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Tour Down Under 2012

La 14e édition du Tour Down Under a eu lieu du 17 au . Il s'agit de la 1re épreuve de l'UCI World Tour 2012.

Tour Down Under 2012
Généralités
Course
14e Tour Down Under
Compétition
Étapes
6
Date
Distance
803 km
Pays traversé(s)
Lieu de départ
Lieu d'arrivée
Équipes
19
Coureurs au départ
133
Coureurs à l'arrivée
126
Vitesse moyenne
38,664 km/h
Résultats
Vainqueur
Deuxième
Troisième
Classement par points
Meilleur grimpeur
Meilleur sprinteur
Meilleur jeune
Meilleure équipe
Logo du Santos Tour Down Under

La course est remportée par l'Australien Simon Gerrans (GreenEDGE), après avoir terminé deuxième de la 5e étape derrière l'Espagnol Alejandro Valverde (Movistar), qui fait son retour à la compétition après avoir purgé sa suspension pour dopage fin 2011. Gerrans devance au classement final Valverde et le Portugais Tiago Machado (RadioShack-Nissan). Les deux premiers terminent exactement dans le même temps mais Gerrans qui a été plus régulier tout au long de la semaine est déclaré vainqueur aux additions des places. À noter que c'est la deuxième victoire sur l'épreuve pour l'Australien après celle obtenue en 2006.

Un autre Australien Rohan Dennis (UniSA-Australia) termine meilleur jeune (moins de 25 ans) et remporte également le classement de la montagne tandis que le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky) termine meilleur sprinteur. L'équipe luxembourgeoise RadioShack-Nissan s'adjuge le classement par équipes et remporte aussi le prix, décerné par l'organisation, du coureur le plus agressif par l'intermédiaire du Belge Jan Bakelants.

Présentation

En préambule de ce Tour Down Under 2012, se déroule le Down Under Classic (Cancer Council Helpline Classic), un critérium de 51 km dans les rues d'Adélaïde, le . Le parcours est constitué d'une boucle de 1,7 km, complètement plate, autour de Rymill Park, parcourue 30 fois par les coureurs. Le départ (34° 55′ 21″ S, 138° 36′ 42″ E) et l'arrivée (34° 55′ 21″ S, 138° 36′ 43″ E) sont situés Rundle Road. Les coureurs pourront gagner des primes lors de sprints situés sur la ligne d'arrivée, aux 5e, 10e, 15e et 20e passages[1]. La course est remporté par l'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) devant le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky) et l'Australien Heinrich Haussler (Garmin-Barracuda)[2].

Parcours

Il est constitué de six étapes avec une arrivée lors de la 5e étape qui sera jugée, pour la première fois, en haut du Willunga Hill, juge de paix traditionnel de la course[3].

Équipes

Le Tour Down Under étant une course avec le label UCI World Tour, toutes les ProTeams sont invitées automatiquement et doivent envoyer une équipe. Cette course est l'occasion pour l'équipe australienne GreenEDGE, nouvellement créée, de disputer sa première course World Tour. L'équipe UniSA-Australia, une équipe nationale composée de coureurs australiens n'appartenant pas à une équipe World Tour, est également invitée. 19 équipes participent à ce Tour Down Under - 18 ProTeams et 1 équipe nationale australienne :

Favoris

Avec une arrivée jugée difficile sur les pentes du Willunga Hill lors de la 5e étape, les sprinters ne partiront pas favoris de cette édition. Les puncheurs tels que le Belge Greg Van Avermaet (BMC Racing), le récent champion d'Australie Simon Gerrans (GreenEDGE) et l'Espagnol Alejandro Valverde (Movistar) de retour de suspension seront à surveiller pour la victoire finale tout comme les certains sprinters qui passent bien les difficultés comme l'Australien Heinrich Haussler (Garmin-Barracuda), l'Espagnol Óscar Freire (Katusha) ou le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky). On peut aussi citer la présence du tenant du titre Cameron Meyer (GreenEDGE)[4].

Parmi les sprinters prétendants à une victoire d'étape sont très nombreux : l'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) déjà multiple vainqueur sur l'épreuve par le passé, l'Australien Matthew Goss (GreenEDGE), ses compatriotes Michael Matthews et Mark Renshaw (Rabobank), l'Italien Alessandro Petacchi (Lampre-ISD) et l'Espagnol José Joaquín Rojas (Movistar)[5].

Étapes

Déroulement de la course

1re étape

Malgré une étape quelque peu vallonnée avec un grand prix de la montagne et deux sprints intermédiaires récompensant les trois premiers en secondes de bonifications, l'étape est promise à un sprinter[6]. Celle-ci s'est déroulée dans des conditions de températures très élevées.

Un groupe de quatre coureurs composés de l'Australien Rohan Dennis (UniSA-Australia), du Suisse Martin Kohler (BMC Racing), de l'Italien Marcello Pavarin (Vacansoleil-DCM) et du Russe Eduard Vorganov (Katusha) s'échappent dès le début de l'étape. Ils compteront jusqu'à 11 min d'avance au maximum avant que les équipes de sprinters telles que GreenEDGE et Lotto-Belisol ne roulent pour réduire l'écart. Dans le groupe des échappées, Kohler en profite pour remporter les deux sprints intermédiaires alors que Pavarin gagne le seul grand prix de la montagne de l'étape.

Dennis s'extirpe du groupe à 15 km de l'arrivée mais se fera reprendre comme ses compagnons d'échappée peu de temps avant. Le peloton devient nerveux sur la fin d'étape et l'on note dans l'emballage final les graves chutes du Français Frédéric Guesdon (FDJ-BigMat) et du Belge Jürgen Roelandts (Lotto-Belisol).

L'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) s'impose de justesse devant l'Italien Alessandro Petacchi (Lampre-ISD) accusé de sprint dangereux[7] et devient le premier leader de l'épreuve. le Biélorusse Yauheni Hutarovich (FDJ-BigMat) complète le podium[8] - [9].

2e étape

Cette deuxième étape est légèrement plus vallonnée que la première mais ne devrait pas échapper à un sprinter. Cependant l'arrivée sera jugée à la fin d'un léger faux plat à Stirling[10].

Peu de temps après le départ de l'étape, deux hommes s'échappent du peloton, l'Australien William Clarke (UniSA-Australia) ainsi que le troisième du classement général, le Suisse Martin Kohler (BMC Racing) déjà échappé la veille. Ce dernier, en gagnant les deux sprints intermédiaires devient leader virtuel grâce aux bonifications. Au moment de rentrer sur le circuit final à parcourir trois fois et demi d'une longueur de 78 km, les deux coureurs possèdent 10 min d'avance sur un peloton mené par l'équipe Lotto-Belisol du leader au classement général l'Allemand André Greipel.

Après avoir remporté le second sprint intermédiaire, Kohler se relève pour réintégrer le peloton afin de ne pas gaspiller ses forces, au contraire de Clarke qui continue tout en augmentant son avance à 12 min. Le peloton semble revenir doucement mais a trop sous-estimé Clarke qui s'envole vers la victoire. Il franchit la ligne en vainqueur 1 min 2 s devant le peloton réglé par ses compatriotes Michael Matthews (Rabobank), vainqueur l'an passé sur cette même arrivée, et Simon Gerrans (GreenEDGE). Kohler s'empare de la tête du classement général[11] - [12].

Résultats
Coureur Équipe Temps
1 William Clarke UniSA-Australia en 3 h 58 min 35 s
2 Michael Matthews Rabobank + 1 min 02 s
3 Simon Gerrans GreenEDGE 1 min 02 s
4 Alejandro Valverde Movistar 1 min 02 s
5 Edvald Boasson Hagen Sky 1 min 02 s
6 Óscar Freire Katusha 1 min 02 s
7 Greg Van Avermaet BMC Racing 1 min 02 s
8 Luke Roberts Saxo Bank 1 min 02 s
9 Gerald Ciolek Omega Pharma-Quick Step 1 min 02 s
10 Heinrich Haussler Garmin-Barracuda 1 min 02 s
Classement général

3e étape

Cette étape, certes un peu escarpée en milieu de course mais beaucoup plus plate sur sa fin, est promise à un sprinter. À noter également les deux sprints intermédiaires qui distribueront des secondes de bonifications non négligeables pour le classement général[13].

Sous une grosse chaleur, quatre coureurs faussent compagnie au peloton et prennent plusieurs minutes d’avance, il s'agit de l'Irlandais Matthew Brammeier (Omega Pharma-Quick Step), des Belges Jan Bakelants (RadioShack-Nissan) et Thomas De Gendt (Vacansoleil-DCM) et du Russe Eduard Vorganov (Katusha) échappé lors de la première étape. Ce dernier peut faire un rapproché au classement général puisqu'il occupe la 6e place avant le début de l'étape.

Les échappés ne comptent, au maximum de la journée, que 10 min d'avance sur le peloton qui ne souhaite pas se faire surprendre comme la vieille. En effet les équipes Lotto-Belisol, Rabobank, Sky et RadioShack-Nissan, malgré un de leurs coureurs à l'avant, se relayent à tour de rôle pour reprendre les fuyards à environ 40 km de l'arrivée.

Les Rabobank et les RadioShack-Nissan assurent la plupart des relais dans les derniers kilomètres afin d'éviter toutes attaques et replacer leurs sprinters. Cependant, comme lors de la première étape, c'est l'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) qui s'impose devant le Biélorusse Yauheni Hutarovich (FDJ-BigMat) et le Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky). Greipel reprend la tête du général[14] - [15].

4e étape

Avec un profil légèrement vallonné, l'étape ne devrait toutefois pas échapper aux sprinters qui ne voudront plus se faire piéger comme lors de la 2e étape. Le leader du général, l'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) est le grand favori et visera le triplé[16].

L'étape démarre à vive allure du fait de deux sprints intermédiaires très convoités en vue du classement général. On retrouve cependant deux coureurs à l'avant qui sont l'Italien Luca Paolini (Katusha) ainsi que l'Australien Lachlan Norris (UniSA-Australia), cependant le duo est repris avant que l'échappée du jour ne se forme pour de bon au bout de 30 km de course. On y retrouve le Français Blel Kadri (AG2R La Mondiale), l'Espagnol Rubén Pérez (Euskaltel-Euskadi) et le local, l'Australien Jay McCarthy (UniSA-Australia). Le groupe obtient jusqu'à 4 min d'avance sur l'ensemble du peloton.

À 50 km de l'arrivée l'équipe Lotto-Belisol, du leader Greipel, démarre la chasse aux échappées aidées par les équipes Lampre-ISD et Sky. Ainsi, l'écart décroit et l'échappée est condamnée. Surprise, à 20 km de la fin de l'étape, l'équipe Movistar d'Alejandro Valverde suivi par les RadioShack-Nissan imposent un rythme soutenu dans l'ascension du Mengler's Hill (2,6 km à 7-8 %). Un groupe d'un peu moins de 50 coureurs se détachent et ne sera plus revu par le restant du peloton. Parmi les piégés, on peut noter le leader du classement général Greipel, l'Australien Matthew Goss (GreenEDGE), le Biélorusse Yauheni Hutarovich (FDJ-BigMat) ainsi que l'Italien Alessandro Petacchi (Lampre-ISD).

L'étape se joue donc lors d'un sprint d'une quarantaine d'unité dont l'Espagnol Óscar Freire (Katusha) sort vainqueur devant l'Allemand Gerald Ciolek (Omega Pharma-Quick Step) et l'Italien Daniele Bennati (RadioShack-Nissan). Le peloton des piégés termine à 7 min 45 s limitant la gagne de ce Tour Down Under à 45 coureurs. Le Suisse Martin Kohler (BMC Racing) reprend par la même occasion le maillot de leader avant l'étape reine, du lendemain, arrivant sur les pentes de la Willunga Hill[17] - [18].

5e étape

L'étape reine de ce Tour Down Under emprunte par deux fois la montée de la Willunga Hill (3,5 km à 7,5 %) dont l'arrivée finale. Les favoris pour l'étape sont le récent champion d'Australie Simon Gerrans (GreenEDGE) ainsi que l'Espagnol Alejandro Valverde (Movistar) qui a bien fait rouler son équipe dans la semaine en vue d'une bonne place au classement général qui sera sans doute dessiné à la fin de l'étape[19] - [20].

Le début d'étape est marqué par une échappée de six coureurs dans laquelle on retrouve les Australiens Nathan Haas (Garmin-Barracuda) et Stuart O'Grady (GreenEDGE), les Belges Thomas De Gendt (Vacansoleil-DCM) et Kristof Goddaert (AG2R La Mondiale), le Britannique Andrew Fenn (Omega Pharma-Quick Step) et le Japonais Takashi Miyazawa (Saxo Bank). Le groupe obtient au maximum de la course 8 min d'avance avant que l'équipe BMC Racing du leader Martin Kohler ne prenne les choses en mains. Bien aidé par d'autres formations comme les Movistar, GreenEDGE, Sky et RadioShack-Nissan l'écarte diminue et provoques des cassures.

Les hommes de têtes abordent le premier passage de la Willunga Hill à 35 km de l'arrivée avec 3 min d'avance sur le peloton, moment ou Haas décide de partir seul suivit un moment par De Gendt qui le laisse finalement filer. Dans le peloton, le rythme soutenu de l’ascension permet un détachement d'un vingtaine d'unités au sommet duquel on retrouve tous les favoris sauf le leader Kohler, distancé mais qui revient au profit de la descente. À 15 km de l'arrivée le peloton des favoris reprend Haas et compte 1 min d'avance sur le second peloton qui semble résigné.

Dans le premier groupe, emmené par les Movistar et les RadioShack-Nissan, on dénombre les attaque de l'Américain Danny Pate (Sky), suivi par l'Espagnol José Iván Gutiérrez (Movistar), le Portugias Tiago Machado (RadioShack-Nissan) et l'Australien Rohan Dennis (UniSA-Australia). Ces deux derniers lâchent leurs compères d'échappée pour entamée la montée finale en tête. À km du but Michael Rogers (Sky) attaque mais se fait reprendre par le groupe des favoris emmené par Javier Moreno (Movistar) qui reprend les deux derniers coureurs échappés à la flamme rouge.

Un long sprint se prépare, lancé tout d'abord par Rogers mais l'étape est remporté par Valverde devant Gerrans. ce dernier prend la tête de l'épreuve à l'accumulation des places devant le vainqueur du jour. À la troisième place de l'étape et du classement général, on retrouve Machado qui a bien résisté dans le final. Le classement général se jouera surement le lendemain grâce aux éventuelles bonifications[21] - [22].

6e étape

La dernière étape a lieu sous la forme d'une course en circuit, sans difficultés, d'une longueur totale de 90 km. Les purs sprinters pourront se remettre en action et en particulier l'Allemand André Greipel (Lotto-Belisol) déjà vainqueur de deux sprint massif mais aussi du Biélorusse Yauheni Hutarovich (FDJ-BigMat), auteur de deux podiums lors des précédentes étapes ou du Norvégien Edvald Boasson Hagen (Sky) leader du classement des sprints et qui peut prétendre encore à une belle remontée au classement général[23].

La course est marquée par une échappée de trois coureurs dans laquelle on retrouve le Belge Jan Bakelants (RadioShack-Nissan), le tenant du titre l'Australien Cameron Meyer (GreenEDGE) et le Français Romain Sicard (Euskaltel-Euskadi). Le coureur le mieux placé au classement général est Bakelants pointé à 19 s du leader l'Australien Simon Gerrans (GreenEDGE). Cependant les équipes Lotto-Belisol et Sky respectivement de Greipel et Boasson Hagen mettent en route et se rapproche du trio

Bakelants en profite pour empocher 3 s de bonifications et ainsi remonter provisoirement à la 6e place du classement général. Dans le dernier tour Meyer distance ses compagnons d'échappés mais se fait reprendre dans les tout derniers kilomètres. La victoire se joue au sprint et c'est Greipel qui remporte sa troisième victoire sur ce Tour Down Under. Il devance l'Australien Mark Renshaw (Rabobank) et l'Italien Alessandro Petacchi (Lampre-ISD).

Gerrans, pas inquiété lors de cette étape, remporte l'épreuve pour la deuxième fois après 2006. Il devance donc Alejandro Valverde (Movistar) et le Portugais Tiago Machado (RadioShack-Nissan). Seul Bakelants gagne une place dans le top 10 final en prenant la 6e place à Boasson Hagen[24] - [25].

Classements finals

Classement général

Classements annexes

Classement des sprints

Classement de la montagne

Classement du meilleur jeune

Cycliste Équipe Temps
1 Rohan Dennis UniSA-Australia en 20 h 46 min 26 s
2 Edvald Boasson Hagen Sky + 4 s
3 Michael Matthews Rabobank 15 s

Classement par équipes

Équipe Pays Temps
1 RadioShack-Nissan Drapeau du Luxembourg Luxembourg en 62 h 19 min 53 s
2 Sky Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni + 24 s
3 Movistar Drapeau de l'Espagne Espagne 31 s

UCI World Tour

Ce Tour Down Under attribue des points pour l'UCI World Tour 2012, seulement aux coureurs des équipes ayant un label ProTeam.

Position 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e
Classement général 100 80 70 60 50 40 30 20 10 4
Par étape 6 4 2 1 1

Évolution des classements

Liste des participants

Légende
Num Dossard de départ porté par le coureur sur ce Tour Down Under Pos Position finale au classement général
Ochre jersey Indique le vainqueur du classement général White jersey Indique le vainqueur du classement de la montagne
Bleu jersey Indique le vainqueur du classement des sprints Black jersey Indique le vainqueur du classement du meilleur jeune
# Indique la meilleure équipe Red jersey Indique le coureur le plus agressif
NP Indique un coureur qui n'a pas pris le départ d'une étape,
suivi du numéro de l'étape où il s'est retiré
AB Indique un coureur qui n'a pas terminé une étape,
suivi du numéro de l'étape où il s'est retiré
HD Indique un coureur qui a terminé une étape hors des délais,
suivi du numéro de l'étape
* Indique un coureur en lice pour le maillot noir
(coureurs nés après le )
Sky
SKY
NumCoureurPos
41Edvald Boasson Hagen (NOR)* 7e
42Geraint Thomas (GBR)46e
43Christoper Sutton (AUS)63e
44Alex Dowsett (GBR)*124e
45Michael Rogers (AUS)4e
46Danny Pate (USA)69e
47Mathew Hayman (AUS)53e
Rabobank
RAB
NumCoureurPos
81Luis León Sánchez (ESP)26e
82Michael Matthews (AUS)*9e
83Tom Leezer (NED)70e
84Mark Renshaw (AUS)79e
85Jos van Emden (NED)118e
86Graeme Brown (AUS)111e
87Wilco Kelderman (NED)*21e
FDJ-BigMat
FDJ
NumCoureurPos
101Sandy Casar (FRA)28e
102William Bonnet (FRA)59e
103Arnaud Courteille (FRA)AB-6
104Frédéric Guesdon (FRA)NP-2
105Yauheni Hutarovich (BLR)106e
106Jérémy Roy (FRA)25e
107Jussi Veikkanen (FIN)50e
Euskaltel-Euskadi
EUS
NumCoureurPos
111Romain Sicard (FRA)*65e
112Gorka Izagirre (ESP)*40e
113Víctor Cabedo (ESP)AB-6
114Pablo Urtasun (ESP)AB-6
115Rubén Pérez (ESP)56e
116Adrián Sáez (ESP)83e
117Ricardo García Ambroa (ESP)*91e
Saxo Bank
SAX
NumCoureurPos
121Sérgio Paulinho (POR)44e
122Anders Lund (DEN)115e
123Luke Roberts (AUS)34e
124Jarosław Marycz (POL)*102e
125Jonas Aaen Jørgensen (DEN)84e
126Jonathan Cantwell (AUS)68e
127Takashi Miyazawa (JPN)116e
Astana
AST
NumCoureurPos
141Dmitriy Muravyev (KAZ)117e
142Borut Božič (SLO)114e
143Jacopo Guarnieri (ITA)*89e
144Francesco Masciarelli (ITA)71e
145Assan Bazayev (KAZ)126e
146Valentin Iglinskiy (KAZ)97e
147Dmitriy Gruzdev (KAZ)61e
UniSA-Australia
AUS
NumCoureurPos
181Steele Von Hoff (AUS)*77e
182Jay McCarthy (AUS)*48e
183Rohan Dennis (AUS)* 5e
184Lachlan Norris (AUS)*90e
185Thomas Palmer (AUS)*110e
186Bernard Sulzberger (AUS)23e
187William Clarke (AUS)99e

Notes et références

  1. « Présentation du Cancer Council Classic », sur cyclismactu.fr,
  2. « André Greipel démarre fort », sur cyclismactu.fr,
  3. « Tour Down Under 2012 : Willunga jusqu'au sommet », sur velochrono.fr,
  4. « Qui a le bon profil », sur velochrono.fr,
  5. « La fête aux sprinters? », sur eurosport.fr,
  6. « Etape 1 : Sprint royal inévitable », sur cyclismactu.fr,
  7. « Greipel : "J'ai eu de la chance" », sur cyclismactu.fr,
  8. « André Greipel, d'entrée de jeu », sur cyclismactu.fr,
  9. « Greipel rit, Guesdon pleure », sur velochrono.fr,
  10. « Etape 2 : Arrivée prisée à Stirling », sur cyclismactu.fr,
  11. « William Clarke déjoue les pronostics », sur cyclismactu.fr,
  12. « Clarke, un solo déconcertant », sur velochrono.fr,
  13. « Etape 3 : Qui peut battre Greipel ? », sur cyclismactu.fr,
  14. « Greipel matte encore la concurrence », sur cyclismactu.fr,
  15. « Le show Greipel reprend », sur velochrono.fr,
  16. « Etape 4 : Greipel, la passe de 3 ? », sur cyclismactu.fr,
  17. « Freire s'impose, Greipel piégé », sur cyclismactu.fr,
  18. « Freire profite du piège Movistar », sur velochrono.fr,
  19. « Etape 5 : Willunga, nous voila ! », sur cyclismactu.fr,
  20. « Willunga, ils ne pensent qu’à ça », sur velochrono.fr,
  21. « Le retour d'Alejandro Valverde ! », sur cyclismactu.fr,
  22. « Le duel Valverde-Gerrans tient ses promesses », sur velochrono.fr,
  23. « Etape 6 : Un sprint massif pour finir », sur cyclismactu.fr,
  24. « Greipel l'étape, Gerrans le général », sur cyclismactu.fr,
  25. « Greipel et Gerrans rois d’Australie », sur velochrono.fr,

Liens externes

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