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Ascenseurs Ă  bateaux du canal du Centre

Les ascenseurs Ă  bateaux du canal du Centre sont quatre ascenseurs Ă  bateaux hydrauliques construits en Belgique entre 1888 et 1917. Ils permettent de compenser ensemble une dĂ©nivellation de 66 mètres. De ces quatre ascenseurs, le premier permet de rattraper une dĂ©nivellation de 15,40 mètres, les trois autres de 16,93 mètres chacun. Le site des quatre ascenseurs du canal du Centre, dans les communes de La Louvière et du RĹ“ulx (Hainaut), a Ă©tĂ© inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco en 1998.

Les quatre ascenseurs du canal du Centre et leur site, La Louvière et Le Rœulx (Hainaut) *
Image illustrative de l’article Ascenseurs à bateaux du canal du Centre
Houdeng-Gœgnies, l’ascenseur no 1.
CoordonnĂ©es 50° 28′ 17″ nord, 4° 05′ 40″ est
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Subdivision Drapeau de la RĂ©gion wallonne RĂ©gion wallonne
Type Culturel
Critères (iii) (iv)
Superficie 67 ha
Zone tampon 539 ha
Numéro
d’identification
856
Zone géographique Europe et Amérique du Nord **
Année d’inscription 1998 (22e session)
Autre protection Icône du bouclier bleu apposé sur un immeuble classé de la Région wallonne Patrimoine classé (1992, 2001, no 55022-CLT-0013-01)
Icône du bouclier bleu apposé sur un immeuble classé de la Région wallonne Patrimoine exceptionnel (2013, no 55022-PEX-0002-02)
Image illustrative de l’article Ascenseurs à bateaux du canal du Centre
Emplacements des ascenseurs numéros 1-4.
A est le nouvel ascenseur de Strépy-Thieu.
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification UNESCO

Historique

Le un décret impérial prévoit la création d'un canal de navigation entre Mons et Charleroi pour permettre de joindre l'Escaut à la Meuse par la Haine et par la Sambre[1]. Pas moins de onze projets seront déposés entre 1811 et 1871. Toutes les tentatives pour réunir le canal Mons-Condé ou le canal Nimy-Blaton-Péronnes à la Sambre via le canal Charleroi-Bruxelles avec proposition d'exécution par concession des péages, échouent principalement en raison du grand nombre d'écluses, de la cascades de biefs très courts et des difficultés d'alimentation en eau qui en résultent[2].

En 1871, le gouvernement belge envisage de construire le canal à ses frais. Ce projet fait l'objet d'opposition car certains milieux craignent que le canal, quasi parallèle à la ligne de chemin de fer Mons-Manage, ne porte préjudice aux intérêts du rail[3].

Mais à partir de 1877, le marché charbonnier belge subit une forte concurrence de l'industrie houillère française et allemande dont les produits, expédiés par wagons, arrivent même jusqu'à Charleroi. Disposer d'une grande ligne de navigation passant par la région du Centre devient nécessaire et urgent[2].

Ă€ la suite d'une entrevue du ministre des Travaux publics, Auguste Beernaert le avec une dĂ©lĂ©gation des milieux Ă©conomiques et politiques, un crĂ©dit 20 000 francs sera octroyĂ© par la Chambre des reprĂ©senants pour financer les premières Ă©tudes qui seront entreprises par l'Administration des Ponts et ChaussĂ©es[4].

Les études successives se heurtent aux obstacles déjà constatés, les grand nombre d'écluses nécessaires et la consommation d'eau qui en résulte. La recherche d'une solution alternative s'impose[4].

Jean Kraft de Saulx, ingĂ©nieur en chef de la sociĂ©tĂ© John Cockerill proposa la formule de l'ascenseur Ă  bateaux d'Anderton (Cheshire) Ă  40 km de Liverpool en Angleterre) mises au point par l'ingĂ©nieur Edwin Clark (en) en 1874[5].

L'ingénieur en chef du Hainaut, Monsieur Morelle, se rend sur place le pour étudier la machine et sont rapport est qui conclut à l'adoption du même type d'ascenseur pour le canal du Centre et remis le à Charles Sainctelette, le nouveau ministre des Travaux publics[4].

Le un crĂ©dit de millions de francs sera inscrit au budget pour le creusement du canal et la construction de quatre ascenseurs hydraulique Ă  bateaux de type Clark. Les budgets seront revu Ă  la hausse pour adapter le rĂ©seau fluvial au gabarit Freycinet de 300 tonnes, les « Canaux houillers du Hainaut » recevant un crĂ©dit de 6 millions de francs[6].

Le , après cinq années de fonctionnement, une des presses en fonte de l'ascenseur d'Anderton se rompt au cours d'une manœuvre ordinaire. Dans un rapport, Clark conclut que la cause est le tassement de la fondation en bois au fond de la presse[7]. Deux commissions d'enquête d'ingénieurs belges sur place présentant des conclusions contradictoires, le ministre Charles Sainctelette consulte les ingénieurs français responsables du projet de l'ascenseur à bateaux des Fontinettes sur le canal de Neufossé à Arques (Pas-de-Calais) dont le modèle est également l'ascenseur de Clark. Leur choix en faveur de l'ascenseur anglais rassure le ministre qui conclut un contrat pour la commande de quatre élévateurs[8].

L'Ă©tude des charpentes mĂ©talliques et de la machinerie des ascenseurs est menĂ©e conjointement par Edwin Clark et Jean Kraft, ingĂ©nieur en chef de la sociĂ©tĂ© Cockerill Ă  Seraing[9] - [10]. Deux ans seront nĂ©cessaires pour disposer d'un projet dĂ©finitif[10]. L'exĂ©cution est adjugĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© John Cockerill de Seraing les pour la somme de 862 500 francs[11].

Après la phase d'étude du tracé, les achats à l'amiable ou l'expropriation de propriétés privées ou publiques et l'adjudication publique, les travaux de terrassement débutent le [11].

Les puits destinés aux presses et les maçonneries de l'ascenseur numéro 1 de Houdeng-Gœgnies prennent fin en juillet 1887. En avril 1888, les parties métalliques sont en place et des essais sont effectués pour s'assurer de l'étanchéité des conduites sous pression. Les premiers balancements débutent le [12].

Les essais se poursuivent jusqu'au , date à laquelle le roi Léopold II procède à l'inauguration[13]. Cette inauguration se déroule dans une ambiance tendue et un contexte social difficile. Deux membres du parti socialiste républicain créé l'année précédente par Alfred Defuisseaux, Pierre Loor et Paul Conreur, accueillent le roi aux cris de « Vive la république » et « Vive le suffrage universel »[14].

Dans les annĂ©es qui suivent, diverses difficultĂ©s allaient entrainer des retards considĂ©rables. En 1892, la canal est creusĂ© de Mons Ă  Thieu (14 km) et ouvert Ă  la navigation sur km). Ă€ l'est, il est exploitĂ© jusqu'au pont-tournant de Houdeng-Aimeries. Mais, en 1894, après l'achèvement des maçonneries, la construction des trois derniers ascenseurs est arrĂŞtĂ©e Ă  la suite de problème d'Ă©tanchement du bief compris entre les ascenseurs numĂ©ro 3 et 4. Le sol y Ă©tait criblĂ© d'anciennes exploitations houillères et l'eau s'engouffrait dans les galeries de mines. Il a Ă©tĂ© nĂ©cessaire d'Ă©tablir une cuvette bĂ©tonnĂ©e, armĂ©e par endroit, d'une Ă©paisseur entre 15 et 20 centimètres sur une longueur de 2 600 mètres. Il faut attendre 1909 avant que les parties mĂ©talliques des ascenseurs puissent ĂŞtre mises en place. Ă€ ce moment, le canal Ă©tait sous eau sur une longueur de 16 kilomètres sur un total d'environ 21 kilomètres[15].

Les travaux sont confiés à la société John Cockerill pour la machinerie. Les charpentes métalliques sont réalisées par les ateliers de construction Lecocq de Hal[16] - [17].

Extrait de la carte des chemins de fer et des voies de grande navigation de la Belgique de 1914. Le canal du Centre inachevé.

En , lorsque la Belgique entre dans la Première Guerre mondiale, les travaux sont arrêtés. Deux ans plus tard, sous peine de représailles, les sociétés belges sont mises en demeure par les autorités allemandes de poursuivre les travaux. Le canal du Centre apparait à leurs yeux comme une voie stratégique pour acheminer vers la France des troupes et du matériel militaire[17].

Malgré la lenteur d'exécution, le canal du Centre s'ouvre à la navigation sur toute sa longueur en [17]. Les premiers bateaux empruntent celui-ci en . Après le conflit, les ascenseurs sont complétés et revus et l'inauguration officielle à lieu en 1919[18].

Les ascenseurs à bateaux du canal du Centre, qui n'ont subi aucune modification depuis leur mise en service, ont été classés au patrimoine mondial par l'UNESCO en 1998[19]. Des huit ascenseurs à bateaux de ce type construits à la fin du XIXe et au début du XXe siècle, les quatre du canal du Centre sont les seuls fonctionnant encore avec leur machinerie et leur mécanisme d'origine.

Depuis 2002, l'usage de ces ascenseurs est limité à la navigation de plaisance. Pour le trafic de marchandises, l'ascenseur de Strépy-Thieu est désormais opérationnel.

Description des ascenseurs

Ascenseur numéro 1 de Houdeng-Gœgnies

  • Plan et Ă©lĂ©vations de l'ascenseur numĂ©ro 1
  • ÉlĂ©vation latĂ©rale et plan.
    Élévation latérale et plan.
  • Coupe transversale par l'axe des presses ; piston et presse des sas.
    Coupe transversale par l'axe des presses ; piston et presse des sas[20].

Ascenseurs numéros 2, 3 et 4

  • Vue latĂ©rale de l'ascenseur numĂ©ro 2 d'Houdeng-Aimeries, montrant l'absence du pont-canal et le guidage unique situĂ© au milieu.
    Vue latérale de l'ascenseur numéro 2 d'Houdeng-Aimeries, montrant l'absence du pont-canal[21] et le guidage unique situé au milieu[22].

Salle des machines

  • Bâtiment des machines de Bracquegnies. Une seule installation fourni de l'eau sous pression aux ascenseurs 2 et 3 espacĂ©s de 384 mètres. L'architecture avec les bandes lombardes est influencĂ©e par l'Ă©clectisme.
    Bâtiment des machines de Bracquegnies. Une seule installation fourni de l'eau sous pression aux ascenseurs 2 et 3 espacĂ©s de 384 mètres. L'architecture avec les bandes lombardes est influencĂ©e par l'Ă©clectisme[23].
  • IntĂ©rieur de la salle des machines.
    Intérieur de la salle des machines.
  • 1 - Coiffe mĂ©tallique sous laquelle se trouve une roue Ă  aubes en fonte de 5 tonnes 2 - Cuve de prĂ©filtrage. Hauteur utile de 2,36 mètres 3 - Ressorts compensateurs 4 - Soupape de sĂ©curitĂ© 5 - Soupape de refoulement 6 - Soupape d'admission 7 - Vanne modĂ©ratrice 8 - Vanne automatique basse et haute pression.
    1 - Coiffe métallique sous laquelle se trouve une roue à aubes en fonte de 5 tonnes
    2 - Cuve de préfiltrage. Hauteur utile de 2,36 mètres
    3 - Ressorts compensateurs
    4 - Soupape de sécurité
    5 - Soupape de refoulement
    6 - Soupape d'admission
    7 - Vanne modératrice
    8 - Vanne automatique basse et haute pression[24].

Fonctionnement

Extrait du mémoire d'Edwin Clark[25].

« L'eau descend dans l'une des presses et remonte exactement de la même quantité dans l'autre, il n'y a donc ni travail produit ni travail consommé pendant la course […] »[25]

— Edwin Clark, mémoire

Un ascenseur hydraulique constitue en quelque sorte une balance géante dont les plateaux sont remplacés par des bacs — ou sas — fixés chacun au sommet d'un piston. Chaque piston coulisse dans un cylindre appelé « presse ». Les deux presses sont reliées entre elles par une tuyauterie de communication munie d'une vanne qui règle le mouvement des sas[26] - [27].

Lorsqu'un bateau pĂ©nètre dans le bassin d'un sas, il en chasse une quantitĂ© d'eau Ă©gale Ă  son poids selon le principe d'Archimède[27]. Le poids du bassin ne change donc pas. Pour une hauteur d'eau de 2,40 mètres, le poids du contenu de chaque sas est de 598 tonnes[26], qu'un bateau s'y trouve ou non[28]. Quand, après fermeture des portes, les deux presses sont mis en communication, les deux plateaux de la balance se dĂ©placent verticalement pour attendre le point d'Ă©quilibre Ă  mi course selon le principe des vases communicants[28].
Une surcharge est donc nĂ©cessaire pour rendre la manĹ“uvre complète et d'inverser la position des sas. La surcharge est de 74 tonnes, l'Ă©quivalent d'une augmentation de la hauteur de l'eau contenu de 0,30 mètres[25]. Pour prendre cette surcharge, la manĹ“uvre est arrĂŞtĂ©e en fermant la vanne quand le sas descendant est 30 centimètres plus bas que le niveau du canal amont. L'eau nĂ©cessaire Ă  la surcharge est alors introduite en levant lĂ©gèrement les portes[28].

Phases et durée d'une bassinée

La durĂ©e totale d'une bassinĂ©e, c'est Ă  dire le temps nĂ©cessaire pour faire passer un bateau d'un bief Ă  l'autre, est d'environ 28 minutes. Étant donnĂ© qu'il y a deux sas, si un bateau utilise le second en mĂŞme temps, la durĂ©e est rĂ©duite virtuellement de moitiĂ©. Le balancement des sas est d'une durĂ©e de 4 minutes et 30 secondes pour franchir la dĂ©nivellation de 16,93 mètres. Le temps restant est celui nĂ©cessaire Ă  l'accrochage ou dĂ©crochage des portes, de la levĂ©e ou descente des celles-ci et de l'entrĂ©e et sortie des bateaux[29].

  • Jonction, accrochage des portes, remplissage de l'espace entre les portes : 1 minute et 30 secondes ;
  • LevĂ©e des portes et verrouillage : 2 minutes ;
  • EntrĂ©e du bateau dans le sas : 5 Ă  10 minutes ;
  • Effacement des verrous, descente des portes, disjonction, vidage entre-porte : 2 minutes ;
  • Balancement des sas : 4 minutes et 30 secondes ;
  • Jonction, accrochage des portes, remplissage de l'espace entre les portes : 1 minute et 30 secondes ;
  • LevĂ©e des portes et verrouillage : 2 minutes et 15 secondes ;
  • Sortie du bateau : 5 Ă  10 minutes ;
  • Effacement des verrous, descente des portes, disjonction : 1 minute.

DĂ©tail des ouvrages

Ouvrages principaux

Description générale[30]
Ascenseur 1 Ascenseur 2 Ascenseur 3 Ascenseur 4
Photo
Lieu Houdeng-Gœgnies Houdeng-Aimeries Strépy-Bracquegnies Thieu
CoordonnĂ©es 50° 29′ 15″ N, 4° 10′ 33″ E 50° 28′ 57″ N, 4° 08′ 32″ E 50° 28′ 53″ N, 4° 08′ 14″ E 50° 28′ 17″ N, 4° 05′ 40″ E
Mise en service (fonctionnement)
(inauguration)[31]
août 1917 (fonctionnement)[16]
1919 (inauguration)[17]
Cote amont 121,150 m 105,753 m 88,819 m 71,886 m
Chute 15,397 m 16,934 m 16,933 m 16,933 m
Cote aval 105,753 m 88,819 m 71,886 m 54,953 m
Patrimoine wallon
Patrimoine exceptionnel wallon
Patrimoine mondial

Ouvrages associés

  • Portes de garde Houdeng-GĹ“gnies
  • Cantine des Italiens Houdeng-GĹ“gnies
  • RĂ©gulateur de bief et siphon Houdeng-GĹ“gnies
  • Pont Capitte Houdeng-GĹ“gnies
  • Pont rouge Houdeng-GĹ“gnies
  • Pont de 100 mètres Houdeng-GĹ“gnies
  • Pont du Croquet Houdeng-GĹ“gnies
  • Pont tournant de Houdeng-Aimeries
  • Pont fixe de la chaussĂ©e de Bois-du-Luc - Houdeng-Aimeries
  • Salle des machines StrĂ©py-Braquegnies (commune aux ascenseurs 2 et 3)
  • Pont tournant de StrĂ©py-Bracquegnies
  • Pont-levis de StrĂ©py-Bracquegnies
  • Ancien pont-levis de StrĂ©py
  • Pont-levis de Thieu
    Pont-levis de Thieu avec à l'arrière plan l'ascenseur numéro 4.
    Initialement, pour manĹ“uvrer le pont-levis, le poids du pontier et celui des contrepoids suffisaient Ă  la levĂ©e du tablier de 6 tonnes. Pour faciliter le travail de l'agent, un treuil mĂ©canique fut fixĂ© sur le cĂ´tĂ© du portique[32].
  • Nouvelle Ă©cluse et station de pompage Thieu
  • Écluses dĂ©saffectĂ©es de Thieu (no 1 et no 2)
  • Pont-levis de Ville-sur-Haine

Notes et références

  1. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 11.
  2. Maigre 2018, p. 7.
  3. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 32.
  4. Maigre 2018, p. 8.
  5. Robert Halleux. Cockerill. Deux siècles de technologie. Éditions du Perron. 2002.
  6. Maigre 2018, p. 9.
  7. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 39-40.
  8. Maigre 2018, p. 9-10.
  9. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 37.
  10. Maigre 2018, p. 10.
  11. Maigre 2018, p. 11.
  12. Maigre 2018, p. 12.
  13. Maigre 2018, p. 12-13.
  14. Sirjacobs 2016, p. 37.
  15. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 57-58.
  16. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 58.
  17. Maigre 2018, p. 14.
  18. Sirjacobs 2016, p. 39.
  19. « Les quatre ascenseurs du canal du Centre et leur site, La Louvière et Le Rœulx (Hainaut) », sur www.unesco.org, (consulté le )
  20. « Le canal du Centre en Belgique et l'ascenseur pour bateaux », dans Le Génie civil, 5 janvier 1889, tome XIV, no 10, p. 145-147, planche X
  21. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 73.
  22. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 74.
  23. Sirjacobs 2016, p. 38.
  24. Maigre 2020, p. 98.
  25. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 43.
  26. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 42.
  27. Maigre 2020, p. 34.
  28. Maigre 2020, p. 35.
  29. Maigre 2020, p. 99.
  30. Maigre 2020, p. 20.
  31. Laurent, De Fays et Dambrain 1996, p. 41.
  32. Maigre 2020, p. 119.

Voir aussi

Bibliographie

  • « Le canal du Centre en Belgique et l'ascenseur pour bateaux », dans Le GĂ©nie civil, 5 janvier 1889, tome XIV, no 10, p. 145-147, planche X
  • Jean-Pierre Gailliez et Carl Norac, Le canal du Centre : quand les bateaux prennent l'ascenseur, Casterman, 1994
  • Henri Brouet, « Le canal du centre et ses quatre ascenseurs », dans Le patrimoine exceptionnel de Wallonie, DGATLP, (ISBN 2-87401-172-X), p. 151-156.
  • Jacques Laurent, Raymond De Fays et Michel Dambrain, Le Canal du Centre : Chronique d'une construction, Éditions MET, coll. « Traces » (no 1), , 120 p. (ISBN 2-930148-02-0).
  • Michel Maigre, Le canal du Centre Ă  1.350 tonnes, Agence Wallonne du patrimoine, coll. « Carnets du patrimoine » (no 155), , 64 p. (ISBN 978-2-39038-008-5)
  • Michel Maigre, Le canal du Centre : Histoire d'une voie d'eau centenaire, Bruxelles, Corporate Copyright, coll. « Histoire et Patrimoine » (no 2), , 208 p. (EAN 9782874352546).
  • Michel Maigre, Le Canal du Centre en 100 Ă©tapes, Bruxelles, Corporate Copyright, coll. « Histoire et Patrimoine » (no 5), , 236 p. (EAN 9782874353024).
  • Isabelle Sirjacobs, Le patrimoine de La Louvière, Namur, Institut du patrimoine wallon, coll. « Carnets du Patrimoine » (no 135), , 64 p. (ISBN 978-2-87522-176-6).

Articles connexes

Liens externes

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