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Amigny-Rouy

Amigny-Rouy est une commune française située dans le département de l'Aisne en région Hauts-de-France.

Amigny-Rouy
Amigny-Rouy
La mairie-Ă©cole.
Blason de Amigny-Rouy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La FÚre
Maire
Mandat
Joël Duhénoy
2020-2026
Code postal 02700
Code commune 02014
DĂ©mographie
Gentilé Amigny-Rouysiens
Population
municipale
721 hab. (2020 en diminution de 2,7 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 55 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 36â€Č 38″ nord, 3° 18â€Č 19″ est
Altitude Min. 44 m
Max. 147 m
Superficie 13,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Chauny
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Chauny
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Amigny-Rouy
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Amigny-Rouy
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Amigny-Rouy
Liens
Site web Site officiel de la commune

    GĂ©ographie

    Représentations cartographiques de la commune
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    Carte topographique
    Carte topographique
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique.

    Situé dans la région des Hauts-de-France à 89 mÚtres d'altitude, Amigny-Rouy est une commune entourée de Condren, Barisis-aux-Bois et Servais. Elle est traversée par deux principaux cours d'eau: la riviÚre l'Oise ainsi que le Ruisseau de Servais.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes d’Amigny-Rouy
    Condren
    Sinceny Amigny-Rouy Servais
    Barisis-aux-Bois

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 732 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 724,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933 et Ă  23 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Amigny-Rouy est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chauny, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (65,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (33 %), terres arables (30,5 %), forĂȘts (29,2 %), zones urbanisĂ©es (5,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (1,5 %), eaux continentales[Note 8] (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Entrée d'Amigny-Rouy.

    Le nom de la localité est attesté sous les formes :

    Amigny : A miniacus fiscus en 877, Ainiacus et Ameni en 1189, Amigni en 1210[21], Ameingi en 1210[22].

    Il semble que ce toponyme soit lié aux espaces marécageux et milieux humides caractéristiques de ce terroir[23].

    Rouy : Roeium en 1027[24].

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune d'Amigny-Rouy est membre de la communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La FÚre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Chauny. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[26]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Chauny pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[26], et de la quatriÚme circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[27].

    Administration municipale

    Liste des maires successifs depuis 1945
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1945 1947 Philemon Rousset
    1947 1949 Henry Triou
    1949 1950 Paul Demilly
    1950 1971 René Carpentier
    1971 1977 Odette Gomont
    1977 1983 Marceau Lecoeur
    1983 1989 Hubert De Wilde
    1989 mars 2001 Michel Valeggi
    mars 2001 janvier 2019
    (DĂ©cĂšs)
    André Didier DVD Retraité Fonction publique[28] - [29]
    janvier 2019 mars 2019 Suzelle Delpouve Seconde adjointe et maire par intérim
    mars 2019 En cours
    (au 11 juillet 2020)
    Joël Duhénoy[30] Entrepreneur
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[32].

    En 2020, la commune comptait 721 habitants[Note 9], en diminution de 2,7 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4501 6161 4471 4311 4981 5131 4951 4551 370
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2191 1361 0901 007962872866781777
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    749720662396627495464540512
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    504546515622693626-706731
    2015 2020 - - - - - - -
    740721-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee Ă  partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Quentin.
      Église Saint-Quentin.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Calvaire.
      Calvaire.
    • Ancienne gare de tramway.
      Ancienne gare de tramway.

    Personnalités liées à la commune

    • GĂ©dĂ©on Poizot, lieutenant FFI, (nĂ© le Ă  Amigny-Rouy - dĂ©cĂ©dĂ© le , Ă  l'orĂ©e du bois de Busigny), alias « Poulain-Germain », hĂ©ros et martyr de la RĂ©sistance (maquis de Mazinghem), massacrĂ© le par la milice de Vichy[35].
    • Lieutenant ElysĂ©e Alban Darthenay - nĂ© le Ă  Montrouge, Saint-cyrien de la promotion Lyautey 1935-1937), lieutenant au 4e R.I.M. d'Auxerre il est en repos-instruction avec son bataillon Ă  Amigny-Rouy du au . Il se marie Ă  Nuits-Saint-Georges le , et son Ă©pouse le rejoint en cachette de l'autoritĂ© militaire Ă  Amigny-Rouy. Il est citĂ© Ă  l'ordre de la division et reçoit la Croix de guerre pour sa valeur aux combats de la dĂ©fense des ponts d'Haubourdin aux abords de Lille du 28 au . Fait prisonnier Ă  Hoyeverda, il Ă©choue par deux fois Ă  s'en Ă©vader, est mutĂ© Ă  la forteresse disciplinaire de Colditz dont il s'Ă©vade le . En dĂ©cembre, il se met Ă  disposition de la RĂ©sistance Ă  Lyon, affectĂ© au F.F.I de Bourg-en-Bresse en . DĂ©but fĂ©vrier il est chef de maquis dans l'ArmĂ©e secrĂšte du Jura. ArrĂȘtĂ© le par la Gestapo, torturĂ© jusqu'au , il ne parle pas. Son silence a sauvĂ© 800 maquisards, dont le colonel Romans-Petit chef de l'ArmĂ©e secrĂšte d'Ain et Savoie. Il laisse deux orphelines. Le le gĂ©nĂ©ral de Gaulle le fait chevalier de la LĂ©gion d'honneur. En 1974, une promotion de Saint-Cyr porte son nom, en hommage Ă  ce hĂ©ros de la guerre 1939-1945, de la RĂ©sistance, qui n'eut que cinq mois de vie de famille, qu'il passa clandestinement Ă  Amigny-Rouy.

    Activités associatives, culturelles, festives et sportives

    • Club de football[36].

    HĂ©raldique

    Blason de Amigny-Rouy Blason
    D’or Ă  la barre Ă©chiquetĂ©e Ă  plomb d’argent et d’azur de six tires, accompagnĂ©e de trois hures de sanglier de sable dĂ©fendues d’argent et arrachĂ©es de gueules en chef, et d’une croisette ancrĂ©e du mĂȘme en pointe[37].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    DĂ©tails
    Blason adopté par la municipalité en 2002.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Amigny-Rouy et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Amigny-Rouy et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Dans une charte de l'Abbaye de Saint-Vincent.
    22. Dans le cartulaire de Saint MĂ©dard.
    23. Pierre Gauthier, Jean Claude RiviÚre - Actes du IIe Colloque de langues et de littérature dialectale d'oil : sur le thÚme de l'eau : Nantes 16-17-18 février 1984 - 1986 - Page 211.
    24. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 584.
    25. « communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La FÚre - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    26. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Amigny-Rouy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    28. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    29. « Retour aux urnes le 3 mars », Courrier picard, Ă©dition Aisne,‎ , p. 10.
    30. « JoĂ«l DuhĂ©noy Ă©lu nouveau maire d’Amigny-Rouy », sur lunion.fr, (consultĂ© le ) : « JoĂ«l DuhĂ©noy est le nouveau maire d'Amigny-Rouy. Entrepreneur ĂągĂ© de 63 ans, il Ă©tait jusqu'alors quatriĂšme adjoint et ce depuis 2014. ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. Voir page "Hommage aux résistants disparus" du site : Un homme du maquis de Mazinghien 1942-1944
    36. Club de Football
    37. « 02014 Amigny-Rouy (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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