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SaĂŻmiri commun

Saimiri sciureus • Singe-écureuil commun, Sapajou jaune

Le Saïmiri commun ou Singe-écureuil[1] commun (Saimiri sciureus) est une espèce de singe de la famille des Cebidae et fait partie des singes du Nouveau Monde.

DĂ©nominations

  • Singe-Ă©cureuil commun[2], Sapajou jaune[2], SaĂŻmiri aurore[2], SaĂŻmiri Ă  dos brĂ»lĂ©[2], SaĂŻmiri sciurin[2], Singe-Ă©cureuil guyanais[3]
  • Sapajou blancsaĂŻmiri jaune
  • Boca-prĂŞta (« bouche noire ») ou macaco-mĂŁo-de-ouro (BrĂ©sil).
  • Fraile, frailecillo ou frailecito (PĂ©rou).
  • Barizo, bariso, nequine (nom huaorani) (Équateur).
  • Chichico, dĂ­yu (nom indien) (Colombie).
  • Mono cavalera (Venezuela).
  • Eekhoornaap, monki-monki (Suriname).
  • weti mongi, waka winta, kessi kessi (peuple aluku), akalimin (peuple kalin'a), kusilisi (peuple wayampi), kuanan (peuple wayana), en Guyane française.
  • Mono titi (Costa Rica)
  • SaĂŻmiri Ă  grandes dents (Saimiri sciureus macrodon),
  • SaĂŻmiri du Casiquiare (Saimiri sciureus cassiquiarensis).

Au Guyana, son nom crĂ©ole est sakiwinki et son nom en langue macuxi est karima (les Indiens Xipaia du Rio XingĂş dans le Pará au nord du BrĂ©sil l’appellent aussi karimĂŁ). Les indigènes du Surinam le surnomment « monkey-monkey monkey Â», le singe-singe des singes, autrement dit l’archĂ©type du singe, bonne intuition si l’on songe que les plus vieux fossiles de singes du Nouveau Monde appartiennent Ă  ce groupe.

Habitat

Il vit dans tous les types de forĂŞt secondaire sauf la forĂŞt sèche, de l’igapĂł inondĂ© aux forĂŞts couloirs riches en lianes en passant par la mangrove et les forĂŞts marĂ©cageuses et ce jusqu’à 2 000 m d’altitude. Il affectionne les forĂŞts secondaires et semblerait n’exploiter la forĂŞt primaire que temporairement. Il survit mĂŞme dans les Ă®lots dĂ©gradĂ©s.il vit en groupe de 300 environ oĂą chacun a son rĂ´le[4]

Sympatrie et association

Il vit souvent en compagnie du capucin brun (Cebus (S.) apella), du capucin olive (Cebus (C.) olivaceus) et du capucin à front blanc (Cebus (C.) albifrons) avec lesquels il voyage plusieurs heures durant, profitant de l’exceptionnelle vigilance des sapajous et capucins vis-à-vis des prédateurs. Il s’associe aussi à l’ouakari rubicond (Cacajao calvus rubicundus) et à l’ouakari à tête noire (Cacajao melanocephalus). Le groupe suractif est suivi de près par diverses espèces d’oiseaux comme les toucans qui attrapent au vol les créatures dérangées par le passage des singes. À la saison humide, lorsque la forêt est inondée, certains poissons accompagnent les trajets des virevoltants primates pour récupérer les fruits tombés à l’eau.

Distribution

On le trouve au nord-ouest de l’Amérique du Sud. Sur l’ensemble du bassin de l'Amazone depuis l’est de l’Équateur jusqu’au Rio Parnaíba au nord-est du Brésil. On le rencontre en Amérique centrale jusqu'au sud du Costa Rica.

Sous-espèces

Quatre sous-espèces sont reconnues :

  • Sapajou jaune[1] ou SaĂŻmiri des Guyanes (S. s. sciureus) : Guyanes (Guyana sauf l’extrĂŞme nord au nord du Rio Barima, Surinam, Guyane française) et BrĂ©sil au nord de l’Amazone, Ă  l’ouest depuis l’est des Rios Negro puis Demene et Ă  l’est jusqu’à l’Atlantique ainsi qu’au sud de l’Amazone dans un petit triangle compris entre le l’île MarajĂł au nord, le bas Rio Tocantins Ă  l’ouest et le Rio PindarĂ©-Mirim Ă  l’est, entre 0 et 100 m d’altitude ; ce taxon serait Ă©galement prĂ©sent sporadiquement juste au sud de l’Amazone entre TĂ©fĂ© et SantarĂ©m avec des zones de sympatrie et d’hybridation avec le SaĂŻmiri Ă  dos dorĂ© (S. ustus).
  • SaĂŻmiri de Humboldt (S. s. cassiquiarensis) : Sud du Venezuela (zone amazonienne), quelques zones de l’est de la Colombie (sud du RĂ­o Meta) et extrĂŞme nord-ouest du BrĂ©sil Ă  l’ouest des Rios Demene-Negro. Populatiojn isolĂ©e dans le PN du Pico da Neblina. SpĂ©cimens d’aspect particulier dans la RĂ©serve d’AmanĂŁ.
  • SaĂŻmiri de Colombie (S. s. albigena) : Est de la Colombie (depuis les pentes de la Cordillère orientale Ă  l’ouest jusqu’à une distance inconnue vers l’est dans les llanos), entre 150 et 1 000 m d’altitude.
  • SaĂŻmiri de l’Équateur (S. s. macrodon) : ExtrĂŞme sud et sud-est de la Colombie (au nord jusqu’au RĂ­o Apaporis, au sud jusqu’au RĂ­o Putumayo), est de l’Équateur (Ă  l’est de la Cordillère des Andes), centre-nord, nord et nord-est du PĂ©rou (Ă  l’ouest jusqu’au RĂ­o Marañon, au nord jusqu’au RĂ­o Putumayo, Ă  l’est jusqu’au Rio JavarĂ­, au sud jusqu’à environ 7°S et chevauchant partiellement l’aire du SaĂŻmiri du PĂ©rou entre les RĂ­os Tapiche et Ucayali) et nord-ouest du BrĂ©sil (entre les Rios Japurá au nord, Juruá Ă  l’est et au sud, JavarĂ­ Ă  l’ouest).

Description

Robe courte, Ă©paisse, douce et brillamment colorĂ©e. Dessus gris olivacĂ© plus ou moins brillant. Dessous jaune pâle Ă  blanchâtre. Avant-bras, pieds et mains dorĂ©s Ă  jaune orangĂ© brillant. Gorge et menton blanchâtres. La queue lĂ©gèrement touffue est olivacĂ©e avec une extrĂ©mitĂ© noire dessus et plus pâle dessous. Elle n’est prĂ©hensile que chez le jeune enfant. Le museau noir presque nu contraste avec la face rose elle-mĂŞme cerclĂ©e de « lunettes » blanches. Couronne agouti, le noir n’y Ă©tant jamais prĂ©dominant. Grands yeux rapprochĂ©s et oreilles « humaines » cachĂ©es par des touffes blanches. Les femelles ont souvent une tĂŞte et des joues plus sombres que les mâles. Les canines du mâle (3,5 mm) sont plus dĂ©veloppĂ©es que celles de la femelle (2,7 mm).

Saïmiri des Guyanes (S. s. sciureus) : Corps agouti chamoisé, un peu plus jaune sur le dos au sud de la basse Amazone. Avant-bras, pieds et mains jaunâtres ou orangés. Couronne gris agouti, davantage suffusé de jaune au sud de l’Amazone, bordée ou suffusée de noire chez la femelle. Pas de bande nucale. Saïmiri de l’Équateur (S. s. macrodon) : Phénotype identique au précédent. Saïmiri de Humboldt (S. s. cassiquiarensis) : Corps fauvâtre orangé. Couronne fauvâtre. Collier nucal clair légèrement contrastant. Saïmiri de Colombie (S. s. albigena) : Dos gris agouti avec une teinte orangée. Avant-bras et mains agouti grisâtre. Couronne et nuque grisâtres ou agouti chamoisé.

Mensurations

Le mâle mesure de 25 Ă  37 cm sans la queue qui fait de 37 Ă  46 cm. Il pèse de 0,7 Ă  1,1 kg.

La femelle mesure de 23 Ă  30 cm avec une queue de 37 Ă  44 cm. Son poids va de 0,5 Ă  0,75 kg.

Le cerveau pèse en moyenne 24,4 g.

Le rapport longueur bras/jambes est de 0,791.

Ils ont 44 chromosomes.

Domaine

Le domaine mesure de 1 Ă  5 km2.

Densité

La densitĂ© des animaux varie grandement : 20 Ă  30 individus/km2 en Colombie, mais beaucoup moins dans certaines localitĂ©s (11,3 individus/km2 Ă  Ayo, 5,4 Ă  Pintadillo et 3,1 Ă  CaparĂş, Ă  l’extrĂŞme sud de la Colombie).

Locomotion

Quadrupède. Sauteur. Budget de locomotion (Surinam) : déplacement quadrupède (55 %), saut (45 %) et grimper (3 %). Lorsqu’il s’alimente, ces pourcentages varient sensiblement (87 %, 11 %, 2 %). La queue non préhensile est souvent portée enroulée ou en spirale autour d’un rameau pour donner de l’appui. Lorsqu’il fait la sieste allongé sur une branche, il a la queue pendante et les bras ballants. Dort recroquevillé, tête basse, la queue entre les jambes et enroulée par-dessus une épaule.

Comportements basiques

C'est un animal arboricole diurne.

Activités

Le SaĂŻmiri commun Ă©volue dans les arbres avec une grande vitesse en passant de la canopĂ©e Ă  la strate basse de la forĂŞt et inversement. Il touche rarement la terre et parcourt chaque jour 1,5 km. Utilise des passages aĂ©riens prĂ©cis entre les branches. Ces chemins, partie intĂ©grante du territoire, sont marquĂ©s grâce Ă  des sĂ©crĂ©tions glandulaires (surtout celles de la queue). Son temps est organisĂ© de la façon suivante : dĂ©placements (environ 27 % de son temps), alimentation (61 %), repos et interactions sociales (12 %). Ă€ la nuit tombĂ©e, la troupe s’endort sur les branches terminales de plusieurs arbres voisins, souvent Ă  proximitĂ© du groupe de capucins avec laquelle elle s’est associĂ©e. Budget d’activitĂ©s (P. de Gunma, État du Pará, BrĂ©sil) : dĂ©placements (27,4 %), recherche alimentaire (42,9 %), alimentation (13,4 %), interactions sociales (9,5 %) et repos (6,8 %).

Alimentation

Frugivore-insectivore. Grande acuité gustative (perçoit des concentrations de sucre très faibles). Il consomme toutes sortes de végétaux (fruits, baies, noix, fleurs, bourgeons, feuilles, graines, gomme), beaucoup de petits invertébrés (sauterelles, cafards et araignées) - il pourrait survivre rien qu’en mangeant des insectes, parfois des mollusques ainsi que des petits vertébrés comme les grenouilles arboricoles. Les baies sont cueillies à l’extrémité des branches. Au sud de la Colombie : gousses de diverses espèces d’ingá (Inga sp.) surtout au bord des rivières et dans la várzea, fruits du guacure (Poraqueiba sericea), de l’ukúyu (Macoubea witotorum) et de la « liane de l’acouchi », noix d’anacardier (Tapirira guianensis). Quand les fruits se raréfient, il se rabat sur le nectar. Boit dans les trous d’arbre ou dans les flaques. En Floride (semi-liberté), on reporte un cas de prédation sur une espèce de chauve-souris vespérale (Nycticeius sp.). Budget alimentaire (P. de Gunma, État du Pará, Brésil) : fruits et autres végétaux (55,1 %) et proies (44,9 %). Ici, la proportion de proies varie grandement, de 80 % en août à seulement 20,3 % en janvier. Budget alimentaire (PN de Macarena, Colombie, d’après Carreterro) : arthropodes (78 %), fruits (21 %), feuilles (1 %) et nectar (0,23 %).

Comportements sociaux

Les enfants et jeunes s’adonnent au jeu social. Luttes, empoignades, courses poursuites, esquives favorisent leur développement physique et psychologique. Le jeu solitaire est tout aussi important : explorer un trou d’arbre et y boire, tenter de capturer un insecte au sol, repérer un nid de guêpe. Par le jeu, les jeunes singes-écureuils apprennent les comportements idoines, les postures rituelles, perfectionnent les expressions faciales et intègrent la communication vocale. La curiosité est un trait marquant du comportement de ce primate. Un oiseau perché suffira à l’intriguer, il voudra s’en approcher, le toucher. Parfois, le volatile entre dans son jeu et fait mine de s’éloigner, pas trop loin, pour être de nouveau rapidement approché. Dans les forêts reculées d’Amazonie, le saïmiri descend de la canopée pour observer les visiteurs au sol. Dans les parcs zoologiques, il grimpe sans retenue sur la tête ou les épaules des visiteurs.

Taille du groupe

La taille d'un groupe de cette espèce varie entre 40 et 50. De 10 Ă  21 (PN de YasunĂ­, d’après Laura Marsh). 18 (Ayo), 10 (Pintadillo) et 18,1 (CaparĂş), Ă  l’extrĂŞme sud de la Colombie. Dans les forĂŞts intactes amazoniennes subsistent des groupes de 120 Ă  300 individus et plus (jusqu’à 550), mais dans les llanos de Colombie la moyenne tombe entre 10 et 35.

Structure sociale et système de reproduction

Groupe multimâle-multifemelle. Polygamie. Rarement, la troupe se subdivise en sous-groupes de 5 Ă  8 individus pendant la recherche de nourriture. En haute Amazonie, Izawa a Ă©tudiĂ© une troupe de 43 individus occupant un domaine annuel de km2 et se dĂ©plaçant d’km par jour. Au Surinam (P. de Raleighvallen), les femelles ne semblent pas former d’alliance forte et voyagent sĂ©parĂ©ment des mâles, sauf lors de la pĂ©riode de reproduction oĂą leur dĂ©fiance vis-Ă -vis d’eux diminue.

Hiérarchie

Les interactions sociales du groupe sont centrées autour des femelles dominantes, comme chez les prosimiens. Les mâles se montrent particulièrement querelleurs, pour la raison que dans cette région les fruits sont regroupés par bouquet sur de petits sites alimentaires contrôlables par les plus forts. Les paramètres écologiques prévalant à Raleighvallen pourraient donc expliquer au moins partiellement le comportement d’opportunisme individualiste relevé chez les deux sexes.

Communication visuelle

Exposition et érection des organes génitaux.

Communication olfactive

Dépôt d’urine sur les mains et les pieds.

Communication tactile

Grooming.

Dispersion

Femelle philopatrique. Le mâle émigre.

Reproduction

La saison des amours marquent de nombreux changements. Le plus spectaculaire est l’impressionnante prise de poids des mâles, entre 85 et 222 g, soit jusqu’à 30 % de surpoids ! Peut-ĂŞtre veulent-ils impressionner et mieux contrĂ´ler les femelles. Leur production de testostĂ©rone s’accroĂ®t fortement. Les mâles de toutes les espèces de saĂŻmiri grossissent avant cette pĂ©riode agitĂ©e, en captivitĂ© comme dans la nature, avec des variations marquĂ©es du surpoids selon les espèces, au sein d’une mĂŞme espèce et aussi pour un individu d’une annĂ©e sur l’autre. Une compĂ©tition intense s’installe et une hiĂ©rarchie s’établit aussi parmi les femelles. Les mâles s’engagent dans des combats frĂ©quents et fĂ©roces, exposant leurs organes gĂ©nitaux pour se dĂ©fier. Cycle Ĺ“stral : 6 Ă  25 jours. Ĺ’strus : rĂ©duit entre 12 et 35 heures. Un seul nouveau-nĂ© de 100 g environ vient au monde après 160 jours de gestation en moyenne, souvent en mars ou avril.

DĂ©veloppement

Après la naissance du petit, les femelles rejettent les mâles. La mère élève son jeune sans attention particulière avec le concours d’assistantes (souvent des filles de précédentes portées) qui, entre la deuxième et la huitième semaine, aident à son transport et à sa surveillance pendant qu’elle se ravitaille. Le bébé s’accroche à sa fourrure dès la naissance mais l’agrippement ventral n’est totalement fonctionnel que vers 3 semaines si bien que la mère doit le soutenir lors des déplacements. Il commence ses explorations vers 1 mois. Se juche sur le dos maternel durant plusieurs mois. Indépendance à 1 an. La maturité sexuelle de l'espèce arrive à 3 ans pour les femelles et 5 ans pour les mâles.

Longévité

Il vit jusqu'à 20 ans dans la nature, et jusqu’à 30 ans en captivité.

Prédateurs

Ils ont beaucoup de prédateurs comme les rapaces (aigles), les serpents comme les boas, les petits et grands félins (notamment l'ocelot).

Ce sont donc des primates constamment en état de veille, surveillant leur environnement avec frénésie. En cas d’alerte, les mâles examinent de plus près la situation tandis que les femelles et les jeunes restent immobiles.

Menaces

Son principal ennemi reste l’homme. Sur les marchĂ©s d’Iquitos au PĂ©rou, on vend des colliers enrichis de dents, de griffes voire de crânes de saĂŻmiri. Des millions de saĂŻmiris ont Ă©tĂ© capturĂ©s pour la recherche biomĂ©dicale : après le rhĂ©sus, c’est le primate le plus utilisĂ© en laboratoire. Pas moins de 170 000 spĂ©cimens furent importĂ©s aux États-Unis entre 1968 et 1972 pour alimenter les labos, les zoos et les particuliers. ApprĂ©ciĂ© comme animal de compagnie, le saĂŻmiri commun demeure nĂ©anmoins le plus abondant et le moins menacĂ© de tous les primates amazoniens.

Conservation

PN du Río Abiseo (Pérou). PN de Yasuní (nord-est de l’Équateur). PN de la Macarena, RN de Nukak et RN de Puinawai (Colombie). PN de la Serranía de la Neblina et PN de Parima-Tapirapecó (frontière Venezuela-Brésil). RN du Surinam central (Surinam). RN des Nouragues (Guyane française). PN de la Serra do Divisor, SE de Maracá, PN du Pico da Neblina, R. d’Amanã, PN de Jaú, PE de Cuieiras, PE de Gunma, PN de Tumucumaque, PN de Cabo Orange et Fazenda Arataú (Brésil). Sur l’Îlet-la-Mère, au large de Cayenne (Guyane française), un îlot de 56 ha naguère habité par les jésuites puis les bagnards, l’institut Pasteur élève des singes-écureuils mais certains spécimens y évoluent en liberté, se gavant des fruits des arbres plantés par les hommes (mombins, goyaviers, manguiers) et n’ayant à craindre aucun félin. En Floride, une population introduite vit en semi-liberté dans la résidence de Monkey Jungle (6 ha).

Notes et références

  1. Diversité génétique et évolution des Gammaherpesvirinae de primates. Dans la revue Virologie, vol.11, no 1, janvier-février 2007, p. 43-62 Lire le résumé en ligne
  2. (en) Murray Wrobel, Elsevier's Dictionary of Mammals : in Latin, English, German, French and Italian, Amsterdam, Elsevier, , 857 p. (ISBN 978-0-444-51877-4, lire en ligne), entrée N°6203.
  3. Meyer C., ed. sc., 2009, Dictionnaire des Sciences Animales. consulter en ligne. Montpellier, France, Cirad.
  4. « Découvrez le magazine Wapiti pour les enfants de 7 à 12 ans », sur Wapiti (consulté le )

Liens externes

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