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Sivergues

Sivergues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Sivergues
Sivergues
Sivergues.
Blason de Sivergues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
DĂ©partement Vaucluse
Arrondissement Apt
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Apt-Luberon
Maire
Mandat
Martine Calas
2020-2026
Code postal 84400
Code commune 84128
DĂ©mographie
Gentilé Siverguois, Siverguoises
Population
municipale
46 hab. (2020 en augmentation de 9,52 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 4,9 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 49′ 45″ nord, 5° 24′ 13″ est
Altitude 570 m
Min. 430 m
Max. 993 m
Superficie 9,39 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Apt
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Apt
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sivergues
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Sivergues
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Sivergues
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Sivergues

    GĂ©ographie

    "C'est bougrement perché Sivergues ! et perdu au diable..." Henri Bosco[1]

    Communes limitrophes de Sivergues
    Saignon
    Buoux Sivergues Auribeau
    Vaugines Cucuron

    Localisation

    Sivergues est situĂ©e sur la face nord du massif du Grand Luberon, Ă  570 mètres d'altitude. L'on y accède par la route dĂ©partementale 114, après plusieurs kilomètres en cul-de-sac.

    Panneau Fin de la route à l'entrée du village

    Sivergues fait partie du Parc naturel régional du Luberon.

    Les communes limitrophes sont Buoux Ă  l'ouest, Saignon au nord, Auribeau Ă  l'est. Au sud, par delĂ  le Luberon Cucuron et Vaugines.

    En voiture et en temps normal Buoux est Ă  km et 14 minutes, Saignon Ă  9 km et 16 minutes, Auribeau Ă  10 km et 18 minutes, Apt Ă  11 km et 21 minutes, Bonnieux Ă  16 km et 22 minutes. Avignon est Ă  1 h 15 et 65 km.

    Les commerces, écoles, établissements de santé, etc. les plus proches se situent à Apt, même s’il y en a aussi à Saignon mais plus restreins.

    Avec ses 43 habitants et 4,6 hab./km² ainsi que sa localisation en pleine nature loin des villes, Sivergues a tout d'un espace à faible densité de population ( - de 30 hab./km²), et c'est la troisième commune la moins peuplée du Vaucluse.

    Passage du GR9.

    Hydrographie

    La rivière Aigue Brun y passe, elle se situe au nord de la commune et fait la limite avec Buoux et Saignon.

    Aigue Brun après de fortes pluies

    Relief

    Le relief de la commune peut se diviser en deux grandes zones :

    • au nord, le bas des flancs du Luberon oĂą se mĂŞlent ravins et plateaux avec l'Aigue Brun ;
    • au sud, le relief s'Ă©lève jusqu'Ă  la ligne de crĂŞte de la montagne du Luberon. Les altitudes les plus hautes se situent Ă  l'extrĂŞme sud-est, au niveau de cette ligne avec 993 m aux Estrugets. Nombreux ravins parallèles d'orientation nord-sud.
    Depuis les Estrugets avec vue sur le Mourre Nègre sommet du Luberon à 1125m d'altitude

    Utilisation du sol

    Principalement des bois et forĂŞts, quelques terres agricoles au niveau des plateaux au nord.

    Risques sur la commune

    Les risques recensés sur la commune sont :

    - Feux de forêt. La commune se trouvant au cœur du Luberon, le risque est d'autant plus présent, et c'est pour cela que notamment en été il faut y être très vigilant, il existe même une carte d'accès aux massifs l'été sur le site de la préfecture de Vaucluse, qu'il faut consulter avant sa randonnée dans le massif en été.

    - Mouvement de terrain : éboulements, chute de pierres et de blocs ; glissement de terrain ; tassements différentiels.

    - Séisme : Zone de sismicité 4 (moyenne). Contrairement à la vallée d'Apt qui est en risque modéré, comme Sivergues, les villages perchés du Luberon sont classés en risque moyen, c'est-à-dire en zone 4 sur une échelle de 5.

    - Autres : Les risques suivants ne sont pas référencés, mais avec le réchauffement climatique ils s'accentuent ces dernières années : la sécheresse, les fortes chaleurs (même si le village est en hauteur, il y a fait environ 40 °C lors de la canicule de ), et les fortes pluies, qui peuvent provoquer des ruissellements. Néanmoins, la commune n'est pas classée en risque inondation, car la rivière qui y passe se situent 100 m d'altitude plus bas que le centre du village.

    Climat

    Relevé météorologique d'Apt
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3 4 6 9 13 16 19 19 16 13 7 4 10,7
    Température moyenne (°C) 7 8 11 13,5 18 21,5 24,5 24,5 21,5 17 11 8 15,5
    Température maximale moyenne (°C) 11 12 16 18 23 27 30 30 25 21 15 12 19,2
    Précipitations (mm) 35,3 21,3 21,9 40,6 26,7 14,6 8,2 18,3 57 52,3 39,1 25,6 361,1
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    11
    3
    35,3
    12
    4
    21,3
    16
    6
    21,9
    18
    9
    40,6
    23
    13
    26,7
    27
    16
    14,6
    30
    19
    8,2
    30
    19
    18,3
    25
    16
    57
    21
    13
    52,3
    15
    7
    39,1
    12
    4
    25,6
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    La commune est situĂ©e dans la zone d'influence du climat mĂ©diterranĂ©en. Après une annĂ©e 2007 caractĂ©risĂ© par une très faible pluviomĂ©trie, 435 mm d'eau en pays d'Apt, 2008 avec 1 202 mm, soit 2, 8 fois plus, se place juste derrière l'annĂ©e 1968. Quant Ă  la moyenne des tempĂ©ratures, elle augmente de 0, 5°, l'hiver et le printemps ayant Ă©tĂ© très doux. Le temps pluvieux a affectĂ© la durĂ©e de l'ensoleillement avec une centaine d'heures en dessous de la normale[2].

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures moyennes (°C) 6,9 7,7 8,7 11,9 17,2 20,5 22,7 22,4 17,9 13,8 8,3 4,6 13,6
    Températures normales (°C) 5,1 6,3 8,9 11,4 15,7 19,0 22,3 22,3 18,5 13,8 8,3 5,8 13,1
    Écart avec la normale (°C) + 1,8 + 1,4 - 0,2 + 0,5 + 1,5 + 1,5 + 0,4 + 0,3 - 0,6 0 - 0,2 - 1,2 + 0,5
    Moyenne mensuelle de prĂ©cipitations (mm) 103 43 23 126 157 38 12 29 187 122 160 202 1 202
    Précipitations normales (°C) 71 56 57 79 70 49 37 53 73 101 74 69 789
    Écart avec la normale (°C) + 32 - 13 - 34 + 47 + 87 - 11 - 25 - 24 + 114 + 21 + 86 + 133 + 413
    Source : Le Pays d'Apt, n° 191, et station de référence météo : Apt (242m)

    Urbanisme

    Typologie

    Sivergues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Apt, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Histoire

    L'origine de la localité semble être datée du Ve siècle, lorsque la femme de saint Castor et six compagnes y auraient fondé un couvent. Certains d'ailleurs attribuent le nom de la commune à ses six vierges. Cité en 1067 : "Sex Virgae" et vers 1200 : "Siuergia".

    D'après Albert Dauzat et Charles Rostaing, ce toponyme provient du nom d'homme latin *Sivius, d'après Sivinius, et suffixe -enicum ; le passage de Sivinicum à Sivergues étant comparable à celui de Dominicus à Doumergue[10].

    Au XIIe siècle, Sivergues appartient aux comtes de Forcalquier. Le castrum y est créé dans un territoire vierge de toute occupation humaine[11]. Lorsque le comté de Forcalquier perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Sivergues, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250[12].

    Au XIIIe siècle, édification de l'église primitive Saint-Trophime.

    1481, à la suite de la mort du roi René, le comté de Provence dont Sivergues fait partie est incorporé au royaume de France sous l'appellation de « province royale française ».

    En 1501, le seigneur fait venir des Vaudois (entre 7 et 8 familles selon les sources) pour occuper les terres.

    En 1545, Sivergues comme de nombreux autres villages vaudois, est fortement touché par la répression conduite par Jean Maynier, baron d’Oppède.

    HĂ©raldique

    Armes de Sivergues

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'or à la croix de huit pointes pommetée de sable, chargée d'une colombe fondante d'argent, accompagnée en chef d'une fleur de lys accostée de deux tours, le tout d'azur.

    Politique et administration

    Mairie de Sivergues.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Frédéric Lazard préhistorien
    janvier 1955 Antonin Aillaud
    André Aillaud
    avant 1988 mars 2001 Raoul Esparon
    mars 2001 mars 2004 Paul Pessemesse
    mars 2004 mars 2008 Yves Le Dizes
    mars 2008 2020 Gisèle Martin sans étiquète
    2020 En cours Martine Calas sans étiquète
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Sivergues en 2009[13]
    Taxepart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)4,50 %0,00 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)4,50 %0,00 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)50,00 %0,00 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)00,00 %20,00 %13,00 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

    En 2020, la commune comptait 46 habitants[Note 3], en augmentation de 9,52 % par rapport Ă  2014 (Vaucluse : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1361351251091071098610696
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    104107108100103101817767
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    574750423944354016
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    293338413930444839
    2018 2020 - - - - - - -
    4546-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee Ă  partir de 2006[17].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Vue depuis les hauteurs de Sivergues vers les monts de Vaucluse et son sommet, le signal de Saint-Pierre.

    Sur cette commune se pratiquent la chasse, les randonnées équestres, pédestre et VTT et plus globalement le tourisme vert.

    Agriculture et production

    L'on y produit du lavandin et du miel. Les vignes de la commune, même s'il n'y en a que très peu, produisent des vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée, ils peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[18].

    Élevage ovin et caprin.

    Tourisme

    Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rĂ´le, directement ou indirectement, dans l'Ă©conomie locale.

    On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[19].

    Une chambre d'hĂ´tes + auberge.

    Lieux et monuments

    Le village de Sivergues et son Ă©glise.
    Une propriété de Sivergues.

    Sivergues, terminus de la route goudronnée (CD 114), attire les amateurs de vieilles pierres et de randonnées sauvages.

    • Église Saint-Pierre-et-Sainte-Marie (fin XVIe). Simple façade avec un oculus.
    • Temple protestant du XIXe siècle sur une hauteur nord.
    • Ruelles en calade.
    • Au Castellas : ruines d'un château mĂ©diĂ©val et d'une Ă©glise romane dĂ©diĂ©e Ă  saint Trophime (XIIe siècle) ; cimetière vaudois. Compter une demi-heure Ă  quarante minutes de marche depuis le village.
    • Plusieurs tombes rupestres (creusĂ©es dans le roc) aux Cros et au Domaine de Paris.
    • Nombreuses cabanes en pierre sèche ou bories.

    Personnalités liées à la commune

    Frédéric Lazard, préhistorien, maire de Sivergues.

    Frédéric Lazard, né le , à Sivergues, révéla très tôt ses dons pour la musique - c'était un clarinettiste éminent, et il exerça ses talents dans de nombreuses sociétés musicales - tout en étant passionné par la préhistoire. Appelé sous les drapeaux, il fit son armée au 99e régiment d'infanterie de Lyon. De retour dans ses foyers, en 1888, il continua à prospecter des sites dans le pays d'Apt et plus spécifiquement le plateau des Claparèdes[20].

    L'importance de ses découvertes, retint l'attention de plusieurs érudits locaux avec lesquels, il lia des liens d'amitié. Aussi, en 1903, lors de leur fouille en commun à la Baume Croupatière ou grotte Saint-Gervais à Bonnieux, ils décidèrent de fonder une société de préhistoriens ouverte à l'ensemble de leurs collègues à travers toute la France. C'est en janvier 1904 qu'elle fut formalisée. Outre Frédéric Lazard, on trouvait ses amis Marc Deydier, notaire à Cucuron, Anfos Martin, du Tricastin, Albert Moirenc, agent voyer dans le Vaucluse, Ivan Pranishnikoff, un des fondateurs de la Nacioun gardiano et Paul Raymond, médecin à Pont-Saint-Esprit. Ils donnèrent à leur regroupement le nom de Société préhistorique de France. Il est à souligner qu'une plaque commémorative fut posée sur les parois de la grotte de Bonnieux, en septembre 2004, lors du congrès du centenaire qui se tint à Avignon[20].

    Parallèlement, Lazard s'intéressa à la numismatique et à l'histoire de sa région. La compilation de tous ses travaux et ses découvertes durant un demi-siècle, fut publiée, en 1943, sous le titre Les environs d'Apt préhistorique. Étude sur le vallon de Buoux, le versant nord du Luberon et le plateau des Claparèdes, aux points de vue préhistorique et archéologique, aux éditions Rullière d’Avignon[20].

    FrĂ©dĂ©ric Lazard prit une part importante dans la vie communale de Sivergues. D'abord adjoint au maire, il devint premier magistrat de sa commune durant 40 ans. Durant tout son mandat, il lutta pour maintenir une Ă©cole publique dans son village, ce qui lui valut d’être nommĂ© officier de l’Instruction Publique. Il mourut dans sa maison de Rocsalière, en novembre 1945. Albert Lazard, son fils, a fait don des 6 000 pièces de sa collection au musĂ©e d’Apt le . L'une de ses salles porte dĂ©sormais le nom du prĂ©historien[20].

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Henri Bosco a décrit le site dans son roman "Le Trestoulas"
    2. Roland Sautel, Le Pays d'Apt, n° 191, février 2009, p. 13.
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Apt », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, 1979 (ISBN 2-85023-076-6), p. 658.
    11. Yann Codou, « Le paysage religieux et l'habitat rural en Provence de l'antiquité tardive au XIIe siècle », Archéologie du monde médiéval, tome 21, 2003, p. 55.
    12. Mariacristina Varano, Espace religieux et espace politique en pays provençal au Moyen Âge (IXe-XIIIe siècles). L'exemple de Forcalquier et de sa région, thèse soutenue à l'université d'Aix-Marseille I, 2011, p. 486.
    13. « Impôts locaux à Sivergues », taxes.com.
    14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    18. Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
    19. Voir Massif du Luberon
    20. Frédéric Lazard, (1862-1945), préhistorien et maire de Sivergues, GénéProvence, septembre 2014.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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