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Sans enfant par choix

Sans enfant par choix (en anglais : childfree) est un terme utilisé pour décrire les personnes qui choisissent de ne pas avoir d’enfants. Ce mouvement, né aux États-Unis dans les années 1970, en a débordé les frontières pour gagner principalement les pays développés.

Les enfants portent atteinte à la liberté
 
54%
Élever des enfants prend trop de temps et d'énergie
 
35%
Le partenaire ne voulait pas d'enfants
 
28%
Difficultés à concilier travail et enfants
 
26%
Pas de besoin impérieux / inadéquation
 
23%
Raisons de santé ne permettant pas d'avoir des enfants
 
18%
Les enfants coûtent trop cher
 
7%
Difficile d'obtenir des services de garde d'enfants
 
5%
Raisons pour lesquelles les femmes néerlandaises choisissent de ne pas avoir d'enfants, 2004[1]

Distinction entre « sans enfant par choix » (childfree) et « sans enfant par contrainte » (childless)

Il convient de faire la différence entre :

  • les « sans enfant » par choix (childfree by choice) ;
  • et les « sans enfant » qui dĂ©sirent des enfants, mais qui n’en ont pas pour diverses raisons indĂ©pendantes de leur volontĂ© (childless).

En anglais, le terme childfree décrit une personne qui n’a pas le désir d’avoir des enfants ; ce mot contraste avec childless où le suffixe « ‑less » indique une privation, un manque.

Le mot childfree a été utilisé la première fois le dans un article de Time, en référence à la création de l’Organisation internationale des Non-Parents. Ce terme a été repris dans les années 1990 au moment de la formation par Leslie Lafayette d'un groupe destiné aux sans enfant par choix : le « réseau des sans enfant par choix » (The Childfree Network).

Histoire

Amérique du Nord

L’Organisation nationale des Non-Parents (NON) a été fondée en 1972 à Palo Alto[2], en Californie, par Ellen Peck et Shirley Radl. La NON a été créée pour défendre la notion qu’hommes et femmes peuvent volontairement décider de ne pas avoir d’enfant. Elle a par la suite changé de nom pour devenir l’Alliance nationale du choix d’être parent (National Alliance for Optional Parenthood). D’après son règlement, le but de l’Alliance était de montrer au grand public que ne pas avoir d’enfants est un choix de vie valide, ainsi que de soutenir les personnes qui ont choisi de ne pas avoir d’enfants, promouvoir la prise de conscience du problème de surpopulation et assister d’autres groupes qui poursuivent les mêmes objectifs de l’organisation.

En 1984, l'organisation No Kidding! International est créée à Vancouver, au Canada par Jerry Steinberg, dans le but de faire connaître le mode de vie childfree et de permettre aux personnes de faire la différence entre childless et childfree. Elle s'étend dans plusieurs pays anglophones et organise des événements et rencontre childfree. En 2010, la convention No Kidding! International s'est tenue à Houston, Texas.

En 1991, l'auteure et professeure Leslie Lafayette fonde The Childfree Network, le premier réseau de personnes sans enfants. Une première conférence se tient à Sacramento en Californie[3].

L'écrivaine américaine pro-childfree Laura Caroll créé l'International Childfree Day en 2013[4].

Europe

En Angleterre, Kidding Aside est une association fondée en 2000 afin de lutter pour les droits des personnes childfree[5].

La Fête des Non-Parents, créée en 2009 par l’écrivain antinataliste Théophile de Giraud et la musicologue Frédérique Longrée, dont trois éditions auront lieu entre 2009 et 2011 en alternance à Paris et à Bruxelles. En 2012, il organise un happening à Paris avec le CLOD (Collectif des lutins obstinément dénatalistes) afin de sensibiliser l'opinion publique à la surpopulation. Il s'agit alors d'une distribution de préservatifs devant la basilique du Sacré-Cœur autour de banderoles réclamant une « grève des ventres »[6].

L'Union des childfree francophones est une association loi de 1901 créée en 2014[7].

Motivations

De nombreuses raisons peuvent être avancées quant au choix d'une vie sans enfants, et les personnes « sans enfant par choix » se retrouvent souvent dans plusieurs d'entre elles.

Les motivations sont très différentes, lorsqu'on demande à des personnes « sans enfant par choix » de les énumérer, de celles indiquées par un public général interrogé sur les motivations de ces personnes.

Les motivations énumérées ci-dessous se retrouvent notamment dans les ouvrages suivants (souvent via des témoignages directs de childfrees) : Émilie Devienne, Être femme sans être mère [8] ; Gisèle Palancz, Pas de bébé à bord[9] ; Nathalie Six, Pas d'enfants, ça se défend[10] ; Isabelle Tilmant, Épanouie avec ou sans enfant[11] et Edith Vallée, Pas d'enfant, dit-elle[12].

Selon un sondage réalisé en 2010, 5% de la population française (6,3 % d’hommes et 4,3% de femmes) ne souhaite pas avoir d’enfant principalement pour « rester libre » et « l’épanouissement personnel »[13].

Une étude française réalisée en 2017 sur 737 personnes se déclarant « childfree » sur un panel jeune (59% des personnes ayant répondu ont moins de 29 ans) présente les problématiques contemporaines de la non-parentalité choisie via ses permanences (notamment la stigmatisation des femmes ou le difficile accès à la stérilisation) et ses ruptures (par exemple le recours aux réseaux sociaux comme espace d’entraide ou la revendication de l’absence de désir d’être parent comme raison principale de ce choix de vie)[14].

Pour l'opinion générale

Ainsi, pour l'opinion générale, les motivations qui semblent les plus évidentes sont :

  • absence d’instinct paternel ou maternel[15] ;
  • absence d'intĂ©rĂŞt pour les tâches propres Ă  la vie de parent ;
  • sentiment d'incapacitĂ© d’être un parent responsable ;
  • refus de sacrifier son temps pour des enfants ;
  • refus d'engager les dĂ©penses liĂ©es au fait d’avoir des enfants.

Pour les personnes concernées

Respect de la femme et du fœtus

  • risque qu’un Ă©tat mĂ©dical prĂ©existant comme le diabète, la dĂ©pression ou une croissance extra-utĂ©rine puisse provoquer une grossesse difficile ou dangereuse, ou entraĂ®ner des difficultĂ©s pour Ă©lever l’enfant ;
  • inquiĂ©tudes quant aux maladies hĂ©rĂ©ditaires ou gĂ©nĂ©tiques qui pourraient frapper l'enfant ;
  • inquiĂ©tudes quant Ă  la rĂ©partition des tâches dans le couple, l'Ă©ducation des enfants ;
  • volontĂ© de ne pas subir la grossesse et l'accouchement, voire parfois la tokophobie ;
  • conviction que les femmes sont formatĂ©es dès l'enfance Ă  un rĂ´le de mère[16], ou que la maternitĂ© est un frein dans la vie d'une femme, comparĂ© Ă  l'impact qu'un enfant peut avoir sur la vie d'un homme.

Respect de l'enfant

  • ferme conviction que le fait de crĂ©er une nouvelle vie est avant tout un acte Ă©goĂŻste. Le parent crĂ©e (lorsque c'est volontaire et rĂ©flĂ©chi) ce nouvel ĂŞtre par Ă©goĂŻsme, non de façon dĂ©sintĂ©ressĂ©e, et finalement pour des motivations pouvant apparaĂ®tre vaines pour certaines d'entre elles, telles que : avoir un bĂ©bĂ© (termes en dĂ©finitive bien rĂ©ducteurs et non reprĂ©sentatifs de ce que constitue rĂ©ellement, Ă  plus ou moins long terme, le fait d'engendrer un ĂŞtre humain), peur de se retrouver seul en fin de vie, moyen de retenir son conjoint, cĂ©der aux pressions familiales et plus gĂ©nĂ©ralement sociales, devenir une femme accomplie, avoir un statut social, faire perdurer le nom de famille, obtenir des aides sociales, transmettre ses gènes, voir Ă  quoi ressemblerait un "mini-nous", payer les retraites futures, donner des petits-enfants aux parents, ou des cousins et neveux Ă  la famille, etc. ;
  • volontĂ© de n'ĂŞtre ni auteur ni complice des problèmes liĂ©s Ă  l'enfance : abandon, dĂ©laissement, harcèlement en milieu scolaire, mauvais traitements, traumatismes, etc. ;
  • volontĂ© de ne pas faire naĂ®tre un humain qui devra assumer les fautes supposĂ©es des gĂ©nĂ©rations prĂ©cĂ©dentes ;
  • volontĂ© de ne pas transmettre son patrimoine gĂ©nĂ©tique (maladies hĂ©rĂ©ditaires, troubles psychologiques ou comportementaux) ;
  • refus de faire porter Ă  l'enfant le poids d'un passĂ© familial difficile ;
  • refus de renouveler les erreurs de ses propres parents ;
  • refus d'imposer Ă  quiconque une existence a priori moins heureuse dans un avenir devenu incertain (surpopulation, pollution, Ă©puisement des ressources naturelles, dĂ©règlement climatique, inĂ©galitĂ©s sociales…) ;
  • refus d'imposer Ă  quiconque la vie et tout ce qu'elle reprĂ©sente (bonnes et mauvaises choses, mais aussi sa finalitĂ© : la mort), avec la notion que personne n'a demandĂ© Ă  naĂ®tre, avec le questionnement suivant : qu'est-ce qui autorise finalement un ĂŞtre humain Ă  en crĂ©er un autre ?

Respect du couple

  • crainte que l’intimitĂ© du couple diminue de façon significative en devenant parents ;
  • crainte de la sĂ©paration et de ce que cela implique (garde partagĂ©e, pension alimentaire, etc.) ;
  • dĂ©sir de conserver une excellente relation de couple sans que les enfants deviennent un sujet de dispute.

Respect de la société

  • volontĂ© de ne pas faire peser une charge supplĂ©mentaire pour la collectivitĂ© et les dĂ©penses publiques.
  • volontĂ© d'Ă©pargner la sociĂ©tĂ© contre l'Ă©ventuelle dĂ©rive comportementale de l'enfant qui peut devenir un individu prĂ©judiciable Ă  lui-mĂŞme ou Ă  autrui.

Respect de la planète

  • conviction que le fait de ne pas mettre au monde d'enfant est un service Ă  rendre Ă  la planète ;
  • inquiĂ©tudes concernant les facteurs environnementaux et la surpopulation de la planète

Autres motivations

  • Refus de tomber dans l'idĂ©alisation qui prĂ©vaut souvent Ă  la crĂ©ation d'un ĂŞtre humain. Tout ĂŞtre humain a d'abord Ă©tĂ© un bĂ©bĂ©, cependant ce stade Ă©phĂ©mère, limitĂ© dans le dĂ©roulement de la vie d'un individu semble, pour beaucoup, souvent prĂ©valoir dans la motivation, l'envie de crĂ©er un ĂŞtre humain, en occultant le fait que ce mĂŞme individu sera lui aussi un jour adolescent, adulte, etc., et ne restera pas au stade bĂ©bĂ© toute sa vie. Ce qui semble finalement ĂŞtre oubliĂ© par beaucoup d'adultes (qui furent pourtant eux-mĂŞmes aussi des bĂ©bĂ©s), souhaitant se reproduire mais paraissant oublier cela, sans prendre alors conscience que ce qu'ils crĂ©ent est Ă©galement - et avant tout - un ĂŞtre humain, une vie, une existence (et non un simple bĂ©bĂ©) avec tout ce que cela reprĂ©sente pour ce nouvel ĂŞtre dans le prĂ©sent comme dans l'avenir ;
  • contribuer Ă  l'humanitĂ© autrement qu'en crĂ©ant une vie qui n'a rien demandĂ©, en s'occupant des vies dĂ©jĂ  prĂ©sentes dans le besoin (voire religieux ou humanistes) ;
  • considĂ©ration qu’élever des enfants est une entrave au dĂ©veloppement culturel et intellectuel ;
  • refus de sacrifier sa vie privĂ©e, son temps ou son espace personnel pour des enfants ;
  • conviction qu'on peut contribuer Ă  l'humanitĂ© en travaillant et non en procrĂ©ant ;
  • absence de moyens suffisants ;
  • absence de logement dĂ©cent ;
  • conviction du nĂ©omalthusianisme : ne pas produire la chair Ă  canon pour les guerres et l'exploitation des bourgeois (thĂ©orie anarchiste), ainsi qu'une inquiĂ©tude concernant la surpopulation (reprenant la thĂ©orie initiale du philosophe Malthus).
  • impossibilitĂ© de concevoir une vie dĂ©cente pour une descendance dans un contexte social, culturel ou religieux particulier ;

Branches

Si le mouvement childfree est né en opposition au pronatalisme, et poussé par les luttes de la deuxième vague féministe, plusieurs branches distinguent :

  • les no kids ne veulent tout simplement pas d'enfant pour diverses raisons (non-dĂ©sir d'enfant, dĂ©sintĂ©rĂŞt envers les enfants, etc.) ;
  • les dĂ©natalistes et anti-natalistes, et notamment le VHEMT (Voluntary Human Extinction Movement) fondĂ© en 1991 par les U. Knight[17], prĂ´nent une diminution ou une extinction volontaire de l'humain par la non-procrĂ©ation, pour des raisons Ă©cologiques, parfois par idĂ©ologie nĂ©omalthusianiste ou encore nihiliste ;
  • les childfrees pro-choix, issus du fĂ©minisme pro-choix ; s'ils ne veulent pas d'enfants, ils ne sont pas dĂ©natalistes car ils ne sont pas opposĂ©s Ă  la procrĂ©ation sous toutes ses formes, du moment qu'elle ne les concerne pas ;
  • les GINKS, littĂ©ralement Green Inclination No Kids, qui renoncent Ă  la parentalitĂ© pour des raisons Ă©cologiques.

Luttes

Selon les courants, les childfrees soutiennent différentes causes : droit à disposer de son corps, prévention des maltraitances infantiles, des grossesses non désirées, renforcement du contrôle des naissances.

Personnalités sans enfant par choix

Bibliographie

  • Élisabeth Badinter, L’amour en plus, Paris, Flammarion, 1980
  • Meghan Daum (direction d’ouvrage) (trad. de l'anglais par Julia Kerninon), Ils vĂ©curent heureux et n'eurent pas d'enfants [« Selfish, Shallow & Self-Absorbed: Sixteen Writers On The Decision Not To Have Kids »], Paris, Kero, , 270 p. (ISBN 978-2-36658-508-7)
  • Émilie Devienne, ĂŠtre femme sans ĂŞtre mère : le choix de ne pas avoir d'enfant, Paris, Robert Laffont, 2007
  • ZoĂ« Dubus et Yvonne Knibiehler, La non-parentalitĂ© au XXIe siècle : Ă©tude des childfree, Sextant, n°36, 2020, p. 191-209
  • Lucie Joubert, L’envers du landau : regard extĂ©rieur sur la maternitĂ© et ses dĂ©bordements, MontrĂ©al, Triptyque, 2010
  • Katia Kermoal, L’enfantasme : quel bonheur de ne pas avoir d'enfant !, Genève, Good Heidi Production, 2010
  • Corinne Maier, No kid : quarante raisons de ne pas avoir d'enfant, Paris, Michalon, 2007
  • (en) Christine Overall (en), Why Have Children?: The Ethical Debate, Cambridge (Massachusetts), The MIT Press, 2012
  • Gisèle Palancz, Pas de bĂ©bĂ© Ă  bord : choisir de ne pas avoir d’enfant… envers et contre tous !, Saint-Sauveur (QuĂ©bec), Marcel Broquet, 2010
  • Nathalie Six, Pas d'enfants, ça se dĂ©fend ! : enquĂŞte sur le phĂ©nomène des non-parents, Paris, Max Milo, 2011
  • Isabelle Tilmant, Épanouie avec ou sans enfant, Paris, Anne Carrière, 2008
  • Édith VallĂ©e, Pas d'enfant, dit-elle : les refus de la maternitĂ©, Paris, Imago, 2005
  • Bettina Zourli, Childfree - Je ne veux pas d'enfant, Ă©ditions Spinelle, 2019

Thèses

Filmographie

  • Maman ? Non merci ! Magenta Baribeau, film documentaire, 74 min, 2015.
  • Childfree, et alors ? Charlotte et Fabrice, film documentaire, 58 min, 2012.
  • L'embarras du choix, Isabelle Taveneau, film documentaire, 66 min, 2006.
  • Le Choix de Macha, Marianne Lamour, tĂ©lĂ©film, 110 min, 2002.

Notes et références

  1. (nl) Arie de Graaf, « Childlessness and education level » [archive du ], Statistics Netherlands, (consulté le )
  2. Andreea-Catalina Panaite, « Anne Gotman, Pas d’enfant. La volonté de ne pas engendrer », Enfances Familles Générations. Revue interdisciplinaire sur la famille contemporaine,‎ (ISSN 1708-6310, lire en ligne, consulté le )
  3. Enid Nemy, « No Children. No Apologies. », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  4. « International Childfree Day », sur Population Media Center, (consulté le )
  5. Kidding Aside, consulté le=2017-02-19
  6. « « Ils veulent tuer tout le monde » : feu sur Nokidland », L'Obs,‎ (lire en ligne)
  7. « Union des Childfree Francophones - À propos | Facebook », sur www.facebook.com (consulté le )
  8. « Emilie Devienne : « L'enfant n'est pas le garant du couple » », sur Le Journal des Femmes, (consulté le )
  9. « Ces femmes qui ne veulent pas d’enfant », sur Femme Actuelle, (consulté le )
  10. « Nathalie Six : interview pour « Pas d'enfants, ça se défend » », sur Les Chroniques de Mandor, (consulté le )
  11. « Isabelle Tilmant : « Epanouie avec ou sans enfant » », sur Le Blog d’Isabel, (consulté le )
  12. « Elles assument de ne pas désirer d'enfant », sur Le Parisien, (consulté le )
  13. Madame Figaro, « Les "Ginks", ces femmes qui renoncent à la maternité pour sauver l'environnement », sur Madame Figaro, (consulté le )
  14. Zoë Dubus et Yvonne Knibiehler, « La non-parentalité au XXIe siècle : étude des childfree », Sextant: Revue du Groupe interdisciplinaire d'Etudes sur les femmes, no 36,‎ , p. 191 (lire en ligne, consulté le )
  15. l'existence même de l'instinct maternel est d'ailleurs remise en doute par les sciences humaines ; on citera entre autres l'anthropologue et primatologue Sarah Blaffer Hrdy et la philosophe Élisabeth Badinter
  16. « La non-maternité, ultime liberté • Féminin singulier • childfree • Philosophie magazine », sur www.philomag.com (consulté le )
  17. « Avec la secte qui souhaite que l’humanité meure pour sauver la planète - VICE », sur Vice,
  18. « Thomas Pesquet : son choix de ne pas avoir d'enfant », sur PARENTS.fr, (consulté le )
  19. L'essentiel, « Pesquet n'a «ni le temps ni l'envie» d'avoir des enfants », sur L'essentiel (consulté le )
  20. Richard Matthew Stallman, « Pourquoi il est important de ne pas avoir d'enfant. », sur Site personnel de Richard Stallman, 2012, 2017 (consulté le )
  21. (en) Richard Matthew Stallman, « Why it is important not to have children. », sur Richard Stallman's Personal Site, (consulté le )
  22. Nadia Daam, « Condoleezza Rice, Cameron Diaz et Oprah Winfrey n’ont pas d’enfants. Et elles vont bien, merci », Slate.fr,‎ (lire en ligne)
  23. Mona Chollet, « La vie est un manège », sur www.périphérie.net, (consulté le )

Annexes

Pages connexes

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