Accueil🇫🇷Chercher

Verdèse

Verdèse est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Le village appartient à la piève d'Orezza, en Castagniccia.

Verdèse
Verdèse
Vue de Verdèse.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes de la Castagniccia-Casinca
Maire
Mandat
Joseph Mattei.
2020-2026
Code postal 20229
Code commune 2B344
DĂ©mographie
Population
municipale
42 hab. (2020 en augmentation de 16,67 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 23′ 33″ nord, 9° 21′ 55″ est
Altitude 480 m
Min. 318 m
Max. 653 m
Superficie 1,02 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bastia
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Castagniccia
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Verdèse
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Verdèse
GĂ©olocalisation sur la carte : Corse
Voir sur la carte topographique de Corse
Verdèse
GĂ©olocalisation sur la carte : Corse
Voir sur la carte administrative de Corse
Verdèse

    GĂ©ographie

    Situation

    Verdèse est situĂ©e sur le flanc oriental du Monte San Petrone, au cĹ“ur de la Castagniccia, microrĂ©gion tirant son nom de la forĂŞt de châtaigniers qui la couvre. Elle fait partie du « territoire de vie » Castagniccia du parc naturel rĂ©gional de Corse dont elle est adhĂ©rente depuis le . Avec ses 102 ha de superficie, elle occupe une infime territoire du PNRC qui en compte 362 978 ha.

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    Verdèse est une commune de moyenne montagne, sans façade littorale. Elle se situe dans la « Corse orientale Alpine » (ou orientale) limitée au tiers nord-est de l'île, composée de terrains divers, issus d’un océan disparu appelé liguro-piémontais et de ses marges continentales[1], dans le prolongement de l'arête schisteuse du Cap Corse ou massif de la Serra, qui se poursuit avec le massif du San Petrone et se termine au sud de la Castagniccia. Dans cet ensemble, elle occupe une unité allochtone (terrains fortement déplacés)[Note 1].

    Verdèse occupe, sous forme d'un triangle, la partie orientale du flanc mĂ©ridional d'une ligne de crĂŞte la sĂ©parant au nord, de celle de Polveroso, depuis une borne Ă  655 m d'altitude, « Ă  cheval » sur les communes de Polveroso, Verdèse et Nocario, jusqu'au ruisseau de San Pancrazio. Le cours du ruisseau de San Pancrazio dĂ©limite au sud son territoire avec celui de Piedicroce, des altitudes 301 m Ă  453 m. Ce territoire reprĂ©sente presque la totalitĂ© de la partie septentrionale (ou rive gauche) de son bassin versant. En aval de ce point « Ă  cheval » sur Nocario, Piedicroce et Verdèse, le ruisseau de San Pancrazio prend le nom de ruisseau de Verdèse. De lĂ , Ă  l'ouest, la dĂ©marcation remonte vers la borne, passant Ă  l'est de la chapelle San Pancrazio, Ă  l'ouest de la chapelle de San Nicolao et au nord du village.

    Hydrographie

    La toute petite commune a donnĂ© son nom au ruisseau de Verdèse, nom en aval du ruisseau de Mulinaccio, long de 4,9 km, qui prend sa source Ă  la Funtana di Peteri Ă  1 180 m d'altitude sous la Punta Ventosa (1 421 m) et se poursuit en ruisseau de San Pancraziu[2], affluent du Fium'Alto.
    Le San Pancraziu a pour principal affluent le ruisseau de San Fiumento[3] qui prend source sur la commune de Nocario sous le nom de ruisseau d'Alziccio.

    Climat et végétation

    Le territoire communal est vert, occupé aux trois quarts par des forêts dans lesquelles châtaigniers et chênes verts sont majoritaires.

    Accès routiers

    La D 46 est la seule route permettant d'accéder au village de Verdèse. Entre le hameau d'Erbaggio (Nocario) et Verdèse, se situe l'intersection de la D 46 avec la route D 346 conduisant à Polveroso, Croce, Ficaja, La Porta, etc., communes au nord de Verdèse.

    Transports

    La commune est éloignée de toutes infrastructures ferroviaires, portuaires et aéroportuaires. Le village est distant, par route[4], de :

    Urbanisme

    Typologie

    Verdèse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [5] - [6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bastia, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 93 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Panorama.

    Comme dans toutes les communes de la microrĂ©gion, le village est accrochĂ© Ă  flanc de montagne, perchĂ© sur des contreforts rocheux. DominĂ© par le très haut clocher de son Ă©glise paroissiale baroque dont on dit que les habitants ont Ă©levĂ© en l'espace de 140 jours, le village est nichĂ© au pied du Monte San Petrone. Il est surplombĂ© directement au nord-ouest par le village d'Erbaggio (Nocario) distant d'Ă  peine 200 m « Ă  vol d'oiseau », et par celui de Campana.

    Verdèse est un village de caractère ; les maisons d'habitation sont construites autour de l'église paroissiale. Le bâti est ancien, constitué de vieilles maisons de pierres sèches centenaires aux toits de lauze[10], avec des ruelles dallées de pierres grises. Sous la mairie dont les locaux sont abrités dans un ancien presbytère restauré, les vieilles écuries transformées en salle polyvalente montrent de remarquables voûtes en pierres.

    Quatre fontaines ornent le village, la plus belle possédant une pierre ronde à tourner afin d'en activer le mécanisme, una petra zuccata[11].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (91,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Histoire

    Moyen Ă‚ge

    En 1018 les marquis de Massa arrivent en Corse, se rendent maîtres de tout le territoire et soumettent à leur autorité les Amondaschi, les Pinaschi, les Cortinchi et enfin l'île tout entière[14].

    Aux XIIIe et XIVe siècles, le « Deçà des Monts », pays dans lequel la communauté se trouvait, était alors dominé par le château de Petralerata, la toute puissante famille Cortinco, l'une des plus grandes seigneuries de l'île. Le fief comptait une douzaine de castra et couvrait toute la Castagniccia et même quelques pièves situées au-delà du Tavignano.

    À la mort de Guglielmo Cortinco, les fils étaient maîtres de tous les pays qu'avait possédés leur père. Trois familles cependant, qui avaient grandi dans la piève d'Orezza, à Piè della Croce, Piè d'Albertino et Castello, ne leur rendaient plus qu'une obéissance précaire.

    En 1289, les Cortinchi prêteront le serment de fidélité à Luchetto d'Oria envoyé sur l'île par la République de Gênes avec le titre de Vicaire Général. En 1347, la Corse devient génoise.

    Verdèse faisait partie de la pieve d'Orezza que Mgr Agostino Giustiniani, évêque de Nebbio, durant les neuf années de son second séjour dans son diocèse (1522-1531), décrivait ainsi :

    « Puis vient la piève d'Orezza qui est très étendue et ne contient, pas moins de mille feux répartis en cinquante-huit villages dont les plus connus sont la Campana et Piè d'Albertino, parce que c'est là qu'habitent les chefs de parti de la piève. Il y a aussi à Orezza un couvent de Frères Mineurs. Ce pays est couvert de châtaigniers. Il n'y a pas longtemps que les habitants ont commencé à les greffer pour en améliorer les fruits, ce qui ne se pratique nulle part ailleurs dans l'île. C'est même une nécessité pour eux, car ils ne vivent guère que du produit de leurs châtaigniers. Les hommes de cette piève sont industrieux ; ils s'occupent à vendre des étoffes de laine, de lin, des chaussures, et à faire quelques autres petits négoces de ce genre. Il y a aussi parmi eux de bons soldats, comme dans les autres pays de l'île. »

    — Mgr Agostino Giustiniani in Description de la Corse, traduction de Lucien Auguste Letteron in Histoire de la Corse – Tome I - 1888. p. 39

    Temps modernes

    Vers 1520 existait la pieve d'Orezza qui comptait environ 5 000 habitants. Elle avait pour lieux habitĂ©s : la Campana, la Ponticagia, lo Fossato, le Bulianache, le Celle, lo Poggiolo, Nocario, Acqua Fredola, lo Zuccarello, l’Erbagio, lo Petricagio, le Verallese, Campo Rotundo, Campo Donico, Siliura, lo Pigiale, lo Pè di Oreza, Pozolo, la Casalta, Piano, lo Pèdelaciore, la Fontana, le Duchelagie, lo Satoio, Patrimonio, Pastorechia, Stazone, le Piazole, le Ghilardagie, le Francolachie, lo Pastino, Osto, le Pichiaragie, Casabuona, Marmurio, lo Pogile, Casinegri, lo Gallico, la Casanova, la Penra buona, la Parata, lo Pogio, lo Pè di Petro, Tramica, le Pogie, Rapagio, Granagiolle, l’Olmo, Carpineto, Posatoio, Brosteco, lo Colle, Carcheto, lo Sorbello, lo Castello, lo Pè di Albertino, le Maistragie. Verdese n'Ă©tait pas signalĂ©.

    Au dĂ©but du XVIIIe siècle la pieve d'Orezza comptait 3 826 habitants rĂ©partis dans 58 villages.

    « Frà questi i principali sono Tramica, Piazale, Piè della Croce, Rapagio, Grana, Erbaggio, Parata, Querrino, Pastorechia, Fontana, Bustico, Colle, Carpineto, Verdese, Fossetto, Piè d’Opartino, Nocaria, Campodenico, Stazzona, Piè d’Orezza, Carcheto, Castello, Sorbello, Campana, e Casanova »

    — Francesco Maria Accinelli in L’histoire de la Corse vue par un Génois du XVIIIe siècle - Transcription d’un manuscrit de Gênes - ADECEC Cervioni et l’Association FRANCISCORSA Bastia 1974

    .

    Poursuivant, Accinelli recense la population de Verdese avec celle de Fossato[Note 4] Ă  222 habitants.

    • 1768 - L'Ă®le passe sous administration militaire française.
    • 1789 - La Corse fait partie du royaume de France.
    • 1790 - L'Ă®le devient le dĂ©partement de Corse.
    • 1793 - (An II) Verdese se trouve dans l'ex pieve d'Orezza devenu le canton d'Orezza, dans le district de Corte, dans le dĂ©partement d'El Golo (l'actuelle Haute-Corse).
    • 1801 - Toujours dans le canton d'Orezza, la commune qui prend le nom de Verdèse, passe dans l'arrondissement de Corte.
    • 1811 - Les deux dĂ©partements de l'Ă®le sont fusionnĂ©s pour le seul dĂ©partement de Corse.
    • 1828 - Verdèse passe dans le canton de Piedicroce.

    Époque contemporaine

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 Antoine Quilghini DVD
    mars 2008 2014 Pascal Poletti
    mars 2014 En cours francis pomponi Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2020, la commune comptait 42 habitants[Note 5], en augmentation de 16,67 % par rapport Ă  2014 (Haute-Corse : +5,98 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    300335297299525305311319355
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    322332323317295300283241231
    1906 1911 1921 1926 2004 2006 2009 2014 2019
    2242091651642626363642
    2020 - - - - - - - -
    42--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Il n'y a pas d'école à Verdèse. L'école primaire publique la plus proche se trouve à Piedicroce, village distant de km.

    Santé

    Point de mĂ©decin Ă  Verdèse. Le plus proche cabinet se situe Ă  Folleli, distant de 20 km ; ceux de Ponte-Leccia se trouvent Ă  29 km.

    Cultes

    Il n'existe qu'un seul lieu de culte à Verdèse. L'église paroissiale San Sebastianu relève du diocèse d'Ajaccio.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La fontaine a petra zuccata.
    • Monument aux morts
    • Les 4 fontaines du village.

    Église paroissiale San Sebastianu

    L'église paroissiale San Sebastianu d'architecture baroque, avec un haut clocher à quatre étages, est située au centre du village. L'édifice dont les portes et les bancs sont l'œuvre d'un menuisier local, renferme de très nombreuses œuvres remarquables. Leurs photographies figurent dans la base Mémoire du Ministère de la Culture[20].

    • Église paroissiale San Sebastianu.
      Église paroissiale San Sebastianu.
    • L'autel.
      L'autel.
    • La tribune d'orgue.
      La tribune d'orgue.
    • La statue de saint Michel terrassant le dragon.
      La statue de saint Michel terrassant le dragon.

    Autres patrimoines religieux

    • Chapelle San Niculaiu (Saint-Nicolas), en bordure de la route D 46[21].
    • Chapelle San Pancraziu (Saint-Pancrace), situĂ©e près du lieu-dit Bosco al Poggio[22], en bordure de la route D 46, Ă  km au sud de la chapelle Santu Niculaiu. San Pancraziu se trouve en fait sur le territoire de Nocario[23].
    • Chapelle funĂ©raire de la famille Giocanti. Elle renferme un autel de saint Vincent Ferrier ornĂ© d'un tableau d'autel Vierge, saint Vincent Ferrier, saint Matthieu. Plusieurs photographies de l'Ă©difice sont dans la base MĂ©moire du ministère de la Culture[24].

    Parc naturel régional

    Verdèse est une commune adhérente au parc naturel régional de Corse, dans son « territoire de vie » appelé Castagniccia[25].

    ZNIEFF

    La commune est concernée par une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de 2e génération :

    Châtaigneraies de la Petite Castagniccia

    Verdèse fait partie des 43 communes concernĂ©es par la zone qui couvre une superficie totale de 10 559 ha. Cette zone s'Ă©tend sur le territoire appelĂ© localement « la petite Castagniccia », dont 60 % sont couverts par les châtaigneraies. Elle fait l'objet de la fiche ZNIEFF 940004146 - Châtaigneraies de la Petite Castagniccia, 2e gĂ©nĂ©ration[26].

    Personnalités liées à la commune

    • Village corse peint par Robert Falcucci. Vraisemblablement, le village de Verdèse (Haute-Corse). Date inconnue. Collection privĂ©e.
      Village corse peint par Robert Falcucci. Vraisemblablement, le village de Verdèse (Haute-Corse). Date inconnue. Collection privée.
      Robert Falcucci, né en 1900 à Châteauroux originaire du village par son père. Peintre officiel du service historique des armées. En 1925 : Atelier au 14 rue Borromée (Paris 15e). En 1943 : Atelier au 4 rue Georges Berger (Paris 17e). En 1970 : S’installe à Saint-Aubin-Château-Neuf (Bourgogne) après restauration d’un relais de poste à l’abandon. La ruelle est aujourd’hui « ruelle Falcucci ». Décède le dans sa maison de Saint-Aubin[27].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Lucien Auguste Letteron, Histoire de la Corse, t. I, Bastia, Imprimerie et librairie Ollagnier, coll. « Bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences historiques & naturelles de la Corse », , 504 p. (lire en ligne)
    • Daniel Istria, Pouvoirs et fortifications dans le nord de la Corse XIe – XIVe siècle, Ajaccio, Ă©ditions Alain Piazzola, , 517 p. (ISBN 2-915410-14-3)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L’allochtone appartient essentiellement à la « zone des schistes lustrés et des ophiolites », correspond aux reliefs orientaux (Cap Corse et Castagniccia) - Centre de géologie de l’Oisans
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les ruines de Fossato, ancien lieu habitĂ© situĂ© Ă  environ 500 m au sud-ouest du village de Verdèse, sont encore portĂ©es sur les cartes IGN
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Découverte géologique de l'île de Beauté, Centre de géologie de l’Oisans, 2010
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de San Pancraziu (Y9311380) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de San Fiumento (Y9311360) » (consulté le ).
    4. ViaMichelin.fr
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Notice no IVR94_992B3087ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    11. U Nuvellaghju 2009 Sant Andrea di Cotone
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Giovanni della Grossa in Chronique, traduction de Lucien Auguste Letteron in Histoire de la Corsep. 144.
    15. ADECEC - CORSE : Eléments pour un dictionnaire des noms propres
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Notice no IVR94_002B1103ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    21. Notice no IVR94_992B3100ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    22. Notice no IVR94_992B3075ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    23. GĂ©oportail Limites administratives
    24. Notice no IVR94_992B1095ZA, base Mémoire, ministère français de la Culture.
    25. Le parc naturel régional de Corse sur le site de l'INPN
    26. ZNIEFF 940004146 - Châtaigneraies de la Petite Castagniccia sur le site de l’INPN..
    27. http://www.robertfalcucci.com/biographie.html
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.