SteamOS
SteamOS est un systÚme d'exploitation basé sur le noyau Linux et originellement sur la distribution Debian (stable). Il est développé par la société Valve Corporation à l'origine de la plateforme de jeu vidéo Steam. Il a été annoncé pour la premiÚre fois à la conférence LinuxCon 2013[5].
SteamOS | |
Famille | Type Unix |
---|---|
Langues | multilingue |
Type de noyau | Monolithique modulaire (Linux) |
Ătat du projet | en dĂ©veloppement |
Plates-formes | X86_64 |
Entreprise / DĂ©veloppeur |
Valve Corporation |
PremiĂšre version | |
DerniĂšre version stable | 3.4.4 ()[1] |
DerniÚre version avancée | 2.121 (Brewmaster beta, )[2] 2.166 ()[3] 3.4.5 ()[4] |
Environnement de bureau | KDE Plasma 5 (en) |
Gestionnaire de paquets | Pacman_(Arch Linux) (discover) |
Site web | store.steampowered.com/steamos |
Ă la LinuxCon 2013 Ă Ădimbourg, Linus Torvalds a dĂ©clarĂ©[6] : « Jâaime les annonces SteamOS » et : « Je pense que câest une chance qui pourrait vraiment aider Linux sur les ordinateurs de bureau. »
Dans le cadre de ce projet, Valve a rejoint le la Fondation Linux [7].
GenĂšse du SteamOS
PremiĂšres annonces
Durant la LinuxCon en 2013, Gabe Newell, le cofondateur de Valve, a déclaré qu'il pensait que « Linux et l'open source étaient le futur du jeu vidéo », en ajoutant que sa compagnie allait aider les développeurs qui voudraient distribuer des jeux compatibles avec Linux, et qu'il ferait une annonce la semaine suivante lié à l'introduction de Linux dans les salons.
Le , Valve a posté cette phrase « The Steam Universe is Expanding in 2014 » soit « L'univers de Steam s'étend en 2014 ». Il s'agissait d'un teaser pour annoncer l'arrivée de 3 nouveaux périphériques qui allaient aider à l'installation de Steam dans les salons. La premiÚre annonce a eu lieu le avec SteamOS. Les autres annonces étaient les Steam Machine et le Steam Controller.
En , Valve a annoncĂ© les Steam Dev Days : une confĂ©rence de deux jours oĂč les dĂ©veloppeurs de jeux vidĂ©o pouvaient tester et donner leurs impressions sur les Steam Machines. Le mĂȘme mois, Nvidia a annoncĂ© sa collaboration pour l'implĂ©mentation des moteurs propriĂ©taires de Nvidia, tels que PhysX, OptiX et VisualFX. Le mois suivant, Valve a confirmĂ© qu'ils ne feront aucun jeu exclusif pour SteamOS, et qu'ils encourageaient les dĂ©veloppeurs Ă faire de mĂȘme puisque cela irait contre la philosophie de Steam qui est de vendre des jeux sur toutes les plateformes oĂč se trouvent les joueurs.
Version bĂȘta et caractĂ©ristiques
En , Valve a annoncĂ© la disponibilitĂ© d'une version bĂȘta de SteamOS mais a conseillĂ© d'attendre 2014 Ă moins d'ĂȘtre Ă l'aise avec les systĂšmes d'exploitation Linux.
Le nouvel OS est basĂ© sur la version 7.0 de Debian (Wheezy)[8], une version stable sortie le , et il est conçu principalement pour jouer Ă des jeux vidĂ©o. Les utilisateurs auront la possibilitĂ© de streamer des jeux depuis leur ordinateur fonctionnant sous Mac ou Windows vers ceux tournant sur SteamOS, ils partageront, en plus, les mĂȘmes rĂšgles de partage et de filtrage familiaux que le logiciel Steam. Valve dĂ©clare avoir atteint « une hausse significative des performances attendues dans le rendu graphique » grĂące Ă SteamOS. Le systĂšme d'exploitation est annoncĂ© comme Ă©tant open source; permettant Ă tout le monde de modifier ou d'adapter le code source.
ConsĂ©quence de son orientation exclusivement vidĂ©oludique, SteamOS ne possĂšde pas beaucoup de fonctionnalitĂ©s, mis Ă part la navigation sur internet et l'exĂ©cution de jeux. Il n'y a pas de logiciel de gestion de fichiers ou d'affichage d'images installĂ© par dĂ©faut, mais les utilisateurs peuvent quand mĂȘme avoir accĂšs Ă l'environnement de bureau GNOME et installer des logiciels.
Bien que la version bĂȘta de SteamOS ne supporte pas encore de service de streaming, Valve est alors en nĂ©gociation avec des compagnies comme Spotify ou Netflix pour adapter leur service sur SteamOS. Le systĂšme supporte les principaux processeurs graphiques pour PC venant d'Intel, Nvidia ou AMD.
Valve a aussi annoncĂ© qu'ils intĂ©greront des fonctionnalitĂ©s comme la lecture de film, de musique, ou lâintĂ©gration de la tĂ©lĂ©vision avant la sortie officielle du SteamOS.
Les spécifications provisoires du SteamOS sont[9] :
- Un processeur Intel ou AMD avec une architecture 64 bits
- 4 Go ou plus de mémoire vive[10]
- Une carte graphique Nvidia, Intel ou AMD (Radeon 8500 ou plus récente)
- Un disque dur de minimum 200 Go[10]
- Un firmware UEFI est recommandé
Accueil et performances
RĂ©actions Ă la suite de l'annonce de 2013
AprÚs le , beaucoup de développeurs de jeux vidéo ont partagé leur sentiment sur le projet SteamOS. Le créateur de Minecraft, Markus Persson, a décrit le systÚme comme une nouveauté incroyable. D'autres comme le studio DICE, responsable des séries Battlefield, et The Creative Assembly, développeurs de la série Total War, ont annoncé qu'ils porteraient leurs jeux sur Linux et SteamOS. Randy Pitchford, de Gearbox Software, a commenté qu'il faudrait au systÚme une application unique permettant d'attirer des clients et donc des développeurs.
Performances et premiers avis sur la version bĂȘta
En , Phoronix a comparé 3 cartes graphiques sur SteamOS et Windows 8.1[11]. Cette comparaison a montré que SteamOS pouvait offrir des performances similaires avec les drivers propriétaires de Nvidia.
En , GameSpot a comparĂ© les performances de jeux tournant sur du matĂ©riel identique, et avec les mĂȘmes paramĂštres. Avec les cartes graphiques AMD, ils ont trouvĂ© que Dota 2, Left 4 Dead 2 et Metro: Last Light tournaient avec une moyenne de IPS infĂ©rieure. Left 4 Dead 2 souffrait aussi de quelques problĂšmes de compatibilitĂ© avec les drivers Linux pour les cartes AMD. Avec des cartes graphiques Nvidia, Left 4 dead 2 et Metro: Last Light tournaient avec une moyenne d'images par seconde plus Ă©levĂ©e sur SteamOS que sur Windows. Dota 2 affichait les mĂȘmes performances sur les deux plateformes. Les temps de chargement Ă©taient plus longs sur Left 4 Dead 2 et Metro: Last Light par rapport Ă Windows[10].
En parallĂšle Ă ces premiers essais, la bĂȘta du SteamOS a reçu des avis partagĂ©s dans les « tests ». Dans TechRadar, Henry Winchester a apprĂ©ciĂ© la facilitĂ© de navigation dans l'interface et y a vu un futur potentiel, tout en critiquant la difficultĂ© de l'installation, et le manque de fonction spĂ©ciale comparĂ© au logiciel Steam.Thomas Morgan, du site Eurogamer, n'a pas rencontrĂ© de problĂšme d'installation, mais s'est plaint du manque de dĂ©tection des rĂ©solutions disponibles en sortie vidĂ©o et audio. Il a aussi critiquĂ© le manque de jeux disponibles nativement sur le systĂšme. Il a aussi trouvĂ© l'interface bien conçue et l'a considĂ©rĂ©e comme un bon point de dĂ©part.
En , parmi les joueurs de Steam, moins de 1 % utilisent SteamOS ou une autre version de linux[12].
Ăvolution et Ă©tat des lieux en mars 2016
Ăvolution du systĂšme et des spĂ©cifications
En Valve sort la version 2.0 de SteamOS, qui est basée sur "Jessie", la version 8.0 de Debian[8] qui est sortie le . Malgré cette nouvelle version, et contrairement à ce qui avait été annoncé au début, SteamOS n'est pas complÚtement open source. En effet, de nombreux composants du systÚme restent "fermés", comme les pilotes des cartes graphiques ou le client Steam[8].
En , les spécifications nécessaires pour faire fonctionner SteamOS sont[8] :
- Un processeur Intel ou AMD avec une architecture X86 64 bits
- 4 Go ou plus de MĂ©moire vive
- Une Carte graphique Nvidia, Intel ou AMD compatible avec la version 11 de DirectX ou une version plus récente. Suivant les constructeurs, cela correspond soit à une GeForce GTX400 ou plus récent, soit à une Radeon HD5000 ou plus récente soit à un Processeur Graphique Intégré (IGP) Intel de la série Ivy Bridge (Core de 3e génération)[8]
- Un disque dur de minimum 200 Go
- Un Firmware UEFI (recommandé)
- un port USB pour l'installation
- une connexion internet stable, utilisée pour finir l'installation de l'OS et assurer le bon fonctionnement du client Steam intégré à SteamOS[8].
Ces spécifications sont trÚs proches des spécifications provisoires annoncées en 2013, les changements étant principalement dus à des mises à jour du systÚme et à la sortie de la version 2.0 de SteamOS
Installation et fonctionnalités
L'installation de SteamOS nécessite une clef USB formatée en FAT32, sur laquelle on copie les fichiers d'installation depuis le site officiel de SteamOS, puis le programme recommande un formatage complet du disque dur avant de débuter l'installation proprement dite. D'aprÚs la rédaction de Canard PC hardware, l'installation de SteamOS n'est "ni plus simple, ni plus compliquée que celle d'un Windows récent"[8].
Concernant les diverses fonctionnalités promises, le streaming est opérationnel, mais c'est une fonction disponible pour toutes les versions du client Steam et non pas une exclusivité de SteamOS. Pour les films et la musique, aprÚs avoir commencé à y réfléchir en 2014[13], et fait un premier essai en 2015 avec les films Mad Max[14], Valve a finalement implémenté la VOD en 2016[15] - [16] et développe son offre multimédia depuis cette date. Par contre, tout comme pour le streaming, cette fonction n'est pas une exclusivité SteamOS.
Pour ce qui est des jeux, la remarque qu'avait fait Thomas Morgan en 2014 est toujours valable, car le manque de jeux disponibles nativement sur SteamOS par rapport aux autres systÚmes d'exploitation est toujours flagrant. Ainsi, au mois de , il n'existe que 7684 jeux compatibles Linux/SteamOS sur le Steam Store[17], contre 11855 jeux compatibles Mac OS X[18] et 31560 jeux compatibles Windows[19]. Il faut toutefois noter que parmi les 31560 jeux compatibles Windows, il y a un grand nombre de petites productions et de jeux amateurs qui existent grùce à la rubrique "Steam Greenlight", rubrique qui n'a pas son équivalent pour Linux. Il est difficile de juger du nombre exact de jeux compatibles Windows disponible si on met de cÎté les productions passées par Greenlight, mais dans tous les cas, ils restent bien plus nombreux que ceux compatibles Linux. Cependant, le nombre de jeux compatibles augmente en permanence et certains titres anciens sont parfois mis à jour pour devenir compatibles avec Linux et donc SteamOS. Malgré tout, SteamOS ne permet pas de jouer avec la plus grande partie des grosses productions vidéoludiques sorties ces derniÚres années[8]. Le streaming permet de contourner en partie ce manque de jeu, en permettant de jouer depuis une machine tournant sous SteamOS à un jeu lancé depuis une machine tournant sous Windows; mais cette solution reste tributaire de la stabilité de la connexion internet utilisée.
Les performances
En , la rĂ©daction de Canard PC hardware a rĂ©alisĂ© un comparatif entre Windows et SteamOS en utilisant le jeu "Middle-Earth : Shadow of Mordor". Ce jeu a Ă©tĂ© utilisĂ©, car c'est un des rares qui intĂšgre un test de performance Ă la fois dans sa version Windows et dans sa version Linux[8]. Pour chaque test, la configuration utilisĂ©e est la mĂȘme, avec comme GPU une GeForce GTX 780 et le niveau de dĂ©tail graphique du jeu est Ă chaque fois rĂ©glĂ© au niveau maximum; seul LâOS change[8]. Le rĂ©sultat du comparatif est le suivant :
Version Windows :
- nombre moyen dâimages par seconde : 34,73
- nombre maximum dâimages par seconde : 45,41
- nombre minimum dâimages par seconde : 20,26
Version SteamOS :
- nombre moyen dâimages par seconde : 19,24
- nombre maximum dâimages par seconde : 40,96
- nombre minimum dâimages par seconde : 10,14
En diminuant le niveau de dĂ©tail graphique, le nombre moyen dâimages/seconde passe Ă 58 sous Windows contre 33 sous SteamOS[8].
Ce comparatif a Ă©tĂ© renouvelĂ© avec plusieurs jeux, dans les mĂȘmes conditions et Ă quasiment Ă chaque fois, les jeux tournent de maniĂšre plus fluide et moins saccadĂ©e sous Windows que sous SteamOS[8].
Le cas de "Middle-Earth : Shadow of Mordor" permet aussi de mettre en avant un autre problÚme rencontré sur SteamOS : le soins porté aux conversions Linux des jeux créés à la base pour Windows. En effet, il ne s'agit pas d'un jeu qui a été refait sous OpenGL, mais de la version Windows à laquelle a été rajouté une sur-couche logicielle traduisant les appels D3D vers OpenGL, ce qui est une solution coûteuse en termes de temps de calcul [20]. Les performances des jeux dépendent donc en partie du soins apporté à cette "couche" additionnelle par les sociétés assurant les portages. Ainsi, La version Linux/SteamOS de The Witcher 2 a été portée grùce à eON, systÚme développé par la société Virtual Programming [21] et cette version ne montre quasiment pas de différences de performances avec la version Windows [22].
Il existe également de rares cas de jeux Windows réécrit entiÚrement en OpenGL, comme par exemple Dota 2 Reborn qui affiche des performances plus élevées que la version Windows [23].
Avenir à court terme et possibilités à long terme
Le consortium Khronos Group a sorti une nouvelle API graphique nommĂ© Vulkan[24], qui est une Ă©volution dâOpenGL visant Ă offrir aux pilotes graphiques des divers constructeurs une relation plus directe au GPU et Ă sa mĂ©moire; ceci afin dâamĂ©liorer les performances du matĂ©riel[24]. SteamOS a dĂ©jĂ des pilotes compatibles avec Vulkan, ce qui devrait permettre aux jeux tournant sur cet OS de profiter des amĂ©liorations amenĂ©es par cet API[8]. Les autres pistes pour avoir des meilleures performances sous SteamOS sont la mise Ă disposition de meilleurs drivers par AMD, Intel et NVIDIA ainsi que lâutilisation dâAPI compatibles OpenGL/Vulkan par les dĂ©veloppeurs de jeux vidĂ©o.
La piste des pilotes semble cependant peu pertinente, les tests effectués sur les logiciels natifs, par exemple les moteurs de rendu 3D comme Unigine, ne montrant pas de différences significatives entre les versions Windows et Linux sur cartes Nvidia [25] et des performances légÚrement meilleures sur Linux avec les pilotes libres sur cartes AMD[26]. Concernant l'API Vulkan, elle est désormais utilisée par certains moteurs de jeu comme Unity[27] ou l'Unreal Engine[28] et quelques jeux, comme The Talos Principle ou Serious Sam 3. Ces versions montrent un gain de performances comparées à la version OpenGL[29].
Le 15 juillet 2021, Valve dĂ©voile le Steam Deck, une nouvelle console portable dont la sortie est prĂ©vue pour dĂ©cembre 2021 aux Ătats-Unis, au Canada, dans l'Union europĂ©enne et au Royaume-Uni[30]. La Deck utilisera une version personnalisĂ©e de SteamOS basĂ©e sur Arch Linux[31], qui inclut la prise en charge de Proton, une couche de compatibilitĂ© permettant de jouer Ă la plupart des jeux Microsoft Windows[32]. Les annonces de Valve ne permettent pas de savoir s'il sâagira d'une version alternative de SteamOS ou de la nouvelle version officielle, remplaçant dĂ©finitivement l'actuelle, toujours basĂ©e sur Debian 8.
Versions
Version | Nom de code | Distribution de base | Notes |
---|---|---|---|
SteamOS 1.0 | alchemist | Debian 7 (Wheezy) | |
SteamOS 2.0 | brewmaster | Debian 8 (Jessie) | Changements majeurs par rapport Ă SteamOS 1.0[33]
|
SteamOS 3.0 (Annulé) | clockwerk | Debian 9 (Stretch) | Toujours pas publié en 2019[34]Annulé[35] |
SteamOS 3.0 | Holo | Arch Linux[35] | Inclut la couche de compatibilité Windows Proton |
Notes et références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de lâarticle de WikipĂ©dia en anglais intitulĂ© « SteamOS » (voir la liste des auteurs).
- « https://store.steampowered.com/news/app/1675200/view/3646258449543514487 » (consulté le )
- « SteamOS update 2.121 pushed to brewmaster beta » (consulté le )
- (en) « SteamOS update 2.166 pushed to brewmaster_beta :: Steam Universe » (consulté le )
- « Steam Deck OS 3.4.5 Preview Update », (consulté le )
- « SteamOS : Valve présente une distribution GNU/Linux dédiée au jeu », sur ZDNet.fr, .
- « Pour Linus Torvalds, Steam OS « aidera vraiment » Linux sur les PC de bureau », (consulté le ).
- (en) « Cloudius Systems, HSA Foundation and Valve Join Linux Foundation », sur linuxfoundation.org, .
- Dossier de la rĂ©daction de Canard PC Hardware, « SteamOS ou en est-on? », Canard PC Hardware, vol. 28,â .
- (en) « SteamOS FAQ :: Steam Universe », sur SteamCommunity.com, (consulté le ).
- (en) « How To Install SteamOS », sur GameSpot (consulté le ).
- (en) « SteamOS vs. Windows 8.1 NVIDIA Performance », sur phoronix.com (consulté le ).
- Moins de 1 % des joueurs sous Linux : Steam n'a guĂšre d'impact. Clubic, mai 2015
- « steam plancherait sur la distribution de films, musique et séries TV », sur numerama.com
- « steam se lance dans la vente de films avec mad max », sur jeuxvideo.com
- « steam se lance pour de bon dans la vod », sur clubic.com
- « toujours plus de vod sur steam », sur commentcamarche.net
- « Steam Search » (consulté le )
- « Steam Search » (consulté le )
- « Steam Search » (consulté le )
- Kracou, « Le problÚme de la portabilité, ou le gros choc de simplification⊠», sur Jeuxvideo.com, (consulté le ).
- https://www.vpltd.com/services/
- « The Witcher 2 benchmark on SteamOS & Windows » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
- « Ubuntu 15.04 VS Windows 10 Pro : Dota 2 Reborn Benchmark with a GTX 680 » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
- Ryan Smith, « Next Generation OpenGL Becomes Vulkan: Additional Details Released », AnandTech,â (lire en ligne)
- Sabun, « Unigine Heaven : How Does Ubuntu 13.04 Compare To Windows 8? », sur Gamingonlinux.com, (consulté le ).
- https://www.phoronix.com/scan.php?page=article&item=radeonsi-beats-wingl&num=4
- (en) « Introducing the Vulkan renderer previewVulkan ăŹăłăă©ăŒăźăăŹăă„ăŒăăȘăȘăŒăčăăăŸăă - Unity Technologies Blog », sur Unity Technologies Blog,â (consultĂ© le ).
- (en) « Unreal Engine 4.17 Released! », sur Unreal Engine (consulté le ).
- (en) « An Interview with Croteam, the Developer of Serious Sam and The Talos Principle - Back2Gaming », sur Back2Gaming, (consulté le ).
- (en) Jay Peters, « Valveâs gaming handheld is called the Steam Deck and itâs shipping in December », sur The Verge, (consultĂ© le )
- (en) « Steam Deck FAQ (Documentation Steamworks) », sur partner.steamgames.com (consulté le )
- « Quels sont les jeux compatibles avec le Steam Deck ? », sur Frandroid, (consulté le )
- « SteamOS FAQ », (consulté le ).
- « SteamOS News - Valve Counts to 3 - SteamOS 3.0 is Inbound, Codenamed Clockwerk », sur www.game-debate.com (consulté le )
- (en) « Steam Deck features new version of SteamOS powered by Valve's Proton compatibility layer », sur Shacknews (consulté le ).
Articles connexes
- Jeux vidéo sous Linux
- Lakka (GNU+Linux), distribution GNU+Linux se comportant comme un Ă©mulateur de vieilles consoles (PS, GameCube...)
- Alienware
- ROG G20
Lien externe
Bibliographie
- Ryan Smith, « Next Generation OpenGL Becomes Vulkan: Additional Details Released », AnandTech,â (lire en ligne)
- Dossier de la rĂ©daction de Canard PC Hardware, « SteamOS ou en est-on? », Canard PC Hardware, vol. 28,â