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Vaux-sur-Seulles

Vaux-sur-Seulles est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 317 habitants[1].

Vaux-sur-Seulles
Vaux-sur-Seulles
Le château de Vaussieux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Intercommunalité Communauté de communes de Bayeux Intercom
Maire
Mandat
Sylvie Boust
2020-2026
Code postal 14400
Code commune 14733
Démographie
Gentilé Vaussois
Population
municipale
317 hab. (2020 en augmentation de 6,02 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 37″ nord, 0° 37′ 44″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 72 m
Superficie 6,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bayeux
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Vaux-sur-Seulles
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Vaux-sur-Seulles

    Géographie

    Vaux-sur-Seulles se situe à six kilomètres de Bayeux, dans le Bessin. La commune est traversée par la Seulles.

    Le , la commune passe de l'arrondissement de Caen à celui de Bayeux[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 746 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Port-en-Bessin », sur la commune de Port-en-Bessin-Huppain, mise en service en 1984[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 763,5 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 16 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[14] à 11,2 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Vaux-sur-Seulles est une commune rurale[Note 6] - [17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,3 %), prairies (30,4 %), mines, décharges et chantiers (4,1 %), zones urbanisées (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Une carte de Vaux-sur-Seulles, disponible en 2022 sur le site des archives en ligne du Calvados, date de 1763 et elle a été levée par ordre de l’abbesse de l’abbaye de la Sainte-Trinité de Caen[24].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Valles super Seullam au XIe siècle, Vax et Vaxum super Seullam en 1137[25], Vaus super Seullam en 1252[26], Vaus sur Seulles en 1277[27], Walles supra Seullam en XIVe siècle, Vaux sur Seulles en 1371.

    Vaux est le pluriel de val, vallée.

    La Seulles, fleuve côtier, traverse le territoire communal.

    Le gentilé est Vaussois.

    Histoire

    En 1778, un camp militaire est dressé sur ordre de Louis XVI. Une troupe de 30 000 soldats commandés par le duc de Broglie, a pour objectif de dissuader les Anglais de faire des incursions sur les côtes françaises[28]. Le château de Vaussieux est le siège du quartier général du Camp de Vaussieux[29].

    En 1827, Vaux-sur-Seulles (405 habitants en 1821) absorbe Vaussieux (75 habitants)[30].

    Vaux-sur-Seulles est traversée le 06 juin 1944 à 19h50 par le 6th Battalion Durham Light Infantry[31].

    Le 07 juin 1944 à 15h00 le Capt. PG Hampston et le Lt Gibson, du 8th Battalion Durham Light Infantry, patrouillent dans les bois de Vaux-sur-Seulles pour les nettoyer de tireurs d’élite allemands[32].

    Le 14 juin 1944, est construit, sur la partie sud-est de la commune, l’aérodrome avancé B7 par le 16th ACG Royal Engineers qui accueillera à partir du 24 juin 1944 le no 133 Wing RAF qui partira le 16 juillet. Il sera remplacé par le no 123 Wing RAF le jour même jusqu’à son départ début septembre 1944[33].

    Politique et administration

    La mairie de Vaux-sur-Seulles.
    Charles Grant, vicomte de Vaux - édile de Vaux en 1789.
    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 Charles Grant Vicomte de Vaux[35] - [36]
    1791 Baptiste Bernard
    1791 François Planchon Docteur en droit à Caen
    1791 Robert François Dusquesnoy de l’Orme
    1793 Jean-Baptiste Demarez
    1793 Louis Lefort
    1799 Jean-Baptiste Viel
    1799 1800 François Planchon Docteur en droit à Caen
    1800 1803 Pierre Langin
    1803 1816 M. Boullard
    1816 1830 Armand François Olivier Duhamel de Vailly
    1830 1836 Jean-Baptiste Prosper Gouët
    1836 1866 Jean Édouard du Buisson
    1866 1885 Abel Besongnet Agriculteur
    1885 1888 Gustave Vauquelin
    1888 1903 Fernand Bonnefoy du Charmel Baron
    1903 1938 Olivier de Gourmont Marquis
    1938 1947 Léopold Prosper Marchand boucher à Paris
    1947 1953 Alfred Guillebert
    1953 1954 Lucien Le Gall
    1954 1956 Léon Dalmassie Agriculteur
    1956 1965 Jean Le Courtois du Manoir Capitaine de Frégate[37]
    1965 1977 Philippe Surre
    1977 1995 Raymond Féret Agriculteur
    1995[38] avril 2014 Henriette Hurault SE
    avril 2014[38] En cours Sylvie Boust[39] SE Éleveuse d’ânes
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

    En 2020, la commune comptait 317 habitants[Note 8], en augmentation de 6,02 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Vaux-sur-Seulles a compté jusqu'à 515 habitants en 1831 (premier recensement après la fusion avec Vaussieux). Les deux communes totalisaient cependant 530 habitants en 1793 (respectivement 389 et 141 habitants).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    389352430405515492497451483
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    471444466443411381368371328
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    286305314275253226242281299
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    281230248286332322318309293
    2014 2019 2020 - - - - - -
    299312317------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre.
      L'église Saint-Pierre.
    • Le portail du manoir Saint-Clair.
      Le portail du manoir Saint-Clair.

    Personnalités liées à la commune

    Charles Grant, vicomte de Vaux (1749 - c1818). Charles Grant, était le descendant d’une famille de nobles qui avaient émigré d’Écosse en France au XIVe siècle. Il est né en 1749 sur l’île Maurice, où son père, Louis-Charles Grant, baron de Vaux, était gouverneur. Dans sa jeunesse, il s’embarquât pour la France afin d’y faire des études et s’établir à Vaux-sur-Seulles[44]. Il servit comme sous-lieutenant dans la compagnie écossaise de la garde du roi et, en 1781, il était lieutenant-colonel. Il s’enfuit de France en Angleterre après la révolution française[45].

    Jean Le Courtois du Manoir (1887-1974). Capitaine de frégate. Né le 16 février 1887 à Caen (Calvados) il entre dans la Marine à l’âge de 18 ans en 1905. En octobre 1916, alors qu’il est officier en second (enseigne de vaisseau) sur le croiseur auxiliaire Gallia ce dernier est torpillé par un sous-marin allemand. Il y a à bord 1550 soldats français, 350 serbes et 50 marins. Il est cité à l'ordre de l'Armée navale pour sa conduite exemplaire : « Officier en second. A fait preuve, lors du torpillage du Gallia par un sous-marin ennemi, de belles qualités d'initiative et de sang-froid. A assuré l'évacuation du personnel jusqu'à la disparition du bâtiment »[46].

    Il décédera le 9 juin 1974 à Boulogne-Billancourt (Haut-de-Seine).

    Il est décoré de la Croix de guerre et Officier de la Légion d’Honneur.

    Torpillé le 4 octobre 1916
    SS Gallia - croiseur auxiliaire de 1er rang

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Population municipale 2020.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    3. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Port-en-Bessin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Vaux-sur-Seulles et Port-en-Bessin-Huppain », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Port-en-Bessin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Vaux-sur-Seulles et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Carte 1763.
    25. Charte de Mondaye.
    26. Charte de la Trinité, 70.
    27. Charte de Sainte-Barbe, no 221.
    28. Christiane Huet, Bayeux au siècle des Lumières. Embellissements, urbanisme et architecture au XVIIIe siècle, La Mandragore, , p. 84
    29. Bayeux-intercom, « Le camp de Vaussieux »
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Vaux-sur-Seulles », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    31. « 151 Durham Infantry Brigade HQ June 1944, War Diary » Normandy War Guide », sur www.normandywarguide.com (consulté le )
    32. « 8th Battalion Durham Light Infantry June 1944, War Diary » Normandy War Guide », sur www.normandywarguide.com (consulté le )
    33. « 1944 la bataille de Normandie, la mémoire | Vaux-sur-Seulles » (consulté le )
    34. Liste reconstituée des maires nommés et élus depuis 1789 : « 1788-1907 », sur archives.calvados.fr (consulté le )
    35. « Charles Grant (vicomte de Vaux, 1749-1818?) », sur data.bnf.fr (consulté le )
    36. (en) « Charles Grant, vicomte de Vaux - National Portrait Gallery », sur www.npg.org.uk (consulté le )
    37. « Ecole Navale / Espace tradition / Officiers célèbres », sur ecole.nav.traditions.free.fr (consulté le )
    38. « Sylvie Boust succède à Henriette Hurault », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    39. Réélection 2020 : « Municipales à Vaux-sur-Seulles. Sylvie Boust réélue pour un second mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    44. « Charles Grant (vicomte de Vaux, 1749-1818?) », sur data.bnf.fr (consulté le )
    45. Andrew Cusack, « The Discovery Service », sur discovery.nationalarchives.gov.uk (consulté le )
    46. « Ecole Navale / Espace tradition / Officiers célèbres », sur ecole.nav.traditions.free.fr (consulté le )
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