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Trait de la ForĂȘt-Noire

Le trait de la ForĂȘt-Noire (allemand : SchwarzwĂ€lder Kaltblut) est une race de chevaux de trait, propre Ă  la ForĂȘt-Noire en Allemagne. SĂ©lectionnĂ© depuis le dĂ©but du XVIIIe siĂšcle, ce cheval provient d'ancĂȘtres suisses et alsaciens. Son stud-book est crĂ©Ă© en 1896, de mĂȘme que l'association gĂ©rant sa sĂ©lection. Ces chevaux sont, Ă  l'origine, utilisĂ©s par les fermiers de la ForĂȘt-Noire pour divers travaux agricoles et de dĂ©bardage, mais la motorisation de ces pratiques rĂ©duit drastiquement leur population, qui tombe Ă  environ 500 chevaux dans les annĂ©es 1980.

Trait de la ForĂȘt-Noire
Trait de la ForĂȘt-Noire, au modĂšle
Trait de la ForĂȘt-Noire, au modĂšle
RĂ©gion d’origine
RĂ©gion Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Caractéristiques
Morphologie Cheval de trait
Registre généalogique Oui
Taille 1,45 m Ă  1,63 m
Poids Environ 610 kg
Robe Alezane avec les crins lavés, marques blanches fréquentes.
TĂȘte Front large
Pieds Forts, avec peu de fanons
Autre
Utilisation Attelage

Traditionnellement rattachĂ© Ă  la famille du Noriker, le trait de la ForĂȘt-Noire prĂ©sente un modĂšle relativement lĂ©ger, et porte presque toujours une robe alezane foncĂ©e, avec des crins lavĂ©s, permettant de l'identifier facilement. GĂ©nĂ©tiquement proche du trait allemand du Sud, il est menacĂ© de consanguinitĂ© en raison de sa faible population. MalgrĂ© sa popularitĂ©, la race est en effet rare, avec environ un millier d'individus recensĂ©s en Allemagne en 2016, pour l'essentiel dans la rĂ©gion de la ForĂȘt-Noire, situĂ©e dans le Bade-Wurtemberg.

DĂ©nomination

Attelage traditionnel de brasserie, avec quatre traits de la ForĂȘt-Noire.

La race est Ă©galement connue sous les noms allemands de SchwarzwĂ€lder Kaltblut[1], SchwarzwĂ€lder Fuchs et St. MĂ€rgener Fuchs[2]. En raison de sa robe, presque toujours alezane foncĂ©e aux crins lavĂ©s, ce cheval est surnommĂ© SchwarzwĂ€lder Fuchs, soit « renard de la ForĂȘt-Noire »[3]. GrĂące Ă  son apparence perçue comme Ă©lĂ©gante et Ă  son caractĂšre rĂ©putĂ© agrĂ©able, les agriculteurs locaux le surnomment aussi « la perle de la ForĂȘt-Noire »[4]. Le nom anglais est Black Forest Chestnut[5].

Histoire

Les origines sont assurĂ©ment anciennes[5], certains ouvrages de vulgarisation les faisant remonter Ă  600 ans dans le passĂ©[4] - [6]. Cependant, la sĂ©lection de la race n'est vieille que de 200 ans[7]. Ces chevaux proviennent d'ancĂȘtres alsaciens, et de Franches-Montagne suisse[2], importĂ©s dans les hauts-plateaux de la ForĂȘt-Noire[5]. Ils ont cependant Ă©tĂ© croisĂ©s successivement avec le Noriker et le Breton[5]. Le haras national de Marbach joue un rĂŽle dĂ©cisif dans la sĂ©lection de ces chevaux[7].

Dans cette rĂ©gion de hauts plateaux, pauvre sur le plan des herbages, les fermiers locaux recherchent un cheval de travail agricole efficace et plutĂŽt rustique[5]. Sous contrĂŽle d'État, les Ă©talons et les pouliniĂšres doivent passer des Ă©valuations pour ĂȘtre autorisĂ©s Ă  se reproduire ; la race devient alors renommĂ©e pour sa fertilitĂ©, sa longĂ©vitĂ© et sa polyvalence[4].

Le trait de la ForĂȘt-Noire dispose d'un stud-book[2] depuis la fin du XIXe siĂšcle[4], crĂ©Ă© en 1896[1], en mĂȘme temps qu'une association chargĂ©e de sĂ©lectionner la race[8]. Cette mĂȘme annĂ©e, l'association n'autorise plus que des croisements avec le trait belge, dans l'objectif d'alourdir, d'agrandir le modĂšle et de renforcer la puissance de traction[8]. Cependant, cette prĂ©conisation n'est pas suivie par les Ă©leveurs, qui cherchent Ă  conserver leurs chevaux dans le modĂšle habituel[8] - [4]. De ce fait, un certain nombre de chevaux nĂ©s dans les annĂ©es 1900 ne disposent pas d'une identification gĂ©nĂ©alogique correcte, de nombreux fermiers de la ForĂȘt-Noire ayant fait saillir leur jument par un Ă©talon local, et prĂ©tendant ensuite avoir « oubliĂ© » d'identifier le poulain[8].

Comme pour de nombreuses autres races de chevaux de trait, la motorisation de l'agriculture rĂ©duit drastiquement son usage, si bien que, dans les annĂ©es 1980, les effectifs ne sont plus que d'environ 200 chevaux reproducteurs, dont 16 Ă©talons au haras national de Marbach[4]. En 1981, seules 160 juments pouliniĂšres sont recensĂ©es[6]. En 1994, la situation de la race reste prĂ©occupante, seuls 473 chevaux Ă©tant comptabilisĂ©s[2]. Le trait de la ForĂȘt-Noire reste nĂ©anmoins trĂšs prisĂ© en tant que cheval d'attelage Ă©lĂ©gant, pouvant aussi ĂȘtre montĂ©[4], ce qui construit sa renommĂ©e[7]. En 2001, des individus de la race sont pour la premiĂšre fois exportĂ©s aux États-Unis[7].

Description

TĂȘte d'un trait de la ForĂȘt-Noire.

Le trait de la ForĂȘt-Noire est, par tradition, rattachĂ© au groupe du Noriker[9] - [10] - [8], bien que les analyses gĂ©nĂ©tiques aient montrĂ© une certaine divergence entre ces deux races[10]. GĂ©nĂ©tiquement, il est plus proche du trait allemand du Sud que du Noriker[11], restant malgrĂ© tout distinct de cette derniĂšre race[10]. Une analyse gĂ©nĂ©tique comparĂ©e portant sur d'autres races allemandes et croates a montrĂ© qu'il est aussi gĂ©nĂ©tiquement plus proche du trait de Croatie et du Posavina que du trait allemand du Sud[10]. Il semble que les croisements pratiquĂ©s avec des chevaux de trait français et belges, ainsi que des traits de RhĂ©nanie, au dĂ©but du XXe siĂšcle, pour alourdir le modĂšle, aient Ă©loignĂ© le trait de la ForĂȘt-Noire du Noriker[12]. Il n'existe pas d'Ă©tude de comparaison avec le Haflinger et le Franches-Montagnes[10].

Il est considéré comme un cheval de trait particuliÚrement élégant[13] - [4].

Taille et poids

Trait de la ForĂȘt-Noire alezan aux crins lavĂ©s, plutĂŽt clair.

La taille est assez modeste pour un cheval de trait[4]. La base de donnĂ©es DAD-IS indique une moyenne de 1,53 m au garrot chez les juments pour un poids d'environ 610 kg, et une taille moyenne de 1,60 m chez les mĂąles[2]. Le guide Delachaux (2016) indique une fourchette moyenne de 1,48 m Ă  1,56 m chez les juments, et un maximum de 1,60 m pour les mĂąles[13]. CAB International fournit pour sa part une moyenne gĂ©nĂ©rale de 1,52 m Ă  1,56 m[3]. L'ouvrage de vulgarisation de l'hippologue anglais Elwyn Hartley Edwards (2016) indique une fourchette de 1,45 m Ă  1,63 m[7].

Morphologie

Le trait de la ForĂȘt-Noire est, dans son type et sa taille, plutĂŽt intermĂ©diaire entre le Noriker et le Haflinger[3] - [5] - [8].

La tĂȘte, considĂ©rĂ©e comme Ă©lĂ©gante et raffinĂ©e[5], est de taille moyenne[8], Ă©troite[5], de profil rectiligne ou lĂ©gĂšrement busquĂ©[8] ; le front est large[5], les yeux sont grands[13] et le chanfrein, petit. La tĂȘte s'affine vers les naseaux[13] - [5] et est surmontĂ©e d'oreilles courtes[5]. L'encolure est arquĂ©e[6]. L'Ă©paule est courte et dĂ©veloppĂ©e[8], puissante et musclĂ©e, avec une attache de gorge nette[5]. Le garrot est peu sorti, noyĂ© dans les masses musculaires voisines[5]. L'Ă©paule, droite[8] ou inclinĂ©e[5], est puissante et musclĂ©e[5]. La poitrine est large et profonde[5]. Le dos est court[5]. Le corps est rond et profond[5]. La croupe, lĂ©gĂšrement inclinĂ©e, porte une queue attachĂ©e bas[5] - [8]. Bien que moins lourd que les autres chevaux de gros trait, le trait de la ForĂȘt-Noire a des membres forts[5], avec de solides articulations[7], et des pieds durs[8]. En revanche, il n'a que peu de fanons[5] - [8].

Robe

DĂ©tail sur l’Ɠil et le toupet de la criniĂšre

La robe est presque toujours alezane (sous toutes les nuances, la plus fréquente et typique étant l'alezan brûlé[7]) avec des crins lavés[3], ce qui rend ces chevaux trÚs reconnaissables[13] - [7]. La nuance de l'alezan peut aller du roux soutenu à un pelage proche du noir[14]. La couleur la plus populaire est un alezan brûlé avec des pommelures[8].

La prĂ©sence de marques blanches Ă©tendues est courante[3], en particulier sur la tĂȘte, qui porte typiquement une liste blanche[5]. Le trait de la ForĂȘt-Noire peut ĂȘtre porteur d'une mutation rare de l'alezan, notĂ©e , phĂ©notypiquement indiscernable de l'alezan classique, notĂ© [15]. Cette mutation n'est attestĂ©e que chez un trĂšs faible nombre de races de chevaux dans le monde[15]. De façon beaucoup plus rare, le gĂšne Silver, connu pour agir sur une robe de base baie ou noire, peut ĂȘtre prĂ©sent : 0,8 % des individus testĂ©s sur un Ă©chantillon de 250 chevaux de la race portaient cette mutation[14]. Ces chevaux ont les mĂȘmes ancĂȘtres : une jument noriker, une jument ardennaise et un Ă©talon franches-montagnes[14]. Cependant, du fait de la grande raretĂ© de ce gĂšne chez la race, il est prĂ©sumĂ© ne pas s'exprimer phĂ©notypiquement chez ces chevaux[14].

Il existe une famille de traits de la ForĂȘt-Noire connue pour avoir une robe grise[1]. La robe baie, bien que rarissime, est Ă©galement possible[14].

Tempérament, entretien et allures

La race est bien adaptĂ©e aux rĂ©gions montagneuses[2]. Le trait de la ForĂȘt-Noire est souvent victime de dermatites du paturon, 47,5 % des individus analysĂ©s chez la race Ă©tant concernĂ©s[16]. En revanche, la race n'est pas touchĂ©e par les anomalies oculaires congĂ©nitales multiples d'aprĂšs l'analyse de 50 individus, au contraire de chevaux tels que les Rocky Mountain Horse[17].

Le trait de la ForĂȘt-Noire a fait l'objet d'une Ă©tude visant Ă  dĂ©terminer la prĂ©sence de la mutation du gĂšne DMRT3 Ă  l'origine des allures supplĂ©mentaire : l'Ă©tude de 15 individus a permis de confirmer l'absence de cette mutation chez tous les chevaux testĂ©s, ainsi que l'absence de chevaux prĂ©sentant des allures supplĂ©mentaires parmi les membres de la race[18]

Sélection et génétique

Il existe deux organismes de sĂ©lection pour ces chevaux, la Deutsche Reiterliche Vereinigung e.V. et la Pferdezuchtverband Baden-WĂŒrttemberg e. V., toutes deux situĂ©es en Allemagne[2]. Le Franches-Montagnes entre pour 0,86 % dans le bagage gĂ©nĂ©tique des traits de la ForĂȘt-Noire actuels[14], et avec cette derniĂšre race, ce sont le trait allemand du Sud et le Noriker autrichien qui ont le plus contribuĂ© Ă  cette population de chevaux[19]. Entre 70 et 90 % des traits de la ForĂȘt-Noire sont de pure race (issus d'ancĂȘtres appartenant eux-mĂȘmes Ă  la race)[19]. La diversitĂ© d'allĂšles est assez mauvaise (2006)[10]. L'analyse de la consanguinitĂ© menĂ©e en 2003 montre un taux de 6,5 %[19].

Utilisations

La race est Ă©levĂ©e Ă  l'origine pour le travail agricole de ferme et le dĂ©bardage forestier[4], elle sert toujours Ă  ces fins de nos jours[8]. En raison de sa taille relativement modeste, le trait de la ForĂȘt-Noire est apprĂ©ciĂ© comme cheval de loisir familial[13], il est souvent montĂ©, son apparence et ses allures Ă©tant considĂ©rĂ©s comme agrĂ©ables[8]. Il est Ă©galement employĂ© Ă  la traction[2], en particulier pour l'attelage de loisir ou de compĂ©tition[8].

  • Trait de la ForĂȘt-Noire montĂ©.
    Trait de la ForĂȘt-Noire montĂ©.
  • Trait de la ForĂȘt-Noire bĂątĂ©.
    Trait de la ForĂȘt-Noire bĂątĂ©.
  • Trait de la ForĂȘt-Noire attelĂ©.
    Trait de la ForĂȘt-Noire attelĂ©.
  • Trait de la ForĂȘt-Noire attelĂ© en traĂźneau.
    Trait de la ForĂȘt-Noire attelĂ© en traĂźneau.

Diffusion de l'Ă©levage

Trait de la ForĂȘt-Noire choisi comme modĂšle photographique dans le cadre d'un stage.

C'est une race native de l'Allemagne, indigĂšne Ă  la rĂ©gion de la ForĂȘt-Noire[5], situĂ©e dans le Sud-Ouest du Bade-Wurtemberg[2] - [3]. La plupart des individus recensĂ©s proviennent toujours de cette rĂ©gion[10]. En dĂ©pit de sa popularitĂ© culturelle, la race est rare[4] - [1] - [10]. Par ailleurs, l'ouvrage Equine Science (4e Ă©dition de 2012) le classe parmi les races de chevaux de trait peu connues au niveau international[20]. Le haras national de Marbach gĂšre Ă  lui seul les donnĂ©es d'environ 45 Ă©talons et 700 juments appartenant Ă  la race, et met 16 Ă©talons reproducteurs Ă  la disposition des Ă©leveurs locaux, en 2016[8]. En 2011, d'aprĂšs un ouvrage de vulgarisation, il n'existe qu'un millier d'individus dans le monde[6].

La race est aussi indiquĂ©e comme rare sur DAD-IS[2]. En 2016, les effectifs recensĂ©s pour l'Allemagne sont de 1 079 chevaux[2]. L'Ă©tude menĂ©e par l'universitĂ© d'Uppsala, publiĂ©e en pour la FAO, le signale comme une race locale europĂ©enne en danger d'extinction[21]. Le Trait de la ForĂȘt-Noire est par ailleurs Ă©ligible aux aides financiĂšres accordĂ©es en Allemagne pour la prĂ©servation des races menacĂ©es (2015)[22].

Notes et références

  1. (en) Valerie Porter, Mason's World Dictionary of Livestock Breeds, Types and Varieties, CABI, coll. « CABI Publishing Series », , 380 p. (ISBN 0-85199-430-X et 9780851994307, lire en ligne), p. 169.
  2. DAD-IS.
  3. Porter et al. 2016, p. 444.
  4. Swinney 2014.
  5. Hendricks 2007, p. 373.
  6. (en) Moira C. Reeve et Sharon Biggs (ill. Bob Langrish), The Original Horse Bible: The Definitive Source for All Things Horse : The Definitive Source for All Things Horse, New York, BowTie Inc., , 481 p. (ISBN 1-937049-25-6, OCLC 772844664).
  7. Edwards 2016, p. 47.
  8. Fitzpatrick 2016, p. 76.
  9. Aberle et al. 2004, p. 271.
  10. (en) T. Druml, I. Curik, R. Baumung et K. Aberle, « Individual-based assessment of population structure and admixture in Austrian, Croatian and German draught horses », Heredity, vol. 98, no 2,‎ , p. 114–122 (ISSN 0018-067X et 1365-2540, DOI 10.1038/sj.hdy.6800910, lire en ligne, consultĂ© le ).
  11. Aberle et al. 2004, p. 274.
  12. Aberle et al. 2004, p. 275.
  13. Rousseau 2016, p. 216.
  14. (en) S. Momke, R. Schrimpf, C. Dierks et O. Distl, « Incidence of mutation for Silver coat color in Black Forest Horses », Iranian journal of applied animal sciences, vol. 3, no 4,‎ , p. 859-861 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  15. (en) D. Phillip Sponenberg et Rebecca Bellone, Equine Color Genetics, Hoboken, John Wiley & Sons, , 4e Ă©d., 352 p. (ISBN 978-1-119-13060-4 et 1-119-13060-3, lire en ligne), p. 31.
  16. (en) A. Wallraf, H. Hamann, E. Deegen et B. Ohnesorge, « [Analysis of the prevalence of pastern dermatitis in German Coldblood horse breeds]. », Berliner und Munchener tierarztliche Wochenschrift, vol. 117, nos 3-4,‎ (ISSN 0005-9366, lire en ligne, consultĂ© le ).
  17. (en) S. Kaps et B. M. Spiess, « (2010). Multiple congenital ocular abnormalities (MCOA) in Rocky Mountain horses and Kentucky Mountain Saddle horses in Europe », Pferdeheilkunde, vol. 26, no 4,‎ , p. 1-5 (lire en ligne [PDF]).
  18. (en) M. PromerovĂĄ, L. S. Andersson, R. Juras et M. C. T. Penedo, « Worldwide frequency distribution of the ‘Gait keeper’ mutation in the DMRT3 gene », Animal Genetics, vol. 45, no 2,‎ , p. 274–282 (ISSN 1365-2052, DOI 10.1111/age.12120, lire en ligne, consultĂ© le ).
  19. Aberle, Wrede et Distl 2003, p. 333.
  20. (en) Rick Parker, Equine Science, Cengage Learning, , 4e Ă©d., 608 p. (ISBN 1-111-13877-X), p. 63.
  21. (en) Rupak Khadka, « Global Horse Population with respect to Breeds and Risk Status » [PDF], Uppsala, Faculty of Veterinary Medicine and Animal Science - Department of Animal Breeding and Genetics, , p. 58 et 65.
  22. (de) « MBl. NRW. Ausgabe 2015 Nr. 12 vom 15.5.2015 Seite 273 bis 298 | Landesrecht NRW », sur recht.nrw.de (consulté le ).

Annexes

Bibliographie

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  • [Armbruster 2010] (de) Thomas Armbruster, SchwarzwĂ€lder Kaltblut, vol. 2, Schillinger-Verlag, (ISBN 978-3-89155-356-5 et 3891553560, OCLC 712588756, lire en ligne)
  • [Armbruster 2013] (de) Thomas Armbruster, SchwarzwĂ€lder Kaltblut, vol. 3, Schillinger-Verlag, , 273 p. (ISBN 978-3-89155-382-4 et 389155382X, OCLC 864750662, lire en ligne)
  • [Edwards 2016] (en) Elwyn Hartley Edwards, The Horse Encyclopedia, DK, , 360 p. (ISBN 0-241-28142-3, lire en ligne), « Black Forest Chestnut », p. 58. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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  • [Hendricks 2007] (en) Bonnie Lou Hendricks, International Encyclopedia of Horse Breeds, Norman, University of Oklahoma Press, , 2e Ă©d., 486 p. (ISBN 0-8061-3884-X, OCLC 154690199, lire en ligne), « SchwarzwĂ€lder Fuchs », p. 373. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Porter et al. 2016] (en) Valerie Porter, Lawrence Alderson, Stephen J. G. Hall et Dan Phillip Sponenberg, Mason's World Encyclopedia of Livestock Breeds and Breeding, CAB International, , 6e Ă©d., 1 107 p. (ISBN 1-84593-466-0, OCLC 948839453), « Black Forest », p. 444. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Rousseau 2016] Élise Rousseau (ill. Yann Le Bris), Guide des chevaux d'Europe, Delachaux et NiestlĂ©, (ISBN 978-2-603-02437-9), « Trait de la ForĂȘt-Noire », p. 219. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Swinney 2014] (en) Nicola Jane Swinney, Horses, Bloomsbury Publishing, , 160 p. (ISBN 1-4729-1083-4), « Black Forest Chestnut ». Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

Articles

  • [Aberle, Wrede et Distl 2003] (en) K. Aberle, J. Wrede et O. Distl, « Analysis of the population structure of the Black Forest Draught Horse », Berliner und Munchener tierarztliche Wochenschrift, vol. 116, nos 7-8,‎ (ISSN 0005-9366, lire en ligne, consultĂ© le )
  • [Aberle et al. 2004] (en) K. S. Aberle, H. Hamann, C. DrögemĂŒller et O. Distl, « Genetic diversity in German draught horse breeds compared with a group of primitive, riding and wild horses by means of microsatellite DNA markers », Animal Genetics, vol. 35, no 4,‎ , p. 270–277 (ISSN 0268-9146 et 1365-2052, DOI 10.1111/j.1365-2052.2004.01166.x, lire en ligne, consultĂ© le ). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Biedermann et Schroter 2001] (de) G. Biedermann et S. Schroter, « Analyse der population des schwarzwĂ€lder kaltbluts », Aufs. Einer. Fachz, vol. 1, no 1,‎ , p. 1-8 (lire en ligne, consultĂ© le )

Articles connexes

Liens externes

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