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VĂȘtement professionnel

Un vĂȘtement professionnel (en anglais, workwear) est un article d’habillement portĂ© pour un usage professionnel. Il est soumis Ă  des lois qui rĂšglementent son usage ainsi que son entretien. Souvent associĂ© au « bleu de travail », tenue standard de l’ouvrier ou du travailleur manuel, l’utilisation du vĂȘtement professionnel s’est aujourd’hui diversifiĂ©e et Ă©tendue Ă  d’autres secteurs d’activitĂ©s. Il appartient Ă  une industrie dont les normes de sĂ©curitĂ© et les technologies textiles Ă©voluent rapidement.

Portier d'un hĂŽtel de luxe Ă  Munich.

Marché

Le marchĂ© mondial du vĂȘtement professionnel reprĂ©sente actuellement sept milliards d’euros. On compterait en France prĂšs de 8 millions de personnes portant un habit professionnel, soit le tiers de la population active nationale. Le chiffre d’affaires du marchĂ© français du vĂȘtement professionnel dĂ©passerait en 2011 les 600 millions d’euros, dont la moitiĂ© gĂ©nĂ©rĂ©e par les vĂȘtements EPI (Équipement de protection individuelle). Amor-Lux est un acteur majeur de ce domaine, produisant en quantitĂ© pour de grandes entreprises[1].

La majoritĂ© des secteurs sont concernĂ©s, que ce soit pour des raisons d’image, de salissure ou de sĂ©curitĂ© : BTP-Industrie, collectivitĂ©s et corps d’État, luxe, distribution spĂ©cialisĂ©e, hĂŽtellerie et restauration, services, transports et logistique. Les segments les plus rĂ©pandus du marchĂ© du « workwear » incluent les vĂȘtements EPI (haute visibilitĂ©, rĂ©tro rĂ©flĂ©chissant, et de Protection contre les IntempĂ©ries, Ă©quipements Atex, antistatiques, anti-feu), les vĂȘtements multi-risques/polyvalents, les vĂȘtements de travail ou de protection dĂ©diĂ©s aux femmes et les textiles Ă©quitables et dĂ©veloppement durable.

Origines

C'est la rĂ©volution industrielle qui va amorcer la conception du vĂȘtement de travail. Au dĂ©but il s'agit uniquement d'une blouse grise ou noire pour se protĂ©ger des salissures. Puis il devient une veste et un pantalon qui comportent des poches, permettant de ranger les outils. Il doit ĂȘtre solide, confortable et se nettoyer facilement. Au XIXe siĂšcle la couleur bleue symbolise la couleur du monde ouvrier, les supĂ©rieurs hiĂ©rarchiques ou chefs de bureau se distinguant des ouvriers en portant une blouse blanche ou grise. C'est Ă  cette Ă©poque que la notion « bleu de travail » apparaĂźt[2].

Aux États-Unis, les combinaisons en jeans deviennent l'uniforme des ouvriers[2].

En France, les syndicats rĂ©clament le droit de porter un bleu de travail pour se protĂ©ger, puis aprĂšs 1968 vient la revendication de travailler avec ses propres vĂȘtements, jeans et t-shirt, pour revendiquer sa non-appartenance Ă  l'usine[2].

Jusqu'au dĂ©but du XXe siĂšcle, les travailleurs portaient les mĂȘmes vĂȘtements au domicile, en public ou au travail. Seule la tenue du dimanche se diffĂ©renciait[3].

L’introduction de nouvelles machines dans les manufactures va entraĂźner de nombreux accidents et le vĂȘtement traditionnel va devenir un outil de protection. Certains secteurs vont donc innover en la matiĂšre, surtout dans les milieux de grosse production, telle que la sidĂ©rurgie, le bĂątiment
 Les premiers vĂȘtements Ă©taient fabriquĂ©s en coton, tissu lourd et rĂ©sistant au lavage. Aujourd'hui les fabricants ont optĂ© pour un tissu plus lĂ©ger, comme le polyester ou le synthĂ©tique, facilement lavable mais qui ne protĂšge pas du feu comme le fait le coton.

Aujourd’hui, le vĂȘtement de travail permet dans beaucoup de cas de distinguer les professions entre elles. Son port s’est Ă©tendu Ă  d’autres secteurs d’activitĂ©s pour rĂ©pondre Ă  leurs nouveaux besoins : reprĂ©sentation d’une image d’entreprise, de marque ; valorisation du salariĂ© et reconnaissance de son appartenance Ă  l’entreprise.

Galerie

Catégories

Les professionnels distinguent plusieurs familles de vĂȘtements utilisĂ©es dans le monde du travail qui rĂ©pondent chacune Ă  un besoin particulier :

  • les vĂȘtements de protection dits EPI (Équipement de Protection Individuelle) ;
  • les vĂȘtements de travail standard ;
  • les vĂȘtements d’image, uniformes.

VĂȘtement de protection

Manipulation sous hotte, avec gants, blouse et lunettes au laboratoire de chimie.

Les vĂȘtements de protection bĂ©nĂ©ficient spĂ©cifiquement de normes et pour cause : l’enjeu est la sĂ©curitĂ© des porteurs. Les spĂ©cialistes mettent en Ă©vidence 3 catĂ©gories en fonction des risques contre lesquels ils permettent de se protĂ©ger :

CatĂ©gorie 1 : Équipements de protection individuelle contre des risques mineurs. Il s'agit des produits de conception simple, destinĂ©s Ă  protĂ©ger contre des risques dont les effets n'ont pas de consĂ©quence sur la santĂ© de l'utilisateur ou sont facilement rĂ©versibles. Ces Ă©quipements font l'objet d'une d'auto-certification par le fabricant. Exemple : parka, tenue des agents de service ( mĂ©nage, mĂ©canicien, etc.).

CatĂ©gorie 2 : Équipements de protection individuelle contre des risques importants. Ces produits sont soumis Ă  un « examen CE de Type » et Ă  des tests, dĂ©finis par les normes CE, de la part d'un laboratoire notifiĂ© et reconnu par la CEE (ex. : gilet de haute visibilitĂ©, chaussures de sĂ©curitĂ©).

CatĂ©gorie 3 : Équipements de protection individuelle contre des risques mortels. Au-delĂ  de « l’examen CE de Type », ces Ă©quipements de protection individuelle doivent ĂȘtre soumis Ă  un contrĂŽle de la production (systĂšme d'assurance qualitĂ© ou contrĂŽle de la qualitĂ© par prĂ©lĂšvements). Exemple : casque, tenue de feu.

VĂȘtement de travail

Si le « bleu de travail » reste un grand classique, le vĂȘtement de travail s’est diversifiĂ© et a Ă©voluĂ© notamment en termes de couleurs. Il existe une grande variĂ©tĂ© de tenues de travail engendrĂ©e par une plus large polyvalence de l’utilisation. D’une simple protection contre la salissure, il s’est imposĂ© dans le quotidien des salariĂ©s. Les vĂȘtements de travail se situent parfois Ă  la frontiĂšre entre le vĂȘtement de protection et le vĂȘtement d’image sans en avoir ni les normes ni les obligations.

VĂȘtement d’image (uniforme)

Pendant la décennie 2010, le port de la cravate chez les hommes décline mais reste important dans le monde de la finance ou celui de la haute administration[4].

Depuis quelques annĂ©es, des entreprises utilisent cette catĂ©gorie de vĂȘtements Ă  des fins publicitaires ou pour tenter de renforcer l'esprit d'Ă©quipe ou la cohĂ©sion de l'entreprise. Des vĂȘtements colorĂ©s, avec un logo innovant, peuvent vĂ©hiculer un esprit dynamique. Au contraire, des tenues plus classiques peuvent accentuer le cĂŽtĂ© sĂ©rieux ou paternaliste de l'entreprise.

Dans certains mĂ©tiers, l'identitĂ© professionnelle s'affiche donc par les tenues vestimentaires ; leur qualitĂ© et leur entretien doivent donc ĂȘtre irrĂ©prochables. Le salariĂ© peut aussi ressentir une certaine fiertĂ© d'arborer son appartenance Ă  un mĂ©tier par le biais de l'habit.

Entretien

Obligations pour l’employeur

La loi française oblige l’employeur Ă  prendre en charge le nettoyage des tenues professionnelles dont il impose le port Ă  ses salariĂ©s. Selon l’Article R4323-95 du Code du Travail[5], « les Ă©quipements de protection individuelle et les vĂȘtements de travail mentionnĂ©s Ă  l'article R. 4321-4 sont fournis gratuitement par l'employeur qui assure leur bon fonctionnement et leur maintien dans un Ă©tat hygiĂ©nique satisfaisant par les entretiens, rĂ©parations et remplacements nĂ©cessaires. Ces dispositions ne font pas obstacle aux conditions de fournitures des Ă©quipements de protection individuelle prĂ©vues par l'article L. 1251-23, pour les salariĂ©s temporaires. » Selon l’Article L4122-2 du Code du Travail[6], « les mesures prises en matiĂšre de santĂ© et de sĂ©curitĂ© au travail ne doivent entraĂźner aucune charge financiĂšre pour les travailleurs. »

La condamnation de la sociĂ©tĂ© Champion Ă  la prise en charge intĂ©grale des frais d’entretien des tenues de son personnel, le par la Cour de Cassation (pourvoi no 06-44044) est Ă  l’origine de la jurisprudence[7]. Plusieurs dĂ©cisions de Justice ont Ă©tĂ© prises Ă  la suite du non-respect de cette loi.

  • Le , la cour d’appel de Toulouse a imposĂ© Ă  La Poste de payer l’entretien des tenues de ses facteurs. La Poste fait en outre l’objet d’un rappel de ces sommes dues sur quatre annĂ©es supplĂ©mentaires au titre de la rĂ©troactivitĂ©[8].
  • Le , le tribunal de grande instance de Chartres a condamnĂ© la sociĂ©tĂ© Carrefour pour non-prise en charge de l’entretien des tenues professionnelles. Il a Ă©tĂ© imposĂ© Ă  Carrefour une rĂ©troactivitĂ© de l’amende sur 4 ans (depuis le ), et 20 euros par mois ont Ă©tĂ© accordĂ©s par le tribunal[9].
  • Le , le Conseil des Prud'hommes a tranchĂ© en faveur des salariĂ©s de Castorama. Il leur est allouĂ© une somme allant de 2 600 Ă  4 000 euros. L'exĂ©cution du jugement, pris en rĂ©fĂ©rĂ©, s'accompagne d'une astreinte de 300 euros par jour pour Castorama[10].
  • Le , la Cour de Cassation a rappelĂ© que l’employeur Ă©tait tenu de prendre en charge leur entretien sans que les salariĂ©s aient Ă  justifier des frais qu’ils engagent[11].

Solutions d’entretien du marchĂ©

Les vĂȘtements professionnels ont une structure de plus en plus technique : les uniformes sont plus sophistiquĂ©s et prĂ©sentent des Ă©lĂ©ments d’image (couleur, coupe, logo
) qui doivent conserver leur Ă©tat. De la mĂȘme façon, les vĂȘtements EPI rĂ©pondent dans leur conception Ă  des normes de sĂ©curitĂ© europĂ©ennes prĂ©cises : durant toute leur durĂ©e d’utilisation, ils doivent conserver leurs propriĂ©tĂ©s de protection du salariĂ©.

Plusieurs solutions d’entretien existent sur le marchĂ© :

  1. La prime de salissure qui consiste au versement d’une somme d’argent supplĂ©mentaire sur le salaire de l’employĂ©. Cette prime est soumise Ă  des charges, le salariĂ© doit fournir la preuve de sa bonne utilisation.
  2. Les solutions industrielles : il s’agit d’un entretien global oĂč les vĂȘtements professionnels sont regroupĂ©s et nettoyĂ©s.
  3. Les prestataires de services : il s'agit de sociĂ©tĂ©s de location-entretien (ex. Initial) qui mettent Ă  disposition des vĂȘtements de travail appropriĂ©s et personnalisĂ©s en location, assurent la prestation d'entretien industriel, de rĂ©paration, de mise Ă  la taille, de rĂ©formes automatiques en cas d'usure, de livraison et de ramassage des vĂȘtements sur les lieux de travail.
  4. Les pressings : les tenues sont déposées et nettoyées piÚce par piÚce de façon traditionnelle. Il existe des cartes pressing fonctionnant avec des points nettoyage pour ce type de prestation.

Le nettoyage des vĂȘtements dans le lave-linge familial est Ă  proscrire. Tout d’abord le non-respect des conditions de lavage imposĂ©es par le fabricant peut dĂ©tĂ©riorer le vĂȘtement, et ainsi ne plus rĂ©pondre aux normes de sĂ©curitĂ©. Ensuite l’entretien mĂ©nager peut abimer les machines, voire contaminer les vĂȘtements de la famille. Les bandes rĂ©flĂ©chissantes par exemple peuvent perdre de leur caractĂšre rĂ©flĂ©chissant au fil de lavages si les conditions d'entretien fixĂ©es par le fabricant ne sont pas respectĂ©es.

Traçabilité des EPI

La traçabilité des EPI de catégorie 3 est obligatoire en France. Des vérifications périodiques sont obligatoires au moins tous les douze mois[12].

Un bon entretien implique des mesures de contrĂŽle. Dans le cas des EPI des appareils de haute technologie ont Ă©tĂ© dĂ©veloppĂ©s pour tester les performances des vĂȘtements et ainsi respecter les normes europĂ©ennes en vigueur (EN 471 et EN340). Ces normes fixent des exigences minimales concernant la couleur et la surface des matĂ©riaux fluorescents, ainsi que les propriĂ©tĂ©s optiques, les dimensions et la position des bandes rĂ©tro-rĂ©flĂ©chissantes.

Seules les sociĂ©tĂ©s de location-entretien de linge peuvent garantir un respect total de la lĂ©gisation et directive europĂ©enne en vigueur. En effet, la traçabilitĂ© (indispensable pour les EPI) permet de respecter le nombre maximal de lavages autorisĂ©s (en gĂ©nĂ©ral 50), de respecter les notices d'utilisation (tempĂ©rature de lavage, de sĂ©chage, et produits lessiviels adaptĂ©s), d'assurer les rĂ©parations spĂ©cifiques aux EPI. Toutes ces interventions sont archivĂ©es et le systĂšme informatique performant permet de procĂ©der Ă  des actions prĂ©ventives auprĂšs des utilisateurs (ex. prĂ©venir si une personne ne met pas son vĂȘtement au nettoyage...)

Par ailleurs, Ticket Clean Way, a mis en place un systĂšme de traçabilitĂ© des nettoyages effectuĂ©s sur les vĂȘtements EPI Ă  l’aide d’une carte Ă  puce et d’une application monĂ©tique spĂ©cifique. L’entreprise cliente peut assurer par un extranet un suivi de l’entretien des vĂȘtements professionnels de ses salariĂ©s.

Influence

Style workwear.

Les vĂȘtements professionnels ont Ă©tĂ© rĂ©cupĂ©rĂ©s pour ĂȘtre portĂ©s en dehors du seul contexte professionnel[2] - [13]. Ce style est appelĂ© en anglais « workwear ».

En 1880 la veste en jeans, adaptée aux ouvriers et aux agriculteurs, est commercialisée par Levi's. En 1925, Lee vend des vestes en jeans avec de nombreuses poches, adaptées au chemin de fer[14].

Les vagues d'immigrĂ©s pauvres du XIXe siĂšcle ainsi que la crise des annĂ©es 1930 vont contribuer Ă  la diffusion du workwear : en raison de leur pauvretĂ© beaucoup de gens portent les mĂȘmes vĂȘtements au travail et en-dehors[14].

En 1898, dans le contexte de la guerre hispano-amĂ©ricaine, Levi's commercialise des vĂȘtements kakis et de camouflage. Burberry vend le trench-coat lors de la PremiĂšre guerre mondiale et le blouson d'aviateur est vendu lors de la Seconde guerre mondiale[14].

À partir des annĂ©es 2010, le workwear sĂ©duit la jeune gĂ©nĂ©ration qui n'a pas connu le bleu de travail et a une envie d'habits qui durent dans le temps en rĂ©action Ă  la fast fashion[15] - [16].

Notes et références

  1. Laure-Emmanuelle Husson, « Amor-Lux tisse sa toile au sein des entreprises », Challenges, no 421,‎ , p. 52 (ISSN 0751-4417)
  2. SĂ©verine Liatard et SĂ©verine Cassar, « Épisode 2 : Le bleu de travail, le grand uniforme des mĂ©tiers », sur franceculture.fr, (consultĂ© le ).
  3. DaphnĂ©e Leportois, « Le vĂȘtement de travail est bien plus qu’une tenue », sur slate.fr, (consultĂ© le ).
  4. Vincent Daniel, « "Symbole d'autorité", contrainte "ridicule"... Pourquoi la cravate n'est plus dans le coup », sur francetvinfo.fr, .
  5. http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000018489954&dateTexte=&categorieLien=cid
  6. http://legifrance.gouv.fr/affichCode.do;jsessionid=2F6E4808892B32D7A33899AAE214B073.tpdjo17v_2?idArticle=LEGIARTI000006912687&idSectionTA=LEGISCTA000006190531&cidTexte=LEGITEXT000006072665&dateTexte=20050422
  7. http://www.courdecassation.fr/IMG/pdf/bull_civ_05_08.pdf
  8. Hayat Gazzane, « Facteurs : la note du pressing est pour La Poste », Le Figaro,‎ (lire en ligne AccĂšs libre, consultĂ© le ).
  9. http://sd-2.archive-host.com/membres/up/5345030926966900/Jugement_Tenue_de_travail_Chartres_light.pdf
  10. « Castorama doit payer l'entretien des tenues de travail de ses salariés », sur Club de Mediapart, (consulté le ).
  11. Les frais d’entretien de la tenue de travail sont à la charge de l’employeur, , PB Avocats
  12. « Traçabilité des EPI : un service comme un autre? », sur infoprotection.fr.
  13. Corinne Jeammet, « Workwear : quand le vĂȘtement de travail, revisitĂ© par les crĂ©ateurs, devient tendance », sur francetvinfo.fr, (consultĂ© le ).
  14. Floriane Rougeaut, « Le workwear, symbole mode du travail », sur omagazine.fr, .
  15. Frédéric Martin-Bernard, « Mode : du brut au luxe, la fabuleuse histoire du workwear », sur lesechos.fr, .
  16. Alexis Magnaval, « Pourquoi le bleu de travail a fait son retour », sur franceculture.fr, .


Annexes

Bibliographie

  • Dossier L'Entretien des tenues professionnelles, VĂȘtement professionnel n°32, 1er trimestre 2010, Patrice Lefrançois
  • Dossier Workwear pour l'extĂ©rieur : la protection demeure prioritaire, Protection individuelle et collective, septembre-.
  • Ginette Francequin, Le vĂȘtement de travail, une deuxiĂšme peau, Toulouse, ERES « Sociologie clinique », 2008, 280 pages, (ISBN 9782749209500), DOI : 10.3917/eres.franc.2008.01, prĂ©sentation en ligne
  • Bleu de travail : du vĂȘtement protecteur au symbole mythique. Roubaix : Ă©ditions Le Non-Lieu, 2021. 164 pages (ISBN 9782957772506)

Articles connexes

Liens externes

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