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Écouis

Écouis est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de l'Eure en rĂ©gion Normandie.

Écouis
Écouis
L'hĂŽtel de ville.
Blason de Écouis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Seine Normandie Agglomération
Maire
Mandat
Patrick Loseille
2020-2026
Code postal 27440
Code commune 27214
DĂ©mographie
Gentilé Escovien
Population
municipale
818 hab. (2020 en diminution de 1,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 63 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 18â€Č 41″ nord, 1° 25â€Č 55″ est
Altitude Min. 76 m
Max. 156 m
Superficie 13,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Andelys
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Écouis
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Écouis
Liens
Site web ecouis.fr

    Ses habitants sont appelés les Escoviens.

    GĂ©ographiquement et historiquement Écouis est un village du Vexin normand.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Située sur la route reliant Paris à Rouen, c'est une petite localité d'environ 800 habitants. Elle comprend les hameaux: Mussegros, Villerest et Brémules.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 761 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968[9] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Écouis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (83,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), forĂȘts (13,6 %), zones urbanisĂ©es (5,6 %), prairies (1,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le village est attestĂ© sous les formes Scodeis XIe siĂšcle, Escoies XIIIe siĂšcle[21], EscoyĂŠ en 1305 (TrĂ©sor des Chartes), Escoyes et EscoyĂŠ en 1308 (charte de Philippe le Bel), Écouyes en 1357 (TrĂ©sor des Chartes), Escouyes en 1470, Escouis en 1709 (dĂ©nombrement du royaume), Écouy en 1722 (Piganiol de la Force et Masseville), Écouy en 1759 (DĂ©claration royale)[22].

    François de Beaurepaire suggÚre une forme en -iacas, suffixe à l'accusatif pluriel, issu de -acum et qui explique les terminaisons en -ies de Picardie, de Belgique et dont il existe quelques applications en Normandie (cf. Guiseniers, Dardez, également dans l'Eure). Il marque la propriété et est généralement précédé d'un anthroponyme

    Par contre, il doute de l'existence du nom de personne Scotus qui pourrait expliquer le premier Ă©lĂ©ment. Ce mĂȘme anthroponyme est reconnu par Albert Dauzat et Charles Rostaing dans le nom de lieu Écouen (Escuem XIIe siĂšcle)[23].

    Conjecturellement, on peut interprĂ©ter le premier Ă©lĂ©ment par l'appellatif germanique skauti « hauteur, pente Â» ou *skot « bosquet Â»[24], que l'on retrouverait dans Écos (Escoz v. 1034, Scoht 1060)[25].

    Comme c'est souvent le cas, le gentilé ne tient pas compte des formes anciennes qui impliqueraient les Escotiens.

    Histoire

    Ritumagos, station sur la voie romaine allant de Graville à Troyes, citée dans l'itinéraire d'Antonin et la table de Peutinger.

    En 1141, Alfred, seigneur de Gamaches, donne l'Ă©glise Saint-Aubin Ă  l'abbaye du Bec. En 1307, le roi Philippe le Bel offrit la seigneurie d'Écouis Ă  Enguerrand de Marigny. Celui-ci habitait au manoir du Fay, aujourd'hui dĂ©truit. Il a fondĂ© un hospice et une collĂ©giale de douze chanoines qui ont perdurĂ© jusqu'Ă  la RĂ©volution[26].

    En 1800, Écouis perd sa courte qualitĂ© de chef-lieu de canton. En 1843, elle absorbe la commune de Villerest.

    Au XIXe siĂšcle, la commune comprend « 9 dĂ©bits de boissons, 2 hĂŽtels restaurants, 3 Ă©piceries, 2 garagistes, charron, bourrelier, cordonnier, grainetier, quincaillerie, 2 couvreurs, 3 maçons, menuisiers et mĂȘme un photographe »[27]. La commune construit la mairie actuelle en 1903, pour une somme de 40 000 francs, grĂące au legs de madame Gloria.

    En , un commando allemand chargé de faire sauter le pont d'Oissel, traversa le village, à bord de véhicules à moteur.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1842 Jean Langlois
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1885 Hippolyte Anquetin
    Les données manquantes sont à compléter.
    1936 Georges Lebatard
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Christine Delafontaine
    2008 2014 Claude Roussel
    2014 En cours Patrick Loseille Agent technique

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[29].

    En 2020, la commune comptait 818 habitants[Note 7], en diminution de 1,8 % par rapport Ă  2014 (Eure : +0,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    568643637628729900923928879
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    957849946944964888880833802
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    835779656544591699715629838
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    794781734700714716752757822
    2017 2020 - - - - - - -
    816818-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Écouis possĂšde une collĂ©giale de dimensions imposantes fondĂ©e par Enguerrand de Marigny. L'intĂ©rieur de l'Ă©difice renferme plusieurs statues remarquables.

    • Église Saint-Martin (vestiges)[32].
    • Église Saint-Aubin[33], dĂ©truite.
    • ChĂąteau[34], siĂšge d'un institut mĂ©dico-Ă©ducatif.
    • ChĂąteau de Mussegros[35]
      Le chùteau, avec parc et communs[36], est au début du XVIIe siÚcle, la possession d'Albert de Gondi, duc de Retz et général des galÚres. Il est reconstruit à partir de 1661 par un parlementaire rouennais, Charles Pavyot. Au XVIIIe siÚcle, Nicolas de Frémont d'Auteuil le remanie[37].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Écouis Blason
    D'azur Ă  deux fasces d'argent.
    DĂ©tails
    Armes de Le Portier de Marigny, famille d'Enguerrand de Marigny, relevées par la commune au XIXe siÚcle.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Rouen-Boos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Écouis et Boos », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 103.
    22. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du dĂ©partement de l’Eure, Paris, , p. 75.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, librairie Guénégaud 1979. p. 259.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    25. François de Beaurepaire, op. cit., p. 102 - 103.
    26. Histoire et GĂ©ographie du DĂ©partement de l'Eure - Rateau et Pinet - 1870
    27. L'Andelle et ses plateaux, octobre 2010, Charleval: Éditions du Bois.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. « Notice n°IA00017347 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    33. « Notice n°IA00017350 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    34. « Notice n°IA00017345 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    35. « Chùteau de Mussegros », notice no IA00016833, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    36. Un couple de Parisiens rĂ©habilite le chĂąteau de Mussegros Ă  Écouis dans l'Eure, 2018.
    37. Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des chĂąteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du ChĂȘne, coll. « ChĂąteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 209.
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