IA00058058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. « Manoir des Claies », notice no PA72000001, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    39. « Manoir », notice no IA00058059, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Maison dite le Pavillon », notice no IA00058290, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. Jean-Pierre Guyard, « Les mines de Juigné », La vie Mancelle & Sathoise, no 444, , p. 24-31.

    Liens externes

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