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Sidney Govou

Sidney Govou, né le au Puy-en-Velay (Haute-Loire, France), est un footballeur international français d'origine béninoise évoluant au poste de milieu offensif ou d'ailier.

Sidney Govou
Image illustrative de l’article Sidney Govou
Sidney Govou Ă  Tunis en 2018.
Biographie
Nom Sidney Rodrigue Noukpo Govou
Nationalité Français
Naissance
Le Puy-en-Velay (France)
Taille 1,75 m (5′ 9″)
PĂ©riode pro. 2000-2013
Poste Attaquant de soutien/Ailier droit
Pied fort Droit
Parcours junior
Années Club
0 Brives-Charensac
0 CO Le Puy
1997-1999 Olympique lyonnais
Parcours senior1
AnnéesClub 0M.0(B.)
1998-2000 Olympique lyonnais B034 (10)
1999-2010 Olympique lyonnais406 (73)
2010-2011 PanathinaĂŻkos024 0(3)
2011-2013 Évian Thonon Gaillard043 0(2)
2013-2014 Olympique lyonnais B002 0(0)
2014-2015 Chasselay MDA031 0(2)
2015 FC Miami City (en)011 0(3)
2015-2017 FC Limonest002 0(2)
Total546 (95)
SĂ©lections en Ă©quipe nationale2
AnnéesÉquipe 0M.0(B.)
2000-2002 France espoirs015 0(4)
2002-2010 France049 (10)
1 Compétitions officielles nationales et internationales.
2 Matchs officiels (amicaux validés par la FIFA compris).
Dernière mise à jour : 3 août 2015

Il réalise l'essentiel de sa carrière professionnelle à l'Olympique lyonnais, avec lequel il remporte le championnat de France à sept reprises de 2002 à 2008.

Sélectionné à 49 reprises en équipe de France entre 2002 et 2010, il remporte la Coupe des confédérations en 2003 et participe notamment à la Coupe du monde de 2006 dont la France atteint la finale.

À l'issue de sa carrière professionnelle, achevée en 2013, il poursuit la pratique du football à un niveau amateur. Il évolue actuellement à l’Élan sportif de Chaponost en vétéran.

Lors des élections municipales françaises de 2020, il est élu sur la liste Ensemble pour Saint Didier, menée par Marie-Hélène Matthieu. Il est depuis, conseiller municipal de la commune de Saint-Didier-au-Mont-d'Or[1].

Biographie

Enfance et formation

Sidney Govou nait le 27 juillet 1979, il est le fils de Georges, laborantin, et Florentine, cuisinière. Il doit son prénom à Sidney Poitier, acteur américano-bahaméen dont son père est fan. Celui-ci quitte le Bénin pour venir jouer au Puy-en-Velay comme ailier de l'équipe de Division 3[2] - [3]. Sidney se met rapidement au football mais son père veut qu'il pense surtout à ses études. Le jeune joueur, d'abord milieu offensif puis attaquant, flambe alors à Brives-Charensac[4].

Le FC Nantes lui offre une semaine d'essai, l'année du baccalauréat, où il se rend sans motivation, préférant se concentrer sur son examen. Sidney n'est logiquement pas retenu mais décroche son Bac S. Souhaitant devenir kinésithérapeute, il se voit alors continuer ses études supérieures. Après une saison avec les moins de 17 ans du Puy-en-Velay, c'est l'Olympique lyonnais cette fois qui se manifeste. Entre manque de confiance en ses capacités, volonté de rester à l'école et envie de jouer pour le plaisir, Govou a du mal à faire le grand saut[4].

Il se laisse toutefois convaincre, signe pour un an, quitte le cocon familial et passe de deux entraînements par semaine à deux par jour. Il effectue une première année de Licence en géographie à l'Université Lumière Lyon 2 avant de pleinement se consacrer au football. En difficulté au début, il prend rapidement le rythme, quitte sa chambre du centre pour un appartement plus confortable et tout s'enchaîne sur le terrain. Après avoir fait ses armes en Division d'Honneur, il termine la saison avec l'équipe de CFA et remporte le championnat de France des centres de formation, inscrivant le premier des trois buts lyonnais en finale face à l'AJ Auxerre[5]. Ayant pris confiance en lui, il décide d'accepter la prolongation qui lui est proposée[4]. Il fait ensuite ses preuves en équipe réserve (82 buts en 3 saisons) et est convoqué par l’entraîneur de l'équipe première où il fait ses premiers pas à 19 ans.

Une décennie avec l'Olympique lyonnais

Govou dans le mur lyonnais lors d'un match contre Lille en 2008.

Au début de l'année 2000, trois ans après son arrivée à l'Olympique lyonnais, Sidney Govou intègre le groupe professionnel alors dirigé par Bernard Lacombe. Le 15 janvier à Auxerre, il fait ses débuts en première division et entre en jeu pour les dix dernières minutes du match. Quelques semaines plus tard, en quart de finale de la Coupe de France contre le Red Star, Govou rentre à la 52e minute et inscrit les deux buts de la qualification en deux minutes[4].

Après avoir signé son premier contrat professionnel durant l'été 2000, Govou signe ses deux premiers buts en D1 française contre l'AJ Auxerre alors que sa mère Florentine vient le voir jouer pour la première fois.

Durant la saison 2000-2001, il fait son nid au sein de l'attaque de l'OL, aux côtés de Sonny Anderson et Steve Marlet. Titulaire ou joker, en vertu du turnover, il est couvé par Jacques Santini[4]. Il se fait connaître du grand public avec la rencontre face au Bayern Munich en Ligue des champions où il marque deux buts. Au terme de cette saison, il est élu meilleur espoir lors des trophées de l'Union nationale des footballeurs professionnels.

La saison suivante, il entame avec l'Olympique Lyonnais la série de sept titres en championnat. Lors de la saison 2004-2005, Paul Le Guen lui confie le brassard de capitaine pendant la longue blessure de l'habituel capitaine de l'équipe, Claudio Caçapa. Govou réussira la saison la plus aboutie de sa carrière par ses performances notamment en Ligue des champions où les Lyonnais s'inclineront en quart de finale contre le PSV Eindhoven aux tirs au but. Sidney délivre cinq passes décisives dans ce tournoi[6].

À la fin des années 2000, son nom est régulièrement cité pour un transfert car il ne cache pas qu'une expérience à l'étranger l'intéresse. Il marque le but victorieux en prolongation qui donne la Coupe de France 2008 à l'Olympique lyonnais face au PSG. Victime, en 2008-2009, d'une rupture totale du tendon d'Achille, il revient en fin de saison et permet à l'OL de finir troisième du championnat.

Après le départ de Juninho, Claude Puel le désigne capitaine mais cela ne dure guère et Cris le remplace en raison notamment de quelques écarts de conduite extra-sportifs. Pour sa dernière année avec les Gones, les Lyonnais seront éliminés en demi-finale de la Ligue des champions. Une belle performance et une première dans l'histoire du club à se hisser dans le dernier carré dans cette compétition, battu par le Bayern Munich en 2010.

Parcours en sélection nationale

Sidney Govou vit sa première sélection avec l'équipe de France espoirs sans toucher le ballon. Rentré à la 90e minute contre l'Autriche en octobre 1999, un corner est joué puis l'arbitre siffle la fin du match. Rappelé ensuite pour un déplacement en Bosnie, il joue 23 minutes cette fois-ci[4].

Sidney Govou honore sa première sélection le 21 août 2002 contre la Tunisie. Il marque son premier but en bleu contre la Slovénie en match de qualifications pour l'Euro 2004 (victoire 5-0).

Il participe également à la Coupe des confédérations 2003 en France, il marquera le but de la victoire contre le Japon (2-1) au Stade Geoffroy-Guichard en phase de groupe. Il disputera trois matches et ne rentrera pas en finale de cette compétition contre le Cameroun. L'équipe de France arrache la victoire (0-1) en prolongations sur un but en or de Thierry Henry.

En 2004, il n'est pas retenu pour l'Euro 2004 au Portugal mais la blessure de Ludovic Giuly avant le début de la compétition lui permet d'intégrer l'équipe de France. Il ne participe toutefois à aucun match.

Régulièrement appelé par Raymond Domenech après le Championnat d'Europe perdu contre la Grèce, il participe activement aux matches de qualifications pour la Coupe du monde 2006 mais ne marquera aucun but sur ces deux saisons en bleu.

Malgré un contexte similaire, lui vaut également d'être appelé par le sélectionneur pour pallier le forfait de Djibril Cissé en Allemagne lors du tournoi. Il dispute quatre matches de la Coupe du monde en tant que remplaçant. Il ne dispute pas la finale perdue face à l'Italie.

Son principal exploit en équipe de France est son doublé contre l'équipe d'Italie avec une victoire de la France par trois buts à un, le 6 septembre 2006. match éliminatoire du championnat d'Europe 2008. Govou avait été titularisé par Raymond Domenech alors qu'il n'avait pas encore joué en compétition avec l'équipe première de l'Olympique lyonnais.

Qualifié pour l'Euro 2008, il participera à deux matches, titulaire contre les Pays-Bas sur une lourde défaite (4-1), malgré une très bonne prestation. Il rentrera sur le dernier match décisif des bleus qui devaient marquer deux buts d'écarts contre l'Italie pour se qualifier mais qui n'y arriveront pas. Les Italiens battent les Français (0-2) qui se retrouvent derniers du groupe et éliminés au profit du Champion du monde en titre.

Le 20 août 2008, lors d'un match amical contre la Suède, il réalise un second doublé et la France l'emporte par trois buts à deux.

Le 6 septembre, les Français affrontent l'Autriche pour le premier match de poule de qualification pour la Coupe du monde 2010, mais perd malgré le but du Lyonnais qui sera son dernier avec les Bleus. (3-1). Il réalise sa première passe décisive en équipe de France contre la Serbie pour Thierry Henry, le 10 septembre (victoire 2-1). Le 14 octobre 2009, contre l'Autriche du match retour au Stade de France, il hérite du brassard de capitaine après la sortie de ce dernier. Et également lors du match amical contre l'Espagne en 2010, (défaite 0-2) au Stade de France.

Avec Henry et Gourcuff, en match de préparation du Mondial 2010.

Il est sélectionné le 24 mai 2010 par Raymond Domenech pour la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud, il le maintient titulaire pour les matchs de préparation et pour la Coupe du Monde, une première pour Sidney Govou pour un tournoi international avec les Bleus. Il est aligné aux côtés de Nicolas Anelka et de Franck Ribéry au front de l'attaque. Très décevant sur ces trois matches de préparation, il ne marquera aucun but. Il joue les deux premiers matches de la compétition contre l'Uruguay (0-0) et le Mexique (défaite 0-2). Les Bleus termineront en fiasco avec la grève de Knysna et joueront le dernier match capital contre l'Afrique du Sud (défaite 1-2). Govou rentrera dans les dix dernières minutes mais ne changera rien et jouera sa dernière sélection. Les Français devaient marquer deux buts d'écarts pour se qualifier mais sont éliminés avec un point sur trois matches.

À la suite de ses performances faibles en Coupe du monde et motivé par une volonté de renouveler l'effectif avec plus de jeunes, Laurent Blanc, le nouveau sélectionneur, décide de ne plus le sélectionner. Il compte 49 sélections en équipe de France et a marqué 10 buts. En compétition, il a disputé 3 matches de Coupe des confédérations, 2 matches de Championnat d'Europe et 7 matches de Coupe du monde.

PanathinaĂŻkos

À l'été 2010, Govou franchit le pas d'un départ à l'étranger et signe pour 2 ans au Panathinaïkos, avec un salaire annuel de 1,5 M€, où évolue déjà son compatriote Djibril Cissé[7], et où il sera rejoint par Jean-Alain Boumsong.

Au mois d'octobre, le PanathainaĂŻkos exige des explications Ă©crites Ă  Sidney Govou après une nouvelle sortie nocturne non autorisĂ©e[8]. Il est condamnĂ© par son club Ă  une amende de 50 000 euros pour avoir enfreint Ă  deux reprises le règlement de l'Ă©quipe concernant les sorties nocturnes[9]. Quelques jours plus tard, il dĂ©ment par le biais de son avocat avoir Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  une amende par son club[10]. Ă€ la suite de problèmes et pour prouver sa motivation Ă  porter le maillot de l'Ă©quipe, il accepte de ne percevoir que 1 050 â‚¬ par mois, hors primes[11].

Evian Thonon Gaillard

En juillet 2011, le Panathinaïkos Athènes, en difficultés financières, résilie à l'amiable le contrat de Sidney Govou. Il fait alors son retour dans le championnat de France en s'engageant quelques jours plus tard en faveur du club d'Évian-Thonon-Gaillard pour deux saisons[12] - [13].

Le 10 mars 2012, Govou est victime d'une rupture du tendon d'Achille gauche, comme trois ans auparavant mais sur l'autre jambe, lors du match comptant pour la 27e journée de Ligue 1 face au FC Sochaux (défaite 2-3). Opéré avec succès deux jours plus tard, sa période d'absence est estimée entre quatre et six mois[14].

Le 16 mars 2013, au cours d'un match d'Évian-Thonon-Gaillard remporté 2-1 sur le terrain du LOSC pour le compte de la 29e journée du Ligue 1, Govou se fracture la rotule et se rompt le tendon rotulien sur un geste acrobatique. Son opération est prévue le mardi 19 mars 2013, sa durée d'indisponibilité est estimée à 6 mois[15]. Pascal Dupraz, l’entraîneur actuel d'Évian-Thonon-Gaillard dira le soir de la rencontre : « Cette victoire, je la dédie à Sidney Govou. Il mérite une plus belle fin de carrière donc on espère qu'il se remettra vite comme il l'a toujours fait. C'est un grand besogneux qui se soigne toujours rapidement. »[16] Personnalité très appréciée, les messages de soutien se multiplient. Lors de la trève estivale, le club d'Évian-Thonon-Gaillard annonce qu'il se separe de plusieurs de ses joueurs, dont Govou fait partie.

En 2022, le magazine So Foot le classe dans le top 1000 des meilleurs joueurs du championnat de France, Ă  la 69e place[17].

Fin de carrière et reconversion

Govou avec Chasselay en 2014.

Le 15 octobre 2013, l'Olympique lyonnais annonce que Govou a pris une licence amateur avec la réserve de l'OL. Il y porte le numéro 17. Puis le 27 janvier 2014, il rejoint Chasselay MDA, alors en championnat de France amateur. Après un an et demi dans cette formation, il part aux États-Unis et le championnat de PDL en signant au FC Miami City (en)[18] - [19]. À l'issue de la saison régulière où il joue onze rencontres[20], son équipe termine à la seconde position et il rejoint par la suite le FC Limonest, avec qui il monte en National 3 en 2016. En 2019, il est sur le banc quand le club de la banlieue lyonnaise se qualifie en 32es de finale de la Coupe de France, après avoir sorti l'US Créteil aux tirs au but[21]

On l'entend régulièrement sur les plateaux télé de Canal + consacrés au football ou dans les stades de Ligue 1. Au micro, il partage ses analyses techniques avec sa bonne humeur et son état d'esprit positif, utilisant une voix très calme[22].

En juin 2021, après un an de formation au CNF Clairefontaine, il est diplômé du DESJEPS mention football[23].

Statistiques

DĂ©tails par saison

Statistiques de Sidney Govou au 19 juin 2016[24]
Saison Club Championnat Coupe nationaleCoupe de la LigueSupercoupeCompétition(s)
continentale(s)
FranceTotal
Division M.B.P.d. M.B.P.d.M.B.P.d.M.B.P.d.Comp.M.B.P.d.M.B.P.d.M.B.P.d.
1999-2000 Drapeau de la France Olympique lyonnais Division 1 4 00 3 20------------- 720
2000-2001 Drapeau de la France Olympique lyonnais Division 1 28 52 4 10410---C1820--- 4492
2001-2002 Drapeau de la France Olympique lyonnais Division 1 29 105 1 00200---C1+C36+32+11+1--- 41137
2002-2003 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 29 75 1 01120130C1+C34+12+00+0820 45166
2003-2004 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 26 32 3 20100---C1901310 4263
2004-2005 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 36 84 2 00100100C1905500 5489
2005-2006 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 35 55 3 10110100C1710700 5485
2006-2007 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 28 14 2 10410---C1502520 4456
2007-2008 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 32 73 4 10100110C1814620 52127
2008-2009 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 15 11 1 00------C1410531 2552
2009-2010 Drapeau de la France Olympique lyonnais Ligue 1 30 22 1 00100---C111111000 5333
Sous-total 292493323811650440-75111549101 4598750
2010-2011 Drapeau de la Grèce Panathinaïkos Superleague 20 10 2 10------C1210--- 2430
2011-2012Drapeau de la France Évian Thonon Gaillard Ligue 1 18 11 3 10100---------- 2221
2012-2013Drapeau de la France Évian Thonon Gaillard Ligue 1 18 01 2 00101---------- 2102
Sous-total 3612510201---------- 4323
Total sur la carrière 343513529911851440-77121549101 5209153

Buts internationaux

Liste des buts en sélection de Sidney Govou
00 Date Lieu Compétition Résultat Adversaire Détail Sél.
1er Stade de France, Saint-Denis, FranceÉliminatoires Euro 2004V 5-0 SlovénieBut inscrit après 86 minutes 86ede la tête5-0 3e
2e Stade Geoffroy-Guichard, Saint-Étienne, FrancePremier tour de la Coupe des confédérations 2003V 2-1 JaponBut inscrit après 65 minutes 65edu pied gauche2-1 7e
3e Stade Roi Baudouin, Bruxelles, BelgiqueMatch amicalV 0-2 BelgiqueBut inscrit après 45+1 minutes 45+1edu pied droit0-1 10e
4e Stade de France, Saint-Denis, FranceÉliminatoires Euro 2008V 3-1 ItalieBut inscrit après 2 minutes 2edu pied droit1-0 25e
5e But inscrit après 55 minutes 55ede la tête3-1
6e Match amicalN 2-2 MarocBut inscrit après 15 minutes 15edu pied droit1-1 29e
7e Stade olympique, Kiev, UkraineÉliminatoires Euro 2008N 2-2 UkraineBut inscrit après 34 minutes 34edu pied droit1-2 30e
8e Gamla Ullevi, Göteborg, SuèdeMatch amicalV 2-3 SuèdeBut inscrit après 61 minutes 61edu pied droit1-2 35e
9e But inscrit après 77 minutes 77edu pied droit1-3
10e Stade Ernst-Happel, Vienne, AutricheÉliminatoires Coupe du monde 2010P 3-1 AutricheBut inscrit après 61 minutes 61edu pied droit2-1 36e
Total 10 buts (7 du pied droit, 1 du pied gauche et 2 de la tête), en 49 sélections entre le 21 août 2002 et le 22 juin 2010.

Palmarès

Olympique lyonnais FranceDistinctions personnelles

Elan club de Chaponost

Vie privée

Il se marie (aujourd'hui divorcé) le 18 juin 2011 avec Clémence Catherin à la mairie de Replonges dans l'Ain[25]. Ils sont les parents d'un garçon, Marley, né le 25 février 2009, et d'une fille, Jude, née le 20 février 2014. Sidney Govou a également une fille aînée, Naomy, née hors mariage le 11 février 2005, issue d'une précédente relation[26].

Annexes

Bibliographie

  • Je ne pensais pas aller si loin (avec Edward Jay), Ă©d. Jacob-Duvernet (9 juin 2011).
  • Gagner ce n'est pas normal (co-Ă©crit avec Edward Jay), Ă©d. Les PassionnĂ©s de bouquins (10 octobre 2022)

Liens externes

Références

  1. « Les conseillers municipaux », sur Saint-Didier-au-Mont-d’Or (consulté le )
  2. Rico Rizzitelli, Il s'en foot, Liberation.fr, « Portrait », 24 avril 2007, consulté le 5 janvier 2015
  3. Georges Govou, le père de Sidney est mort, Adjinakou, 22 septembre 2010, no 1618, vol. 7, consulté le 5 janvier 2015
  4. Thierry Hubac & Pierre Minier, « Espoir : Sidney Govou, le lion d'or », Onze Mondial, no 145,‎ , p. 64 à 67 (ISSN 0995-6921)
  5. « Finales jeunes », Onze Mondial, no 115,‎ , p. 85 (ISSN 0995-6921)
  6. « Ligue des champions de l'UEFA 2004-2005 », sur https://fr.uefa.com/uefachampionsleague/season=2004/statistics/round=1968/players/type=assists/index.html
  7. « Transfert: Sidney Govou a signé avec le Panathinaïkos », sur opl.fr, 3 juillet 2010.
  8. « Panathinaïkos: Govou sommé de s'expliquer sur une nouvelle nuit arrosée », sur opl.fr, 16 octobre 2010.
  9. « PanathinaĂŻkos : 50 000 euros d'amende pour Govou », sur opl.fr, 19 octobre 2010.
  10. « Sidney Govou dément avoir été sanctionné après une incartade nocturne », sur opl.fr, 23 octobre 2010.
  11. Govou prend le smic
  12. « Govou à Évian-TG (off.) », L'Équipe, (consulté le )
  13. « Évian source de jouvence pour Sidney Govou, roi du contre-pied », sur opl.fr, 5 juillet 2011.
  14. Govou « Quand je reviendrais... », francefootball.fr, 13 mars 2012.
  15. « - Foot - L1 - Evian-TG », sur L'Équipe, .
  16. Evian-TG : Sidney Govou gravement blessé à un genou, inquiétude pour sa carrière
  17. « Top 1000 : les meilleurs joueurs du championnat de France (70-61). #69 : Sidney Govou », sur sofoot.com, So Foot, (consulté le ).
  18. Sidney Govou en pige à Miami, L'Équipe, 1er juin 2015
  19. (en) Sidney Govou is part of FC Miami City Champions, FC Miami City Champions, 2 juin 2015
  20. (en) FC Miami City Champions - 2015 Statistics, Premier Development League
  21. Arnaud Detout, « Coupe de France : Quand Créteil tombe sur Sidney Govou », sur Le Parisien, (consulté le )
  22. Michel Bezbakh, « Faut-il tailler un costard aux footballeurs reconvertis en consultants ? », Télérama,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. Théo Bresson, « Diplôme d'Etat Supérieur JEPS mention Football - Liste des diplômés » Accès libre, sur fff.fr, (consulté le )
  24. « Fiche de Sidney Govou », sur footballdatabase.eu
  25. « Govou s’est marié à Replonges », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. « Sidney Govou, l'attaquant des Bleus et de l'OL... est papa ! », sur http://www.purepeople.com
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