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Économie de la Syrie

L'économie de la Syrie réside essentiellement sur l'agriculture, l'artisanat, les télécommunications, le commerce et les échanges en général.

Économie de la Syrie
Monnaie Livre syrienne
Année fiscale année calendaire
Organisations internationales GAFTA
Statistiques
Produit intérieur brut (parité nominale) 24,6 milliards de $ (2014)[1]
Produit intérieur brut en PPA 50,28 milliards de $ (2015)[1]
Croissance du PIB -9,9 % (2015)[1]
PIB par habitant en PPA 2 900 $ (2015)[1]
PIB par secteur agriculture : 19,5 % (2016)[1]
industrie : 19 % (2016)[1]
services : 61,5 % (2016)[1]
Inflation (IPC) 47,7 % (2016)[1]
Pop. sous le seuil de pauvreté 82,5 % (2014)[1]
Indice de développement humain (IDH) en stagnation 0,577 (moyen ; 150e) (2021)[2]
Population active 3,37 millions (2016)[1]
Population active par secteur agriculture : 17 % (2008)[1]
industrie : 16 % (2008)[1]
services : 67 % (2008)[1]
Taux de chĂ´mage 50 % (2016)[1]
Commerce extérieur
Exportations 2,3 milliards $ (2016)[1]
Biens exportés pétrole brut, minerais, produits pétroliers, fruits et légumes, coton, textiles, viande,blé
Importations 5,9 milliard $ (2016)[1]
Biens importés équipement de transport, bétail, du métal, produits chimiques et plastiques, papier
Sources :
https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/geos/sy.html

Histoire Ă©conomique

Historiquement la Syrie depuis l'émergence du parti Baath possède une économique dirigiste, planifiés avec de nombreuses nationalisations[3]. Comme de nombreux autres pays décolonisés, la Syrie mise sur une politique donnant une grande importance à l'augmentation de la production agricole. Ainsi en 1963, une réforme agraire limite la taille des propriétés à 55 ha dans les espaces irrigués, induisant une redistribution des terres[4]. La politique agricole vise également à supprimer les usages féodaux, favoriser les coopératives et la sédentarisation des tribus nomades. Les redevances perçues pour le passage des oléoducs en provenance de l'Irak ont permis le financement de grands travaux d'infrastructures en voies ferrées, en irrigation et la construction du barrage de Tabqa sur l'Euphrate.

Depuis 1973, la guerre latente avec IsraĂ«l et l'accueil de plus de 300 000 rĂ©fugiĂ©s palestiniens et libanais, ont longtemps pesĂ© fortement sur le budget du pays, par une inflation importĂ©e (19,4 % en 1990) et un dĂ©ficit de la balance des paiements.

À partir des années 1980, l'économie s'ouvre petit à petit aux investisseurs privés, notamment dans le secteur tertiaire et dans l'industrie légère[3]. Entre 1991 et 1996, le taux de croissance atteint 7,33 % en moyenne[5], mais uniquement en moyenne de 2,15 % entre 1997 et 2003, faible croissance notamment liée à des sécheresses[5]. Durant les années 2000, la politique économique se tourne plus largement vers le privé, avec une politique de libéralisation financière et une politique d'attractivité de capitaux privé[5]. La part du privé de la production nationale passe 52,3 % en 2000 à 62,5 % en 2007[5].

Contexte de la guerre civile

Les inĂ©galitĂ©s ont eu tendance Ă  s'accroĂ®tre après la mise en place, dans les dernières annĂ©es du règne de Hafez el-Assad, de politiques favorisant le libre marchĂ© et avec leur dĂ©veloppement après l'arrivĂ©e au pouvoir de son fils. Ces politiques, orientĂ©es vers le tertiaire, ont profitĂ© Ă  une minoritĂ© de la population ayant des liens avec le gouvernement et aux membres des communautĂ©s sunnites marchandes de Damas et d'Alep[6]. Entre 2000 et 2010, le taux de croissance de la Syrie Ă©tait en moyenne de 5,1 %, alors que dans le mĂŞme temps la population augmentait annuellement de 2,5 %[7]. MalgrĂ© cela, durant cette dĂ©cennie le taux de chĂ´mage a augmentĂ© passant officiellement de 2,3 % en 2000 Ă  8,4 % en 2010[7]. En rĂ©alitĂ©, selon la plupart des Ă©conomistes et experts syriens, le taux de chĂ´mage varie entre 18 % et 25 %[8] - [9] - [10] - [11]. Selon le Programme des Nations unies pour le dĂ©veloppement, en 2005, 30 % des syriens vivent en dessous du seuil de pauvretĂ© et le taux du chĂ´mage est estimĂ© Ă  18 %[12]. Dans le contexte d'une dĂ©mographie croissante, les jeunes sont extrĂŞmement touchĂ©s : ils sont 6 fois plus au chĂ´mage que les adultes[11]. La moitiĂ© de la population a moins de 20 ans[9]. Selon le politologue SouhaĂŻl Belhadj, la moitiĂ© des personnes entrant pour la première fois sur le marchĂ© du travail ne trouvent pas d'emploi[8].

Le mécontentement contre le régime est plus grand dans les zones les plus pauvres du pays, parmi les Sunnites conservateurs et dans les localités ayant un taux de pauvreté élevé, comme Deraa et Homs, ainsi que dans les zones rurales touchées par la sécheresse de 2001, et les quartiers les plus déshérités des grandes villes[13]. La libération des années 2000, a réduit les subventions à l'agriculture et les prix fixes en matière d'engrais, du fioul ou des machines agricoles[14]. En parallèle, la part de la population active travaillant dans l'agriculture est passée de 30 % en 2002 à 14,3 % en 2010[15].

D'après certains chercheurs et le dĂ©partement de la DĂ©fense des États-Unis, la sĂ©cheresse qui a frappĂ© la Syrie entre 2006 et 2010 a contribuĂ© Ă  faire Ă©clater la rĂ©volte. 800 000 Syriens ont vu leurs revenus chuter de 90%, leurs terres s'Ă©tant assĂ©chĂ©es. La crise de l'eau est concomitante Ă  la politique du gouvernement qui a dĂ©rĂ©glementĂ© le secteur agricole, vendu de vastes Ă©tendues de terre Ă  l'agro-industrie, dĂ©veloppĂ© une agriculture d'exportation notamment avec le coton, ce qui a entraĂ®nĂ© la salinitĂ© des terres par utilisation excessive de l'irrigation et la pollution des puits par les nitrates, etc[10] - [16] - [17].

Selon SouhaĂŻl Belhadj, le rĂ©gime syrien sous Bachar al-Assad met en place des mesures de libĂ©ralisation Ă©conomique de façon très graduelle, et n'abandonne pas son rĂ´le de redistribution des richesses, craignant une explosion sociale. Le système des subventions, qui permettent de fixer les prix des produits de base, reste en vigueur, mais il est abaissĂ©, sauf en temps de crise. Par exemple, lors de la seconde annĂ©e de sĂ©cheresse, en 2008, pour aider les agriculteurs, l’État achète leur blĂ© deux fois plus cher que le prix du marchĂ© international, alors qu'habituellement la surcote n'est que de 20 %. Une fois le blĂ© transformĂ© en farine, il est revendu Ă  tarif prĂ©fĂ©rentiel aux boulangers, qui bĂ©nĂ©ficient Ă©galement de prix abaissĂ©s concernant le fioul. Et la population qui bĂ©nĂ©ficie de cartes de rationnement a accès Ă  un pain deux fois moins cher que celui du marchĂ©. Les subventions au pain, qui se montaient Ă  environ 530 millions de dollars les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes augmentent de 40 % en 2007 et doublent en 2008. En ce qui concerne les salaires de la fonction publique, ils doublent sur la dĂ©cennie 2000-2010, compensant tout juste la forte inflation. D'après SouhaĂŻl Belhadj, globalement, la croissance Ă©conomique ne profite pas aux classes laborieuses et moyennes. Le système de redistribution pratiquĂ© par « l’État social baassiste » empĂŞche simplement leur paupĂ©risation[18].

À partir de 2011, la Syrie traverse une phase de dégradation du niveau de vie et de forte augmentation du prix des produits de base. Entre 2010 et 2016, l'indice des prix à la consommation, publié chaque mois par le Bureau central syrien des statistiques, est multiplié par 5. Selon Le Figaro, cela est dû à la raréfaction de la nourriture, du carburant et des médicaments disponibles, mais aussi par l'arrêt de plusieurs subventions du gouvernement sur l'eau, la nourriture et l'électricité[19].

Impact Ă©conomique de la guerre civile

Entre 2010 et 2014, l'économie syrienne s'est rétractée de 62 %, dû à la Guerre civile syrienne, qui a détruit les infrastructures et des lieux de production et empêché les échanges[7]. Une contraction de 12 à 20 % de l'activité économique est attendue pour l'ensemble de 2011[20]. Le chômage a quintuplé et la devise syrienne a perdu les 5/6 de sa valeur[21] - [22]. L'augmentation des prix a été particulièrement élevée sur la nourriture, le prix du pain et des céréales étant multiplié par cinq entre 2010 et 2016, celui de l'eau minérale, des boissons et jus de fuit par huit, et celui des légumes par neuf. En 2015, un rapport du Fonds international de développement agricole (FIDA) et du Programme alimentaire mondial (PAM) indique que dans certaines zones du pays, les dépenses alimentaires peuvent dépasser les 50% à 60% des dépenses globales d'une famille. Selon le Centre syrien pour la recherche politique, les ménages les plus pauvres ne peuvent plus subvenir à leur besoin fondamentaux[19].

Avant le dĂ©but de la guerre syrienne, l'Union EuropĂ©enne achetait 95 % du pĂ©trole exportĂ© par la Syrie, ce qui reprĂ©sentait entre un quart et un tiers des recettes de ce pays. En septembre 2011, pour faire pression sur le rĂ©gime, l'Union europĂ©enne dĂ©crète un embargo total sur le pĂ©trole syrien[23]. En avril 2013, la guerre s'Ă©ternisant, l’Europe lève « partiellement » son embargo sur le pĂ©trole syrien : « les ministres europĂ©ens des Affaires Ă©trangères souhaitant ainsi aider les rebelles syriens, qui contrĂ´lent une partie des champs pĂ©troliers »[24]. En mai 2013, le ministre syrien du PĂ©trole Suleiman Abbas rĂ©vèle que la production de pĂ©trole syrienne a chutĂ© de 95 % (Ă  20 000 barils par jour contre les 380 000 barils par jour) et celle du gaz syrien de 50 %, Ă  la suite des combats et des activitĂ©s terroristes[25].

De 2011 Ă  2014, la guerre a coĂ»tĂ© 502 milliards de livres syriennes (3 milliards de dollars amĂ©ricains) aux secteurs du pĂ©trole et des mines du pays. En mai 2014, alors que la Russie fournit surtout des armes, l'Iran livre plutĂ´t du pĂ©trole Ă  Bachar el-Assad. Quant Ă  la manne pĂ©trolière, elle attire nombre de groupes rebelles qui se combattent mutuellement pour la possĂ©der. Les puits de gaz d'Alep (au centre du pays) et les puits de pĂ©trole des provinces de Deir ez-Zor (Est de la Syrie) et d'Hassaka (nord-est) font ainsi l'objet de convoitises des milices rebelles et terroristes (Front al-Nosra, Front islamique, ArmĂ©e Libre, divers groupes salafistes et EIIL) qui se livrent une guerre totale pour s'en emparer.

Le conflit a dĂ©truit fin 2014, environ 791 000 logements, destructions qui ont eu lieu Ă  58 % Ă  Alep, Ă  20,5 % Ă  Homs et Ă  12,92 % Ă  Damas[26]. Au niveau agricole, la superficie cultivĂ©e est passĂ©e de 8 millions d'hectares Ă  3,6 millions entre 2010 et 2015[15]. Au total entre 2011 et 2016, la guerre civile aurait coĂ»tĂ© près de 260 milliards de dollars au total[3].

Secteurs d'activités

Agriculture

Système d'irrigation dans le gouvernorat de Homs, entre 1965 et 1983. Nationaal Museum van Wereldculturen.

L'agriculture représentait en l'an 2000 : 25 % de la population active et 30 % du PNB, et 19 % du PIB en 2009[27]. Les céréales, les arbres fruitiers et la culture du coton, occupent plus de 50 % de la surface agricole. Le pays est notamment un important producteur de blé, de coton et de betterave à sucre[14]. Une grande partie, près de 70 %, de la surface arable du pays n'est pas irriguée[15].

En 1991, la superficie dĂ©diĂ©e aux pâturages Ă©tait de 7 936 000 d'hectares, celle dĂ©diĂ©e aux terres arables Ă©taient de 5 576 000 d'hectares, alors que les forĂŞts reprĂ©sentaient au total une superficie de 731 000 d'hectares.

Productions

Vignes, 2001.

En 2000, la production agricole de la Syrie Ă©tait composĂ© de 3 200 000 tonnes de blĂ© (contre 4 745 000 tonnes en 2004), de 750 000 tonnes de betterave Ă  sucre, de 451 000 tonnes de raisin, de 450 000 tonnes de pommes de terre, de 401 000 tonnes d'olives, de 401 000 tonnes de tomates, de 400 000 tonnes d'orge, de 300 000 tonnes de coton (contre 860 000 tonnes en 2004 - 11e rang mondial), de 180 000 tonnes de maĂŻs (contre 180 000 tonnes en 2004), de 152 000 tonnes de lentilles et de 123 000 tonnes d'oignons.

Élevage et pêche

Elevage de poulets en plein air, 2011.

En 2000, le cheptel de la Syrie Ă©tait composĂ© de 18 millions de poulets, 14,5 millions de moutons, de 1,25 million de chèvres et 950 000 bovins (880 000 en 2004). Dans le mĂŞme temps, la pĂŞche avait une production en 1999, de 14 600 tonnes.

Industrie

L'industrie représentait en l'an 2000 : 20 % de la population active et 10 % du PNB, et 34 % du BIP en 2009[27]. L'industrie est en grande partie contrôlée par l'État (60 % du PNB et 80 % des investissements lourds).

Chantier Ă  Damas, 2009.
Raffinerie Ă  Homs, 2010.

Les principaux secteurs industriels sont l'agro-alimentaire, la construction et le BTP, le raffinage du pétrole, la métallurgie, l'industrie automobile et l'industrie de produits électroniques. Le secteur artisanal syrien était aussi important dans l'artisanat du cuir, du textile et des tapis.

Matières premières et énergies

L'ensemble de ces activitĂ©s ainsi que les services ont pâti de la guerre civile et des mesures d'embargo sur le pĂ©trole imposĂ© notamment par l'Union europĂ©enne. La production locale de pĂ©trole a chutĂ© de plus de moitiĂ© pour s'Ă©lever Ă  160 000 barils par jour en 2011[27]. Alors qu'en 2008, les exportations de pĂ©trole reprĂ©sentaient 38 % du montant total des exportations et 22 % des recettes du budget de l'État[28]. Le pays avait des rĂ©serves de 2,5 milliards de barils de pĂ©trole en 2011 comparĂ© au 150 milliards de l'Irak[28]. La Syrie avait une production pĂ©trolière en 2010 de 383 000 bl par jour soit 61 200 m3 par jour[29]. Sa production de gaz naturel Ă©tait en 2010 de 7,8 millions de m3 pour des rĂ©serves de 300 millions de m3[30]. Les principaux gisements de pĂ©trole se trouvent dans l'Est du pays[28]. La Syrian Petroleum Company possède le monopole sur l'exploitation et l'exportation de pĂ©trole, mĂŞme si elle possède des coentreprises avec des compagnies Ă©trangères[28]. Cependant mĂŞme avant la guerre civile, la production pĂ©trolière du pays a fortement chutĂ© suite Ă  l'Ă©puisement de certains champs[31].

Le pays est un lieu de transit pour des produits pĂ©troliers avec la prĂ©sence d'olĂ©oducs en provenance d'Irak et d'Arabie saoudite. La Syrie avait produit en 2002, 26,9 milliards de kWh d'Ă©lectricitĂ© dont 39,7 % issus de la production hydroĂ©lectrique. Les principaux barrages hydroĂ©lectriques du pays

En 1997, le pays avait un cumul de 41 540 km de routes et 2 423 km de voies ferrĂ©es.

Les principales ressources minières du pays sont les phosphates avec une production en 1997 de 2 175 000 tonnes (dixième rang mondial), le marbre et le gypse avec une production de 183 000 tonnes, le sel avec une production de 72 000 tonnes, le lignite et l'asphalte avec une production de 82 000 tonnes

Services

Touriste et vendeuse ambulante Ă  Palmyre, 2008.

Longtemps nĂ©gligĂ©s, notamment liĂ© Ă  l'instabilitĂ© politique rĂ©gionale, la relative fermeture Ă©conomique du pays et l'image peu valorisĂ©e du pays en Occident, le tourisme s'est fortement dĂ©veloppĂ© dans les annĂ©es 2000. Le nombre de touriste est passĂ© d'environ 6 millions en 2006 Ă  9,5 millions en 2010[32]. Ces touristes venant en majoritĂ© de pays arabes, avec Ă©galement de nombreux touristes turcs et iraniens[32]. Les revenus touristiques reprĂ©sentaient 12 % du PIB en 2010[32].

Monnaie

La monnaie officielle est la livre syrienne, symbole (ÂŁS), communĂ©ment appelĂ©e lira. Elle est Ă©gale Ă  100 piastres syriennes. Les billets en circulation valent : 50, 100, 200, 500, 1000, 2000 et 5 000 ÂŁS, tandis que les pièces de monnaie valent : 5, 10, 25 et 50 ÂŁS.

Budget

En 1992, le budget militaire reprĂ©sentait 43 % du budget national avec 400 000 hommes dans l'armĂ©e et 200 000 de plus dans les services de sĂ©curitĂ©. En 2001 le budget de la dĂ©fense s'est Ă©levĂ© Ă  838 millions US dollars et l'armĂ©e comportait environ 321 000 actifs et 354 000 rĂ©servistes. En 2011, le budget de l'armĂ©e atteignant 2,5 milliards de dollars et les effectifs militaires de la Syrie atteignaient 384 000 soldats. En 2015, la guerre civile que connait le pays oblige le rĂ©gime Ă  allouer des ressources très importantes (3,5 milliards de dollars) Ă  son armĂ©e fortement engagĂ©e avec des groupes rebelles sunnites.

En comparaison le budget de l'éducation représente en 2001, 3,1 % du PNB.

Notes et références

  1. https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/geos/sy.html
  2. (en) « Human Development Reports | Specific country data | SYR » [« Rapports sur le développement humain | Données spécifiques par pays | SYR »], sur hdr.undp.org, Programme des Nations unies pour le développement, (consulté le ).
  3. Zakaria Taha 2016, p. 84.
  4. Zakaria Taha 2016, p. 88.
  5. Zakaria Taha 2016, p. 85.
  6. Zakaria Taha 2016, p. 86.
  7. Zakaria Taha 2016, p. 83.
  8. Belhadj 2013, p. 304
  9. Jean-Marie Quéméner, Docteur Bachar Mister Assad, Encre d'Orient, , 140 p. (ISBN 978-2-36243-041-1, lire en ligne), p. 88
  10. Suzanne Saleeby, Sowing the Seeds of Dissent: Economic Grievances and the Syrian Social Contract's Unraveling. Jadaliyya, 16 février 2012.
  11. « Youth exclusion in Syria: Social, economic and institutional dimensions - Journalist's Resource »,
  12. Mamduh Nayouf, « Les minorités religieuses syriennes à l’heure de l’islamisation du soulèvement (Le cas des alaouites) », academia.edu,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. Rebels in Syria's largest city of Aleppo mostly poor, pious and from rural backgrounds. Fox News Channel, Associated Press, 16 octobre 2012.
  14. Zakaria Taha 2016, p. 89.
  15. Zakaria Taha 2016, p. 90.
  16. Stéphane Foucart, « La thèse qui associait sécheresse et guerre syrienne », sur Le Monde, (consulté le )
  17. Jean-Marie Pottier, « Le changement climatique a-t-il eu une influence sur la guerre en Syrie? », sur Slate, (consulté le )
  18. Belhadj 2013, p. 297-307
  19. « Le désastre de l'économie syrienne après six ans de guerre », sur FIGARO, (consulté le )
  20. Neil MacFarquhar, « Syrians Say They Are Feeling the Grip of Sanctions », The New York Times, (consulté le )
  21. Syria Weighs Its Tactics As Pillars of Its Economy Continue to Crumble The New York Times, 13 juillet 2013.
  22. Report Shows War's Impact on Syrian Economy Al-Monitor : the Pulse of the Middle East, février 2013.
  23. Syrie: l'UE décrète un embargo sur le pétrole. lexpress.fr, 2 septembre 2011
  24. L'Europe lève partiellement l'embargo pétrolier avec la Syrie. liberation.fr, 22 avril 2013
  25. Syrie: la production de pétrole a chuté de 95 %. RIA Novosti, 29 mai 2013.
  26. Zakaria Taha 2016, p. 22.
  27. Que reste-t-il de l'Ă©conomie syrienne ?, La Tribune, 13 janvier 2013
  28. Zakaria Taha 2016, p. 95.
  29. IMF Country Report No. 10/86, (lire en ligne), p. 17
  30. « BP Statistical Review of World Energy June 2011 » [archive du ], British Petroleum. pp. 6-8 (consulté le )
  31. Zakaria Taha 2016, p. 96.
  32. Zakaria Taha 2016, p. 93.

Bibliographie

  • Zakaria Taha, Syrie, Louvain-la-Neuve, De Beck, , 137 p. (ISBN 978-2-8073-0647-9)
  • SouhaĂŻl Belhadj, La Syrie de Bashar al-Asad : anatomie d'un rĂ©gime autoritaire, Paris, Belin, , 464 p. (ISBN 978-2-7011-6467-0, lire en ligne)

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