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Saint-Sauveur-de-Pierrepont

Saint-Sauveur-de-Pierrepont est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 118 habitants[Note 1].

Saint-Sauveur-de-Pierrepont
Saint-Sauveur-de-Pierrepont
L'église Sainte-Trinité.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Fabienne Angot
2020-2026
Code postal 50250
Code commune 50548
Démographie
Gentilé Pierrepontais
Population
municipale
118 hab. (2020 en diminution de 13,24 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 20′ 08″ nord, 1° 35′ 39″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 42 m
Superficie 8,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Créances
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Sauveur-de-Pierrepont
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Saint-Sauveur-de-Pierrepont

    Géographie

    La commune est au sud-ouest de la péninsule du Cotentin. Son bourg est à km au nord-ouest de La Haye-du-Puits, à km à l'est de Portbail et à km au sud-ouest de Saint-Sauveur-le-Vicomte[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 11 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 862 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Barneville Carteret », sur la commune de Barneville-Carteret, mise en service en 1986[10] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[11] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 603,9 mm pour la période 1981-2010[12].

    Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 34 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,7 °C pour 1981-2010[15], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sauveur-de-Pierrepont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [17] - [18] - [19].

    La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (62,8 %), terres arables (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), zones humides intérieures (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Salvador de Perrepont en 1153[24].

    L'hagiotoponyme Saint-Sauveur désigne le Christ. Pierrepont serait dû à la présence d'un pont de pierre[25], sur une voie romaine[26].

    Le gentilé est Pierrepontais[25].

    Histoire

    Sur le territoire de la commune de nombreux objets d'origine romaine et mérovingienne furent découvert[26].

    L'abbaye de la Fontenelle y possédait un domaine servant de retraite aux moines[26]. Saint Gervold, abbé de la Fontenelle, fut l'un des missi dominici du Cotentin, nommé par Charlemagne et enterré à Pierrepont en 806[26].

    Au XIIe siècle, la paroisse relevait de l'honneur de Saint-Sauveur-le-Vicomte[27].

    Combat du

    En position favorable, mais dans un inégal rapport de force de 1 contre 10, une trentaine de marins et 80 soldats français, commandés par l'ingénieur du génie maritime Ramas, barrent la route face aux blindés de Rommel. Après une tentative de pourparlers, un combat acharné s'engage. Au bout d'une trentaine de minutes, Henri Ramas est tué ainsi que deux de ses hommes. Cette résistance permet de retarder l'avance des Allemands de plus d'une dizaine d'heures, ce qui permet aux forces britanniques de rembarquer et d'effectuer le sabotage du matériel qui aurait pu servir à l'ennemi. Les blindés allemands seront encore arrêtés à km de Cherbourg au pont de Martinvast[28].

    Fusions de communes

    Le , Baudreville, Bolleville, Saint-Nicolas-de-Pierrepont et Saint-Sauveur-de-Pierrepont fusionnent tout en conservant un statut de communes associées, la commune ainsi créée prenant le nom de Pierrepont-en-Cotentin. Le , imitant Baudreville qui s'était retirée en 1980, Bolleville, Saint-Nicolas-de-Pierrepont et Saint-Sauveur-de-Pierrepont se séparent, mettant fin à l'existence de la commune de Pierrepont-en-Cotentin.

    Politique et administration

    Liste des maires[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1943 1945 Louis Lerossignol
    1945 1947 Louis Vignon
    1947 1972 Roger Angot
    1972 1982 Roger Angot Maire de Pierrepont-en-Cotentin (commune fusionnée)
    1982 1995 Roger Angot
    juin 1995[29] mars 2014 Pierre Hardy SE Agriculteur
    mars 2014[30] En cours Jocelyne Vignon SE Secrétaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[30].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 118 habitants[Note 8], en diminution de 13,24 % par rapport à 2014 (Manche : −0,97 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    516545585575587593591590555
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    542524488441426393401407384
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    365301274252254277282240237
    1962 1968 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020
    210186121143134132134123118
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'ancienne église de Saint-Sauveur-de-Pierrepont.
    Pour mémoire
    • Motte, qui relevait du fief de Saint-Sauveur, signalée par Gerville qui la situait au lieu-dit le Castel de Montauban (Gerville C., 1825, 187), qui n'existe plus de nos jours et dont l'emplacement au nord-est de la paroisse en bordure de prairies marécageuses s'appelle la lande de Lingrehou. Les deux champs qui portent ce nom sont aujourd'hui sont tous les deux entourés par une petite rivière[38]. Selon André Davy, c'est Richard de Saint-Sauveur, dit le danois (880-993), fils de Malalulce Eyesteinson et de Maud de Flandres qui aurait construit un fort au passage de Pierrepont[39].
    • Lion ailé, XIIe siècle.
      Lion ailé, XIIe siècle[40].
    • Saint Mathieu, XIIe siècle.
      Saint Mathieu, XIIe siècle[41].
    • Christ en Majesté, XIIe siècle.
      Christ en Majesté, XIIe siècle.

    Activité, manifestations et label

    La commune est un village fleuri (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[42].

    Personnalités liées à la commune

    Émile Couillard (1880-1951), écrivain et abbé, historien du Mont-Saint-Michel, est né et a grandi à Saint-Sauveur-de-Pierrepont, dans le hameau des Duvées.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Barneville Carteret - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Pierrepont et Barneville-Carteret », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Barneville Carteret - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Saint-Sauveur-de-Pierrepont et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 3 : Formations dialectales (suite) et françaises, Genève, (lire en ligne), p. 1524.
    25. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 603.
    26. André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 41.
    27. Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècle) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 181-182.
    28. « Site de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre - Le combat héroïque de Henri Ramas et de ses hommes dans la défense de Cherbourg juin 1940 » [PDF].
    29. « Saint-Sauveur-de-Pierrepont. Pierre Hardy ne se représentera pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. « Jocelyne Vignon est élue maire », sur Ouest-france.fr (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. « Notice n°PA00110538 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-913920-38-5), p. 51.
    37. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 111.
    38. Delacampagne 1982, p. 202.
    39. Davy 2014, p. 62.
    40. « Notice n°PM50000827 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « Notice n°PM50000826 », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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