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Alexander De Croo

Alexander De Croo, né le à Vilvorde, est un homme d'État belge néerlandophone. Membre du parti libéral Open VLD, il est Premier ministre depuis le .

Alexander De Croo
Illustration.
Alexander De Croo en .
Fonctions
Premier ministre de Belgique
En fonction depuis le
(2 ans, 9 mois et 2 jours)
Monarque Philippe
Gouvernement De Croo
LĂ©gislature 55e
Coalition PS-CD&V-Open VLD-MR-sp.a-Ecolo-Groen
Prédécesseur Sophie Wilmès
Ministre fédéral des Finances
–
(1 an, 9 mois et 22 jours)
Premier ministre Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Michel II
Wilmès I et II
Prédécesseur Johan Van Overtveldt
Successeur Vincent Van Peteghem
Ministre fédéral de la Coopération au développement
–
(5 ans, 11 mois et 20 jours)
Premier ministre Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Michel I et II
Wilmès I et II
Prédécesseur Jean-Pascal Labille
Successeur Meryame Kitir
Ministre fédéral de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste
–
(4 ans, 1 mois et 28 jours)
Premier ministre Charles Michel
Gouvernement Michel I
Prédécesseur Aucun
Successeur Philippe De Backer
Ministre fédéral des Pensions
–
(1 an, 11 mois et 19 jours)
Premier ministre Elio Di Rupo
Gouvernement Di Rupo
Prédécesseur Vincent Van Quickenborne
Successeur Daniel Bacquelaine
Vice-Premier ministre
–
(7 ans, 11 mois et 9 jours)
Premier ministre Elio Di Rupo
Charles Michel
Sophie Wilmès
Gouvernement Di Rupo
Michel I et II
Wilmès I et II
Prédécesseur Vincent Van Quickenborne
Successeur Vincent Van Quickenborne
Président de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten
–
(2 ans, 10 mois et 10 jours)
Prédécesseur Guy Verhofstadt
Successeur Gwendolyn Rutten
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Vilvorde (Belgique)
Nationalité Belge
Parti politique Open VLD
Père Herman De Croo
Diplômé de VUB
Université Northwestern
Profession Consultant
RĂ©sidence Le Lambermont (Bruxelles)

Alexander De Croo
Premiers ministres de Belgique
Vice-Premiers ministres de Belgique
Ministres des Finances de Belgique
Ministres de la Coopération au développement de Belgique

Fils de l'homme politique Herman De Croo, il commence sa vie politique en par une candidature infructueuse aux élections européennes. Six mois plus tard, il est élu président de l'Open VLD en remplacement de Guy Verhofstadt. Il s'illustre en en provoquant la chute du gouvernement fédéral d'Yves Leterme, ouvrant la plus longue crise politique de l'histoire belge.

Il est élu en bourgmestre de Brakel puis devient juste après vice-Premier ministre et ministre fédéral des Pensions du gouvernement Di Rupo. Sous les mandats de Charles Michel puis Sophie Wilmès, il est toujours vice-Premier ministre, ainsi que ministre de la Coopération au développement. Il abandonne en le portefeuille de l'Agenda numérique, qu'il détenait depuis , au profit de celui des Finances.

À la suite des élections législatives de mai 2019 et d’une longue crise politique, il est désigné co-formateur en avec Paul Magnette. Après le succès de leur mission, il devient Premier ministre d'une coalition de sept partis, succédant ainsi à Sophie Wilmès.

Vie privée

Alexander De Croo est le fils d'Herman De Croo, homme politique libéral néerlandophone. Il naît le à Vilvorde. Il est marié et père de deux enfants[1].

Formation et vie professionnelle

Alexander De Croo obtient en 1998 un master d'ingénieur commercial de la Vrije Universiteit Brussel (VUB), en collaboration avec la Solvay Business School[2]. Il complète ce cursus par une maîtrise en administration des affaires de l'université Northwestern, à Chicago[1].

Il commence à travailler en au sein du Boston Consulting Group (BCG), puis il fonde en une entreprise de conseil en propriété intellectuelle, baptisée Darts-ip[1].

Carrière politique

PrĂ©sident de l'Open VLD Ă  34 ans

Alexander De Croo entre sur la scène politique en , Ă  l'occasion des Ă©lections europĂ©ennes du 7 juin 2009. Il s'y prĂ©sente sur la liste que conduit l'ancien Premier ministre Guy Verhofstadt[3]. Occupant la 10e place parmi les candidats libĂ©raux, il n'est pas Ă©lu tout en rĂ©coltant 47 779 voix de prĂ©fĂ©rence[1].

Dans la perspective de la succession de Bart Somers Ă  la prĂ©sidence de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten, il annonce se prĂ©senter. Soutenu par le ministre fĂ©dĂ©ral Vincent Van Quickenborne et l'ancienne ministre flamande Patricia Ceysens, il est Ă©lu prĂ©sident du parti le après avoir recueilli 11 676 voix de militants, soit 55 % des suffrages exprimĂ©s. Il devance ainsi Marino Keulen, avec qui il avait dĂ©fait Gwendolyn Rutten au premier tour[4]. Élu Ă  l'âge de 34 ans, il n'a alors aucune expĂ©rience politique ou institutionnelle, n'ayant jamais exercĂ© le moindre mandat[5].

Chute d'Yves Leterme et élections anticipées

Le , Alexander De Croo annonce que l'Open VLD retire son soutien au gouvernement Leterme II, privant de facto le Premier ministre Yves Leterme d'une majorité à la Chambre des représentants. Les libéraux flamands justifient cette décision par leur refus de voir se poursuivre la négociation autour de la scission de l'arrondissement électoral Bruxelles-Hal-Vilvorde, sur laquelle les quatre autres partis de la majorité ainsi que les écologistes s'étaient mis d'accord[6].

Après que le gouvernement a remis sa dĂ©mission et que le roi Albert II l'a acceptĂ©e Ă  la surprise gĂ©nĂ©rale[7], la Chambre des reprĂ©sentants prononce sa dissolution le afin de permettre la tenue d'Ă©lections lĂ©gislatives fĂ©dĂ©rales anticipĂ©es le [8]. Dans la perspective de ce scrutin, Alexander De Croo indique ĂŞtre candidat au SĂ©nat[9]. Il remporte 301 917 voix prĂ©fĂ©rentielles, soit le troisième meilleur rĂ©sultat nĂ©erlandophone et belge, derrière Bart De Wever et Marianne Thyssen[10].

Sous Elio Di Rupo

Lors des Ă©lections communales du 14 octobre 2012, Alexander De Croo se prĂ©sente en tĂŞte de liste Ă  Brakel, ville de la province de Flandre-Orientale dont son père est bourgmestre depuis 12 ans ; avec 2 202 voix, il rĂ©alise un rĂ©sultat personnel plus Ă©levĂ© qu'Herman De Croo[11]. Alors qu'il s'engage dans un premier temps Ă  exercer son maĂŻorat et Ă  ne pas entrer au gouvernement, il accepte finalement quatre jours plus tard d'ĂŞtre le successeur au fĂ©dĂ©ral de Vincent Van Quickenborne en qualitĂ© de vice-Premier ministre et ministre fĂ©dĂ©ral des Pensions, ce dernier ayant Ă©tĂ© Ă©lu bourgmestre de Courtrai[12]. Il est assermentĂ© le [13]. Il prĂŞte le comme bourgmestre, mais cède aussitĂ´t ses fonctions Ă  Stefaan Devleeschouwer en raison de son empĂŞchement[14].

Ayant cĂ©dĂ© le suivant la prĂ©sidence de l'Open VLD Ă  son ancienne concurrente de Gwendolyn Rutten[15], il est choisi en comme tĂŞte de liste en Flandre-Orientale pour les Ă©lections lĂ©gislatives fĂ©dĂ©rales du 25 mai suivant[16]. Ă€ l'occasion de ce scrutin, il est Ă©lu Ă  la Chambre des reprĂ©sentants avec 78 073 votes prĂ©fĂ©rentiels, soit le meilleur score de sa circonscription, le deuxième score de l'Open VLD, le troisième score flamand et le quatrième score belge après Bart De Wever, Elio Di Rupo et Maggie De Block[17].

Sous Charles Michel et Sophie Wilmès

Après la conclusion d'un accord de coalition « suédoise » unissant le Mouvement réformateur (MR), la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), l'Open VLD et les Christen-Democratisch en Vlaams (CD&V) sous la houlette du libéral francophone Charles Michel, Alexander De Croo est reconduit au gouvernement fédéral le aux postes de vice-Premier ministre et ministre fédéral de la Coopération au développement, de l'Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste[18].

Il se reprĂ©sente au maĂŻorat de Brakel au cours des Ă©lections du 14 octobre 2018, mais il Ă©choue dans sa tentative de conserver son mandat : avec 2 938 voix de prĂ©fĂ©rence, Stefaan Devleeschouwer rĂ©alise en effet le meilleur score personnel de la liste libĂ©rale, ce qui conduit Ă  son Ă©lection en tant que bourgmestre[19]. Avec le dĂ©part de la N-VA de la coalition gouvernementale, le gouvernement Michel II est constituĂ© le suivant : toujours vice-Premier ministre et ministre fĂ©dĂ©ral de la CoopĂ©ration, Alexander De Croo hĂ©rite Ă©galement du portefeuille des Finances, tandis que toutes ses autres compĂ©tences reviennent Ă  Philippe De Backer[20].

Aux Ă©lections lĂ©gislatives fĂ©dĂ©rales du 26 mai 2019, alors que le gouvernement est en affaires courantes, Alexander De Croo obtient un nouveau mandat Ă  la Chambre des reprĂ©sentants après avoir recueilli 80 283 votes personnels, rĂ©alisant de nouveau le meilleur rĂ©sultat dans la province de Flandre-Orientale[21]. Quand Charles Michel quitte ses fonctions pour devenir prĂ©sident du Conseil europĂ©en, il est remplacĂ© le suivant par Sophie Wilmès, qui confirme l'intĂ©gralitĂ© des ministres fĂ©dĂ©raux[22].

En raison de la pandémie de Covid-19, il redevient le ministre de plein exercice dans le cadre d'un accord permettant à Sophie Wilmès de disposer des pouvoirs spéciaux pendant six mois[23]. Il devient le suivant premier vice-président de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten, sous la présidence d'Egbert Lachaert, qui remporte d'ailleurs moins de suffrages que le ministre fédéral des Finances[24].

Co-formateur avec Paul Magnette

Le , alors que l'État belge est toujours sans gouvernement issu des urnes depuis 486 jours, Alexander De Croo est dĂ©signĂ© formateur en binĂ´me avec le socialiste francophone Paul Magnette par le roi Philippe. Ils sont ensemble chargĂ©s de constituer le prochain gouvernement fĂ©dĂ©ral en associant sept partis, le PS, les CD&V, l'Open VLD, le MR, le sp.a, Ecolo et Groen dans une configuration appelĂ©e « Vivaldi »[25]. Attendus au palais royal cinq jours plus tard pour rendre compte dĂ©finitivement de leurs travaux, ils ne remettent au monarque qu'une note intermĂ©diaire ; le chef de l'État leur demande alors d'achever les nĂ©gociations dans les plus brefs dĂ©lais[26].

Un accord de coalition est conclu le après une nuit entière de négociations, qui prévoit qu'Alexander De Croo devienne Premier ministre de Belgique[27]. Lors de la conférence de presse qui suit la remise par les co-formateurs de leur note de gouvernement au roi, Paul Magnette explique sur le ton de l'humour que tous deux ont joué la direction de l'exécutif à pile ou face et que la victoire est revenue à son partenaire[28].

Premier ministre

Nomination et investiture

Le , Alexander De Croo prête serment devant le roi Philippe, après que ce dernier a acté la démission de Sophie Wilmès et l'a nommé Premier ministre[29].

Il prononce plus tard dans la journĂ©e sa dĂ©claration de politique gĂ©nĂ©rale devant la Chambre des reprĂ©sentants, exceptionnellement rĂ©unie dans l'hĂ©micycle bruxellois du Parlement europĂ©en afin de respecter les règles de distanciation physique imposĂ©es par la pandĂ©mie de Covid-19. Son programme prĂ©voit notamment une pension de retraite minimale de 1 500 euros par mois, l'embauche de personnel mĂ©dical, le doublement de la durĂ©e du congĂ© de naissance Ă  20 jours, des investissements Ă  hauteur de 4,7 milliards d'euros dans la transition Ă©cologique et numĂ©rique, le maintien du calendrier de sortie du nuclĂ©aire civil, une nouvelle rĂ©forme de l'État, le recrutement de 1 600 nouveaux agents de la Police fĂ©dĂ©rale[30]. La composition de son gouvernement, qui fait la part belle Ă  des personnalitĂ©s issues de dynasties politiques, a soulevĂ© des critiques[31].

Lors du vote de confiance le , le gouvernement De Croo reçoit l'investiture de la Chambre par 87 voix pour, 54 voix contre et 7 abstentions. Bien qu'exclu du Parti socialiste, Emir Kir soutient le nouvel exĂ©cutif, de mĂŞme que Hendrik Bogaert (CD&V), opposĂ© Ă  la participation gouvernementale de sa formation. Le Centre dĂ©mocrate humaniste (cdH) et DĂ©mocrate fĂ©dĂ©raliste indĂ©pendant (DĂ©FI) font le choix de l'abstention, indiquant vouloir laisser sa chance Ă  la nouvelle Ă©quipe. Votent contre les nationalistes flamands de la Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA), l'extrĂŞme droite du Vlaams Belang (VB), et la gauche radicale du Parti du travail de Belgique (PTB/PvdA)[32].

Politique sanitaire

Fin octobre, la Belgique fait face à une seconde vague de contamination au Covid-19. En réaction à cette évolution, le gouvernement De Croo met en place de nouvelles mesures sanitaires[33].

Écologie et énergie

L'exécutif décide en de limiter, à partir de 2026, la déduction fiscale accordée aux entreprises pour l'acquisition de leur flotte automobile aux seules voitures électriques, afin d'atteindre notamment l'objectif européen de mettre fin aux ventes de voitures thermiques en 2035[34].

En , dans le contexte de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, le gouvernement décide de prolonger deux réacteurs nucléaires au-delà de 2025, afin de préserver la sécurité d'approvisionnement au niveau énergétique. La ministre fédérale de l'Énergie, Tinne Van der Straeten, est chargée d'engager les négociations afin de mettre en place cette décision[35]. En parallèle, la coalition maintient sa volonté d'augmenter le plus possible la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique, en investissant dans l'éolien off-shore et en formant une île artificielle en mer du Nord pour relier l'ensemble des parcs éoliens au large et produire et stocker de l'hydrogène[36]

Politique sociale

Le gouvernement adopte en février 2022 une loi de flexibilisation du marché du travail : les salariés auront la possibilité, à condition que leur entreprise accepte, de passer à la semaine de quatre jours. En contrepartie, leurs journées de travail seront prolongées, pour une durée de 9h 30 (correspondant à une semaine de 38 heures). La loi flexibilise par ailleurs les horaires entre 20 heures et minuit, qui ne seront plus assimilés à du travail de nuit et n’ouvriront droit à aucune contrepartie[37].

DĂ©fense et diplomatie

Le gouvernement souhaite à partir de 2022 porter les dépenses militaires à 2 % du PIB afin de se conformer aux demandes de l'OTAN et du gouvernement américain, ce qui suscite des tensions au sein de sa coalition. La droite soutient ce projet mais les écologistes s'y opposent, estimant que le gouvernement devait avoir d'autres priorités que l'armée, alors que les socialistes restent indécis[38].

Du point de vue diplomatique, l'exécutif fait une grande avancée du point de la reconnaissance des blessures commises par le régime colonial. Le gouvernement crée, à l'issue du rapport de la commission compétente, un cadre légal permettant la restitution d'œuvre au Congo[39]. Par ailleurs, en , le roi Philippe présente ses plus profonds regrets et se rend, avec une délégation gouvernementale, au Congo pour une visite historique d'État de 6 jours au cours de laquelle sont restituées plusieurs œuvres, provenant de l'héritage colonial[40].

DĂ©corations

Notes et références

  1. Fabien Van Eeckhaut, « Alexander De Croo futur Premier ministre: le "fils de" qui a su se faire un prénom », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. « Alexander De Croo », sur www.senate.be (consulté le )
  3. « Qui est Alexander De Croo, notre nouveau Premier ministre issu du monde de l’entreprise? », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  4. « Alexander De Croo élu à la présidence de l'Open Vld avec 54,95% des voix », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. (nl) « Open VLD kiest met Alexander De Croo voor avontuur », De Standaard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « L’Open VLD quitte le gouvernement », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Démission de Leterme II: l'Open VLD montré du doigt », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  8. « Belgique : élections législatives anticipées le 13 juin », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. « Alexander De Croo, tête de liste au Sénat pour l'Open Vld », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  10. « Sénat : Hit parade des candidats », sur elections2010.belgium.be (consulté le ).
  11. « Elections à Brakel : Herman De Croo passe le relais à son fils Alexander », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Alexander De Croo, vice-Premier ministre et ministre des Pensions », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Alexander De Croo nommé ministre des Pensions », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Deux ministres fédéraux prêtent serment comme bourgmestres », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Gwendolyn Rutten élue présidente de l’Open Vld », L'Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. « Mathias De Clercq et Alexander De Croo têtes de liste en Flandre orientale », 7sur7,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Chambre : Hit parade des candidats », sur elections2014.belgium.be (consulté le ).
  18. « Le gouvernement Michel a prêté serment », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Alexander De Croo ne sera pas bourgmestre dans sa commune », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Le Roi a accepté la démission des ministres et secrétaires d'Etat N-VA: voici le nouveau casting du gouvernement », La Libre Belgique,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Chambre : Hit parade des candidats », sur elections2019.belgium.be (consulté le ).
  22. « Sophie Wilmès a été nommée Première ministre par intérim par le Roi », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. « Le Parlement accorde sa confiance au gouvernement Wilmès II », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Présidence de l’Open Vld: Alexander De Croo premier vice-président des libéraux flamands », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Paul Magnette et Alexandre De Croo désignés co-formateurs », BX1,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. Joyce Azar, « Le roi accorde du temps supplémentaire aux formateurs: les discussions budgétaires se poursuivent », Vlaamse Radio- en Televisieomroeporganisatie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « La Vivaldi a un accord de gouvernement et un Premier ministre », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « De Croo premier ministre : « On a tiré à pile ou face : c’est tombé sur Alexander et c’est un très bon choix » », Sudinfo.be,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Le nouveau gouvernement De Croo a prêté serment », BX1,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Coronavirus, soins de santé, pensions : voici la déclaration de politique générale du Premier ministre », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. « En Belgique, la politique est une affaire de famille », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  32. « Le gouvernement De Croo a obtenu sans surprise la confiance de la Chambre », Radio-télévision belge de la Communauté française,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_le-premier-ministre-a-la-chambre-adapter-les-protocoles-sanitaires-et-attendre-l-effet-des-mesures-prises-la-semaine-derniere?id=10615023
  34. « 2026 : les voitures de société 100 % électriques - Moniteur Automobile », sur www.moniteurautomobile.be (consulté le )
  35. « Accord sur la prolongation de deux réacteurs nucléaires: «On sécurise le présent et on investit dans l’avenir», les détails complets de l’accord », sur sudinfo.be, (consulté le )
  36. « La Belgique devrait avoir son île énergétique en mer du Nord avant le Danemark », sur Business AM - Infos économiques et financières, (consulté le )
  37. « La Belgique s’invente une semaine de quatre jours à sa façon », sur Courrier International,
  38. « En Belgique, les écologistes opposés à l’augmentation des dépenses militaires », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  39. Le Vif, « Congo: un cadre juridique pour la restitution des œuvres », sur Le Vif, (consulté le )
  40. « Visite du roi des Belges en RD Congo : un déplacement scruté de près », sur euronews, (consulté le )
  41. https://media.gettyimages.com/id/1258889970/photo/state-visit-of-the-king-willem-alexander-and-the-queen-maxima-to-belgium-day-1.jpg?s=2048x2048&w=gi&k=20&c=plAgbFd-Yt4v9YXt1stiEwnxOHh4U49TEA-AzU05NV8=

Voir aussi

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