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Vendeuvre-sur-Barse

Vendeuvre-sur-Barse est une commune française, située dans le département de l'Aube en région Grand Est. Les gentilés sont « Vendeuvrois » et « Vendeuvroise ».

  • Château, orangerie et colombier de Vendeuvre-sur-Barse.
    Château, orangerie et colombier de Vendeuvre-sur-Barse.
Vendeuvre-sur-Barse
Vendeuvre-sur-Barse
La Barse Ă  Vendeuvre-sur-Barse.
Blason de Vendeuvre-sur-Barse
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Aube
Arrondissement Bar-sur-Aube
Intercommunalité Communauté de communes de Vendeuvre-Soulaines
Maire
Mandat
Marielle Chevallier
2020-2026
Code postal 10140
Code commune 10401
DĂ©mographie
Gentilé Vendeuvrois, Vendeuvroises
Population
municipale
2 317 hab. (2020 en diminution de 2,2 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 14′ 21″ nord, 4° 28′ 07″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 233 m
Superficie 51,94 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Vendeuvre-sur-Barse
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vendeuvre-sur-Barse
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Vendeuvre-sur-Barse
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Vendeuvre-sur-Barse
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Vendeuvre-sur-Barse
Liens
Site web vendeuvre-sur-barse.fr

    GĂ©ographie

    Vendeuvre-sur-Barse est un bourg de la Champagne humide située sur le cours de la Barse, un petit affluent de la Seine. Le château a été construit au-dessus des sources de la Barse. La commune fait partie du parc naturel régional de la Forêt d'Orient.

    Urbanisme

    Typologie

    Vendeuvre-sur-Barse est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Vendeuvre-sur-Barse, une unitĂ© urbaine monocommunale[4] de 2 317 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[5] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), terres arables (42,9 %), prairies (4,2 %), zones urbanisées (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,8 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Vindovera à l'époque mérovingienne, Vendopera en 861 et 862.

    D'Arbois de Jubainville propose : composé du gaulois vindo- (« blanc ») et -ó-briga, briga signifiant « mont » ou « forteresse » mais aussi que Vindos était un nom d'homme[11].

    Lieu-dit et écarts : l'Arclais, la Bécassière, Belle-Guise, Bizerne, Bourgetet, Bricquerne, Brochot, le Buisson-Joli, les Carreaux, Chaffaut, le Chalet, Châtillon[12], Durnay, ancien fief du XIIIe siècle qui fin XIVe siècle n'avait qu'une maison sans grand caractère avec fossés. Mais aussi Chignat, le Clos-Fleury, Cornée-Genette, le moulin de Cornet, celui de Coupel, le Crot de deux fosses, le Cuvot, Danrot, le Der ou Grand-Der, le Cuveau, Danrot, les Grandes et Petites Epoisses, l'Ermitage, les étangs : Alichamp, Neuf, du milieu, Michel, sire-Regnaut, de la Porte ; Ormoy[13], Ousotte, Ombrois, le Pavillon, le Petit-Temple, la Pisserotte, Poguières, Potelet, Profonde-Fosse, la Reclais, le Reculon, la Routelle, les Routes, le ru-à-l'Huile, le Rû-aux-Pigeons, la Tuilerie, les Usages, Val-Suzenay, Varennes, Vau-Girard, la forêt de Vendeuvre, Verpie, la Ville-au-Bois, la Voie-de-Vienne.

    Histoire

    Monument aux morts et chapelle funéraire des seigneurs de Vendeuvre Bourlon de Sarty et Pavée de Vendeuvre.

    Des traces d'habitation romaine sont attestées lors de la découverte d'un cimetière et un atelier de potier[14]. Un certain Chrodoaldus ayant installé son atelier monétaire au château primitif de Vendeuvre-sur-Barse (le château actuel est construit sur ses ruines) au VIe siècle, frappait monnaie dans ce village mentionné sous la forme Vindovera à la même époque.

    C'était un fief qui dépendait de la châtellenie de Troyes et formait une baronnie de Champagne qui fut réuni à celle de La Villeneuve-au-Chêne pour ériger le marquisat de Villeneuve-Mesgrigny en 1646.

    En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Troyes.

    Le Val-Suzenay

    C'était un fief qui possédait son château et son église au XIIe siècle et relevait de Vendeuvre pour la suzeraineté. Il est cité en 1244 par la vente faite par Eudes de Broyes à son beau-frère Gérard de Durnay.

    La paroisse était du doyenné de Bar-sur-Seine et était à présentation du prieur de Vendeuvre et de l'église de la Nativité de la Sainte-Vierge. Il n'en reste qu'un sanctuaire carré remontant au XIIe siècle.

    Jusqu'en 1769, le village relevait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Troyes, puis relevait de La Ville-au-Bois. De 1790 à l'An VI, c'était une commune du canton de Vendeuvre.

    Prieuré Saint-Georges

    Il dépendait de l'abbaye de Cluny et a été fondé en 1080 par Hugues de Vendeuvre, selon l'abbé Roussel. En 1119, le prieur avait en collation les cures d'Amance, de Beurey, Longpré, Magny-Fouchard, Valsuzenais, Vauchonvilliers, La Villeneuve-au-CHêne[15].

    Les prieurs avaient depuis 1407 droit de justice sur les forains, les femmes et les hommes dans l'enceinte du prieuré a la suite d'un accord avec Jean III de Noyers. Cela comprenait aussi la maison dite Courtil. Nous avons une liste de prieurs jusqu'en 1791.

    Le prieurĂ© avait une Ă©glise du XIIe siècle, de m de long par 5,2 m de largeur et 6,5 m de hauteur[16].

    HĂ©raldique

    Blason de Vendeuvre-sur-Barse Blason
    Parti : au 1er palé d'or et de gueules, au 2e burelé d'argent et d'azur, à trois chevrons de gueules brochant, le 1er écimé ; le tout surmonte d'un chef d'azur soutenu d'une divise dentée en pointe d'argent et chargé d'un vase d'or accosté de deux roues dentées d'argent[17].
    DĂ©tails
    Le caractère industriel de la ville est marqué par deux roues dentées qui symbolisent la fabrication des machines agricoles, par une poterie rappelant le travail de l’argile, et par une scie ou divise dentée qui symbolise le travail du bois à proximité de la forêt d’Orient. La ville a également fait figurer dans ses armes celles des familles qui ont successivement possédé la terre de Vendeuvre aux XVe et XVIe siècles : les Amboise (palé d’or et de gueules de six pièces), et les La Rochefoucauld (burelé d’argent et d’azur de dix pièces à trois chevrons de gueules, le premier écimé brochant sut le tout).
    Délibération du conseil municipal du 20 avril 1957.

    Activités

    Le nom de Vendeuvre était autrefois associé aux tracteurs agricoles fabriqués dans la ville.

    De 1842, date de sa création, à la fermeture définitive en 1962, la manufacture de statues religieuses La Sainterie, dirigée d'abord par Léon Moynet (1818-1892), fondateur statuaire et philanthrope, puis par la famille Nicot, qui diversifia la production en y intégrant des objets d'art profane, attira de nombreux peintres et sculpteurs à Vendeuvre et Léon Moynet y créa successivement une école de sculpture, une école de peinture puis une école de musique. Parmi les créateurs actifs à La Sainterie devenus célèbres, figurent Paul Dubois (1829-1905), Ernest Toussaint (1843-1904)[18], Florentin Meffroy (1854-1927), décédé à Vendeuvre, Auguste Suchetet (1854-1932), né à Vendeuvre, et Ernest Legrand (1872-1912)[19]. Les statues religieuses de style saint-sulpicien (Notre-Dame, sainte Thérèse, Jeanne d'Arc, etc.) produites à la manufacture de La Sainterie ornent de nombreuses églises en France, voire à l'étranger et en outre-mer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1995 Pierre Micaux UDF-AD Député, conseiller général
    1995 2014 Claude Ruelle[20] UMP Conseiller général
    2014 mai 2020 Jean-Baptiste Rota DVD Retraité
    mai 2020 En cours Marielle Chevallier [21]
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2020, la commune comptait 2 317 habitants[Note 2], en diminution de 2,2 % par rapport Ă  2014 (Aube : +1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6891 6881 8401 3031 6691 7271 8411 9461 966
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0972 1382 1121 9422 0912 0172 0922 0161 971
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0681 9731 9712 0352 1281 9691 7911 6881 642
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 8391 8212 6132 9402 7932 6232 4132 3832 395
    2017 2020 - - - - - - -
    2 3172 317-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee Ă  partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,6 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 133 hommes pour 1 182 femmes, soit un taux de 51,06 % de femmes, lĂ©gèrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,6
    90 ou +
    2,5
    7,5
    75-89 ans
    12,6
    18,0
    60-74 ans
    18,8
    17,5
    45-59 ans
    17,7
    18,8
    30-44 ans
    17,7
    16,7
    15-29 ans
    13,6
    19,9
    0-14 ans
    17,1
    Pyramide des âges du département de l'Aube en 2018 en pourcentage[27]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    2
    7,1
    75-89 ans
    10,2
    17,2
    60-74 ans
    18
    19,8
    45-59 ans
    19,3
    17,9
    30-44 ans
    17,3
    18
    15-29 ans
    16
    19,2
    0-14 ans
    17,2

    Lieux et monuments

    Le château

    Construit sur les sources de la Barse, il remonte au moins au XIIe siècle. De 1450 à 1550, il appartient à la famille d'Amboise. Après 1550, les Luxembourg l'achètent à la succession de Charles Ier d'Amboise, gouverneur de Champagne, et le conservent jusqu'au XVIIe siècle. En 1638, le fief est cédé à Jean de Mesgrigny, gouverneur de Champagne, qui le transforme et crée le grand escalier. Il passe ensuite au marquis de Boutillier puis à Gabriel Pavée de Vendeuvre, conseiller du roi. Ce dernier réaménage le parc et fait de nombreuses transformations qui donnent au château son aspect actuel.

    En 1903, le domaine passe à Paul de Sarty. Il est occupé en 1940 par les troupes allemandes qui pillent le château.

    En 1980, René de Sarty fait donation du château et d'une partie du parc à la commune de Vendeuvre-sur-Barse et au département de l'Aube[28]. Des travaux conservatoires sont entrepris dans les années suivantes. Le château est actuellement inutilisé. En 1986 est créé Vindovera, un spectacle Son et lumière retraçant l'histoire de Vendeuvre-sur-Barse et de son château et auquel participent chaque année trois cents figurants de la commune.

    Autres monuments

    • Église de Vendeuvre-sur-Barse.
      Église de Vendeuvre-sur-Barse.
    • L'Ă©glise, façade ouest.
      L'église, façade ouest.
    • Tour de l'Ă©glise.
      Tour de l'Ă©glise.
    • Chapelle de Valsuzenay ici.
      Chapelle de Valsuzenay ici.

    Personnalités liées à la commune

    • Nicolas EdmĂ© Roret est nĂ© le (10 prairial An 5) dans le foyer d’un artisan menuisier de Vendeuvre-sur-Barse installĂ© en bas de la rue Neuve (aujourd’hui rue Suchetet). Cet enfant, qu’on devine douĂ©, gagne Paris Ă  16 ans (1813) pour faire son apprentissage auprès de son beau-frère, libraire-Ă©diteur. Il est brevetĂ© libraire-taille doucier, le 21 juin 1820, En 1822 il s’installe comme Ă©diteur puis en 1825, il lance une collection qui dĂ©montre Ă  la fois son humanisme et son talent : une sĂ©rie de manuels au format in-16° (13.5 cm Ă— 9 cm) et in-18° (15 cm Ă— 9,5 cm), bon marchĂ©, traitant de façon très pratique et professionnelle de tous les sujets possibles et imaginables : cuisine, savoir-vivre, orthographe, voyages, maçonnerie, verrerie, moulage, lutherie… Pour garantir l’efficacitĂ© de ses manuels, il collabore directement avec les professionnels. Le rĂ©sultat est un vrai succès populaire. Cette collection de manuels fut bien plus tard appelĂ©e EncyclopĂ©die-Roret. Elle comptait plus de 300 volumes. Le succès populaire de cette encyclopĂ©die dont personne n’avait encore eu l’idĂ©e, fut indiscutable et ne sera bouclĂ© que par EdmĂ© Roret, son fils en 1890. Travailleur infatigable, la mort le surprit Ă  Paris le . Il est inhumĂ© au cimetière de La Martinière de Savigny-sur-Orge (Essonne). Vers 1900, la marque est rachetĂ©e par l'Ă©diteur parisien L. Mulo. Ce dernier fut ensuite rachetĂ©, après 1918, par Edgar Malfère, Ă©diteur Ă  Paris. Ils continuèrent tous deux Ă  publier les manuels sous la forme d'Ă©ditions refondues. On trouve des ouvrages sous l'appellation EncyclopĂ©die-Roret imprimĂ©s jusque dans les annĂ©es 1950, certains titres sont mĂŞme repris par Dunod, maison d’édition du groupe Hachette Livre. Dans les annĂ©es 1980, certains manuels sont de nouveau Ă©ditĂ©s mais dans un nouveau format.
    • LĂ©onard Tassin, chirurgien militaire français (1620-1687).
    • Louis Liger-Belair (1762-1835), gĂ©nĂ©ral des armĂ©es de la RĂ©publique et de l'Empire, est nĂ© dans cette commune. Son nom figure sous l'arc de triomphe de l'Étoile : 37e colonne « LIGERBELAIR ».
    • LĂ©on Moynet (1818-1892), sculpteur, fondateur et directeur de la Manufacture d'Art ChrĂ©tien, surnommĂ©e La Sainterie.
    • Auguste Suchetet (1854-1932) : sculpteur nĂ© Ă  Vendeuvre-sur-Barse.
    • Marcel Degliame (1912-1989) : ouvrier syndicaliste, rĂ©sistant, historien de la RĂ©sistance, Compagnon de la LibĂ©ration, membre du Conseil national de la RĂ©sistance (C.N.R.).
    • Xavier du Crest de Villeneuve, nĂ© en 1924 Ă  Damas, officier, ancien conseiller municipal et adjoint.
    • Pierre Micaux, homme politique français, nĂ© le Ă  Vendeuvre-sur-Barse. Il est dĂ©putĂ© de la 1re circonscription de l'Aube de 1978 Ă  2007.
    • Guillaume Gabriel PavĂ©e de Vendeuvre, dĂ©putĂ©, pair de France, qui y repose.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Vendeuvre-sur-Barse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Recherches sur la propriété foncière, pXIII.
    12. La Cour-de-Chatillon Ă©tait un fief qui se trouvait rue du Bourg et comprenait maison grange Ă©table sur un arpent de terre.
    13. Ancien fief du nom des Pourpris-d'Ormoy.
    14. Arbois de Jubainville, Rep. Archéo., 57.
    15. Archives nationales, J259, Cluny, no 9
    16. Henri d'Arbois de Jubainville, Répertoire archéo., 58.
    17. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
    18. Ernest Toussaint fut élève de Léon Moynet et employé à temps complet à La Sainterie
    19. LĂ©on Moynet-Nicot ou la saga de la Sainterie, L'Est Ă©clair, 23 mai 2013
    20. Site officiel de la préfecture de l'Aube
    21. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21599224
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vendeuvre-sur-Barse (10401) », (consulté le ).
    27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
    28. Xavier du Crest de Villeneuve, Chemin de Damas... à Vendeuvre : hommages, témoignages, Paris, Pour Mémoire, 2009.

    Articles connexes

    Liens externes

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